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Faites des rencontres coquines près de chez vous

dédale

Carole et Eric ...

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une nouvelle histoire, un nouveau couloir, dites moi si je le continu ...

 

Coms toujours bienvenu, que vous aimiez ou pas, n'hésitez pas !

 

 

 

 

 

 

        Ses soupirs commençaient à résonner dans la pièce alors que la bouche d'Eric continuait sa promenade indécente. 
Se réveiller aux coté de Carole, nue, qui dormait encore à ses coté. Ce moment était toujours magique, féerique tant elle était superbe. Alors ce matin, comme tout les samedi matin, il s'était levé discrètement, avait foncé à la boulangerie toute proche et acheté des croissants et pais au chocolats tout chaud, il était revenu, fait couler le café avant de retourner dans la chambre où elle dormait encore. 
Mais pas pour longtemps ..
 
      Délicatement, il avait commencé par tirer le drap, découvrant peu à peu les douces courbes de ce corps qu'il n'avait de cesse d'explorer, de caresser, de cajoler. Elle dormait sur le coté droit, en position fœtale, les mains glissées sous sa tête. Il posa tendrement le dessus de son index sur la joue rosée de Carole qui émit un léger feulement. 
 
        Avec douceur, Eric fit glisser le doigt fripon le long du visage de sa belle, contournant la joue jusque la commissure des lèvres, puis continuant, le menton, le cou pour venir subrepticement se glisser sur le sein, douce colline encore endormie mais dont les frémissements naissant au contact de cette caresse trahissent le désir d'aller plus loin, la peau appelle la peau, son corps appelle son corps.
 
      Encore endormie, elle pivote, se mettant sur le dos, exhibant sans retenu et avec toute l'innocence du sommeil la nudité de son ventre plat, de ses cuisses fuselées et de ce sexe totalement imberbe. Eric de peut résister à cet appel, sa bouche vient vite remplacer sa main qui descend vers d'autre lieux plus inavouables alors qu'il pince de ses lèvres le téton qui déjà se tend, se redresse dans l'appel du plaisir.
 
        Mmmmmmmmmmmmm, un doux gémissement lui parvient aux oreilles. De quoi rêve-t-elle ? de qui ? de lui ? d'un autre ? plusieurs ? alors que ses cuisses s'ouvrent à l'arrivée de cette main entreprenante, cette main qui pour le moment profite de la douceur de la peau si douce de ce pubis proprement épilé la veille.
 
        Elle commence à faire onduler son bassin, à la recherche d'un doigt, d'une caresse plus profonde, plus appuyée, dans son rêve surement érotique que lui arrive-t-il en ce moment ?, son sein se durcit sous l'action de cette langue coquine, son téton est maintenant raide et dressé tel le horse guard devant Buckingham, imperturbable ? pas vraiment ...
 
         Alors sa main continu de glisser sur cette peau si soyeuse pour venir s'immiscer entre ses cuisses où la voilà bienvenue, mais l'annulaire dévie d'un coté, l'index de l'autre, contournant, évitant avec dextérité, les lèvres à l'humidité naissante, alors que l'index en suspend au dessus se prépare à plonger.
 
         Son corps se tortille sous l'effet de la monté du plaisir, elle gémit de plus en plus ... Il est temps ...
 
          La bouche d'Eric entame alors sa migration, il embrasse son sternum, son ventre, son nombril qu'il contourne avant de passer dessus, il arrive sur ce pubis tant aimé, l'embrasse, le suce, le lèche tandis que ses mains sont descendues le longs des cuisses de la belle endormie qui maintenant les tient écarter dans une indécente invitation à laquelle il ne se fait pas prier pour répondre et le voilà enfin plongeant sa tête, son visage, sa langue dans ce puits aux mille saveurs exquises. Les râles qui lui parvienne t et surtout cette main qui se pose sur son crane l'informe que Carole ne dort plus et qu'elle prend toute la mesure de ce réveil des plus sensuel, elle se cabre, se cambre, se laisse faire tandis que cette langue tourne autour de son clitoris, que ses doigts polissons se glissent en elle et dans un grondement intense laisse exploser sa jouissance.
 
                     Que c'est bon de jouir ainsi au réveil ...
 
          A peine son corps est-il en train de se reposer sur le matelas après cet envol orgasmique, que voilà qu'Eric vient se coller à elle, posant ses lèvres contre sa bouche, glissant sa langue impudique à la rencontre de la sienne pour lui faire partager le goût du plaisir qu'elle vient de prendre.
 
