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Xoal

Becky, jeune fille au pair

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Becky, jeune fille au pair – Épisode 1

 

S’occuper de deux jeunes enfants quand on est un papa célibataire, c’est loin d’être une sinécure ! Difficile de concilier enfants et boulot, surtout quand on a parfois des déplacements pro et des réunions tardives qui viennent perturber le planning.

 

Pendant un temps, j’avais pris une nounou pour qu’elle vienne chercher mes enfants à la sortie de l’école, les ramène chez moi et les garde jusqu’à mon retour. J’ai dû en changer plusieurs fois : entre celles qui n’avaient aucune flexibilité horaire, celles qui traumatisaient mes gosses en hurlant dessus, celles qui étaient malades une semaine sur deux et celles qui demandaient une augmentation tous les deux mois, c’est vite devenu ingérable.

 

Un jour, une amie m’a demandé pourquoi je ne prenais pas une jeune fille au pair. Je lui ai répondu que je voyais mal une gamine de 20 ans accepter de venir garder les enfants d’un homme seul… Elle m’a répondu que si je n’essayais pas, je ne saurai jamais.

 

C’est comme ça que Rebecca, Becky pour les intimes, jeune irlandaise de 21 ans, est entrée dans notre vie. Elle avait de sérieuses références de garde d’enfants et voulait perfectionner son français. J’avais eu ses coordonnées via l’école (privée et catholique…) dans laquelle sont inscrits mes enfants. Visiblement, cela a constitué à ses yeux une caution de moralité suffisante pour qu’elle accepte de venir s’installer chez nous.

 

Je pourrais vous raconter plein d’anecdotes sur son arrivée, la façon dont elle arrivait à rater même les pâtes, ou encore avec quel brio elle a su s’imposer et se faire adopter de mes petits loups, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas ces sujets dont je vais vous parler aujourd’hui.

 

*******

 

Ça avait commencé de façon très classique : j’étais allé la chercher à l’aéroport puis je l’avais installée dans la chambre qui lui était réservée. Les enfants (que j’avais briefé) l’avaient accueillie à bras ouverts et en quelques jours, nous avions tous trouvé nos marques.

 

Tout a vraiment commencé au bout d’un mois.

 

Septembre : les derniers vrais rayons de soleil avant un automne humide et un hiver gris et glacial. C’était un mardi et j’avais décidé de rentrer plus tôt après avoir pris de quoi faire un super barbecue (mes gamins adorent les hamburgers maison). J’avais posé mon mercredi en me disant que ce serait l’occasion d’utiliser une dernière fois la piscine avant de la « fermer » pour l’hiver.

 

Je suis arrivé à la maison vers 15h. Les enfants étaient encore à l’école et je me suis dit qu’après avoir mis la viande au frais, je préviendrai Becky que j’irai les chercher moi-même : ça leur ferait une petite surprise qu’ils apprécieraient.

 

Depuis la cuisine, je jette un œil par la fenêtre. Je vois qu’un transat a été tiré près de la piscine. Sous cet angle, je vois juste un pied qui dépasse. J’imagine que Becky aussi veut profiter des derniers rayons.

 

Je vais pour lui dire bonjour mais m’arrête brusquement. Visiblement, Becky a bien remarqué qu’il n’y a aucun vis-à-vis avec les voisins : elle se fait bronzer totalement nue. Un casque posé sur les oreilles, elle écoute de la musique. Son pied bat imperceptiblement la mesure, elle ne dort donc pas.

 

Je reste à quelques pas d’elle, sans savoir quoi faire : rebrousser chemin et faire comme-ci je n’avais rien vu ? Ou continuer et faire comme si je n’étais pas troublé par cette situation ?

 

J’ai du mal à réfléchir. Il faut dire que toute mon attention est accaparée par la plastique de Becky. Que je vous explique : Becky est plutôt mignonne. Elle a conservé toute la fraîcheur de l’adolescente, probablement du fait de sa façon d’être un peu immature et d’un corps dont les courbes féminines sont encore naissantes. Elle a des petits seins aux tétons rosés qui rendent optionnel le port du soutien-gorge. Elle est très longiligne et ses hanches sont peu prononcées.

 

Je peux enfin vérifier que c’est une vraie rousse, car un petit buisson orangé aux poils frisotants orne son mont de vénus. Sa peau est délicatement nacrée et parsemée de taches de rousseur que l’exposition au soleil a fait ressortir. Becky est de ce type de rousses qui n’ont pas la peau très pale. On lui donnerait aisément quelques origines méditerranéennes.

