Faites des rencontres coquines près de chez vous
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Par dédale
Nous sommes en 1995, …
Cela fait déjà un peu plus d’un an que je fréquente cette charmante demoiselle, une magnifique brune et entre nous ce fut…. Rapide (je vous passe les détails de la première soirée… si vous êtes sage une autre fois peut-être) et malgré nos 25 ans passé, nous vivons encore chez papa-maman (heu …) et nous nous voyons que les week-ends (chez les miens, et je ne les vois pas souvent), fin de semaine qui sont généralement… torrides !!!
En ce doux mois de septembre, nous prennons nos premières vacances ensemble. Bien sûr il y a déjà eu des escapades amoureuses mais là, nous partons tous les deux pour 3 semaines, en moto ET en camping.
Bon, précisons quand même que la demoiselle était habituée aux hôtels 5 étoiles. Mais par amour, elle fait l’effort de suivre son homme (moi haouuaaa, heureux le Dédale).
Bon, chargeons la bécane, une routière, pas de soucis, pas de sac à dos, tout dans les bagages et roule, direction le sud ! les gorges du Verdon, plus exactement Moustier Ste Marie pour ceux qui connaissent (alors ceux qui ne connaissent pas : à voir !!!). je m’étais dit après tout, autant profiter de la chaleur du sud….
Poissard ! Vous le connaissez ? Si si, celui qui a toujours une couille qui lui arrive.
En gros, en septembre 1995, dans cette région-là, il y avait un orage tous les soirs vers 17h. Bon bah voilà quoi… les nuits à défaut d’être « hot » sont humides et pas pour les raisons auxquelles nous nous attendions, la tente n’est pas son grand truc, j’avais juste prévu un grande canadienne pour simplement heu dormir ? un peu quand même, mais entre le tonnerre, et l’humidité ambiante, pas trop de repos et surtout …. Pas trop de câlins !!
Cette après-midi-là, nous avons décidé de la passer au bord du lac, repos.. nous trouvons une petite plage assez calme, pas un coin trop reculé ni désert.. il y a quelques personnes qui comme nous tienne à profiter du soleil et de la douceur de vivre de la Provence.
Nous posons nos serviettes côte à côte, bien sûr et nous nous allongeons, tranquille.. est-ce le manque de câlin ? le lieu ? mais voilà que je m’approche d’elle, ma main passe sur son ventre, je me redresse et pose délicatement mes lèvres sur les siennes, elle les tend vers moi.
Son corps commence à ce tendre, réclamant plus de caresses, plus de tendresse.. pas avare, je m’exécute.
Rapidement, je me retrouve allongé sur elle, elle a écarté les cuisses pour m’accueillir. Autour de nous, les gens sont affairés dans leur livres, magazines et autre jeu, je n’y prête plus attention, ma main se balade sur son flanc, appréciant chaque parcelle de sa peau.
La bosse qui se forme dans mon caleçon le fait devenir étroit, je ne tiens plus.. Lentement, je glisse ma main vers le haut de ses cuisses, la passe sur son bikini et sens sa fente s’ouvrir à travers l’épais tissu.
Nos souffles s’accélèrent, ses ongles me griffent le dos alors que mon doigt fripon fait glisser le cache-sexe sur le côté avant de se faufiler dans cette intimité trempée, elle se laisse transporter, se laisse aller.. que j’aimerais y plonger ma langue, mais non, ce n’est pas le lieu, le moment oui mais pas l’endroit…
Je la masturbe doucement, fouillant son vagin délicatement alors que mon pouce tourne sur son clitoris tendu, essayant de rester discret dans mes mouvements, mon sexe est de plus en plus à l’étroit.
