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Par Doucerêverie
-Ahhhhh
Un gémissement lui échappa. Elle ne se rendit compte du fait qu'elle avait gémi que lorsqu’elle entendit ce son presque venu d’ailleurs… Doux, délicat… C’était comme si sa bouche avait voulu exprimer à sa manière ce qu’elle-même n’aurait pu expliquer, commenter…
A cet instant précis tout ce qu’elle aurait pu dire c’était qu’elle se sentait bien… Toute bien… Un tel bien être… Une sorte de paix…
-Chéri… S’il te plaît… Reste encore un moment comme ça… Ne bouge pas… Me délecte… , dit-elle en l’enveloppant d’un regard à la fois empli de paix et de joie mais où s’ajoutait aussi une petite once de crainte… Car elle voulait le garder… Là. En elle… Prisonnier de la chaleur et de l’humidité de son intimité… C’était tellement bon de le sentir comme ça en elle… Elle aurait voulu que cela dure une éternité… Cela faisait un moment qu’il n’avait pas été en elle et le manque s’était fait de plus en plus grand, l’envie était devenue de plus en plus irrépressible et intense…
Elle se tortilla doucement, tourna légèrement la tête pour embrasser son avant bras… Il avait une main enfouie dans ses petites boucles, lui caressait les cheveux, l’apaisait et de l’autre main il maintenait fermement sa hanche en place… Mmmmh… Elle était toute heureuse… Profitait de cet instant pour laisser diffuser en elle cette sorte de plénitude que l’on peut ressentir lorsqu’on arrive à enfin avoir quelque chose que l’on a beaucoup et longtemps désiré…
Il la regardait, ne la quittait pas des yeux, guettait le moindre de ses gestes et la moindre de ses réactions… Elle lui sourit se contorsionna presque pour venir déposer un doux baiser sur ses lèvres et lui fit oui de la tête… Oui, elle était prête… Oui, il pouvait bouger en elle… Oui, il pouvait maintenant la prendre comme il voulait… Et oui elle était à lui, rien qu’à lui toute à lui…
-Ahhhh
C’était irrépressible… Le sentir en elle comme ça l’excitait au plus haut point, la rendait toute chose, toute bien, toute touchée, toute émue, toute fière… Il s’était presque totalement retiré. Une petite moue prit vite la place de son sourire. Ow… Il suffisait qu’elle dise oui pour que l’instant d’après cherche à se retirer d’elle… Grr… Non…
-Ahhhhhhh
Il revint en elle fermement presque durement… Elle sentit ses pieds se tordre et pointer immédiatement en réaction à cet assaut… Elle avait l’impression que tout son corps était tendu, avide, en attente de lui… Il vint déposer un doux baiser sur son front et commença à faire des vas et viens amples qui lui arrachaient chaque fois un son… Mmmh… Elle savait qu'il aimait lui faire ça... Faire sortir de sa bouche de doux sons... Il alternait les vas et viens entre lents, puissants et rapides, forts et elle se tortillait, ondulait, se laissait aller à suivre ce rythme qu'il lui imposait et à gémir, ronronner, haleter pour lui... Une douce mélodie lui avait-il une fois dit...
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Par Guest sonny08
Tu es là, lascivement allongée sur ce lit. Entre ombre et lumière ton corps m’apparaît comme la sensualité même.
Tu me regardes, tu me défies.. Tu m'attends.
Alors je m'approche, je glisse sur ta peau pour venir poser un baiser dans ton cou.. puis à la naissance de tes lèvres.. Avant de t'embrasser langoureusement.
Tu mets tes mains dans mes cheveux et délicatement me fais glisser sur le haut de tes seins, puis ton ventre, puis tu laisses ma bouche en tête a tête avec ta jolie dentelle, masquant a peine le joli sexe que tu m'offres.
Je fais glisser le tissu et te regarde dans les yeux.. Je croise un regard plein de défi, de désir et d'envie.
Mes lèvres parcourent tes cuisses puis viennent embrasser ton aine. La pointe de ma langue ondule langoureusement jusqu'à la naissance de ton sexe.
Je te regarde quelques secondes et mordille ma lèvre. Je vais te dévorer, tu le sais.
Ma langue remonte lentement sur la longueur de ton sexe, avant de couvrir ton clitoris d'un baiser langoureux.
La pointe de ma langue glisse sur ton petit bouton de plaisir, elle ondule, dessine de petits cercles de 'l’extérieur vers l’intérieur. Puis, le coiffe d'un rapide baiser.
Ma langue descend pour lécher ton sexe de haut en bas, de bas en haut, j'ondule sur tes petites lèvres puis mes caresses linguales se font plus appuyées, plus entreprenantes..
J'avance doucement vers l’intérieur et ma langue fouette tes petites lèvres. Elle s'ouvrent timidement et ma langue te pénètre.
