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Mariveau

Réveillon infidèle de la St Sylvestre 2002 au SOFITEL de Vienne

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Décembre 2002, Sarajevo

 

Je suis convoqué à l’Etat-major de la Force de Police Internationale de l’ONU, le mandant prend fin le 31 décembre. Mon temps de service se termine, mais je dois rester plus longtemps pour faire le point avec la nouvelle mission européenne de police en Bosnie. Je suis déçu il me tardait de rentrer chez moi.

 

Toutefois on m’accorde une permission à passer à Vienne, magnifique capitale de l’Autriche.

Me voilà donc le 30 décembre 2002 à l’aéroport de Vienne, l’ONU fait bien les choses, une voiture me conduit à l’hôtel Sofitel où une chambre m’a été réservée.

 

Pour me faire passer la pilule, on m’a accordé une semaine tous frais payés.

 

Me voilà dans une chambre spacieuse, décorée délicieusement, mais après ce que j’ai vu là-bas et je que j’ai vécu dans mon esprit et ma chair, j’en ai cure.

 

Durant le séjour j’ai entretenu une relation, avec une  jeune médecin légiste  américaine, ce n’était pas au début un désir de sexe, mais simplement un moyen à nous deux d’expulser  les horreurs que nous avions partagées.

 

Puis c’était devenu une envie de plaisirs partagés.

 

Depuis quelques semaines nous nous étions plus vu, chacun de notre côté nous avions nos missions et je n’avais pas eu le temps de la prévenir avant mon départ.

 

Je n’ai pas goût à sortir et je passe une partie de l’après-midi du 31 à me détendre dans le spa de l’hôtel, ne goûtant point mon plaisir à regarder de superbes femmes. En cette saison la nuit tombe vite et j’admire la capitale autrichienne sous la neige et les lumières de la nuit.

 

Le matin j’ai fait les boutiques pour mes enfants et ma femme tout de même et pour moi pour être potable au restaurant de l’hôtel, vu la tronche de déterrée que j’avais.

Je m’installe au bar, attendant de rejoindre le restaurant au sommet. Je sirote sans plaisir un Bourbon.

 

Une femme entre, c’est Claudia. Elle me regarde avec un sourire malicieux.

Je retrouve ma compagne de guerre et de plaisir. Elle a mis sa longue robe moulante qui dessine ses formes. Est-ce par hasard ?

 

« Que fais-tu là » lui dis je

« J’ai appris que tu étais à Vienne et avant de rentrer à Atlanta, j’ai fait un détour pour ne pas passer seul le réveillon »

 

Rapidement je me colle à elle pendant que nous échangeons un long baiser. Je goutte ses lèvres. Nos langues se touchent timidement. C’est à chaque fois des sensations uniques ! Mes mains remontent sur ses fesses fermes, sur ses reins, et je ressens déjà mon sexe qui pointe, cherchant une place entre nos deux corps soudés. Mais cet avant-goût du plaisir s’interrompt rapidement car on nous regarde.

 

Je commande pour elle une vodka martini, elle adore. Puis après avoir échangé des banalités nous nous dirigeons vers la salle de restaurant.

 

Je  ne cesse de l’admirer, de découvrir la forme de ses seins qui soulèvent le tissu de sa robe, et j’essaye de deviner la place de ses tétons aux petits renflements qui se dessinent sous le tissu.

 

Le repas est délicieux, elle profite avec son pied déchaussé de jouer avec mon entrejambe, provoquant de sublimes raideurs. Sa langue roule sensuellement entre ses lèvres à chaque gorgée de champagne. Nous sommes grisés. Nous dansons une partie de la soirée, nos corps, nos lèvres s’effleurent, se touchent, nous frissonnons d’envies et de désirs.

 

Nous rejoignons ma chambre, Claudia en arrivant ce soir c’est fait passer pour ma compagne et s’est installé pour la semaine.