                           "- Bonjour mon Amour, j'ai préparé le petit déj ..."
 
             Là, sur le bord du lit, le plateau avec les croissants frais, la tasse encore vide mais l'odeur du café qui emplit l'appartement est de bon augure pour la suite et ce petit paquet...

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je trouve aussi que c'est de bonne augure mais ne nous laisse pas sur notre faim

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un reveil comme je reverais... je veux bien lire la suite!!!!

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Une suite est prévue.

Juste retrouver un peu de sérénité.

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bon, vous l'aurez voulu ...

 

                Éric poussait son chariot dans les allées du supermarché. C’était le rituel du samedi : ils se réveillaient en général assez tôt toujours un peu dans le rythme effréné de la semaine, prenaient le temps de se lever et ensuite se consacraient chacun à leur tâches assignées : les courses pour lui, le ménage pour elle.

 

                Mais ce matin, tout en attrapant machinalement les articles de sa liste de course, il continuait à se remémorer le déroulement de cette matinée.

 

               Son regard en ouvrant ce petit paquet, ses yeux s’illuminer en découvrant le petit rosebud qu’il lui offrait. La lueur coquine de ses yeux gris-bleus à  la fois excitée et angoissée. Oui elle avait émis le désir de se soumettre à ce petit jeu, et là, ce matin, il avait franchi le pas, il avait concrétisé leur fantasme, avec toutes les implications que cela suggéraient…

 

                Voilà l’assouplissant, mais il n’y a plus de lessive ? Où se trouve la marque qu’ils utilisent habituellement ? « Pardon Mademoiselle, vous n’avez plus d’Ariel ? »

La jeune femme se tourna vers lui, lui jetant un regard glacial surement pour l’avoir dérangée alors qu’elle tirait cette palette dix fois plus grosse qu’elle, mais elle s’adoucit à la vue de ce charmant jeune homme dont les yeux verts inspiraient douceur et confiance

 

« - Si, voilà, je réapprovisionnait justement. 

 

   - Merci bien Mademoiselle, bonne journée » répondit-il en se saisissant du flacon de lessive.

 

                Éric reprit alors son ravitaillement l’esprit encore perdu quelque heure plus tôt alors qu’il tenait le bijou intime, posant le métal sur cette délicate corolle encore inexplorée, ce délicat orifice si convoité et qu’il le poussait délicatement vers l’intérieur.

 

               Voir les chairs s’écarter, se dilater sous l’effet de cette indécente poussée, voir le métal allégrement lubrifié s’introduire peu à peu et soudain sentir l’objet lui glisser des doigts, aspiré dans cette grotte intime alors que la partie bombée est maintenant totalement insérée et l’entendre pousser un délicat gémissement.

Ne voir à présent que le bijou bleuté briller entre ses deux fesses si rondes, si douces, si délicates…

 

               Éric attrape les packs d’eau, les bouteilles de rosé tout en visualisant Carole dans son vieux jogging difforme en train de passer l’aspirateur avec glissé entre ses fesses ….

 

               En traversant le rayon des savons, lui revient en mémoire l’odeur de son gel douche, ce moment où il est sorti de sa toilette sa serviette lui ceignant la taille, cette démarche féline qu’elle avait en s’approchant de lui, ses yeux pleins d’envie, de sensualité, de désirs licencieux.

 

           Sa bouche se posant sur la sienne, la douceur de sa peau nue sur la sienne encore humide, la tendre pression de ses seins sur son torse alors que ses lèvres commençaient leur danse lascive sur sa bouche, sa joue, son menton, pour petit à petit descendre vers son cou alors qu’il posa la main sur ses fesses sentir le froid du bijou toujours en place, puis sentir ses mains à elle sur ses fesses à lui, sentir ses jambes se plier, son visage glisser vers le bas, sa bouche embrasser sa poitrine, son ventre, sa serviette est maintenant au sol et sa bouche à elle vient s’approcher de son pieu déjà dressé, tendu dans l’attente d’une caresse.

