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Ténébreux67

Anne-Sophie, au cinéma (chapitre 2)

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Quelques jours plus tard, je décide de pousser mes envies un peu plus loin. Un peu plus loin … dans le cinéma de ma ville. Un grand complexe doté de nombreuses salles obscures, un lieu qui éveille mes envies.

 

Je fais partie des premières personnes à entrer dans la salle, je m’installe dans un fauteuil, à peu près au milieu de la dernière rangée. J’observe du coin de l’œil les quelques personnes qui entrent dans la salle, et scrutent les sièges à la recherche de celui que chacun ou chacune trouvera idéal. Là- bas s’installe un couple, par ici une femme et peut-être une de ses amies. Quelques autres cinéphiles viennent s’ajouter à un bien petit nombre de spectateurs. Il faut dire que j’ai choisi la dernière séance de la nuit, et un film qui n’attire pas le plus grand nombre. Il sera question d’un drame sur fond de romantisme.

 

Une femme vient s’installer trois rangées devant moi. Elle est grande, le visage fin avec de longs cheveux bruns très ondulés qui tombent à mi dos, mais laissent apparaître de fines oreilles d’où partent deux longues boucles argentées aux bouts desquelles est sertie une belle perle nacrée. Elle porte un manteau de fausse fourrure, un pantalon bien ajusté de couleur fauve, de longues bottes brunes et un chemisier blanc sur lequel tombe un collier de perles nacrées elles aussi. Son visage est très maquillé, lui donnant un air un peu bourgeois. Je lui donne une petite cinquantaine d’années. Elle est suivie d’une autre femme qui ne semble pas la connaitre, puisqu’elle laisse trois fauteuils libres pour la séparer de la précédente. Celle-ci est de taille moyenne, le visage un peu rond, avec de beaux cheveux blonds lisses qui s’arrêtent à sa nuque en carré plongeant. Ses jambes, juchées sur de hauts talons, sont recouvertes de bas ou collants en croisillons noirs disparaissant sous une mini-jupe incroyablement courte, de couleur noire. Elle porte un léger pull immensément échancré qui permet de douter de la présence du moindre soutien-gorge … Elle est légèrement maquillée mais porte un rouge à lèvres d’un rouge intense. Je lui attribue une petite trentaine.

 

La lumière diminue, signe du lancement des spots publicitaires, et je distingue la silhouette d’Anne-Sophie qui avance timidement dans le couloir. Elle est reconnaissable entre toutes, les courbes de son corps élancé étant suggérées par son long manteau noir sur lequel tombent ses longs cheveux noirs. Elle descend nonchalamment et lentement chaque marche en scrutant la salle et ses occupants. Elle aperçoit les deux femmes distantes de trois sièges et décide de venir s’installer entre elles. Elle se faufile dans la rangée de sièges et entrouvre négligemment son manteau pour se glisser devant les jambes de la blonde, qui la fusille du regard en apercevant ses jambes couvertes de bas-résilles noirs, dont la naissance dépasse de sa mini-jupe noire serrée en masquant à peine la fixation du porte-jarretelles. Plus haut, je vois pointer ses seins sous son gilet beige, preuve que ce dernier est posé directement sur sa peau. Elle poursuit son chemin vers le siège du milieu et je distingue la brune qui ne rate pas une miette de la silhouette d’Anne –Sophie pendant qu’elle retire son manteau qu’elle pose sur le dossier du siège devant elle.

 

Aucune des trois femmes ne prend l’initiative de regarder l’autre pendant que défilent les réclames plus sensuelles les unes que les autres, entre ce mannequin en transpiration qui languit à l’idée de lécher un cône de glace, ou cette belle en robe longue noire qui danse pour nous donner envie d’un café … Puis soudain les lumières s’éteignent, et viennent les premiers noms du générique qui illuminent la toile blanche de la scène. Mes sens sont déjà en éveil et je profite de la pénombre totale du générique pour me glisser deux rangées plus avant et m’assoir juste derrière Anne-Sophie. La musique étant déjà intense, elle n’a rien entendu. Après dix minutes de film, notre héros surprend sa partenaire en tenue légère, la déshabille et l’allonge sur le lit pour débuter une scène très suggestive qui semble tenir tout le monde en émoi. Pendant ce temps je m’approche du siège devant moi et passe mes mains de part et d’autre du dossier pour venir me saisir des seins d’Anne-Sophie dont je sens le corps frémir mais qui ne se retourne pas. Je distingue bien ses tétons durcis entre mes doigts …

 

