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Neo3Lus

A l'hôtel

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Second récit.

 

 

 

D’un geste du bras, je t’invite à me suivre. Je reste à tes côtés, non sans te guider. Nous traversons le corridor de l’hôtel. Impassible, tu te laisses guider, ne sachant encore quelle chambre nous accueillera.
J’ouvre la porte. Je te sens derrière moi…. Je me retourne. Je jette un coup d’œil alentour : personne. Je me penche pour te prendre dans les bras à ta grande surprise. Ni une ni deux, je t’enlève dans la chambre. La situation te fait rire et te charme aussi. D’un coup de pied, je scelle la chambre. Notre tourbillon s’arrête. Nos yeux ne se quittent pas. Qui osera briser cet instant ?
La chambre est petite, à peine un lit, une table de chevet (mais avons besoin d’autre chose ?). Nos yeux s’observent. Qui est donc cette belle femme que je vois là ? Ma main glisse sur ton épaule… Trêve de plaisanterie… Les yeux rivés dans les tiens, je commence à saisir le lobe de ton oreille du bout des lèvres… Machinalement, tu penches la tête pour m’offrir ton cou. Mes lèvres descendent le long, assistées du bout de ma langue qui pointe…. Je me laisse guider par cette veine qui bat au rythme de ton cœur. Mais mon avancée est très vite stoppée par ton manteau… Mes mains œuvrent à te l’enlever. Elles ont déjà repérées le ruban qui te serre la taille, les boutons qui t’emprisonne. D’un geste je le fais glisser sur tes épaules, il tombe le long de tes bras pour se retrouver bientôt à tes pieds.
Avec une infinie lenteur, mais par des gestes précis et d’une remarquable sensualité je te débarrasse de tes vêtements. Tu te retrouves à moitié nue devant moi. Seuls rescapés de cet effeuillage n’en reste que ton soutiens-gorge et ta petite culotte. Ces mêmes dessous que j’avais vu en photo quelques heures plus tôt et que je devinai à travers ton pull dans le café, pendant que nous discutions.
Je reste là quelques instants sans réaction, juste à contempler la moindre de tes courbes, extasié devant ce spectacle qui s’offre à moi. Tu t’interroges : Qu’attend-t-il ? mais restes impassible, sentant que tu dois laisser libre cours cette observation minutieuse qui te désire littéralement du regard. Ton immobilité m’excite : tu es à moi à cet instant.
Mettant fin à mon examen visuel, je m’extirpe de mon manteau, maintenant j’ai chaud. Je m’approche de toi, me serre tout contre ton corps et, pendant que ma bouche se colle à la tienne, mes mains se faufilent le long de ton dos, atteignent la fermeture de ton soutien-gorge et la desserre sans la moindre difficulté. Écartant un peu mon buste de toi, je le fais glisser le long de tes bras et m’en débarrasse nonchalamment à coté de nous. Te voici ainsi poitrine découverte. Avec la même dextérité, je descend mes mains le long de tes hanches, glisse mes pouces entres la couture de ta culotte et ta peau pour faire tomber ce dernier vêtement. Ma bouche accompagnait la descente de ta lingerie sans s’arrêter. Pas même devant cette poitrine qui l’attirait. Juste mes lèvres qui en effleurent la pointe.
J’arrive juste devant ton sexe, soyeux. Je tourne autour, j’embrasse le côté de tes cuisses qui se raidissent sous mes coups de langues.
Je n’en peux plus. Mes doigts remontent et écartent doucement tes cuisses. Tandis que ma langue se faufile entre tes lèvres supérieures, mes doigts caressent doucement ton entre jambe.
Mes doigts glissent désormais, les uns contres les autres. J’enfonce délicatement le bout d’un premier doigt. Ton sexe est chaud, humide à souhait. Déjà, il est rejoint par un autre doigt qui est accueilli aussi chaleureusement. Ma langue ne chaume pas non plus.
Je dois faire des choix… J’écarte délicatement tes lèvres. Ma langue a désormais tout loisir d’explorer ce tendre sillon. Je lèche chaque partie ainsi dévoilée. Je plaque autant que je peux ma bouche pour envelopper ton sexe. Je le gobe, je le savoure. Tel un fruit mûr, gorgé de sucre, je le déguste, je le savoure, je m’en délecte. J’enfonce ma langue aussi profondément que je peux dans cet orifice que mes doigts ont préparé. Je savoure…
Tes mains se sont posés sur ma tête. Et ton insistance à plaquer mon visage contre toi à chaque fois que ma langue quitte ton sexe, me fait comprendre que tu as encore envie… Ton excitation booste la mienne.
Je relève la tête, cherchant ton regard. Ta poitrine me domine.
Une dernière fois, ma langue va chercher au plus profond de ton entre jambe. Je remonte jusqu’à la naissance de tes lèvres. Je m’en échappe, non sans me promettre d’y revenir… plus tard.
J’atteins ton nombril. Moins accueillant que ton sexe, certes, mais intéressant. Je continue mon escalade… Je vois déjà les deux sommets qui m’y attendent… Je glisse ma langue entre tes seins. Du bout de la langue je m’achemine jusqu’à leur pointe. Je tourne autour, et je les gobes.
J’en profite à mon tour pour ôter mes vêtements. Je te prends dans les bras pour t’accompagner jusqu’au bord du lit où je t’y allonges.
Je te vois là, magnifique, nue, à ma portée, à ma merci et j’ai terriblement envie de toi. Je vais un peu encore partager avec toi cette attente qui te taraude.