 

Le vent m’apporte son odeur : un mélange de sueur à peine couverte par celle de l’huile au monoï dont elle s’est enduit le corps.

 

Est-ce que j’ai fait un bruit ou a-t-elle simplement senti ma présence ? Elle tourne brusquement la tête, pousse un cri et tente simultanément de se redresser et de couvrir sa nudité avec la petite robe d’été abandonnée au pied du transat. J’aurais probablement trouvé ça très comique, si je n’étais pas moi-même rouge de honte d’être resté là à l’observer à la dérobée.

 

Je bafouille quelques explications. Elle aussi. Nous sommes tellement gênés tous les deux que nous ne nous écoutons pas vraiment l’un l’autre. Je prends rapidement congé d’elle en expliquant que je dois me dépêcher pour aller chercher les enfants (qui ne sortiront pas de classe avant une bonne heure).

 

[À suivre]

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Un début plein d'humour,...

 

 

Mais cela ne va-t-il pas changer ?

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un trés bon début , vivement la suite :)

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:good::clap: ...  A quand l' épisode 2

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Becky, jeune fille au pair – Épisode 2

 

À mon retour, nous faisons tous les deux comme si rien ne s’était passé. La présence des enfants, leurs cris de joie à la perspective du barbecue de ce soir et de la journée de demain, meublent tout l’espace de telle façon que nous n’avons pas l’occasion de revenir sur cette étrange épisode.

 

Le repas arrive : les enfants se régalent et Becky, contrairement à son habitude, accepte avec joie de prendre un verre de vin. Je vois bien qu’elle m’observe discrètement. À chaque fois que nos regards se croisent, elle détourne les yeux et rougit. Je me demande ce qui peut bien se passer dans sa tête.

 

Lorsque je reviens à table après avoir couché les enfants, je constate deux choses : la première c’est que la bouteille de vin a pris une claque le temps que je lise les incontournables histoires du soir. La seconde, c’est que Becky s’est débarrassée de son soutien-gorge : elle porte un petit débardeur dont les bretelles ne cachaient pas celles de sa (très sage) lingerie. Et de cette lingerie, plus de trace. Involontairement, mes yeux dérivent vers ses seins et je croise son regard lorsqu’ils reviennent vers une zone moins sulfureuse. Becky, les joues en feu, soutient mon regard, un sourire timide sur les lèvres.

 

Sans prononcer un mot, nous terminons la bouteille de vin. C’est finalement elle qui prend la parole en première.

 

-« Je suis désolée pour cet après-midi. Je pensais pas que vous rentrez si tôt. Je pensais…

-C’est rien Becky. Tu n’as pas à t’excuser. C’est moi qui m’excuse de t’avoir fait peur. »

 

Un nouveau silence.

 

-« Je suis froide. »

 

Becky me regarde bizarrement lorsque j’éclate de rire. Nous nous replions dans le salon, non sans que je jette un regard vers ses seins pour constater qu’effectivement, Becky a froid. J’ouvre une deuxième bouteille et manque de recracher ma première gorgée lorsque Becky se fend d’un « maintenant, c’est mieux : je suis chaude ! ».

 

Je ne peux pas m’empêcher de rire malgré les regards outrés et gênés de becky qui me demande à grands cris pourquoi je me moque d’elle.

 

-« Je ne me moque pas de toi. C’est juste que… Tu as fait la même faute de français deux fois de suite et... Enfin bon, ça veut dire quelque chose, mais ce n’est pas ce que tu voulais dire.

-Comment j’aurais dû dire ?

-J’ai froid et j’ai chaud. J’ai. Pas je suis.

-J’ai froide et j’ai chaude ? C’est correct ?

- Non. Froid et chaud. Pas froide et chaude.

-Mais je suis une fille, pas un garçon. » Merci Becky, ça, je l’avais bien remarqué cet après-midi.

-« Non. Froid et chaud. C’est comme ça. »

 

Après un silence que je passe à me remémorer le spectacle dont j’ai été gratifié quelques heures plus tôt, Becky revient à la charge.

 

-« Alors, je suis froide et je suis chaude, ça veut dire quoi ? » Celle-là, je m’y attendais un peu.