Je glisse mon doigt sur la peau apparente de son torse pour descendre vers le premier bouton de son gilet que je défais immédiatement. Son visage s’incline pour se coucher sur mon bras gauche pendant que je défais un à un les boutons suivants pour laisser ma douce torse nu à la lueur de la projection. Je palpe enfin ses seins à pleines mains et j’entends sa respiration lourde et intense me prouver qu’elle apprécie. Je lâche ses seins pour faire glisser mes mains bien plaquées sur sa peau le long de son ventre, très lentement, jusqu’à effleurer le tissus de sa jupe en prêtant attention à sa respiration. Je garde les yeux rivés sur l’écran pendant ce temps et je distingue du coin des yeux la blonde et la brune qui observent furtivement ce que nous faisons. La blonde prend soudain un air plutôt agacé et se lève bien vite pour aller s’assoir plus loin, deux rangées en avant. Dommage. La brune, quant à elle, observe de moins en moins discrètement ce qui se passe lorsque je fais remonter tout doucement la jupe d’Anne-Sophie jusqu’à ses hanches. Lorsque je lui écarte les cuisses d’un geste de la main, la brune se lève à son tour, pour se décaler d’un siège … et s’installer juste à côté d’Anne-Sophie.

 

Après un regard échangé avec moi, elle s’assoit en travers, dirigée vers ma douce et les yeux rivés sur ses seins. Alors que ma main droite fait glisser un doigt le long de sa toison, ma main gauche part à la recherche de la main de la brune que je guide sur le sein gauche de ma belle. Celle-ci étouffe un petit cri de satisfaction au toucher de cette nouvelle main. Notre brune ne se fait pas prier, et après quelques instants à pétrir cette jolie poire, elle avance ses lèvres vers le téton fièrement érigé et le pince, le mordille, le lèche, provoquant une réaction presque hystérique dans le corps d’Anne-Sophie. Je sens son bassin trembler puis onduler de plus en plus à la recherche de mon doigt. Je lèche le lobe de son oreille lorsque mon doigt se fraie un passage entre ses lèvres intimes trempées, ce qui la fait totalement chavirer. Je fouille l’entrée de son antre autant que cette position me le permet, dans un léger bruit de mouille couvert par le son du film. Elle retient son souffle et serre ses lèvres pour vivre son plaisir en silence, ce que je lui impose et qui est préférable en ce lieu. De ma main gauche j’effleure avec de plus en plus d’insistance le buste de la brune, dont les seins me semblent prêts à exploser tant ils paraissent à l’étroit sous ce beau chemisier. Elle ne repousse pas mes avances, je commence alors à défaire un à un les boutons de ce chemisier pour atteindre cette peau qui devient brûlante. Comme je n’arrive pas jusqu’à son dos, je me contente de libérer ces deux globes en les entourant de la paume de ma main pour les faire glisser hors de ces balconnets.

 

Ainsi libérés, je les vois onduler sous les mouvements de leur propriétaire, pendant que la main d’Anne-Sophie s’agite dans le vide à leur recherche. Je guide alors ma belle vers ces deux obus afin que nous les pétrissions ensemble. Notre partenaire glisse maintenant ses lèvres plus bas sur le corps d’Anne-Sophie et attrape ma main pour glisser mon doigt dans sa bouche et en lécher le délicieux nectar. Assise par terre elle place désormais son visage entre les cuisses de ma belle et fait glisser sa langue sur celles-ci en prenant soin d’éviter le contact avec la chatte trempée d’Anne-Sophie. Elle sait y faire, cette dernière est maintenant surexcitée, c’est presque un miracle qu’elle n’ait pas encore hurlé de plaisir … Je m’applique à lui pétrir les seins tout en l’embrassant délicatement au creux de la nuque pendant que notre brune s’applique maintenant à lui dévorer la chatte à pleine bouche. Elle serre les lèvres plus fort que jamais quand je sens son corps se crisper d’orgasme entre mes bras, pour ne pas laisser échapper le moindre son … Elle me glisse au creux de l’oreille « viens, je veux ta queue en moi, j’ai envie … »

 

