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Mariveau

Lettre à ma douce maîtresse

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Mon Amour

 

Je prends ma plume, pour t’écrire et te dire combien je ‘aime et j’ai envie de toi à chaque instant.

 

Je ne pense qu’à toi et notre dernière étreinte.

 

Je suis comme dans un rêve grandissant de jour en jour avec toi…

 

Tes mots à chaque fois m’attisent les sens et le feu me dévore à l’intérieur, se nourrissant de lui-même quand je ne peux te saisir, te toucher, t’embrasser. La distance qui nous sépare me pèse, mais lorsque nous nous retrouvons, nos étreintes sont si intenses. J’ai une folle envie de t’avoir dans mes bras, de baiser tes paupières, de sentir ton parfum, me noyer dans ton profond et envoûtant regard et de plonger dans les délices que ton corps m’apprête.

 

Tous ces poèmes, ces histoires racontées, toute mon imagination nourrie de mille curiosités, ces heures passées devant nos écran et pourtant il a suffi d’un mot de toi pour me faire comprendre la vanité du monde et l’impossibilité d’atteindre la plénitude sans ton concours. Oui une nuit j’ai lu ces mots sur cet écran : « Je t’aime » .Tu as su taire en moi cette douloureuse insatisfaction des sens et fait resurgir ces désirs refoulés des profondeurs de la mémoire à la surface de ma peau auréolée de ton charme.

 

Je ferme les yeux et te rejoins dans cette chambre de ce charmant hôtel normand où nous nous sommes donné ce rendez-vous amoureux. C’est un doux après-midi de fin septembre et un air portant les parfums floraux alentour se mêle à la douceur du lieu et aux arômes que ton propre corps dégage. Je te regarde, admirant ta beauté et ton charmant sourire. J’admire tes épaules qui invitent à toutes les audaces. J’ai envie de toi et tu le sens très vite, à la manière dont je t’embrasse sur tes lèvres rosées, à la manière dont je pose mes mains sur tes épaules et les fait glisser pour dessiner de timides caresses.

 

Je te regarde et tu baisses les yeux, souriant, jouant à la timide mais laissant glisser ta main dans la mienne. Mon regard se porte sur le lit en face de nous.  Cela fait si longtemps  je te montre le chemin et te guide vers ce lieu de passion où je te fais asseoir. Penché sur toi, je prends ta tête entre mes mains et te donne un savant baiser. J’aime tant le goût de tes lèvres. Ta bouche s’ouvre humide, ma langue y entre et se mêle à la tienne. Tu fermes les yeux et je vais dans ta bouche avec ma langue, je mordille tes lèvres aussi. Il est si bon ce baiser, ces baisers qui déclenchent en  moi un véritable brasier. Maintenant mes mains te caressent les épaules, les bras.

 

Toujours assise face à moi penché sur toi, tu offres à mon regard les formes de ta  divine poitrine dont les pointes de tes seins dardent. Je ne peux m’empêcher de glisser la paume de la main droite sous le lobe de ton sein gauche et m’attarder dans une caresse que tu sembles apprécier, m’enlaçant dans tes bras et poussant quelques plaintes de plaisir.

 

Un plaisir intense commence à m’envahir. Maintenant ce sont mes deux mains qui te prennent les seins et les caressent, excitent, cajolent, frottent par-dessus ta robe. Mon sexe se durcit sous le tissu de mon pantalon. Tu sembles apprécier mes touchers et m’attirant vers toi, tu me donnes un baiser profond avec ta langue qui remue frénétiquement autour de la mienne.

 

Mes mains quittent tes seins pour, avec l’audace du désir, aller défaire les bretelles de ta robe. Aussitôt comme surgis de profondeurs mystérieuses m’apparaissent tes merveilleux seins que je ne peux m’empêcher d’aller embrasser. Ils sont si excitants que j’ai envie de m’y baigner, de m’y perdre.

 

Ma bouche en happe les tétons à tour de rôle. Durs à souhait leurs bouts encouragent ma langue à tous les exploits. Je suce, j’embrasse, je caresse. Tes spasmes me font comprendre que bien du plaisir en toi mon activité a provoqué. Je te regarde te te cambrer. Tu ouvres les cuisses après avoir laissé glisser la robe par terre. Tu es nue, ni culotte, ni soutien-gorge. Rien que ta nudité délicieuse dans la pénombre rassurante d’un après-midi de septembre. Tes cuisses ouvertes, une de mes mains qui glisse et vient caresser et fouiller ton sexe déjà bien humide. Tu n’arrêtes pas de mouiller, mes doigts gluants de ta sève vont et viennent entre tes cuisses. J’aime la liqueur qui coule si abondement  de ta fontaine des plaisirs.