 

A peine entré, je l’attire sans attendre contre moi et défais délicatement la ceinture de sonde sa robe  que je laisse glisser le long de son corps. Comme je le devinais elle ne porte rien en dessous. Aussitôt, j’aperçois   son ventre plat, la naissance de ses seins et son pubis où se dessine une petite bande noire. J’ose une première caresse et découvre plus largement ses seins.

 

Ils  pointent déjà ! J’observe ses tétons qui se détachent clairement de ses aréoles brunes. Ils la trahissent toujours en passant rapidement d’une totale discrétion digne d’une jeune fille encore vierge à deux pointes tendues et arrogantes. Les effluves de son corps atteignent mes narines et je prends égoïstement une grande inspiration pour m’enivrer de cette odeur féminine. Je dégage totalement sa robe, Claudia est maintenant totalement nue sur le lit, offrant son corps à mon regard.

 

Je me lance dans une série de baisers sur l’ensemble de son corps. Sa peau est délicieuse, chaude. Chaque partie de son anatomie a une douceur particulière sous mes lèvres. Dès que je me rapproche de ses seins, Claudia ne peut retenir ses premiers gémissements. Je passe ma langue sur ses aréoles puis je titille ses tétons. Enfin je tète ses petits bouts en les mordillant gentiment à la base. L’effet ne se fait pas attendre, elle commence à perdre le contrôle de son corps, son bassin se met à onduler, ses reins se creusent et ses gémissements de plus en plus forts traduisent son état d’excitation.

 

Mon sexe se frotte sur sa cuisse   et n’a pas besoin de plus de caresses pour atteindre sa tension maximale, les soupirs et autres cris de plaisir sont pour moi aussi excitants que toutes les caresses possibles.

 

Ne nous précipitons pas, nous avons la nuit devant nous !

 

Soudain, Claudia écarte largement ses cuisses et m’offre sa chatte. Aujourd’hui ce n’est pas avec les doigts mais avec ma bouche et ma langue que je souhaite l’honorer. Je pars donc à sa découverte. Ma langue cherche le sillon qui la conduira à la pointe du clitoris en écartant les petites lèvres. Je remonte ainsi doucement entres ses lèvres en essayant de débusquer le petit bouton magique.

 

Elle  bascule légèrement ses reins, écarte ses lèvres et m’offre un tableau parfait de son sexe totalement ouvert prolongé par sa rosette. Je plonge mon visage dans cette caverne, mon nez fait office d’un sex-toy sur son clitoris, lui donnant de petits coups pendant que ma langue profite de la cyprine qui ne cesse de couler. Un petit moment de répit pour dévorer simplement avec les yeux une nouvelle fois son sexe, et je retourne profiter de son intimité qui s’offre à moi. Je viens lécher les bords de son vagin au plus profond de cet antre plus qu’humide.

 

Je n’ai pas oublié sa rose , aussi je la retourne   et décide de mordre à pleines dents ses belles fesses. Je suis étonné qu’elle supporte mes morsures sans m’ordonner d’arrêter immédiatement. Je me rapproche de son sillon et ma langue commence des va-et-vient à la naissance de ses deux globes. Mais je ne peux pas attendre plus longtemps et j’écarte franchement ses deux fesses pour découvrir son petit trou. Claudia pousse un « non » timide, semble s’offusquer de cette initiative mais me laisse me précipiter sur son trésor.

 

Ma langue contourne sa rose  puis se présente à la porte de Sodome. Je sens alors sa fleur se contracter puis s’ouvrir puis se contracter à nouveau comme si elle me faisait des baisers. J’essaye de rentrer ma langue au plus profond dans son antre elle est définitivement moins raide et moins longue que mon sexe et ma pénétration se limite sans doute à quelques millimètres, dommage. Je sens que sa jouissance se rapproche, son bassin s’agite et Claudia pousse de petits cris. Ces baisers osés ont aussi eu un effet très stimulant sur ma propre excitation et mon sexe se rapproche de l’orgasme.