-« Comment t’expliquer. Disons que… c’est… plutôt sexuel. » Elle rougit jusqu’aux oreilles. « Je suis froide, en gros, ça veut dire que tu n’es pas attirée du tout par… le sexe. Je suis chaude, ça veut plutôt dire que tu es excitée. »

 

Après un moment de réflexion et après s’être resservie, Becky déclare : « Je ne suis pas du tout froide. Quand tu as vu moi aujourd’hui, tu étais chaude ? » Nouvel éclat de rire, un peu pour cacher ma gêne. Devant son regard blessé, je laisse échapper un « oui, ça m’a excité de te voir comme ça » que je regrette immédiatement.

 

Un silence gêné s’installe entre nous. Je me répète intérieurement que je n’aurais pas dû lâcher ça. Becky va sûrement se dire qu’elle a affaire à un vieux pervers qui va saisir la première occasion pour lui sauter dessus. Et si elle part, je suis mal. Le temps de lui trouver une remplaçante, ça va être le bordel pour gérer de front le boulot et les gamins.

 

-« Je m’excuse Becky. Je n’aurais pas dû dire ça. Le vin me monte à la tête et je raconte n’importe quoi. Je vais aller me coucher. À demain. »

 

Becky ne bronche pas. Elle ne dit pas un mot et je n’arrive pas à déchiffrer son regard. Je pense qu’elle aussi à un peu trop bu et qu’avec un peu de chance, elle ne gardera qu’un souvenir flou de cette conversation.

 

Une fois au lit, l’alcool aidant, je m’endors rapidement. Mais Becky vient perturber mon sommeil et je me réveille en sursaut au milieu d’un rêve dans lequel je revivais ma vision de cette après-midi, à ceci près que je m’approchais de Becky pour la toucher.

 

J’ai chaud et je repousse le drap sous lequel mon sexe gonflé dresse un chapiteau. Pas tout à fait réveillé, je commence à caresser ma queue, tirant doucement sur la peau pour finir de la décalotter. Un peu honteux, et toujours du bout des doigts, je me branle lentement en me rappelant les petits seins de Becky. Je m’imagine les caressant, les empaumant dans mes mains qui n’auraient aucun mal à les recouvrir complètement.

 

J’aimerais glisser mon nez au creux de son cou pour me gorger de son odeur. Plaquer son corps un peu frêle contre le mien pour mieux le caresser et l’explorer. Venir démêler son joli buisson et froisser son bouton du bout de mes doigts.

 

Emporté par mon imagination, j’ai empoigné fermement ma lance sur laquelle je me suis escrimé en un rythme crescendo, et me voici tout empoissé de moi-même.

 

[À suivre]

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on en redemande :)

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Invité

Alors, qu'est ce qu'il va bien pouvoir se passer avec Becky ^^

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Becky, jeune fille au pair – Épisode 3

 

Je passe la journée suivante à m’occuper des enfants. J’ai donné sa journée à Becky et elle est partie en vadrouille sans préciser si elle serait de retour pour le dîner.

 

En milieu d’après-midi, Becky réapparait et nous annonce qu’elle nous prépare une surprise pour le dîner. Une heure plus tard, elle vient nous rejoindre dans la piscine et j’ai du mal à la regarder droit dans les yeux, mes regards ayant tendance à glisser sur ses courbes juvéniles.

 

Becky est d’une constitution fine et sportive, et le tout petit bikini qu’elle porte ne cache pas grand-chose de son agréable plastique. Elle me surprend à plusieurs reprises en train de la regarder à la dérobée et je jurerais qu’elle fait exprès de m’offrir un spectacle fait de poses improbables et volontairement suggestives.

 

Dès que les jeux aquatiques tant appréciés des enfants le permettent, elle me frôle, me gratifiant au passage de sourires timides qui ne me laissent pas de marbre. Ainsi encouragé, je me permets à mon tour quelques frôlements, puis quelques innocents contacts au bras, à l’épaule, à la taille...

 

Soudain, c’est l’hallali : Becky enjoint les enfants à m’attaquer pour tenter de me renverser. Elle se joint à l’attaque et c’est bien plus la sensation de son corps, étroitement enlacé contre le mien, que sa force qui me renverse au-dedans comme au-dehors. Lorsqu’elle relâche son étreinte, elle laisse courir ses mains sur mes flancs, se permettant même de me griffer au dernier moment. Je pousse un cri qui se transforme en une quinte de toux, ayant involontairement bu la tasse au passage.

 

Elle bafouille une excuse incompréhensible, visiblement surprise elle-même par son audace et par les zébrures écarlates qui me balafrent le ventre jusqu’à la ceinture du maillot.

