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Au bord de la rivière

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AU BORD DE LA RIVIÈRE

Partie 1 : Voyeur et exhibitionniste

J’avoue avoir été, cette journée, à la fois voyeur et exhibitionniste, là où j’avais souvent l’habitude de m’installer avec mon chevalet, ma palette et mes pinceaux pour peindre au bord d'une rivière, dans l'Allier. Endroit paisible et très agréable que j'aimais bien.

J’avais remarqué depuis quelques jours, que deux jeunes filles venaient régulièrement se faire bronzer, pour profiter des rares rayons de soleil en ce drôle de mois d’août.

Ce jour-là, je n’ai aperçu qu’une seule jeune fille. Elle est descendue, prudemment, le long de la berge en contrebas, au bord de l’eau. Il faisait chaud, c'était l'idéal pour un bain de soleil.

Assis devant ma toile, légèrement en hauteur, je ne pouvais pas, ne pas la voir la jeune fille. Celle-ci était la plus mignonne des deux et avait une silhouette de rêve qui me faisait fantasmer. Le genre de fille que l’on suit du regard jusqu’à ce qu’elle disparaisse de votre horizon.


Curieux, je l'observais en train de s'installer. J’avais laissé quelques instants ma toile et mes pinceaux pour admirer cette beauté.
Elle s'était allongée sur le dos, les seins nus, juste avec un joli petit maillot de bain. Une main posée sur un sein, l’autre sur son ventre. Je ne la quittai plus des yeux depuis un bon moment. Non, je ne rêvai pas, elle caressait bien son sein et, de l’autre main à plat sur son bas-ventre, faisait des ronds autour de son pubis. Je ne bougeais plus. Le rythme de ma respiration s’était modifié,
une chaleur m’avait envahi. Je me sentais ailleurs, me demandant si je ne rêvais pas. J’avais du mal à croire ce que je voyais.

Voulant assister à la suite de plus près, je me suis planqué derrière un bosquet pour ne pas me faire trop remarquer.
La coquine avait décidé de se faire plaisir et moi, dans mon coin, je n'en ratais pas une seconde.
Je commençais à avoir de sérieuses envies. La fille continuait ses caresses.
Ses mouvements étaient plus réguliers, plus rapides et semblaient plus appuyés. Elle avait fermé les yeux, son visage tourné vers le soleil. Elle semblait faire l'amour avec lui!
C'en était trop pour moi... N’en pouvant plus, j’ai sorti mon sexe, déjà en érection et j’ai commencé des va-et-vient. Je prenais des risques, elle pouvait me voir ou m’entendre à tout moment. Je n’arrivais plus à me contrôler.

La jeune fille a dû entendre le bruit d’une branche cassée sous mes pieds, elle s’était redressée brusquement, comme surprise et s’était assise aussitôt. Elle cherchait d'où
venait le bruit. Elle finit par me localiser puis, son regard s'arrêta dans ma direction.
Je ne me cachais presque plus, maintenant. J’étais trop excité pour faire marche arrière et, pendant tout le temps de ma masturbation, elle ne m’a pas quitté des yeux un seul instant. Elle avait reprit ses caresses plus discrètement.

Cette situation devait l’exciter, comme si cette vision faisait aussi de l’effet sur la belle demoiselle !

Tellement excité, je ne me cachais plus. J’avais bien profité de cette situation.
Ma jouissance n'avait pas tardé, elle fut intense.

Un peu honteux mais content quand même, je suis retourné sagement à mon chevalet.
Je n’avais plus qu’une seule idée en tête, comme une obsession, la revoir !



Partie 2 : Le modèle

Cette journée tant souhaitée est arrivée quelques jours plus tard ! J’avais placé mon chevalet à l’endroit habituel, sorti mon nécessaire pour peindre une nouvelle vision de ce paysage magnifique qui se présentait à moi. Puis, en retournant à la voiture pour fermer le coffre, j’aperçus, au fond à la prairie, la silhouette de la belle jeune fille qui me faisait tant fantasmer depuis plusieurs jours et qui m’avait accompagné dans mes douces caresses nocturnes.

En la voyant se rapprocher de plus en plus de moi, je pensais :

« Si le fantasme de cette nuit pouvait se réaliser ? »

Mon cœur battait de plus en plus fort ; l’émotion, le plaisir de la voir, l’imaginer comme dans mes rêves.

Je la regardais se rapprocher, avec sa façon très sexy de se déhancher. C’était la première fois qu’elle revenait ici depuis notre petit jeu coquin improvisé. Surpris, je la vis dévier son parcours et s’avancer dans ma direction. J’étais de plus en plus troublé. Quelle attitude avoir ? Avait-elle été choquée par mon comportement de la dernière fois ?
Elle m’a tendu la main et, avec un grand sourire, m'a dit :

- Bonjour ! Qu’allez-vous peindre aujourd’hui ?

Ouf ! J’étais soulagé. Elle ne m’en avait pas voulu, ni reproché mon attitude un peu bizarre.

