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Doucerêverie

Instant doux...

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Il était sorti.

Elle était restée.

Lui, était parti dans le froid...

Elle, était restée confortablement blottie au chaud...

Elle ne savait si oui ou non il allait penser à elle, si il allait sentir ce manque d'elle...

Ce qu'elle savait, elle, en revanche... C'était qu'à elle, il allait manquer, qu'elle penserait certainement à lui...

Elle l'avait vu se préparer, l'avait regardé s'activer pour chercher ça et là ce qu'il ne trouvait...

Elle se sentait si fatiguée. Toute fatiguée...

Il faisait nuit. Il faisait noir au dehors...

Elle aurait fort donné pour qu'il reste, qu'il se mette là, à côté d'elle, qu'il la prenne dans ses bras, la câline, la serre...

Pour qu'elle puisse somnoler, dormir au creux de ses bras mais "il fallait"...

Elle détestait ces phrases. Ces mots...

Oh non! Elle admirait tout de même en lui son sens du devoir...

Ce n'était nullement ça le problème... Le problème était qu'elle aimait l'avoir auprès d'elle, pouvoir se blottir à tout instant dans ses bras, pouvoir le sentir, le toucher... Elle n'aimait quand il n'était plus là et qu'elle ne pouvait plus faire ça...

Il était fin prêt... Prêt à partir, à allait où "il fallait" qu'il soit...

Il s'approcha alors d'elle se pencha lentement sur elle et là... Déposa un tout doux baiser sur son front...

Mmmh... Elle ferma les yeux... Se laissa aller à se délecter de la tendresse et de la douceur toute singulière à ce baiser...

Lorsqu'elle les rouvrit, il était déjà sur le seuil de la porte. Il lui jeta un tendre regard, un dernier baiser du bout de ces lèvres si sensuelles et le voilà qui était parti...

La voilà qui était seule, blottie dans son fauteuil...

Hum. Sur ses lèvres se dessina sans qu'elle s'en rende vraiment compte une petite moue...

Elle se tortilla doucement dans son fauteuil pour s'y faire une meilleure place et elle laissa ses pensées doucement, tout lentement vagabonder... Jusqu'à... Jusqu'à ce qu'elle ne se rappelle plus de rien...

Ses yeux s'étaient fermés... Elle s'était endormie... Là... Sur le fauteuil...

Elle était endormie, peut-être était-elle entrain de rêver?

Son sommeil n'avait jamais été bien lourd. Elle entendit du bruit... Ouvrit les yeux.

Un bruit... Elle se mit à chercher, tous sens en alerte... Où était-il? Était-il là??

Et là...

Son coeur s'arrêta un tout léger instant de battre.

Là ! Là ! Il était là !!!

Oh !! Elle était toute contente! Toute joyeuse !

Elle se tortillait dans son fauteuil... Essayait de vérifier si ses cheveux n'étaient pas décoiffés, si elle n'était pas présentable, alors que lui contrairement à elle... L'était tellement... Si beau... Tout beau...

Il approchait...

Elle se sentit se mettre à sourire...

De ce sourire joyeux, plein de lumière...

Elle souriait...

Pour lui. A cause de lui... Par lui...

Elle se sentait comme irradier de l'intérieur...

Il était là! En quelques pas, il s'assit sur son fauteuil, son fauteuil à elle... Tout là...

Il pris sa main dans la sienne... Oh que sa main était gelée...

Il la fit s'approcher de lui...

L'enserra...

La fit se blottir contre lui...

Elle posa la tête instinctivement contre son torse...

Ferma doucement les yeux et se mit à ronronner...

Elle ronronnait pendant que lui la serrait... La serrait fort... Tout fort contre lui...

Mmmh...

Lui...

Elle rouvrit ensuite les yeux se rappelant comme il avait les mains froides et gelées...

Elle se mit à "gigoter" contre lui comme il aimait lui dire quand elle se tortillait de partout pour essayer de faire quelque chose...

Elle réussit à s'échapper d'entre ses bras...

A glisser d'entre eux...

Non sans regrets, certes... Mais elle avait autre chose à faire...

Il fallait qu'elle s'occupe de ces jolies mains toutes froides...

Qu'elle s'occupe de lui...

Elle pris sa main dans les siennes...

Commença doucement à la frictionner...

A la réchauffer de ses mains qui apparaissaient bien plus petites comparées à la sienne...

Elle l'entendis soupirer d'aise... Oh... Le pauvre... ça avait dû être fort désagréable voir douloureux...

Elle se pencha sur sa main qui commençait tout doucement à se réchauffer...

Jeta un regard curieux vers lui...

Il la regardait...

Elle lui sourit...

Souffla sur sa main de son souffle tout doux... Chaud...

Il frissonna... Elle le sentit...