A mon tour, avec ma main restée libre, je libère ma verge de sa prison de tissus et viens poser mon gland à l’orée de ses lèvres ouvertes maintenant libérées de mes doigts. Le monde autour de nous n’existe plus, nous sommes seuls, dans notre bulle alors que lentement je m’introduis en elle…
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Par dédale
En d’autres temps …
C’était au début, les fabuleux débuts …
Les débuts sont toujours magnifiques, féériques et plein de surprises…
Nous nous fréquentions depuis quelques mois, habitions toujours chez papa-maman malgré nos 25 balais et nous ne nous voyions que les weekends …
Des weekends torrides, tout autant que notre première soirée …
En général, elle venait à la maison en fin d’après-midi, travail oblige, elle dans son agence bancaire, moi dans mon véhicule… cette journée semblait toujours rainer en longueur mais une fois rentré nous tombions dans les bras l’un de l’autre, baisers passionnés et longues embrassades tant la chaleur de son corps m’avait manqué. L’avoir, lui parler chaque soir au téléphone ne suffisait pas.
Bien sûr, il fallait souvent faire bonne figure, patienter encore un peu car souvent nous allions voir des copains, mais ceux-ci compréhensifs nous retenaient peu de temps…
Parmi nos habitudes, souvent le dimanche soi nous aimions aller au cinéma, ne travaillant pas le lendemain, nous pouvions à loisir profiter d’une séance du soir… un bon film et ensuite nous regagnions la voiture pour retourner chez moi (enfin mes parents) pour une nouvelle soirée de débauche.
Mais ce soir-là.... était-ce le film ? la douceur de la soirée ? ou bien…
Alors que nous marchions, bras dessus, bras dessous, traversant la gare routière j’approche mon visage de son cou. Je me sens d’humeur coquine, oui, humeur habituelle quoi…. Il nous reste quelque mètres à parcourir pour atteindre le parking où se trouve la voiture et dans cette allée déserte, je la plaque tendrement contre le mur, elle ne résiste pas.
Ma bouche se pose contre la sienne, je savoure le gout de ses lèvres, nos langue s’emmêlent, mes mains parcourent son corps. Je commence à la connaitre, alors je sais rapidement quelle zone il faut titiller, mais il n’y a pas besoin de s’attarder, elle s’appuie contre le mur, laisse ma bouche descendre le long de son cou.
Puis je me redresse, la regarde, échange de regard et ses yeux en disent long alors que ma main se dirige vers la ceinture de son pantalon. Oui, mademoiselle met un jeans pour sortir au ciné avec son amoureux, mais cela ne me gêne pas, je défais cette ceinture, ouvre les premiers boutons et glisse ma main.
Lentement je pars à la rencontre de son sexe lisse et déjà humide, de mon majeur et de mon index j’encercle son clitoris, je joue un peu avec, mais le contact de mes doigts secs n’est pas des plus agréable, alors ils se concentrent sur cette fente qui peu à peu s’ouvre, leur laissant un peu de place.
Ma main tente de manœuvrer entre sa peau et sa culotte, le jeans serré ne facilite pas la tâche… alors j’ouvre les derniers boutons, créant plus d’espace pour bouger, pour évoluer. Voilà, je parviens à glisser un doigt, un deuxième, ses jambes ont du mal à la supporter et la propreté relative du mur n’incite pas à s’appuyer complétement dessus, alors elle s’appuie sur mon avant-bras qu’elle chevauche, son souffle s’accélère, son rythme cardiaque aussi.
J’en ai jamais assez, j’en veux toujours plus, alors que ma main droite et entre ses cuisses, que mes doigts la fouillent gentiment, ma main gauche agrippe la ceinture de son pantalon que je tente de faire glisser le long de ses cuisses. Elle redresse la tête, me fixe, le regard plein de gêne et d’envie. Alors elle se tortille un peu, facilitant ma tâche et une fois le pantalon au niveau de ses genoux, je m’accroupis devant elle, tel un fiancé qui demande sa belle en mariage….
Mais la demande que je vais lui faire, elle l’attend, elle en a envie, elle adore. Et lorsque ma bouche se pose sur son pubis qu’elle entretient pour moi, je sens le frisson qui la parcourt, doucement mes lèvres amorcent leur descente vers les siennes, plus intimes et une fois atteinte je savoure la fierté d’avoir été le premier à lui faire découvrir ce baiser si intime.
Ma langue vient alors trouver ce petit bouton à peine caché derrière son capuchon, son souffle s’accélère de plus en plus, sa main se pose sur ma tête alors que les miennes remontent sous son chemisier, retrouver sa petite poitrine nue, l’un des avantages des petits seins… je suis concentré sur mon labeur, je tiens à la faire jouir, il n’y a pas d’issue autre que celle-là !!