 

*******

 

Les enfants sont couchés tôt : l’activité aquatique les a épuisés et ils n’ont pas demandé leur reste. Becky et moi nous retrouvons à nouveau seuls et j’avoue ne pas être à mon aise. Après un long silence, je prends congé d’elle en annonçant que je vais aller prendre une douche. Le temps que j’aille chercher un change, Becky m’a précédé dans la salle de bain. Devant mon regard surpris, elle m’annonce qu’il n’y a pas que les enfants dont elle peut s’occuper, et qu’à moi aussi, elle peut donner le bain…

 

Je reste immobile et muet. Je suis paralysé par la peur. Elle a 21 ans certes, mais compte tenu de notre différence d’âge, j’ai l’impression que c’est encore une ado.

 

Becky doit prendre mon indécision pour un consentement et commence à faire couler le bain. Puis elle s’avance jusqu’à moi et entreprend de me déshabiller, défaisant un à un les boutons de ma chemisette. Elle-même hésite, et ses mains tremblent lorsqu’elle les pose sur mes pectoraux, les laissant glisser vers mes épaules pour faire tomber mon vêtement.

 

De mes épaules, ses mains glissent le long de mon torse jusqu’à mon bermuda. C’est à mon tour de trembler. La sensation de ses mains chaudes sur mon corps me bouleverse. Malgré la chaleur qui envahit peu à peu la salle de bain, j’ai la chair de poule et mes tétons se mettent à pointer (détail qui n’échappe pas à Becky qui laisse fuser un petit rire).

 

Avec des gestes lents, Becky me débarrasse ensuite du reste de mes vêtements et je me retrouve nu comme un ver devant elle. Mon sexe pointe aux abonnés absents. Je ne sais pas si je dois m’en réjouir (cela ne donne-t-il pas une touche plus anodine à cette situation ?) ou m’en inquiéter. Ça ne semble pas perturber Becky qui prend le temps d’observer mon corps sans détour. Je pense mettre fin à son inquisition en me glissant dans l’eau du bain pour m’apercevoir finalement que faute de mousse, je ne suis pas moins exposé.

 

Becky s’agenouille au bord de la baignoire et, armée d’un gant et d’un savon, entreprend de me laver. Étant assis, elle s’attaque en premier lieu à mon torse et à mes épaules. Le gant visite chaque centimètre carré de peau, glissant sur mon ventre, remontant jusqu’à mon cou, redescendant dans mon dos. Régulièrement, le gant plonge dans l’eau et vient rincer le savon avant d’en étaler de nouveau.

 

Je ferme mes yeux et me laisse envahir par la douce sensation de ce massage. Je ne sais pas combien de fois Becky répète ce cycle de lavage et de rinçage qui me plonge dans une torpeur où toutes mes tensions disparaissent. Toutes, sauf une, dont je prends conscience lorsque Becky me fait me lever et commence à laver mes jambes : mon sexe s’est réveillé et se dresse sagement dans l’attente d’une hypothétique toilette.

 

Je crois que Becky passe moins de temps sur mes jambes. J’ai gardé les yeux fermés et je n’ai plus tout à fait conscience du temps qui passe. Je suis ramené à la réalité quand Becky s’attaque au lavage de mes fesses et de mon sexe.

 

Oublié le gant : c’est avec ses mains savonneuses qu’elle me frotte, me lave puis me rince. Une fois. Deux fois.

 

La troisième fois, elle se fait plus aventureuse, glissant une main entre mes fesses, tandis que l’autre, elle caresse mes bourses. Ses effleurements se font plus précis, ses doigts frottant mon petit trou, tandis que de ses ongles, elle agace mes testicules : délicieuse sensation de ses doigts se rejoignant et s’affrontant pour occuper ce territoire masculin qu’est le scrotum, délaissé par tant de femmes!

 

Je me surprends à soupirer, de plus en plus lourdement. À gémir et à me cambrer légèrement lorsque d’un doigt elle vient caresser mon intimité la plus effarouchée. Quand enfin elle empoigne ma queue et joue de ma hampe, je me tortille malgré moi comme un jouvenceau. Elle me masturbe délicatement, serrant du mieux qu’elle peut ses doigts fins sur mon sexe, faisant coulisser avec rythme le prépuce, sans réussir à faire disparaître mon gland gonflé par l’excitation.

 

J’ouvre enfin les yeux et les plonge dans ceux de Becky. Que m’attendais-je à y trouver ? De la lubricité probablement. Eh bien non ! Son regard était plein de cette candeur si séduisante, si renversante.