Elle le regarda à nouveau et yeux dans les yeux... Elle déposa un tout léger baiser sur le dos de sa main...

Elle en prit ensuite la paume... La pressa contre la joue...

Se mit à frotter tout doucement sa joue à sa paume voulait faire communiquer la chaleur de ses joues à la main...

Il souriait...

Elle le fixait, encore et encore...

Avait frissonné au contact encore frais de sa paume sur sa joue...

Avait soupiré aussi lorsque celle ci était devenue plus chaude... Que ça s'était petit à petit transformé en une douce caresse de sa main sur sa joue...

Elle eut l'envie de la bisouter...

Le fit...

Tourna légèrement la tête...

Déposa un baiser au creux de la paume de sa grande main...

Puis elle se rendit compte que sa main, son autre main avait bougé...

Il l'avait frotté à la couverture, l'avait réchauffée... Et là... Elle était venue s’immiscer sous la couverture...

-Mmmh...

Il lui arracha un doux gémissement alors que sa main s'était posée à plat sur son ventre... Sa main toute douce... Chaude...

Un petit peu moins que la peau de son ventre tout de même ce qui la fit frissonner toute entière...

Mais ce contact était si doux... Mmmh...

Elle se vit se mettre alors instinctivement à déposer des bisous sur la pulpe de chacun de ses doigts...

Il en avait frémi à sentir ses lèvres sur le premier, s'était mis à bouger son autre main à la faire aller vers son dos au second...

Puis le voilà qui parcourait son dos de son autre main... Qui le caressait... Le remontait puis le descendait...

Elle était là... Contre lui...

Leurs yeux ne se quittaient pas...

Doucement elle entrouvrit les lèvres...

Elle fit glisser une première phalange dans sa bouche...

Il en gémit...

Elle le sentit qui retirait son autre main de son dos...

Il la plaça sur sa nuque...

Elle pouvait le sentir, sentir la petite pression de sa main si possessive à sa nuque... Sentir ce doigt... Cette phalange qui s'était introduite entre ses lèvres...

Il l'attira par sa nuque...

La fit doucement s'allonger...

Tête sur la fauteuil...

Il commença à plus rentrer son doigt...

Elle gémit...

Elle était là...

Allongée...

Encore dans sa couverture toute chaude...

Lui était là...

Penché au dessus d'elle...

-Tu es belle..., lui chuchota-t-il à l'oreille.

-...Tes lèvres sont si douces... Ta bouche toute chaude...

Il ressortit alors lentement son doigt... Son autre main était restée dans sa nuque...

Il se mit à faire suivre à son doigt humide, très lentement, le contour de ses lèvres et là...

-Mmmh...

Elle gémit. Il avait d'un coup enfoncé son doigt, jusqu'au bout, fermement dans sa bouche.

Il le maintient là. Ne le bougea pas. Se contenta de la regarder intensément, de lui sourire et de lui caresse tout délicatement la nuque.

Il le ressortit...

Tout trempé. Luisant...

-Encore? Tu veux?

Elle fit oui de la tête.

-Alors ouvre ta bouche. Offre la moi... S'il te plaît...

Ses lèvres s'entrouvrirent presque instantanément à ses mots...

Il l'avait senti qui s'était mise à onduler doucement contre lui. Il aimait ses ondulations. Tout comme il aimait quand elle se laissait aller...

Il appuya plus fermement sa main sur sa nuque, la maintenant, pour ne pas qu'elle bouge et là...

Elle se mit à se tortiller sous lui, à se tordre...

Il avait fait entrer deux de ses doigts en elle, au fond de sa bouche... Elle était terriblement excitante.

-Mets tes mains sur ta tête et arrête de te tordre dans tous les sens tu veux? Je suis concentré, là. Obnubilé par ta bouche...

Je la veux... Je veux la remplir... Te remplir ta bouche.

Il savait qu'elle allait instantanément gémir... Il voulait qu'elle le fasse. Elle gémit... Et là. Il enfonça encore plus loin ses deux doigts...

Elle eut comme un petit hoquet. Elle était belle, désirable... Elle ne le perdait pas des yeux, peinait à faire un quelconque mouvement... Elle aussi était toute concentrée sur ce qu'il faisait à sa bouche...

-Hum... Tes mains. Tout de suite... Toi...

Il ressortit un petit peu ses doigts. Pas entièrement... Loin de là. Elle pouvait toujours bien les sentir en elle mais c'était un petit peu comme s'il voulait qu'elle relâche la pression et qu'elle puisse se mouvoir.

Elle mit ses mains sur sa tête. Continuait à le regarder....

Elle se sentait être toute excitée... De plus en plus excitée au fur et à mesure qu'il jouait avec sa bouche...

Elle adorait quand il était doux... Mais là il se montrait plus ferme, plus directif et ça l'excitait...