Je te dévore encore quelques instants, puis mes lèvres se referment sur ton clitoris, pendant que mon majeur viens se glisser en toi. Ton gémissement timide et ton regard provocateur m'indiquent que c'est la bonne voie.
Mon doigt disparaît en toi. Je replie la dernière phalange et masse doucement tes parois, en revenant en arriéré, puis en avançant. Tes soupirs me guident vers l'endroit de ton plaisir.
Mon index entre à son tour dans ton sexe de plus en plus épanoui. Ton excitation facilite son entrée et il vient rejoindre mon majeur pour titiller les endroits les plus sensibles, leurs gestes sont coordonnées. Tantôt collés, tantôt opposés, ils sont les instruments de ton plaisir.
Ma langue se concentre toujours sur ton clitoris, elle le fouette, elle ondule, elle dessine de petits cercles..Mon souffle chaud et humide glisse sur lui.
Mes yeux fixent les tiens, je cherche ton plaisir... En en prenant beaucoup.
Mes caresses sont précises et passionnées. J'aime voir cette émotion si intense au fond de tes yeux.Tes mains se crispent sur mes cheveux. Tu n'as jamais été aussi belle.
Tu prends mes épaules et accompagne mon visage jusqu'au tien. Nous nous embrassons, ton regard est intense. Je te sens bouillante, mais inassouvie.
Nos regards sont l'un dans l'autre, ta peau contre ma peau, tes seins contre mon torse. Mon sexe collé au tien durcit.. J'ai envie d’être en toi, j'ai envie d’être à toi..
Tu mets tes mains sur mes fesses et dans un soupir nous fusionnons.
Mon sexe franchit les portes de ton paradis.
Mes mains sont folles de ton corps, je caresse tes hanches, ton ventre et tes seins.. Ma bouche se perd sur ton joli téton et je l'embrasse fougueusement a chaque fois que tu te cambres. Ma langue s'enroule enfin autour de lui et je le suce avec gourmandise..
Nos mouvements sont liés, nos corps sont collés l'un a l'autre, dans une danse de plaisir. Jusque là esclave de mon désir, me voilà maître de mon plaisir. Et en quête du tien.
Nous faisons l'amour comme des fous, mes pénétrations s’accélèrent, elles sont plus longues, plus puissantes, plus précises au fur et a mesure de nos échanges de regards, de tes soupirs de plaisir.
Nous continuons jusqu'au plaisir ultime, jusqu'à la jouissance finale. Je sens mon désir monter, je sent ton plaisir arriver à son summum. Nous nous laissons aller a un dernier gémissement, à un dernier geste, au plaisir.. Tes pupilles se dilatent et ton regard se perd, envahi de plaisir. Nous restons quelques instants suspendus par le plaisir, ailleurs, au 7eme ciel. Notre plaisir commun comme nirvana. Enlacés nos corps s'effondrent sur le lit. Et dans un sourire, nous nous embrassons.
Je sais que ce récit manque peut être un peu de mise en scène, d'intro ou de conclusion, mais j’espère qu'il vous a plu.
N’hésitez pas à me laisser vos commentaires...
Et merci de la lecture !
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Par Secouss
Notre expérience se fait avec le temps, on découvre que l'on aime les frites, que la piscine ce n'est pas notre truc, que les maths font mal à la tête, qu'internet est immense,....
Et a un moment se fait le déclic, celui où l'on se sent Femme ou Homme et que notre corps devient un océan encore inexploré. Je n'avais pas plus de 15 ans quand j'ai découvert la beauté du corps d'une femme nue. Je ne vais pas vous raconter toutes les explorations, entre magazines de lingerie, découverte des BéDé pour adulte, des photos d'internet avec une connexion 512Ko,...
Et un jour on rencontre sa Némésis, le sentiment ultime, la plénitude par un simple contact, une simple vue, un sous entendu.
Je fouillais dans les tiroirs de ma mère (ne faites pas les innocents, qui ne l'a pas fait !) et je suis tombé sur ces 2 voiles si léger. J'ai tiré dessus et je les ai vu s'étendrent sous mes doigts. Le glissement de cette étole sur mes doigts, ma main, mon bras, ....
Je venais de le découvrir, le nylon, la douceur d'une culotte en satin, le maillage d'un tissus travaillé, l'épaisseur d'une feuille de papier, le sentiment de la peau sous ma main. Au début ce seul contact suffit, il intrigue, étonne, capte l'attention et l'excitation, il devient le catalyseur d'un plaisir coupable.
Cette première fois le simple toucher m'a suffit, je les ai repliés et rangés. Ensuite je suis reparti pour satisfaire mon plaisir charnel et la simple pensée m'a suffit pour jouir. La jouissance de cet âge, ou seul un petit filet incolore d'un liquide encore inconnu apparait au bout d'une verge source d'autant de complexes.