 

Oubliant mon propre désir, mon propre sexe en érection, comprimé dans un pantalon devenu trop étroit, je m’agenouille devant toi et maintenant c’est ma tête qui est entre tes cuisses. Mes mains te prennent sous les fesses pendant que ma langue joue sur ton clitoris ou que ma bouche baise tes lèvres rouges du feu de la passion. Tes mains qui me caressaient les cheveux remontent vers tes propres seins, maintenant c’est toi qui les caresses,  tu chahutes tes tétons avec les doigts que tu mouilles avec de la salive pour mieux les faire aller. Je te sens jouir et ma bouche recueille un torrent de plaisir. Christine mon Amour, tu es belle à voir et me donnes mille envies de continuer.

 

Maintenant tu es allongée sur le lit, je me suis relevé et laissant à mon tour tomber mon pantalon, je me mets debout non loin d’une de tes mains qui me caressent le sexe par-dessus mon boxer. Mon vit est dur et ta main le caresse puis le dégage de son carcan  pour le branler avec douceur et parfois énergie vigoureuse.

 

Tu es toujours allongée et comme j’ai soudain envie de mettre mon sexe dans ta bouche, je viens m’agenouiller sur toi, le sexe dressé vient maintenant contre ta bouche, ta langue en lèche le bout. C’est savoureux, suave, tes mains me caressent les  bourses et c’est avec un nouvel élan de désir, de plaisir que tu me happes le sexe, tu le fais aller et venir à tel point que je n’en peux plus de me retenir car l’érection est si forte et l’éjaculation imminente.

 

Je devine ce que tu veux, ce que tu aimes, tu as envie de boire ma sève intime. Et pendant que tes mains continuent à me caresser les bourses ta bouche me suce un vît devenu furieux qui va-et-vient entre tes douces et brûlante lèvres dans un rythme de plus en plus rapide.

 

Un puissant jet de sperme se déverse dans ta bouche, mon orgasme est total, j’en frissonne dans tout le corps. Et toi tu avales toute ma semence  pendant que mon sexe perd de sa raideur dans ta bouche. Bien que ma jouissance ait été forte je m’allonge sur toi et viens t’embrasser la bouche, les seins, le ventre. Je me frotte contre toi et à ma surprise je constate que mon sexe se tend à nouveau progressivement. Tu m’embrasses les seins et cela me fait un effet immédiat. Tes cuisses ouvertes sont un appel. Tout doucement je m’immisce en toi.

 

Les lèvres de ton con désirant, humide, mouillé, laissent mon sexe entrer sans difficulté. Je vais et viens, des coups de rein dosés avec intelligence s’accordent avec tes propres mouvements. Je te sens sous moi, les vagues de ton bassin ondulant accompagnent mon plaisir. Faisant durer le plaisir après des changements de rythme, nous faisons maintenant évoluer notre position. Je sors de toi, tu t’accroupis sur le lit la tête sur tête de lit et m’offres ta divine croupe. Tes fesses sont bien fermes, j’aperçois ta vulve et nudité imberbe de ton pubis. Tout cela provoque mon regard. Je suis debout et m’avance vers ton doux séant, mon sexe toujours en érection.

 

Je te prends en levrette, je viens te pénétrer pendant que mes mains te caressent les fesses ou plutôt les empoignent pour les faire aller et venir contre mon ventre. Je rentre profondément dans toi, je vais et je viens dans ton vagin. Une main pendant ce temps, quitte ta fesse pour venir palper un sein, en caresser le téton. Je sens que tu décharges ta goutteuse cyprine sur mon membre vagabond, tu jouis, je t’entends gémir, le plaisir monte en nous très vite.

 

Tu te cambres, tu retiens ma verge excitée, puis dans  les soubresauts de l’orgasme  je viens délivrer ma semence en ton con merveilleux.

 

Tu cries ta jouissance.

 

Nos fluides amoureux se mêlent, nos bouches se soudent, nos langues s’aiment alors que nos corps ne font plus qu’un………

 

La nuit arrive, je pose ma plume, demain je t’écrirai encore.

 

Je t’embrasse  mon Amour, tu me manques et pense fortement à toi…

 

Ton amant plus que jamais.

 

 

 

V

 

 

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