Elle ne pouvait s'empêcher d'onduler sous lui, avait comme instinctivement ouvert la bouche lorsqu'il lui avait demandé de l'ouvrir... De la lui offrir... Car c'était ça. Elle avait vraiment eu l'impression de la lui offrir... Il l'avait pénétrée de deux de ses doigts... Elle les avait senti comme envahir sa bouche... Puis il avaient pris place pour y rester, s'y loger et y prendre leurs aises un petit peu comme s'ils étaient chez eux... Comme si sa bouche à elle avait était acquise à eux...

Elle s'était senti comme possédée par lui... Prise...

Ses doigts sur sa nuque qui se faisaient à la fois fermes et rassurants lui permettaient d'un petit peu se calmer... L'apaisaient... Lui disaient en quelque sorte de se laisser aller...

Il s'était mis à parler. A lui demander de mettre les mains sur sa tête... S'imaginer ce que cela donnerait vu de loin réussit à la faire gémir et là... Ces doigts s'étaient enfoncés encore plus loin dans sa bouche... Elle n'aurait pu imaginer qu'ils puissent aller si loin...

C'était bon... Si bon... Elle ne voulait bouger. N'en avait ni l'envie ni la force... Elle était comme entièrement tendue et focalisée sur sa bouche... Sur sa bouche et sur ces doigts... Ces doigts qui la prenaient, la possédaient, la remplissaient...

Elle finit par bouger. Par lui offrir cette vision d'elle qu'il voulait...

Elle, ainsi, allongée... La bouche remplie... Possédée... Qui ne le quittait des yeux et obéissait à ses ordres fermes et à ces doigts tous doux sur sa nuque...

________________

A suivre...

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Invité

C'est sublime et voilà de quoi se mettre en appétit dès le matin...

 

Douce rêverie, fantasme ou vécu, on se retrouve dans ton texte. Merci pour ce partage.

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Ce texte est comme ton pseudo tout en douceur

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J'avais commenté sur le blog, mais je me dois de le faire ici.

Tu le sais, j'ai adoré. Ce petit côté fétichiste m'a beaucoup plus. C'est très grisant. Et quoi de plus fort comme signe de confiance qu'une femme offrant sa bouche ouverte et vulnérable.

 

Divin

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Ce que l'on peut ressentir au prime abord à cette lecture, très agréable, c'est de la douceur, une certaine tristesse et de la mélancolie.

La sensualité arrive ensuite pour une suite qui saura sans nul doute être très excitante.

 

J'attends cette suite avec impatience.

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Invité

Merci d'avoir lu...

Plus que ravie que tu t'y sois retrouvée...

Je pense que toute femme du forum se retrouvera dans tes mots, et que certains hommes prendront enfin conscience que tous ces moments là, tous ces gestes là sont importants et font partie intégrante de la relation.... 

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Que certains hommes prendront enfin conscience que tous ces moments là, tous ces gestes là sont importants et font partie intégrante de la relation....

Sourire. Je suis d'accord avec toi concernant le fait que certains hommes ne comprennent pas cela... Mais il faut aussi dire que certaines femmes n'attendent pas et ne recherchent pas ça dans une relation, non plus..

En tous les cas cela me touche que tu pense qu'autant de femmes pourraient se retrouver dans mon texte... Merci.

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Invité

Tu as entièrement raison dans ce que tu écris doucerêverie. Il faut communiquer, savoir demander, savoir donner et savoir prendre.

 

J'ai hâte de te lire encore et encore.

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Beau texte, bien écrit !
Mes doigts dans sa bouche, c'est assez excitant, mais… en complément d'autre chose, pour moi…

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Merci d'avoir partagé ce délicieux moment.. Nous nous sommes vus au travers de tes mots..

Très belle plume!

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Invité

C'est un très beau texte. Tres erotique sans jamais etre vulgaire. Bravo :)

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      Confession Intime
    • Par Doucerêverie
      -Ahhhhh

      Un gémissement lui échappa. Elle ne se rendit compte du fait qu'elle avait gémi que lorsqu’elle entendit ce son presque venu d’ailleurs… Doux, délicat… C’était comme si sa bouche avait voulu exprimer à sa manière ce qu’elle-même n’aurait pu expliquer, commenter…