Je la regarde d’un air réprobateur, et lui dis « puisque tu n’as pas su tenir ta langue, je saurai l’utiliser pour autre chose, et tu n’auras pas ma queue. » J’enjambe alors la rangée pour venir les rejoindre, puis m’assoit à gauche de ma belle, d’où j’aide notre brune à se redresser. Je l’assois sur mes jambes, et commence à lui prodiguer les mêmes caresses. Je fais glisser sans résistance son pantalon jusqu’à ses chevilles, puis je glisse sans ménagement ma main dans sa culotte. J’y découvre une chatte bien lisse, et surtout un tissu complètement trempé. Elle mouille incroyablement fort avec cette expérience. J’ai à peine le temps de glisser un doigt en elle que celle-ci se retire et s’agenouille entre mes jambes après avoir descendu mon pantalon. Elle libère ma queue qui était tendue comme jamais depuis l’entrée dans la salle et l’engouffre aussitôt au plus profond de sa bouche, devant l’air hagard et vexé de ma belle. Elle me suce avec force et aspiration en laissant s’échapper quelques « hummm » de satisfaction. Je guide le visage de ma belle vers ma queue afin qu’elle participe, qu’elles me pompent toutes deux en cœur. Je suis incapable de distinguer ce qui se passe mais je sens ma queue glisser dans une bouche chaude et douce et en même temps une langue glisser tout le long, entourer mes couilles et les gober, c’est un mélange de délicatesses, de salives et de caresses …

 

Lorsqu’elles relèvent la tête, je leur tends un petit étui argenté, que ma belle s’empresse d’enfiler sur ma queue, d’un air résigné. La brune n’a pas compris tout de suite, mais une fois équipé je l’invite à se relever et venir s’assoir sur moi. Je guide ma queue entre ses lèvres ruisselantes lorsqu’arrive sa croupe sur mes hanches, elle s’empale d’un trait sur ma queue sous les yeux écarquillés d’Anne-Sophie, qui ne loupe pas une miette de ce spectacle. Elle se met alors à onduler sur ma queue, s’appuyant de ses bras sur le dossier du fauteuil devant nous, les seins tombant sur le visage d’Anne-Sophie, dont les yeux ne quittent plus ma queue apparaissant et disparaissant dans la chatte de notre brune. Cette dernière se muscle les jambes en glissant de haut en bas sur mon pieu bien tendu. Je bande à l’extrême, excité par cette odeur de sexe qui règne au milieu de cette salle obscure, pas toujours si obscure que ça … Je suis excité par cette situation, par cette nouvelle chatte qui m’entoure, par la vue d’Anne-Sophie qui pétris les seins de celle que je pilonne. Je guide son visage vers ma queue, elle comprend vite. Elle commence à lécher ma queue au fur et à mesure de ses apparitions, dégoulinante de la mouille de la brune. Elle lèche son clitoris à chaque va et vient. Je sens le corps de ma partenaire commencer à trembler au fil de ses mouvements, elle aussi a appris à se mordre les lèvres pour baiser en silence. Je sens sa chatte rétrécir autour de ma queue, ses mouvements sont de plus en plus désordonnés alors que j’accélère le mouvement en lui assénant mes propres coups de reins. Elle se crispe et s’écroule sur le dossier devant nous pendant que je la retiens par les hanches, sentant ma sève monter. Je continue à la remplir en rythme en me cramponnant plus fort à ses hanches, puis j’explose en elle à bout de forces, les bras crispés autour de sa taille … Elle se relève, laissant la vue à ma belle de ce qu’elle avait pu extraire de mon gland. Anne-Sophie me libère alors de ma seconde peau puis lèche consciencieusement ma queue pour la nettoyer avec précision.

 

Elle me regarde avec envie sans oser prononcer une parole. Je lui retourne un regard satisfait, elle comprend que sa désobéissance l’a privée de ma queue pour la soirée. Nous nous rhabillons tranquillement à la lueur d’une scène au clair de lune, la brune me tend un petit papier, puis s’assoit à coté de ma belle et pose une main sur sa cuisse. Elles se regardent d’un air complice, et moi je me lève pour quitter la séance. Avant de sortir de la salle, je me retourne pour jeter un œil vers les deux femmes, mais mon regard est attiré vers la dernière rangée, dans le coin, contre le mur … Un couple me regarde en souriant, mince, je ne les avais pas vus ceux-là …

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une sacré envie de ciné d'un coup moi !

 

le film était bon au moins ?

 

je me demande déjà ce qui attend Anne-Sophie la prochaine fois

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Je ne me rappelle pas du film, je ne sais même pas si j'ai été attentif les 10 premières minutes  :D

 

Je vous raconterai les autres fois avec Anne-Sophie, mais je vous prépare déjà mes expériences avec d'autres, je suis dans une période écrivain en ce moment ;-)

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Cela donne envie d'aller encore plus souvent au cinéma

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Je t'avoue que j'ai souvent lu des histoires coquines se passant au cinéma (me donnant envie d'organiser ce défi), mais je n'en ai jamais été spectateur ...

J'aurais pourtant adoré en surprendre et jouer les voyeurs !

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Vive le cinéma. Dans ces conditions ça ne me gene pas de payer 10 euros la place^^

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