 

Nous voulons jouir ensemble, mon sexe au plus profond de son sexe dans cet acte de communion. Elle  se met sur le dos et m’accueille entre ses cuisses. Elle dirige rapidement mon sexe à l’entrée de son vagin et je rentre doucement dans cet étui chaud. Je ne peux attendre longtemps immobile dans cette caverne d’Ali Baba et commence des va-et-vient, cherchant à chaque fois à rentrer encore plus profond ou bien juste à rester à l’orée de son sexe pour des aller-retour rapides, tout en faisant attention de ne pas sortir de cet étui chaud. Mon amour accompagne le rythme en appuyant sur mes fesses d’une main et en ondulant des hanches.

 

Je masturbe son clitoris qui est devenu presque aussi dur qu’un noyau de cerise et roule sous mes doigts.

 

Tout en continuant je lui demande de se caresser elle-même le clito, ses doigts rejoignent les miens. Ses soupirs s’accélèrent, ses gémissements s’intensifient. Je sens mon orgasme venir et à partir de ce moment-là, j’ai du mal à contrôler ce qui va se passer. Ce ne sont plus des gémissements que Nathalie pousse, mais des cris de jouissance, des cris puissants qui se répètent au rythme de mes poussées. De mon côté, je sens ma sève monter et le même orgasme m’envahir. Son orgasme atteint son paroxysme et se prolonge, elle me demande d’aller au plus profond d’elle-même. Je sens ma sève brûlante monter et se déverser dans son sexe. Quel  délice  !

 

Nous restons ainsi de longues minutes, l’un dans l’autre. Je me demande toujours comment elle peut rester ainsi avec tout mon poids sur elle, mais elle me demande de prolonger cette union. Combien de temps avons-nous passé ainsi, je ne saurais le dire.

Mon sexe a repris une plus petite taille et ma sève commence à déborder de son vagin, Claudia s’échappe de mon emprise et trotte jusqu’à la salle de bain pour nettoyer le sperme qui coule de sa chatte.

 

Je reste allongé sur le lit, rêveur écoutant le bruit de l’eau et percevant des gémissements, je la devine se caressant sous la douche.

 

Elle revient ...

 

Malgré le fait de bien la connaître, je suis comme un homme rencontrant pour la première fois une femme.  Elle est belle. La simple vue de son corps dans la noirceur de la chambre embrase mon esprit.

 

  Nous semblons suspendus l’un à l’autre. Je fais le premier pas vers elle. Ma main vient à la rencontre de la sienne. Je la saisis doucement mais fermement, comme si j’avais peur de m’éloigner de nouveau d’elle alors que je viens à peine de la retrouver. Sa main est douce, mes doigts croisent les siens, c’est chaud et agréable. Elle semble faire passer toute sa sensualité dans ce croisement de doigts et je le ressens. Ma peau s’électrise et mes poils se hérissent.

Ma deuxième main vient à la rencontre de son bras. Je le découvre nu, je te caresse la peau.

 

Je retrouve ce contact si sensuel de sa peau. La chaleur qui s’échappe de sa peau m’invite à me rapprocher à nouveau d’elle.

 

Mes doigts ont appris à connaître chaque recoin d’elle : cette peau douce est comme une route pour mes doigts, je retrouve ce joli grain de beauté qu’elle a  en haut de son épaule gauche, cette même réaction quand je passe ma main sur le bord de son aisselle. Cela la chatouille mais elle se contient pour ne pas briser ce moment ô combien sensuel. Ses  cheveux me semblent plus longs, les pointes touchent ses épaules. Je m’amuse à passer la main entre ses mèches.

 

Une main s’échappe et vient couvrir son sein droit. Je ressens ton souffle qui semble s’accélérer. Son sein semble dessiné pour accueillir ma main. Ou peut-être est-ce le contraire. Sa peau se contracte en réponse à ce contact. Ma main se fait douce sur ce sein. J’aime passer mon pouce sur son téton. Je le sens grandir et durcir au fur et à mesure de mes tendres passages. Jaloux, son sein gauche appelle ma main gauche. Me voilà en train de lui caresser les seins.

 

Je redécouvre cette partie de son corps que j’ai   adorée dès notre première étreinte au combien puissant après cette épreuve là-bas. En même temps que je la caresse, je cherche son regard. Mais sa tête est baissée. Ses yeux sont rivés sur mes mains la caressant. Elle semble vivre ce moment aussi bien par le toucher que par la vue. Cela m’émeut.