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      -Ahhhh

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      -Ahhhhhhh

      Il revint en elle fermement presque durement… Elle sentit ses pieds se tordre et pointer immédiatement en réaction à cet assaut… Elle avait l’impression que tout son corps était tendu, avide, en attente de lui… Il vint déposer un doux baiser sur son front et commença à faire des vas et viens amples qui lui arrachaient chaque fois un son… Mmmh… Elle savait qu'il aimait lui faire ça... Faire sortir de sa bouche de doux sons... Il alternait les vas et viens entre lents, puissants et rapides, forts et elle se tortillait, ondulait, se laissait aller à suivre ce rythme qu'il lui imposait et à gémir, ronronner, haleter pour lui... Une douce mélodie lui avait-il une fois dit...
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      Par Guest Calista
      C'était un soir d'été, la nuit était tombée et il faisait encore très chaud. Je venais de mettre mes enfants au lit et me retrouvais enfin seule, au calme. Je décidai de me faire couler un bain frais dans mon jacuzzi. J'ouvris le Velux qui se trouvait au-dessus de la baignoire et laissai ainsi entrer la douce brise mêlée au chant des cigales entrer dans la pièce. Quelle merveille pensai-je, j'aimais cette douce mélodie nocturne où tous les bruits sont plus exacerbés et les insectes inspirés. De là, je pouvais admirer le magnifique ciel étoilé. J'allumai une grosse bougie à la vanille et fit couler l'eau tempérée en y ajoutant des sels parfumés au Jasmin. En quelques secondes, j'eus l'impression d'être transportée sur une île des Caraïbes. Je descendis au salon, choisi un CD et avant de remonter, me servis une coupe de champagne. Voilà qui me tiendrait agréablement compagnie sous la voute étoilée. Je traversai ma chambre, déposai son peignoir et entrai dans la salle de bain. Je plaçai le CD dans la chaîne HI-FI et aussitôt la voix suave de Gloria Estefan s’éleva dans la pièce. J'avais une passion pour la musique et les rythmes cubains en particulier. Sans plus attendre, je me glissai dans l'eau parfumée.
      Je fermai les yeux et bu une gorgée de champagne, que je laissai couler lentement, me délectant de ses petites bulles fraîches et pétillantes. A tâtons, j'appuyai sur le bouton qui commandait les jets du jacuzzi et l'eau se mit à bouillonner. Mes muscles commençaient à se relâcher quand la sonnerie stridente de la porte d’entrée se fit entendre, déchirant ainsi la douceur paisible de la nuit.
       
      Qui pouvait bien sonner à une heure aussi tardive me demandai-je. J'espérais secrètement que ce n’était pas un policier venant m'annoncer une mauvaise nouvelle. Mon mari était en voyage d’affaires et bien qu'il ne m'eut pas donné de nouvelles de la journée, je ne voulais pas penser au pire.
      A contrecœur, je sortis de la baignoire et enfilai en vitesse mon peignoir de soie resté sur le lit. Je descendis le grand escalier et ouvris la double porte.
      Un homme d’une cinquantaine d’années, de stature imposante se tenait sur le perron.
      Il se présenta rapidement et s’excusa du dérangement quelque peu tardif.
      Tout en resserrant mon peignoir contre mon corps nu et trempé, J'articulai un timide et presque inaudible « bonsoir ». Je ne me sentais pas vraiment à l’aise face à cet homme taillé comme un GI, pourtant quelque chose en lui, me provoqua quelques délicieux frissons.
      Il sentit ma gêne et mon désarroi, aussi il recula d’un pas, pensant m'avoir effrayée 
       
      - Je suis agent de sécurité, voici ma carte, me lança-t-il. Votre alarme a émis un signal à la centrale, avez-vous un problème me demanda-t-il tout en me détaillant des pieds à la tête.
       
      Je fis un signe négatif de la tête, mais devant la carte et l’uniforme de l’employé, je m'effaçai et l'invitai à entrer.
       
      - Suivez-moi, je vais vous montrer où se trouve le système d’alarme central.
       
      Nous traversâmes le sous-sol en direction du local de chauffage. Je pouvais sentir son regard s’attarder sur mes courbes et une certaine moiteur s'infiltra au milieu de mes cuisses.
      Il entra dans le local, lampe torche à la main et commença à manipuler l'appareil en marmonnant des propos incompréhensibles pour moi, restée à quelques mètres en retrait.
      Je le vis saisir son téléphone portable et appeler la centrale pour faire un test.
      Quand il eut raccroché, il se tourna vers moi et me dit :
      -  Rien de grave madame, il y a simplement un problème avec un des détecteurs de mouvement qui semble défectueux. Il va falloir que je fasse le tour de la maison et que je cherche d'où provient le signal. Pouvez-vous m’indiquer leurs emplacements, ainsi le dérangement sera moindre. Etiez-vous sur le point de vous coucher? ajouta-t-il en désignant mon peignoir du regard.