   

               Mécaniquement, il attrape son shampoing dans le rayon tout en se remémorant cet instant où il glissait sa main dans ses cheveux, où cette langue mutine venait se glisser coquinement sur son gland avant de poursuivre son chemin le long de sa hampe. Descendre d’un côté, remonter de l’autre et tourner autour du sexe en érection avant d’ouvrir petit à petit la bouche, d’écarter peu à peu les lèvres pour enfin accueillir cette verge qui n’attend que cela.

 

                Ne pas oublier son déodorant, ce flacon à la forme si suggestive, sa queue qui peu à peu disparait entre ses lèvres pulpeuses qui se mettent à le branler avec douceur, avec candeur, avec ardeur. Cette excitation terrible qu’elle fait naitre en lui en se postant de façon à ce qu’il puisse voir dans le miroir derrière elle l’éclat du bijou intime dans son écrin indiscret, cette main qui joue de ses bourses.

 

                Enfin le moment de passer en caisse, l’hôtesse d’un mouvement répétitif scanne chaque article, mouvement saccadé de sa main sur sa verge, de sa bouche le long de sa hampe. bip …. Bip ….bip, chaque article, chaque va et vient puis son orgasme, puissant, fort, au plus profond de sa gorge, comme elle aimait ainsi finir ses fellations alors qu’il tapait son code secret et réglait ses achats.

 

                La tête encore chargée des doux souvenirs de cette matinée, il regagnait leur appartement. Au programme : repas en tête à tête, après-midi sage et ce soir chez Mathieu pour sa crémaillère

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J aime le contraste entre ces doux moments qui lui reviennent en memoire et la corvee des courses de fin de semaine

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J adore, tres bien écrit.... c vrai que parfois on a la tete ailleurs et on fait les choses de façon machinale!!!!! Mais la c etait ;)

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bon, la suite alors ...

 

                Mais où était-elle encore passée ?

 

                Cette soirée, cette foule ! C’est fou le nombre de personne que Mat connaissait, à moins que ce ne soit sa copine ? En tout cas c’était un beau petit couple et la maison qu’ils venaient d’acquérir était assez sympa, sans parler du terrain ! Bon, cela ne disait pas à Éric où se trouvait carole encore !

 

                L’après-midi était restée assez sage, se remettant peu à peu de cette matinée fort agréable. Ils avaient déjeuné, fait une petite sieste réparatrice et sage avant de se préparer tranquillement pour leur invitation : jean sombre et chemise pour lui quant à carole, comme à son habitude, des vêtements terriblement sexy, classe et discret : jupe noire, légèrement fendue derrière, bustier rouge sous une veste noire, des bas et comme à son habitude, pas de dessous, juste le rosebud qu’ils avaient changé pour un de diamètre plus large …

 

                Il restait dans ses pensées tout en recroisant cette charmante blonde qu’ils avaient vue à l’entrée. Lui qui préférait largement les brunes avait malgré tout continué à poser les yeux sur elle, ce qui lui valut un coup de coude de la part de Carole ! Oh, pas un coup de jalousie, non ! Elle était bien au-dessus de tout ça elle !  Plus un coup d’encouragement et une œillade complice.

 

                « - Tiens re-bonsoir … heu .. .Éric c’est ça ?

 

                  - Oui, c’est ça, avec tout ce monde on ne sait plus... euh ….

 

                  -   Gina ! » Lui répondit-elle avec un sourire éclatant.

 

               Ils échangèrent quelques mots, quelques œillades pleines de sous-entendus, et Éric lui demanda si elle avait vue Carole, elle lui répondit qu’elle l’avait aperçu se dirigeant vers la terrasse, il abandonna donc, non sans un petit regret, cette blonde pulpeuse pour se concentrer à nouveau sur sa recherche

 

               À l’extérieur la température était douce pour la saison et il n’eut pas froid, il croisa pas mal d’invité sorti fumer leur cigarette tout en conversant de choses diverses, mais il ne trouvait pas Carole lorsque son regard fut attiré vers une partie un peu en retrait du jardin, moins éclairé. Oui, il y avait du monde à cette endroit, deux hommes, il reconnut la carrure et la posture de Mickaël et d’Erwan, ils se tenaient là, debout, côte à côte, tournant le dos à la terrasse, un verre à la main, apparemment en grande discussion. En s’approchant un peu plus, il l’aperçu alors : Carole était là, avec eux, assise sur un pouf leur faisant face et elle l’aperçu.

Sans se cacher davantage, au contraire, elle continuait sa tâche. Elle, elle n’avait pas de verre à la main, mais la queue de chacun de ses interlocuteurs.