 

Un râle grave s’échappe de ma bouche. Il semble venir du tréfonds de mes entrailles. Tout mon bas ventre se contracte en spasmes violents, expulsant de longs et épais jets de sperme. Comme au ralenti, je les vois s’élever et tourbillonner avant d’aller s’écraser dans l’eau du bain.

 

Je titube légèrement, ivre de plaisir que je suis. Becky, en qui je voyais une simple gamine un peu délurée, vient de m’offrir un orgasme qu’aucune femme, souvent bien plus expérimentée, n’avait su approcher. Encore sous le contrecoup du tsunami de plaisir qui m’a cueilli de plein fouet, je laisse Becky vider le bain et me rejoindre dans la baignoire pour me doucher et me savonner une dernière fois des pieds à la tête.

 

[À suivre]

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mais au moins, la jeune fille ne commet pas d'impair de s’occuper ainsi de la paire du père :good:

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Une très belle suite ^^ Un monsieur trés chanceux dit donc je pense que comme nous il a hâte d'avoir une suite ^^

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Vite... épisode 4 !

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Troublant et avec un peu d'humour.

C'est toujours un plaisir de te lire

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Becky, jeune fille au pair – Épisode 4

 

Le ballon d’eau chaude est manifestement vide car la douche se fait de plus en plus froide, me tirant de ma léthargie. Ce n’est que maintenant que je réalise que Becky est encore habillée. Lui retirer ses habits trempés se révèle plus compliqué que je ne m’y attendais et mes gestes sont bien moins sensuels que je l’aurais voulu.

 

Bonne joueuse, elle se laisse faire et rit de ma maladresse. Son débardeur est retiré non sans manquer de lui arracher le nez au passage. Voyant qu’elle tremble de froid, je ne prends pas le temps de faire connaissance avec son buste délicat. Je m’acharne vainement sur les boutons de son short avant d’abandonner et de le tirer vers le bas d’un mouvement sec. Je me retrouve agenouillé devant elle, nez-à-nez avec son sexe. Le short est descendu jusqu’au chevilles, entrainant une petite culotte toute simple qui a pour sa part arrêté sa course au niveau des genoux. N’eut été l’eau de plus en plus froide qui se déverse sur moi, j’aurais trouvé la situation particulièrement excitante.

 

Je frictionne Becky avec une grande serviette jusqu’à ce qu’elle cesse de claquer des dents et je me sèche à mon tour. J’ai repris mes esprits et décide de prendre les choses en main. Je prends Becky par la taille et l’entraîne vers ma chambre à coucher. Je nous débarrasse de nos serviettes et prends enfin de temps de la regarder. Je joins mes mains à mes yeux pour mieux découvrir ce corps, caressant ses petits seins, empoignant ses fesses bien rondes et couvertes elles-aussi de taches de rousseur.

 

Je la fais s’asseoir à l’angle du matelas. Soit elle devine ce que j’ai en tête, soit c’est sa façon de le proposer, car elle se laisse tomber en arrière et relève les jambes tandis que je m’agenouille. Je pose mes mains sur l’arrière de ses cuisses et les repousse un peu plus en arrière encore. Ainsi largement écartelée, Becky m’offre une vue très excitante de son sexe. Ses grandes lèvres se sont ouvertes sur ses petites lèvres encore jointes.

 

Je viens y déposer un baiser, puis un petit coup de langue espiègle qui arrache un petit rire à Becky. Elle glisse sa main entre ses cuisses, caressant son sexe de toute la paume, puis écartant les lèvres de l’index et du majeur. Je vois son clitoris gonflé qui semble vouloir s’échapper de la gangue de chair qui l’emprisonne. Son sexe brille d’une humidité qui fait voler en éclat mes derniers scrupules.

 

De ma langue, je viens fouiller son trou, me délectant de sa cyprine, et m’amusant des fils poisseux qui s’accrochent à ma langue et à mes lèvres. Je m’attaque ensuite à ses lèvres que j’embrasse, lèche et mordille, me rapprochant petit à petit du bouton magique.

 

Lorsque mes lèvres se referment enfin dessus et que je commence une douce succion, Becky laisse échapper un long râle de satisfaction qui va crescendo lorsque ma langue se lance dans des arabesques complexes, tout en effleurements. Becky gémit, encourageant ma caresse, tortillant tant son joli cul que je dois l’empoigner et l’immobiliser de peur qu’elle ne me casse le nez.