      -  Non…non, je prenais un bain lui répondis-je un peu gênée et troublée.
      -  Je vous en prie, retournez dans votre bain pendant que je cherche d’où vient le problème et que je le résolve. Je vous tiendrai informée de mes conclusions.
      J'acquiesçai et lui indiquai rapidement les endroits où se trouvaient les détecteurs, puis le plantai là et remontai me prélasser dans mon bain. Tout en gravissant les marches, je me demandai si c’était réellement une bonne idée que je me trouve nue alors que l’employé de la sécurité se baladait dans ma maison. Je dus cependant admettre que la vue de ce beau mâle d'âge mûr m'avait quelque peu émoustillée. En me replongeant dans les bulles, je ne pus m'empêcher d'imaginer avec envie, ses mains légèrement calleuses et poussiéreuses me caresser dans l'eau tiède. Soudain, je me rendis compte que ma main avait glissée d’elle-même jusqu'à mon sexe palpitant et que mon index titillait déjà mon clitoris durci par un désir croissant. Cette délicate caresse sur mon sexe épilé était exquise, délicieusement inappropriée au vu de l’intrus dans la maison, mais qu’importe. Pour l'heure, seul mon propre plaisir comptait.
      L'idée qu'il puisse entrer et assister à mes caresses m'excita encore d'avantage et mon cœur se mit à battre plus vite dans ma poitrine. Mes seins se durcirent et mes tétons pointèrent hors de l'eau, tel de petites framboises roses et bien mûres.
       
      Sous l'effet de l'atmosphère tropicale et musicale ambiante et des buses qui me massaient vigoureusement le corps et les fesses, mes doigts se firent plus pressants et partirent en expédition dans mon sexe offert.
       
      "Quel délice !"
      L'odeur de la vanille et du jasmin, mêlée à la douce brise qui entrait toujours par le velux ouvert et la voix suave de Gloria me firent perdre la tête. Mes doigts entraient plus profondément, fouillant mes entrailles secrètes.
      J'étais sur le point de m’abandonner à une jouissance puissante et salvatrice quand un léger toussotement me fit ouvrir les yeux. Dans les vapeurs du jacuzzi et du champagne qui commençaient déjà doucement à m’enivrer, je m'aperçu que l'employé d’ADT se tenait dans l'encadrement de la porte, gêné, mais ne perdant pas une miette du spectacle que je lui offrais sans le savoir. Sa main maladroite tentait de cacher la bosse qui déformait la braguette de son pantalon de coton.
      Je remarquai son air malicieux et son regard aussi troublé que le mien. Nous étions dans une situation des plus cocasses, lui ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps nu, offert à son regard et je ne pouvais détourner le mien du sexe dressé sous la toile foncée de son uniforme.
      Le premier, il rompit le silence pesant qui régnait maintenant dans la pièce qui s’emblait de plus en plus exigüe. Il se racla la gorge et passa ses doigts dans l'échancrure de son col pour se donner un peu de contenance et d’oxygène.
       
      - Désolé M’dame de vous surprendre, euh de vous interrompre…, enfin de vous déranger, j’étais simplement venu vous avertir que j'avais identifié la panne et trouvé d'où provenait le signal que la centrale avait reçu à plusieurs reprises dans le courant de la soirée. Par contre, je vais devoir rester dans le coin et attendre qu’un livreur m'apporte le module à changer pour pouvoir remettre l'alarme en service et ainsi sécuriser à nouveau votre maison correctement. Cela ne prendra que peu de temps et pour ne pas vous importuner d'avantage, je vais attendre dans la camionnette. Je voulais juste vous informer que je repasserai d’ici une petite heure environ.
       
      Ses mots n’étaient pas très convainquant et je m’en aperçus immédiatement.
      - Ne pensez-vous pas qu’il y ait un moyen plus agréable de passer le temps ? Ne me dites pas que vous n’avez pas envie de venir me rejoindre dans l’eau et boire une coupe de champagne avec moi.
      Je me surpris de mon audace et mis cela sur le compte du breuvage ambré qui pétillait dans ma tête ainsi que sur le changement climatique dû à mon récent déménagement et qui provoquait en moi des envies coquines des plus diverses à assouvir prestement.
       
      Avec un dernier zeste de lucidité, je me demandai comment j'avais pu faire des avances aussi directes  à cet homme d’âge mûr qui sans sa tenue de travail ressemblait plus à un prêtre austère qu’à un homme attiré par une femme aussi peu vêtue que je ne l'étais.
      Je le fixai droit dans les yeux et du bout de l'index, lui fit signe de s'approcher.
      - Je pense que nous allons pouvoir patienter une petite heure de manière plus agréable, vous ne pensez pas ? Champagne ?
      - Cela aurait été avec plaisir, mais n’oubliez pas que je suis en service.
      - Allons, lui répétai-je. Cela restera entre vous et moi, personne n'en saura rien, détendez-vous, vous êtes au bord de l’asphyxie.
      - Ok alors juste une gorgée pour vous accompagner et pour me faire pardonner de vous avoir déranger en plein….
       