Ma langue tourne autour de son clitoris, puis vient se glisser entre ses deux parois humides… dans le lointain, je perçois le bruit de pas… quelqu’un approche.. Mais son orgasme aussi, tant pis, je n’arrête pas ! Hors de question, de mes lèvres, je pince les siennes, les aspire, les recrache, retourne sur son clitoris maintenant sorti de son refuge, il est dans l’attente de mes caresse linguale.
Les pas s’approchent
Son souffle.. Haletant
Tout s’approche, un coup de langue, son liquide coule sur mon menton, je m’en abreuve alors que ses mains appuient mon crane, collant mon visage à son entrecuisse trempée, elle se raidit..
Les pas sont là, à côté, ils ralentissent, se demandant surement ce qui se passe, puis soudainement, repartent alors que dans un souffle j’entends son orgasme… elle est toujours discrète quand elle jouit.
Les dimanches soir ciné …
C’était il y a longtemps, fort longtemps…
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Par dédale
En d’autres temps …
C’était au début, les fabuleux débuts …
Les débuts sont toujours magnifiques, féériques et plein de surprises…
Nous nous fréquentions depuis quelques mois, habitions toujours chez papa-maman malgré nos 25 balais et nous ne nous voyions que les weekends …
Des weekends torrides, tout autant que notre première soirée …
En général, elle venait à la maison en fin d’après-midi, travail oblige, elle dans son agence bancaire, moi dans mon véhicule… cette journée semblait toujours rainer en longueur mais une fois rentré nous tombions dans les bras l’un de l’autre, baisers passionnés et longues embrassades tant la chaleur de son corps m’avait manqué. L’avoir, lui parler chaque soir au téléphone ne suffisait pas.
Bien sûr, il fallait souvent faire bonne figure, patienter encore un peu car souvent nous allions voir des copains, mais ceux-ci compréhensifs nous retenaient peu de temps…
Parmi nos habitudes, souvent le dimanche soi nous aimions aller au cinéma, ne travaillant pas le lendemain, nous pouvions à loisir profiter d’une séance du soir… un bon film et ensuite nous regagnions la voiture pour retourner chez moi (enfin mes parents) pour une nouvelle soirée de débauche.
Mais ce soir-là.... était-ce le film ? la douceur de la soirée ? ou bien…
Alors que nous marchions, bras dessus, bras dessous, traversant la gare routière j’approche mon visage de son cou. Je me sens d’humeur coquine, oui, humeur habituelle quoi…. Il nous reste quelque mètres à parcourir pour atteindre le parking où se trouve la voiture et dans cette allée déserte, je la plaque tendrement contre le mur, elle ne résiste pas.
Ma bouche se pose contre la sienne, je savoure le gout de ses lèvres, nos langue s’emmêlent, mes mains parcourent son corps. Je commence à la connaitre, alors je sais rapidement quelle zone il faut titiller, mais il n’y a pas besoin de s’attarder, elle s’appuie contre le mur, laisse ma bouche descendre le long de son cou.
Puis je me redresse, la regarde, échange de regard et ses yeux en disent long alors que ma main se dirige vers la ceinture de son pantalon. Oui, mademoiselle met un jeans pour sortir au ciné avec son amoureux, mais cela ne me gêne pas, je défais cette ceinture, ouvre les premiers boutons et glisse ma main.
Lentement je pars à la rencontre de son sexe lisse et déjà humide, de mon majeur et de mon index j’encercle son clitoris, je joue un peu avec, mais le contact de mes doigts secs n’est pas des plus agréable, alors ils se concentrent sur cette fente qui peu à peu s’ouvre, leur laissant un peu de place.
Ma main tente de manœuvrer entre sa peau et sa culotte, le jeans serré ne facilite pas la tâche… alors j’ouvre les derniers boutons, créant plus d’espace pour bouger, pour évoluer. Voilà, je parviens à glisser un doigt, un deuxième, ses jambes ont du mal à la supporter et la propreté relative du mur n’incite pas à s’appuyer complétement dessus, alors elle s’appuie sur mon avant-bras qu’elle chevauche, son souffle s’accélère, son rythme cardiaque aussi.