Je me penche vers ta poitrine, ferme, offerte à moi. Le bout de ma langue vient à la rencontre de ton téton dressé. Tu me sens. Je gobe le bout de ton sein tout en le mordillant légèrement. Je glisse entre les deux pour m’occuper de son homologue. Tu agites la tête de part et d’autre. Tu aimerais j’en suis sûr me prendre la tête, dire quelque chose. Mais tu te retiens, à te voir te mordiller les lèvres.
Mes mains viennent caresser ton ventre qui se crispe à chaque contact de mes doigts. Doucement, mes caresses deviennent plus délicates, moins nombreuses. Je commence à m’éloigner. De mes attentions, il ne demeure que tes doigts qui s’accrochent au drap, attendant la suite.
De mes deux mains, j’encadre finalement ton sexe. De mes pouces, je remonte le pourtour de tes lèvres si douces. Je les écartes délicatement pour découvrir ce rose si intense qu’elles dissimulent. C’est une invitation au plaisir, au mien comme au tien, auquel je ne tarde pas à succomber. Cependant, malgré ma faim de toi, je me refuse de m’y jeter à corps et à … langue sans retenue. Partant du plus bas que je peux, le bout de ma langue remonte ce fruit ouvert et gorgé. Huumm…. Une lampée ne suffit pas à étancher ma soif. Je remonte méthodiquement ton sillon. Son suc envahie ma bouche.
A chaque passage, tu ondules, tant pour échapper à mes assauts que pour résister à l’envie de crier. Tes doigts se crispent dans les draps. Le bout de ma langue s’enfonce en toi puis remonte jusqu’à l’extrémité supérieure de ton sexe. J’y rencontre alors ce délicieux bouton que tu caches précieusement. Je n’ai plus qu’à le prendre entre mes lèvres pour le sucer avec délectation.
Tu n’y tiens plus et tu te cramponnes à mes cheveux. Je passe tes jambes par dessus mes épaules et je plonge ma bouche dans cette corbeille au fruit unique. Tu pourras m’accuser de profiter de la situation, et je l’assume. L’expression de ton plaisir exacerbe mon audace et c’est tout ton sexe que je dévore désormais. Tes mains atteignent par hasard l’oreiller que tu t’empresses de placer sur ta bouche : tu laisses échapper un cri long et étouffé. Aurais-je trouvé un point faible ? Peu m’importe. Je continue à te donner ce plaisir qui me comble aussi. Je viens placer un doigts à l’entrée de ton sexe. Tu ne l’as pas encore senti, trop occupée à maîtriser tes manifestations tout comme à jouir de ce plaisir. Je n’ai aucune difficulté à m’introduire dans ton intimité. Il l’explore, la fouille, tandis que ma langue vient se placer juste à la base. L’oreiller fait les frais de mon insolence.
Mais toute bonne chose a une fin. Je me redresse. Tu cesses peu à peu de t’agiter. Tu es dans un état d’abandon, les bras légèrement écartés, l’oreiller à terre. Ta jambe est légèrement repliée. Le tableau est touchant. Je ne vais pas m’arrêter là toutefois. Je te laisse reprendre un peu tes esprits… et moi, mon souffle.
Je reviens vers toi pour me mettre entre tes jambes. Je suis juste au dessus de toi. Je sens la chaleur de ton corps. Je descends doucement pour me plaquer contre toi. Je ressens ton cœur qui bat fort, la moiteur de ta peau. Tout naturellement, nos sexes ne sont qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.
Je me relève un peu. Tu en profites pour passer la main entre mes jambes et t’assurer que je suis aussi excité que toi. A la façon dont tu passes ta main, ta découverte te plait. Je me baisse et je prends un malin plaisir à me frotter contre toi en me rapprochant. Je fais quelques poses entre deux mouvements, question que tu ne t’y habitues pas trop… A chaque “contact”, tu me presses contre toi de tes jambes ou ta main se presse sur mes fesses. Tu plonges tes mains entre nous de telle façon d’y accueillir mon sexe sur toute sa longueur. Dans cet écrin, je vais et je viens. Tes doigts s’adapte à la forme et aux mouvements. Tu as déplacé tes mains juste devant ton sexe. Ton écrin s’est réduit, si bien qu’à chaque fois que je m’avance, mon gland s’introduit un peu dans ton vagin. J’en reconnais la douceur et la texture… Je continue à suivre le chemin que tu m’imposes, guidé… d’une main de maîtresse. Mais je n’ai pas l’intention de me contenter de tes mains, et tu n’espères pas simplement me donner du plaisir avec, aussi expertes qu’elles soient.
Je m’attends encore à goûter à la douceur de l’antichambre de ton vagin lorsque soudain tu écartes tes mains. Sans aucun obstacle qui entrave désormais mes assauts, je m’enfonce en toi pour mon plus grand plaisir. Et pour t’assurer que je sois bien en toi, tu m’enserres fortement de tes jambes et de tes mains. Je n’ai plus d’issue?: mon seul choix est d’aller au plus profond de toi. Ta chaleur intime m’irradie.
Tu m’autorises toutefois à bouger en toi, à explorer ton vagin que j’attendais tant. Mes mouvements sont plus amples si bien que mon sexe sort à chaque fois. Mais ton excitation me permet de revenir en toi sans difficulté. Nous en profitons tous les deux. Arque-bouté sur mes bras tendus, j’accélère le rythme. Fini le jeu, fini les approches : place à notre plaisir. Et je sais qu’il ne sera complet que lorsque tu sentiras ma verge grossir juste avant que je jouisse. Là, tu t’abandonnes enfin à ressentir mon plaisir, à comprendre combien j’avais envie de toi, combien il est bon d’atteindre le plaisir, ensemble…

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Beaucoup de sensualité j aime

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