      Sa phrase resta en suspend.
      - Ne vous faites pas de soucis, c’est plutôt moi qui devrait m’excuser et me sentir gênée non ? Pourtant, voyez-vous, je savais que vous pourriez me surprendre et cette idée mettait un peu de piment à mes caresses. Le spectacle vous a plut ? Ajoutai-je avec un clin d’œil moqueur.
      - Oui, bien évidement, ce n’est pas tous les jours que nous avons des dépannages aussi… agréables oserais-je dire.
       
      Je lui tendis le verre et me levai, faisant ruisseler l’eau et la mousse sur mon corps légèrement hâlé.
      Je tendis le bras  et l’attirai doucement vers moi en le tirant par la ceinture en cuir marron de son pantalon. Une fois à ma portée, je commençai à déboutonner sa chemise de service sur laquelle était brodé son prénom. Arrivée au dernier bouton, j'en écartai les pans et remontai le long de son torse en le caressant du bout des ongles.
       
      Il avait la peau douce et très peu de poils, un torse un peu musclé, juste comme je les aimais. Arrivée sur ses épaules, mes mains firent glisser la chemise qui tomba sans bruit sur le tapis de bain moelleux. Je me mis à le caresser doucement, délicatement, dessinant des arabesques invisibles. J'approchai ma bouche vers le creux de sa clavicule et commençai à le mordiller, remontant le long de son cou. Quelques râles rauques s’échappèrent de sa bouche qui se transformèrent très vite en gémissements d’impatience. Il dégrafa son pantalon qui tomba à ses chevilles et rejoignit la chemise froissée. Je baissai les yeux et admirai son sexe encore prisonnier de son caleçon noir. Le misérable bandait et ne demandait qu'à sortir.
       
      Je laissai mes doigts manucurés, palper et soupeser l'objet de ma convoitise et je ne pu que constater le plaisir que la vision de mon corps nu provoquait en lui. Je l'aidai à finir de se dévêtir puis l'attirai lentement dans l'eau contre moi. Nos corps étaient proches mais ne se touchaient pas encore.
       Il me dépassait d’une bonne tête et sa stature ainsi nue, en imposait. Il me regarda, puis ses yeux se fixèrent sur ma bouche agréablement ourlée et s'en empara avec empressement. Sa langue impatiente explorait ma bouche avec une avidité presque brutale, ce qui me fit penser qu'il n'avait pas touché une femme depuis quelques temps déjà. Il me serra contre lui et je pouvais sentir les battements rapides et désordonnés de mon cœur. Il plaqua ses mains sur mes fesses callipyges et je sentis son érection contre mon ventre.
      Il me poussa doucement en arrière en appuyant sur mes épaules ; en quelques secondes, je me retrouvai assise dans le jacuzzi, Earl se glissant entre mes jambes pour me les écarter et avoir enfin une vue plus détaillée de mon sexe dont les lèvres imberbes invitaient aux caresses buccales les plus coquines. Il m'avoua que c'était la première fois qu'il était sur le point de baiser une fille aussi jeune au sexe complètement épilé. Son gland turgescent trahissait son envie de passer à l’acte sans plus attendre mais visiblement, il avait envie de découvrir, de jouer avec cette chair fraîche que je lui offrais sans retenue.
       
      Il se conduisait comme un petit garçon devant un sapin de Noël sous lequel il a déjà repéré le cadeau de ses rêves. Ses yeux pétillaient de malices, de désirs et ses gestes trahissaient son impatience grandissantes, mais également un certain stress de ne pas paraître ridicule à mes yeux. Il devait se dire qu'il fallait assurer maintenant qu'il s'était laissé entraîner.
      Il m’agrippa à nouveau sous les fesses pour faire apparaître hors de l'eau mon sexe qui ressemblait à un abricot mûr et juteux. Il s'avança en direction de mon clitoris et le saisit à pleine bouche. Il me mordillait doucement et déjà j'haletais de plaisir.
      Il avait l'air d'avoir déjà bien roulé sa bosse en matière de sexe, pensai-je, car ses caresses buccales étaient expertes et il savait titiller mon intimité avec précision et avidité. Il s’en délectait comme un affamé, passant le bout de sa langue dans le moindre repli, débusquant le petit bout de chair rose qui semblait déjà prêt à exploser de plaisir. J'étais trempée et ma liqueur commençait de ruisseler sur le menton d’Earl. Il me pénétrait de son index, avant d’y ajouter un deuxième puis un troisième doigt qui vint rapidement rejoindre les deux précédents. Mes gémissements se firent de plus en plus sonores, j'aimais cette intrusion musclée. Mes seins dressaient fièrement hors de l'eau comme deux torpilles prêtent au lancement et mon ventre ondulait au rythme des entrées et sorties des doigts puissants qui me labouraient le sexe. Dieu que c’était bon pensai-je en appuyant sur la tête de l’employé pour qu’il s’empare d’un de mes tétons bandés à l’extrême. Les aréoles étaient froncées et me faisaient presque mal. Il ne se fit pas prier et mordilla ce minuscule bout de chair rosé, le faisant rouler sous sa langue, l’aspirant et le suçotant. Mes seins étaient ronds et lourds et visiblement, il aimait les voir réagir sous ses caresses.
       