 

Je plonge ma langue dans son con, l’enfonçant aussi loin que je le peux, mimant une pénétration certes superficielle, mais qui ne la laisse pas de marbre. Entre mes jambes, je sens ma queue durcir à nouveau, comme si elle voulait me signaler qu’à ce jeu-là, elle sera bien plus performante que ma langue. N’ayant jamais su lui dire non, j’entraîne Becky vers le centre du matelas.

 

Empoignant ma lance, je me lance à l’assaut de son abricot juteux, frottant mon gland tant et si bien, qu’il est rapidement gluant de son miel. Je le frotte résolument sur son clitoris qui semble avoir doublé de volume depuis tout à l’heure. L’estocade approche ! Je fais glisser mon sexe vers le bas puis force doucement l’entrée de sa fente.

 

C’est bouillant là-dedans. Cette chaleur ! Cette humidité ! Un vrai bonheur. Si fort que je sens les prémices d’une nouvelle ruée blanche. Toujours en elle, je resserre ma prise sur ma queue, la serrant à la faire exploser, jusqu’à ce que je sente l’urgence refluer.

 

Becky s’inquiète mais je dissipe ses doutes rapidement. Tenant toujours ma queue juste sous le gland, je fais bouger mon bassin. Mais ainsi positionné, avec ma main faisant obstacle, seul mon gland rentre et sort de son antre. Quant à mon pouce, tendu tel celui d’un auto-stoppeur, il pétrit son clitoris à chacun de mes va-et-vient.

 

Les joues de Becky se colorent, elle halète et bouge son bassin pour accélérer la pénétration. Ses yeux braqués dans les miens, elle se redresse légèrement, s’agrippant à moi. Je sens ses talons s’enfoncer dans mes reins tandis qu’elle fait de son mieux pour s’empaler sur ma lance. Mais je tiens bon et pas un centimètre de queue de plus n’entrera sans que je l’aie décidé.

 

C’est un véritable effort qui j’espère ne va pas se transformer en marathon. Becky pèse de tout son poids sous moi et je n’ai qu’un bras de libre pour me retenir. Mais je sens bien qu’elle approche du gouffre : ses gémissements se transforment en petits cris qui montent dans les aigus à chacun de mes coups de bélier. Elle se déhanche lubriquement sous moi, et je lis dans son regard un mélange de hargne et supplication. Si ses yeux pouvaient crier, ils me hurleraient « Baise-moi ! » à m’en faire péter les tympans.

 

Sans prévenir, je libère ma queue qui s’enfonce sans ménagement jusqu’au tréfonds de son intimité. Becky pousse un cri de surprise et de ravissement. Mon bras me lâche et je m’écroule sur elle. Nos bassins poursuivent une danse frénétique où chacun de nous fait de son mieux pour donner un maximum d’ampleur à nos mouvements.

 

Ce n’est plus du sexe, c’est de la rage ! Le visage collé dans son cou et ses cheveux, je m’agrippe à Becky, passant un bras sous son bassin pour mieux la soulever, et je la culbute violemment, chaque coup de boutoir lui arrachant un cri. Ses ongles s’enfoncent dans mon dos à m’en faire crier, mais je continue. Et puis soudain, Becky bloque sa respiration, arrête de crier, semble tétanisée. Encore deux coups de reins, et la digue lâche : un long râle puissant, son vagin qui palpite sur ma queue dont je viens d’interrompre la cavalcade. Une chaleur brûlante et humide qui envahit son antre.

 

Deux nouveaux coups de reins et je me joins à sa joie extatique. À chaque contraction, que je ressens jusque dans l’anus, j’ai l’impression que des litres de semence m’échappent. Et il en vient, encore et encore ! Mon sexe répond tel un écho à chaque nouvelle contraction de celui de Becky.

 

Pendant quelques secondes, qui me donnent l’impression de durer des heures, plus rien n’existent. Même pas le matelas sur lequel nous sommes. Tout n’est qu’odeurs et chaleur.

 

Épuisés, nous restons imbriqués, affalés sur le lit comme deux pantins désarticulés. Enlacés et écrasés par une douce torpeur, nous ne cessons de nous embrasser qu’une fois complètement abandonnés aux bras de Morphée.

 

[Fin]

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une fin qui nous laisse sur  la notre de faim ...

 

:clap:

 

superbe final en apothéose !!!

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Mauvaise idée que de lire ce texte avant d'aller se coucher...

Et triste de voir le mot fin s'inscrire au bas ...

Becky semblerait avoir apportée une dimension nouvelle dans la vie de cet homme.

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