 

Vient enfin le moment tant attendu où mes lèvres se retrouvent inexorablement attirées par les siennes. Je n’en peux plus, j’ai besoin de l’embrasser, ça devient vital. Je me rapproche d’elle. Mes mains quittent à regret ses seins pour venir attraper sensuellement ses hanches. Je l’attire à moi comme ses mains sur ma nuque m’attirent à elle. La connexion entre nos bouches se fait et le feu d’artifice opère. Retrouver cette langue, ce contact excite tout mon corps et mon esprit. J’entends sa respiration accélérer, son souffle caresse mes joues, ses cheveux chatouillent sans le faire exprès mon cou.

 

 

Je me rapproche d’elle. Mon sexe vient toucher son ventre. Sa main vient tout de suite à sa rencontre. Je suis tendu au maximum et de sentir Sa main sur mon sexe ne fait qu’augmenter mon excitation. Mes mains viennent retrouver ses fesses.   Elle les as rebondies et très douces. Nos baisers reprennent mais avec plus de vigueur. Un côté bestial s’invite en nous. Elle commence à me masturber plus rapidement. Moi je viens embrasser tout son corps : son cou, ses épaules, ses oreilles, ses seins. Je suce ses tétons. Ils sont durs et ma langue s’amuse à les titiller.

 

Ma main droite descend sur son corps. Je retrouve rapidement la route vers son intimité. Je devine quelques poils sur ton mont de Vénus. Plus je m’en rapproche, plus je ressens une chaleur qui se dégage d’elle. Mes doigts retrouvent là un sexe humide,  ouvert encore empli de ma semence. Elle est  excitée, mon index glisse sur ses lèvres. La sensation si particulière de caresser sa chatte me transporte. Je retrouve ce réflexe de passer mon doigt sur tout le long de son sexe, quasiment jusqu’à son petit trou, pour remonter directement vers son clitoris. Je m’amuse avec lui.

 

Claudia est très  excitée. Ses allers-retours sur mon sexe sont de plus en plus rapides et cela me procure un plaisir énorme. Mais je veux profiter de cette soirée le plus longtemps possible. Si je la   laisse continuer, je vais jouir rapidement, trop rapidement. Alors je me retire du fourreau de sa main pour la prendre par les épaules. Je la recule vers le lit.

 

Elle comprend ce que je recherche et elle s’y allonge. Elle sait ce que je veux et, toujours sans aucun mot, mais avec son regard dans le mien, elle écarte  doucement les jambes. Elle m’offre une vue sur son intimité. Ses lèvres s’écartent, je devine l’excitation qui s’en dégage, des gouttes de ma semence s’écoulent entre.

 

  Je m’installe alors rapidement entre ses jambes pour que ma bouche vienne à la rencontre de sa chatte. Son goût, son odeur, je reconnais directement ces sensations. Cela m’enhardit et je redécouvre toute cette joie de lui donner ce plaisir buccal. Son clitoris, ses lèvres, la peau du haut de ses cuisses, aucun coin de son sexe n’est oublié. Pendant que ma langue retrouve son clitoris, mes doigts viennent l’aider pour redécouvrir son intimité la plus profonde. Chaque passage sur son sexe la  fait se cambrer.  

 

Sa bouche laisse échapper des petits cris, elle ne peut plus les retenir.  . Mes coups de langue et mes allers-retours dans son sexe semblent l’emmener vers le septième ciel. Mais comme moi, tout à l’heure, elle semble vouloir faire durer le plaisir. Aussi, elle m’invite à m’allonger sur elle. Ma bouche passe de son sexe à sa bouche pour un baiser torride qui en dit long sur nos envies respectives.