      Soudain, il saisit une coupe de champagne et la versa sur mon sexe qui tressaillit. Les picotements que produisirent le liquide me firent frissonner et Earl reprit son lapement de plus belle, dévorant littéralement mon sexe doux et alcoolisé.
       
      Je me mis à jouir et il continua à déguster ce liquide ambré mêlé de liqueur intime.  C'était si bon que je désirais moi aussi le faire jouir à son tour.
      Du bout de mon index, je le repoussai pour qu'il s'appuie contre la baignoire, puis m'emparai de ce sexe qui attendait lui aussi sa part de jouissance. Lentement, je le fis glisser entre mes seins blancs avant de le prendre à pleine bouche. Mes lèvres glissaient le long de son membre, en exerçant des va et vient lents puis plus rapides. Il était déjà sur le point d'exploser et il me demanda de remettre sa queue entre mes seins. Il explosa sur ma poitrine, se rependant sur ma gorge tendue.
      Il m'attira contre lui et s'empara de ma bouche dans un long baiser tendre. Comme s’il voulait me remercier pour le moment que nous venions de passer tous les deux.
      Nos lèvres restaient soudées et ne semblaient pas vouloir se séparer. Ils devenaient de plus en plus profonds, plus passionnés et plus violents. Nos dents s'entrechoquaient et nos langues dansaient une véritable sarabande endiablée. L’alchimie opéra et au bout de quelques instants seulement, le sexe du quinquagénaire reprit de la force et de la vigueur ; Je le regardai se dresser avec envie. L’envie de m'empaler sur lui fut la plus forte. Je pris appui sur le rebord de la baignoire et me mis à califourchon sur lui, laissant cette longue tige épaisse me pénétrer toujours plus profondément. Je lui imposai  mon rythme et à le voir la tête rejetée en arrière les yeux fermés, il appréciait lui aussi le traitement que je lui infligeais. Je resserrais les muscles de mon vagin, je voulais le sentir me pénétrer jusqu’au fond de mes entrailles, je voulais garder son empreinte au fond de ma chatte à nouveau trempée.
       
      Il n’allait pas tarder à jouir pour la seconde fois. Il s’agrippa à mes seins et en les malaxant, les pétrissant, il en dessina les courbes tout en agaçant de ses pouces, les tétons encore érigés.
      Il partit si violemment au fond de moi qu’une vague de frissons semblait le parcourir le long de la colonne, Il cherchait son air et serrait les dents comme si des petites décharges électriques les agaçaient.
      “Ding dong” un son strident déchira la magie de l’instant.
      - Merde mon collègue !! S’exclama Earl.
      On l'avait complètement oublié celui-là. Nos yeux se croisèrent et après un dernier baiser,  je fus la première à sortir de l’eau. J'enfilai mon peignoir, laissant ainsi le temps à mon nouvel amant de se sécher, de se vêtir et de redescendre sur terre.
       
      Quand Earl arriva près de la porte, son regard trahissait le moment qu’il venait de passer au premier étage. Son collègue fit mine de ne s’apercevoir de rien et ensemble, ils descendirent réparer l’alarme.
      Moi, je remontai et passai un short en jeans et j'entrai dans la salle de bain, je fus surprise de trouver un numéro de téléphone inscrit sur le miroir embué. Je reconnus le ton brun de mon rouge à lèvres. Je le rentrai immédiatement dans mon téléphone portable et nettoyai le miroir pour ne laisser aucune trace de ce délicieux passage.
       
      Quand je redescendis, je croisai Earl dans l’entrée. Il était appuyé contre la porte de la buanderie et me regardait à la dérobée.
      Je dois partir, mais n’hésite pas à m’appeler en cas de panne ou pour toute autre raison ajouta-t-il en me lançant un clin d’œil.
       
      Un dernier et presque chaste baiser et il disparut dans la nuit. Je regardai les phares s’éloigner dans la rue et refermai la porte. Ce moment avait été intense et très agréable, je ne l’oublierais pas de si tôt. Dans ma tête, germait déjà des scénar pour le faire revenir au plus vite.
       