J’en ai jamais assez, j’en veux toujours plus, alors que ma main droite et entre ses cuisses, que mes doigts la fouillent gentiment, ma main gauche agrippe la ceinture de son pantalon que je tente de faire glisser le long de ses cuisses. Elle redresse la tête, me fixe, le regard plein de gêne et d’envie. Alors elle se tortille un peu, facilitant ma tâche et une fois le pantalon au niveau de ses genoux, je m’accroupis devant elle, tel un fiancé qui demande sa belle en mariage….
Mais la demande que je vais lui faire, elle l’attend, elle en a envie, elle adore. Et lorsque ma bouche se pose sur son pubis qu’elle entretient pour moi, je sens le frisson qui la parcourt, doucement mes lèvres amorcent leur descente vers les siennes, plus intimes et une fois atteinte je savoure la fierté d’avoir été le premier à lui faire découvrir ce baiser si intime.
Ma langue vient alors trouver ce petit bouton à peine caché derrière son capuchon, son souffle s’accélère de plus en plus, sa main se pose sur ma tête alors que les miennes remontent sous son chemisier, retrouver sa petite poitrine nue, l’un des avantages des petits seins… je suis concentré sur mon labeur, je tiens à la faire jouir, il n’y a pas d’issue autre que celle-là !!
Ma langue tourne autour de son clitoris, puis vient se glisser entre ses deux parois humides… dans le lointain, je perçois le bruit de pas… quelqu’un approche.. Mais son orgasme aussi, tant pis, je n’arrête pas ! Hors de question, de mes lèvres, je pince les siennes, les aspire, les recrache, retourne sur son clitoris maintenant sorti de son refuge, il est dans l’attente de mes caresse linguale.
Les pas s’approchent
Son souffle.. Haletant
Tout s’approche, un coup de langue, son liquide coule sur mon menton, je m’en abreuve alors que ses mains appuient mon crane, collant mon visage à son entrecuisse trempée, elle se raidit..
Les pas sont là, à côté, ils ralentissent, se demandant surement ce qui se passe, puis soudainement, repartent alors que dans un souffle j’entends son orgasme… elle est toujours discrète quand elle jouit.
Les dimanches soir ciné …
C’était il y a longtemps, fort longtemps…
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Par joliette
Un début d'après-midi, Paris l'été, Paris suffoque sous le soleil...Joliette et Gourmande sonnent, excitées et gloussantes comme 2 ados, à la porte d'un sauna. Pas n'importe quel sauna, ce serait trop simple! Non, un sauna libertin!
La gérante leur ouvre. Bienvenue dans un univers de pénombre, fraicheur agréable et d'obscurité! Lorsque leur vision s'est adaptée, elle paient la gérante qui leur tend une serviette et leur indique les vestiaires.
Opération strip tease, dans la joie et la bonne humeur. Elles s'effeuillent l'une l'autre en riant, d'ailleurs ca va vite, elles sont si légérement vétues! Et puis une fois nues, elles s'enlacent, s'embrassent, se bercent, se caressent...
La porte s'ouvre sur un nouveau client, les filles se tiennent coites. On ne voit pas le visage du nouvel arrivant, mais sa silhouette se découpe à contre-jour. Non! C'est Dédale, requis comme garde du corps! Elle n'espéraient pas trop en sa venue, mais il l'a fait, il a séché le boulot pour les accompagner!
Guidé par la patronne qui minaude, le voilà à son tour dans les vestiaires, et se retrouve un peu estomaqué devant deux matures nues comme des vers, l'oeil rieur, en qui il reconnait vite Gourmande et Joliette, toujours enlacées. Il en reste pétrifié. Mais déjà elle bondissent joyeusement vers lui de concert et lui plantent sans façon sur chacune de ses joues un peu rapeuses un bisou joyeux et amical. Leurs tétons se frottent sans façon sur la chemise à carreaux, et il ne sait plus que faire de ses mains, le malheureux!