Et les jours passent, à chaque fois, chaque contact de ma main sur mon sexe, chaque pensée érotique, je le retrouve. Le plaisir des yeux face a une femme qui le porte, admirer ses jambes gainées de ce tissus qui érotise n'importe quelle situation. Ce voile simple, couleur chair, que l'on trouve à la fois inutile mais indispensable.
Vient enfin le moment, celui où l'on retourne le chercher, celui de l'approche furtive, le stress, le coeur qui bat la chamade, l'oreille aux aguets pour entendre un bruit de porte qui s'ouvrirait annonçant le retour des parents et la fin de cette quête chevaleresque du plaisir. S'approcher, ouvrir le tiroir en bois, calmement, doucement pour ne pas le faire grincer trop fort. Soulever les quelques culottes et enfin le voir, ce voile, cette fine maille. La prendre dans ses mains, sensation électrique, le frisson. Faire une pause dans le silence de la maison, pousser calmement le tiroir et l'emmener doucement dans sa grotte, son antre, sa chambre, son lit.
Enfin nu avec cet objet, le glisser sur son corps, jouer avec l'élastique, le tout d'une seule main bien entendu. Découvrir le contraste du plastique des bas autofixants sans comprendre encore à quoi sert cette bande. Faire glisser ces bas sur son torse, ses bras, s'approcher ... et enfin le toucher, du bout d'un bas ou d'un collant, sentir la divine caresse du nylon sur son sexe encore jeune et incontrôlé... Sentir la jouissance monter, les vagues se répandrent dans son corps, les coups de boutoir du plaisir qui descend inexorablement vers cette zone bouillante. Et enfin l'instant de magie, le corps se contracte, le cerveau libère des doses incroyables d'hormones, de phéromones, les membres frissonnent, le sexe palpite...
Quelques secondes hors du temps, du monde, des problèmes de la jeunesse, du risque de se faire attraper,.... Laisser son corps revenir à lui calmement. Sentir chaque parcelle de ce corps si bizarre et pourtant, à cet instant, si parfait. Se redresser et faire le chemin inverse doucement pour ranger cet honteux objet de plaisir.
Voulez-vous la suite de cette découverte ?
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Par Gas
Bonjour à tous,
Je n'ai pas trouvé de débat autours de ce sujet chaud qu'est la prostitution alors je le lance ici. En cette période où il commence à être question de l'interdire (pour l'instant, ils ne veulent pas interdire la prostitution mais punir les clients, je ne vois pas vraiment de différence, mais bon, passons), il me semble important d'en parler. J'ai bien sûr un avis sur la question, mais j'aimerai pouvoir le confronter à l'avis d'un plus grand nombre de personnes (car pour l'instant, je n'ai pu le confronter qu'à celui de mes parents qui est assez catégorique et sans appel...).
Dans une société, la prostitution est-elle nécessaire, bonne, mauvaise, un mal pour un bien, utile, dangereuse, dégradante... ?
Avez-vous déjà eu recours aux services d'une prostituée/d'un gogolo ou avez-vous déjà pratiqué des relations sexuelles pour de l'argent ? Quel a été votre ressenti ?
Pensez-vous que la prostitution devrait-être interdite, légiférée, encadrée, laissée dans la situation actuelle... ?
La prostitution est-elle moralement acceptable ? Je parle ici de dignité humaine.
Pour ma part, j'ai tendance à penser qu'il ne faut pas l'interdire mais qu'au contraire, il faudrait ré-introduire des maisons closes (comme c'est le cas en Espagne et en Belgique, me semble-t-il) dans lesquelles les femmes pourraient travailler dans des bonnes conditions de confort et d'hygiène, dans une structure légale qui leur donnerait accès à un salaire fixe, une médecine du travail, une reconnaissance sociale (car il n'y a pas, à mon sens, de sous-métier), une couverture sociale, etc.
Ce qui me dérange avec la prostitution, c'est tous ces mac qui se font une thune pas possible sur le dos de gamines (pas forcément mineures, mais disons des jeunes femmes) exploitées qui n'ont pas forcément leur mot à dire et je pense qu'un instituant un cadre légal à la prostitution, ça va réduire considérablement le nombre de ces commerces (à défaut de pouvoir les tuer véritablement). Si au contraire on bloque tout, j'ai peur que ces business explosent.
Après, je ne connais personnellement aucune prostituée et il est fort possible que la vision qu'on en a est pleine de préjugés dus à une mauvaise information (voire carrément une désinformation) sur ce milieu et le peu d'intérêt qu'il suscite chez les journalistes, les politiques, etc.
Voilà.
Mon avis n'est pas gravé dans le marbre et est sans doute contestable. Donnez le votre, le débat épineux est ouvert.
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Par Guest XratonX
Bonjour à tous,
Je me permet de vous poser à tous une question que je me pose sans pouvoir vraiment y répondre moi-même tout seul :
Qu'aimez-vous que votre compagnon porte comme sous-vêtement ?
Merci
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