       
       
       
       
       
       
    • Guest sonny08
      Par Guest sonny08
      Tu es là, lascivement allongée sur ce lit. Entre ombre et lumière ton corps m’apparaît comme la sensualité même.
      Tu me regardes, tu me défies.. Tu m'attends.
      Alors je m'approche, je glisse sur ta peau pour venir poser un baiser dans ton cou.. puis à la naissance de tes lèvres.. Avant de t'embrasser langoureusement.
      Tu mets tes mains dans mes cheveux et délicatement me fais glisser sur le haut de tes seins, puis ton ventre, puis tu laisses ma bouche en tête a tête avec ta jolie dentelle, masquant a peine le joli sexe que tu m'offres.
      Je fais glisser le tissu et te regarde dans les yeux.. Je croise un regard plein de défi, de désir et d'envie.
      Mes lèvres parcourent tes cuisses puis viennent embrasser ton aine. La pointe de ma langue ondule langoureusement jusqu'à la naissance de ton sexe.
      Je te regarde quelques secondes et mordille ma lèvre. Je vais te dévorer, tu le sais.
      Ma langue remonte lentement sur la longueur de ton sexe, avant de couvrir ton clitoris d'un baiser langoureux.
      La pointe de ma langue glisse sur ton petit bouton de plaisir, elle ondule, dessine de petits cercles de 'l’extérieur vers l’intérieur. Puis, le coiffe d'un rapide baiser.
      Ma langue descend pour lécher ton sexe de haut en bas, de bas en haut, j'ondule sur tes petites lèvres puis mes caresses linguales se font plus appuyées, plus entreprenantes..
      J'avance doucement vers l’intérieur et ma langue fouette tes petites lèvres. Elle s'ouvrent timidement et ma langue te pénètre.
      Je te dévore encore quelques instants, puis mes lèvres se referment sur ton clitoris, pendant que mon majeur viens se glisser en toi. Ton gémissement timide et ton regard provocateur m'indiquent que c'est la bonne voie.
      Mon doigt disparaît en toi. Je replie la dernière phalange et masse doucement tes parois, en revenant en arriéré, puis en avançant. Tes soupirs me guident vers l'endroit de ton plaisir.
      Mon index entre à son tour dans ton sexe de plus en plus épanoui. Ton excitation facilite son entrée et il vient rejoindre mon majeur pour titiller les endroits les plus sensibles, leurs gestes sont coordonnées. Tantôt collés, tantôt opposés, ils sont les instruments de ton plaisir.
      Ma langue se concentre toujours sur ton clitoris, elle le fouette, elle ondule, elle dessine de petits cercles..Mon souffle chaud et humide glisse sur lui.
      Mes yeux fixent les tiens, je cherche ton plaisir... En en prenant beaucoup.
      Mes caresses sont précises et passionnées. J'aime voir cette émotion si intense au fond de tes yeux.Tes mains se crispent sur mes cheveux. Tu n'as jamais été aussi belle.
      Tu prends mes épaules et accompagne mon visage jusqu'au tien. Nous nous embrassons, ton regard est intense. Je te sens bouillante, mais inassouvie.
      Nos regards sont l'un dans l'autre, ta peau contre ma peau, tes seins contre mon torse. Mon sexe collé au tien durcit.. J'ai envie d’être en toi, j'ai envie d’être à toi..
      Tu mets tes mains sur mes fesses et dans un soupir nous fusionnons.
      Mon sexe franchit les portes de ton paradis.
      Mes mains sont folles de ton corps, je caresse tes hanches, ton ventre et tes seins.. Ma bouche se perd sur ton joli téton et je l'embrasse fougueusement a chaque fois que tu te cambres. Ma langue s'enroule enfin autour de lui et je le suce avec gourmandise..
      Nos mouvements sont liés, nos corps sont collés l'un a l'autre, dans une danse de plaisir. Jusque là esclave de mon désir, me voilà maître de mon plaisir. Et en quête du tien.
      Nous faisons l'amour comme des fous, mes pénétrations s’accélèrent, elles sont plus longues, plus puissantes, plus précises au fur et a mesure de nos échanges de regards, de tes soupirs de plaisir.
      Nous continuons jusqu'au plaisir ultime, jusqu'à la jouissance finale. Je sens mon désir monter, je sent ton plaisir arriver à son summum. Nous nous laissons aller a un dernier gémissement, à un dernier geste, au plaisir.. Tes pupilles se dilatent et ton regard se perd, envahi de plaisir. Nous restons quelques instants suspendus par le plaisir, ailleurs, au 7eme ciel. Notre plaisir commun comme nirvana. Enlacés nos corps s'effondrent sur le lit. Et dans un sourire, nous nous embrassons.
       
       
      Je sais que ce récit manque peut être un peu de mise en scène, d'intro ou de conclusion, mais j’espère qu'il vous a plu.
      N’hésitez pas à me laisser vos commentaires... 
      Et merci de la lecture !
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