Reprenant ses esprit, il entreprend de se mettre à l'aise, puisque c'est la rêgle dans ces lieux. Mais ses doigts tremblent trop pour détacher les boutons, et les filles viennent à la rescousse! 20 doigts habiles s'agitent et se promènent sur lui pour le dépouiller de ses effets! Exit chemise, exit jean, exit sandales! Reste le boxer, Dédale se demande vaguement s'il ne devrait pas le garder. Mais déjà dans un bel ensemble les filles font glisser le boxer, le laissant un instant nu comme au jour de sa naissance avant de nouer autour de ses reins la serviette en pagne, de le faire pour elles-même, joliette pragmatique la nouant autour de sa taille, Gourmande plus pudique choisissant de cacher ses seins, et les filles mains dans la main se dirigent vers le bar
Peut être car c'est l'été, il y a peu de monde, et ça convient très bien au trio qui commande un thé pour les filles, un café pour le bodyguard, et qui papote gaiement. Ravigotés, on leur propose de visiter librement, et ils errent au hasard, découvrant les lieux avec curiosité. Tiens les douches, l'occasion de se raffraichir, et pour les filles de se peloter gaiment, sous l'oeil curieux de Dédale qui une fois finies les ablutions, s'offre à les sécher, le coquin! Et c'est reparti pour une errance dans la pénombre!
Le jacuzzi, enfin, havre de fraicheur, petit bassin de mosaiques bleues et blanches. Petit, mais accueillant! Gourmande passe l'échelle la première, Joliette suit, et Déd ferme la marche, se rinçant l'oeil sans vergogne devant ces coquins de popotins qui passent au niveau de ses yeux. Il lui suffirait de se pencher pour déposer un bisou sur les pommes offertes
Les filles s'installent côte à côte, leur bodyguard en face. Les jambes parfois se frôlent, devant l'étroitesse du lieu, qui s'abandonnent aux bienfait de bulles bienfaisantes.
Gourmande qui ne tient jamais en place à les mains baladeuses! Qu'importe! Pour mieux se faire caliner, Joliette choisi de s'assoir sur sa copine. Et pour lui rendre ses calins elle se met à genoux en face de Gourmande, lui rend baisers langoureux et tendres, et caresses douces ou osées, doucement, elles s'attisent l'une et l'autre, oublieuses de ce qui les entoure, leur douceur initiale devient fringale. Elles se lèvent, traversent le bassin, gravissent l'échelle, leur bodyguard les suit, la main sur sa queue.
Elles avancent dans le couloirs encore inexplorés, à la recherche des coins calins. Elle ne trouvent pas, mais un sofa large et spacieux les tente et elle s'abattent dessus, impatientes, mains et langues sorties, se caressent, s'embrassent, se calinent, se goutent, malgré l'odeur de chlore. Leurs corps encore humide glisse l'un sur l'autre. Elles ont envie d'un 69 et se positionnent, se dévorant, se léchant, se doigtant, calinant leur clito, gémissantes, haletantes, miaulantes, dans un corps à corps endiablé, attentives à se donner du plaisir, diablesse emmélées, échevelées.
Un puis deux, puis trois voyeurs rejoignent Déd', se posent près de lui, se branlent devant la scène. L'un deux plus culottés que les autres tente de se joindre aux ébats des filles mais Déd' le retient doucement mais fermement. On regarde, on ne touche pas!
La danse des filles monte en intensité avec la venue du plaisir. Gourmande jouit sans retenue sous la langue de Joliette, qui la suit, 3 doigts de son amante fichés en elle, un 4 e en numéro bonus calinant le clito.
Le calme après la tempête, les filles émergent lentement! Les gars se branlent, feu d'artifice final, se résignent à se vider dans leur paume et s'esquivent sans demander leur reste.
Gourmande et Joliette savourent ce moment d'intimité et de tranquillité. Elles sont bien. Leurs corps trempés de sueurs se collent l'un contre l'autre, l'air sent le sexe et la cyprine.
Quand elles se disent que l'accés aux douches a du être libéré par les hommes, elles se lévent, et s'y dirigent, main dans la main, hanche contre hanche. Une lueur attire l'attention de Joliette, elle veut savoir ce que c'est et bifurque. Docile, Gourmande suit le mouvement.
Une piece apparait, illuminée.
Elles en restent interdites.
-Un glory hole!
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