 

               Il s’approcha doucement de la scène, elle ne le quitta pas des yeux, ouvrant délicatement la bouche pour poser la langue avec une grande sensualité sur le gland qu’Erwan lui présentait, doucement tournant autour avant de jouer avec le frein, le prépuce et de prendre le gland entre ses lèvres, tout en continuant à le branler de sa main, à les branler à l’unisson. Il préféra rester à cette distance, d’où il pouvait assister à l’action sans déranger les garçons, toujours bien en vue de Carole qui commençait à ouvrir les cuisses dans sa direction. La connaissant, elle devait être complétement trempée à pourvoir enfin s’occuper de deux queues en même temps !

 

                Puis elle tourna la tête, tout en gardant les yeux vers lui, pour cette fois flatter le sexe de Mick qui n’attendait que cela, pour Éric, simple spectateur, il se contentait de regarder tout en commençant à se sentir à l’étroit dans son jean alors que la cadence de la main de sa copine s’accentuait le long de la pine de ses amis.

 

                   De sa bouche gourmande, elle gobait de plus en plus profond les garçons, alternant gorges profondes à chacun leurs tour, continuant sans ménagement ses allers et retours avec ses mains. Ils avaient beau tenter de marquer le change en tentant de continuer leur discussion en sirotant leur verre, leurs tête qui se balançaient vers l’arrière trahissaient la dextérité de la miss, et lorsque Mick poussa un râle synonyme de l’approche de son extase, elle le pris en bouche et pris soin d’avaler tout ce qui giclait, à la vue de ce tableau, Erwan ne tardât pas non plus à se contracter, si bien que la bouche encore pleine du sperme du premier, elle pris le second en bouche et lui prodigua le même sort heureux avant de bien nettoyer avec la langue, la passant soigneusement sur chaque plis des sexes qui se recroquevillaient a vu d’œil.

 

                 Une fois son crime délicieux accompli, toujours les yeux rivés sur Éric, elle prit congés de ses bienheureux camarades en leur déclarant « et bien bonne fin de soirée Messieurs, mon homme m’attend, et ce soir, c’est surprise à la maison ! » et s’en alla dans les bras de son amoureux qu’elle embrassa à pleine bouche, lui faisant partager avec délice le goût de son forfait.

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Il ne te reste plus qu'à nous raconter la surprise

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                 En sortant du virage qui amenait sur le rond-point de la ZAC, Carole ne fut qu’à moitié surprise d’apercevoir la camionnette bleue-foncée. Un samedi soir à cet endroit, il était assez courant de les voir ici, si bien que lorsque l’homme équipé de la chasuble fluo se plaça au centre de la chaussée elle ralentit immédiatement sa voiture pour venir l’immobiliser à sa hauteur.

 

                Elle se sentait sereine, après tout, elle n’avait rien à se reprocher, à peine une coupe de champagne en début de soirée pour faire honneur à ses hôtes et ensuite elle n’avait bu que du soda. Enfin pas que du soda, mais bon, ça ne risquait pas non plus de marquer l’éthylotest ça, à moi que l’alcool passe dans le sperme, mais elle en doutait. C’est avec cette pensée amusante qu’elle ouvrit la fenêtre pour écouter son interlocuteur sortir sa formule habituelle.

 

                «- Bonsoir mademoiselle, gendarmerie nationale, avez-vous consommé de l’alcool ou autre produit stupéfiants ? »

 

                Carole aimait trop conduire, si bien que dans le couple, lorsqu’il sortait, elle était souvent « SAM », ce qui ne dérangeait guère Éric qui lui avait une très mauvaise vision nocturne, mais elle se aimait surtout être à l’aise au poste de conduite, et ce soir la jupe cintrée n’était pas vraiment adaptée, si bien qu’en partant, elle l’avait totalement remontée à sa taille afin d’avoir les jambes libres de leurs mouvements et ôtée sa veste ne gardant que son bustier.