 

Elle est maintenant allongée sur moi et elle nous invite à nous retourner. Me voilà à mon tour allongé sur le lit. Elle, elle va s’asseoir sur mes jambes. Sa main vient reprendre son doux travail de tout à l’heure : elle retrouve sa place sur mon sexe tendu et elle commence à me branler. Elle le fait  des deux mains, et avec ses  doigts elle s’amuse à passer sur mon gland, là où je suis le plus sensible.   Puis, sa bouche descend vers mon sexe. Quelques coups de langue me rappellent combien elle est  une experte dans cet art de la fellation. Elle vient  accueillir la quasi-totalité de ma queue dans sa bouche et elle fait durer ce plaisir par de longs allers-retours. Ce traitement est tout simplement divin.

 

Telle une vraie Amazone, elle retire mon sexe de sa bouche pour venir s’asseoir sur moi. Mon membre tendu se retrouve à l’entrée de sa chatte. Elle vient sur moi très délicatement. Je la pénètre de tout mon long. Je suis au paradis. Cette sensation est divine. Les allers-retours se font d’abord lents et sensuels, comme pour donner du temps à nos deux sexes de redécouvrir l’autre. Puis, passé ce moment de retrouvailles, nous nous enhardissons dans l’échange. Elle va et elle vient de plus en plus rapidement sur moi. Je viens contenir ses seins avec mes mains. Ils se balançaient devant moi et je ne pouvais pas ne pas les prendre en main. Ses petits cris reprennent et semblent même augmenter. Moi-même je deviens très expressif : je lâche de plus en plus de râle, comme pour bien lui  montrer que j’apprécie autant que toi cet échange.

 

Puis elle se retire. Elle vient s’allonger sur le lit. Elle  allongée sur le ventre. Je comprends que nous allons reprendre nos ébats en position encore plus bestiale. Je vais pour la pénétrer de nouveau mais en levrette cette fois-ci. Pourtant, après quelques va-et-vient, sa main vient à la rencontre de mon sexe. Elle le retire de son sexe pour venir le placer à l’entrée de ton anus.   Je prends alors mon sexe en main pour venir le passer sur son sexe. Je récupère ainsi toute son excitation pour venir humidifier son œillet.

 

Puis je pousse délicatement sur mon sexe pour commencer à forcer doucement et pouvoir entrer le moins brutalement entre ses fesses.  A nouveau  mon gland entre en elle. Je commence très lentement les allers-retours. Au fur et à mesure, je viens en elle  plus profondément. Elle crie maintenant son plaisir.

 

D’être en elle comme ça, de savoir que nous prenons tous les deux du plaisir est une sensation indescriptible. Nous sommes comme en harmonie en ce moment. Mais je n’en puis plus et je sens monter en moi la jouissance. À regret, et en espérant que je pourrai connaître ça de nouveau, je quitte la chaleur de ses fesses pour la retourner. Je viens t’embrasser, dans son cou, sur ses seins, sur ses bras, je viens caresser sa langue avec la mienne. Mais le plaisir est à son paroxysme pour moi et je ne peux plus tenir très longtemps. Alors je commence à me masturber au-dessus de sa chatte. Je la regarde. Elle est  belle là, entièrement nue.

 

Je viens et commence à jouir elle. De longues giclées de mon sperme viennent s’étaler sur son  corps, qu’elle étale lascivement de ses mains avant de porter ses doigts à sa bouche

Ses mains viennent m’aider à me branler. Elle s’amuse à me faire tressauter le gland en le caressant. Ma jouissance vient comme peindre son corps.  

 

 Nous retrouvons nos habitudes d’après-sexe. Je l’embrasse, encore chancelant après cette jouissance.

 

Enfin, elle ouvre sa  bouche pour me parler :

 

« Bonne année. Merci pour ce tendre moment… ».

 

Après ce moment merveilleux nous nous endormons soudés l’un à l’autre, ses seins contre mon dos et sa main caressant doucement mon sexe.

 

Nous avons passés cinq jours intenses avant de se séparer.

 

Nous avons suivi une correspondance internet avec des soirées "cam" assez chaudes, puis elle s’est mariée et nous avons cessé en commun accord de se contacter.

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Très bon texte, très évocateur.

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Eh bien, superbe ton récit!!!  Une sensualité profonde!

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