 

                Elle avait bien remarqué aussi que dans cette tenue elle captait l’attention de son chéri assis à ses côtés, ses yeux n’arrêtaient pas glisser vers ses cuisses nues qui n’arrêtaient pas de tricoter en fonction de leur mouvement sur les différentes pédales, et sur cette route de campagne sinueuse, les changements de vitesses étaient fréquent pour sa grande joie. Dieu qu’elle aimait jouer ainsi avec son désir, l’exciter, l’aguicher, alors pour jouer encore un peu plus, elle avait par instant un peu exagérément écartée les cuisses afin de laisser la jupe remonter encore plus, elle s’était même amusé à bouger plus les bras provoquant un début de descente du bustier, et lorsqu’elle avait pu glisser un regard, elle vit bien la bosse qui tendait son jean, elle était en train de lui proposer de se mettre plus à l’aise lorsque le gendarme apparu.

 

                À ce moment, ce salaud fit semblant de plonger dans un somme, la laissant seule, dans cette tenue, avec le représentant des force de l’ordre.

 

                « - Bonsoir Monsieur l’agent, non,, à part une coupe de champagne cela doit faire 3 ou 4 heures maintenant »

 

                Elle prit un ton naturel pour s’adresser à l’homme qui la surplombait en regardant pas la fenêtre ouverte, d’où il était il ne devait rien rater du tableau.

 

                « - heu, très bien, veuillez me présenter vos papiers et ceux du véhicule 

 

                   - Mais bien sûr, répondit-elle avec un large sourire »

 

 

                Son sac avec les documents demandés se trouvait derrière le fauteuil du passager, elle devait donc se tourner et tendre le bras pour aller à sa recherche, mais elle n’allait certainement pas se contenter de si peu, elle bascula le corps pour se tenir sur sa fesse droite, soulevant un peu la gauche, enfin, un peu … surement juste assez pour exposer son nouveau bijou au regard inquisiteur de la maréchaussée, provoquant dans son ventre une agitation de petites fourmis et surtout l’humidité de son entrecuisse.

 

               « -les voilà ! » dit-elle en se redressant, elle devait se retenir de ne pas pouffer de rire voyant le visage du pauvre gendarme ! Écarlate ! Il tendait machinalement la main, elle se saisi de l’appareil de détection en lui donnant ses papiers.   

           

             « - c’est là que je dois souffler, c’est bien cela ?

 

              - Oui, c’est exact, dit le brigadier, tentant de reprendre ses esprits, attendez, voilà. »

 

              D’un air distrait, il vérifiait l’identité de son interlocutrice tout en la regardant souffler dans l’éthylotest. Elle, elle continuait de sourire, lançant le jeu encore plus loin. Pour commencer, elle prit une profonde inspiration, gonflant exagérément sa poitrine et provoquant un peu plus la chute du bustier qui était déjà à la limite de ses auréoles, cette fois, il n’était retenu que par ses tétons durcis par l’excitation que son outrecuidance provoquait chez elle, puis lorsqu’elle se mit à souffler, elle se cabra suffisamment pour que le vêtement n’ai plus de quoi se tenir, causant sa chute, irrémédiable.

 

            Cette fois, elle se retrouvait les seins à l’air devant ce pauvre brigadier, plutôt décontenancé. La fraicheur de la nuit venant caresser avec douceur sa poitrine nue augmentait son excitation, cette fois, le fauteuil risquait d’être légèrement taché, mais que le crime encore une fois était délicieux ! Elle redonna l’appareil de mesure tout en gardant l’air innocent, comme si elle n’avait pas remarqué que son bustier était maintenant en dessous du globe de ses seins, un sourire faussement ingénu sur les lèvres mais un regard si coquin sur le bas ventre de cet homme qui se tenait debout devant elle lui prouvait bien qu’il n’était pas indifférent. Une voix se fit entendre.

 

               «-  Hey, Vincent, il y a deux autres véhicules en approche, tu as quelque chose ou tu peux laisser partir ? »

 

               Et s’il appelait son collègue ? S’il disait qu’il y avait quelque chose à approfondir ? Éric feignerait-il toujours son sommeil ? Avec un peu de regret, elle le vit lui rendre ses papiers et déclarer : « très bien mademoiselle, bonne route ! »

 

               Elle reparti, chatonnant un air du grand Georges …

 

« Les gendarmes, même les gendarmes,

Qui sont par nature si ballots,

Se laissaient toucher par les charmes

Du joli tableau… :bbl: »

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J'aime beaucoup cette nouvelle saga, ce ton tendre, léger et sensuel!:)

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merci,

 

cela fait du bien ces petits mots ...

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Guest titeséve

J'aime beaucoup ce mélange de sensualité et de perversion

Une suite est prévue j'espère ?

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