Sans réfléchir, je lui ai répondu :

- Vous feriez un joli modèle, au milieu de cette verdure, avec la rivière derrière.

Elle répliqua aussitôt :

- J’aimerai bien vous servir de modèle.

Ma réponse fut immédiate.

- Les femmes que je peins habituellement sont nues.

Nous avons plaisanté en échangeant quelques mots puis soudain elle me lance :

- Pourquoi ne pas faire le tableau au bord de la rivière, nue, allongée sur ma serviette...

Je lui ai répondu, avec un air ravi :

- OK ! Beau modèle, je sens déjà mon inspiration.

Me voilà déplaçant mon matériel en contrebas, au bord de la rivière. Une fois installé, je la regardais s’allonger sur sa serviette. Elle enleva sa jolie robe bleu clair avec des petites fleurs de toutes les couleurs, imprimées sur le tissu, puis enleva son soutien-gorge et ne garda que sa petite culotte. Ses petits seins étaient mignons avec des
tétons bien saillants.

En plaisantant, je lui ai dit :

- Non, non... Mademoiselle! Nu intégral !

Je m’étais avancé vers elle, bien décidé... Je fis le geste de vouloir lui enlever sa culotte. Elle m’attrapa le bras pour m’empêcher de la déculotter. Dans une position très instable, elle me déséquilibra et je me suis retrouvé sur elle. Là, tout alla très vite. Elle me fixa de son beau regard. Elle me fixa avec insistance. Elle m'avait troublé et, sans réfléchir, je l’ai
embrassée, attiré comme un aimant.


Elle attendait visiblement ce baiser, qu’elle m'a rendu avec beaucoup de passion. Nos langues se sont cherchées, mélangées.
Mes mains se sont vite empressées de la caresser partout, sur son superbe corps, sa peau était douce et sentait bon.
Mes doigts filaient dans sa belle chevelure, elle me serrait très fort contre son corps, comme si elle avait peur que je parte.
Ça ne risquait pas d’arriver, j’étais trop bien dans ses bras ! J'ai déposé quelques petits baisers dans son cou, la mordillant docilement. Ses beaux petits seins s’écrasaient sur mon torse. J’étais déjà très excité, mon sexe en érection, appuyait sur son pubis. Elle se mit à se frotter contre moi et à faire des mouvements qui me firent comprendre son désir. Ma main glissa lentement vers ses cuisses. J'ai commencé à la caresser à travers le tissu de sa culotte. J'ai senti l’humidité de son minou. Ma main avait fait glisser sa culotte à ses pieds qu’elle dégagea avec un habile petit jeu de jambes. La voilà nue, s’offrant à moi. Nos corps, exposés aux rayons du soleil, roulaient dans tous les sens au risque de se retrouver dans la rivière.

Je revoyais défiler tous les fantasmes que j’avais eus en pensant à elle ! J’ai voulu les réaliser...

J’ai glissé mon visage entre ses cuisses, qu’elle écarta aussitôt, comme une invitation à butiner son petit bouton. Ma langue titillait son clitoris. Mes doigts, remplacèrent ma langue, s’activant le long de sa raie fessière. Mon majeur chatouillait son petit abricot, recueillant sa cyprine pour lubrifier son petit trou. Je m’aperçu que la jeune fille n’avait pas encore été visitée à cet endroit.

N’y tenant plus, elle cherchait mon sexe qu’elle a
pris dans sa petite main et le guida vers son minou. Après quelques caresses avec mon gland sur sa raie fessière allant d'un trou à l'autre...
puis d’un grand coup de reins, mon pénis la pénétra, avec un grand « Waouh ! » de plaisir.

Non, là je ne rêvais plus ! Elle me serrait de plus en plus fort, remuant dans un même rythme. Je sentais les contractions de son vagin serrant ma queue. Elle s’agitait de plus en plus vite. Ses gémissements devenaient de plus en plus bruyants
suivis ensuite d’un grand cri de soulagement. Elle venait de jouir en même temps que moi. Je venais d’exploser à mon tour, me déversant dans son intimité. Agréable fusion de nos corps ! Un moment inoubliable d’intensité.

Nous sommes restés longtemps enlacés, comme si nous ne voulions plus nous séparer.

Un long silence s’ensuivit. Nous étions si bien comme ça, ensemble. Le soleil chauffant nos corps.
Quel beau souvenir ! J’avais été comblé ! L’était-elle aussi ? Je le pense.
Elle m’avait semblé heureuse de vivre cet instant champêtre !

Le tableau n’a jamais été commencé ! C’est sans trop d’importance maintenant. Nous nous sommes revus plusieurs fois, mais ça, c’est d’autres histoires ...

Elle est devenue une épouse et une maman adorable.
Quand je la croisais dans le village, nous échangions un petit sourire complice.


Tous ces plaisirs je ne les oublierai jamais.
 

Déjà Posté le 21 avril 2010
Revu et corrigé

G.A  (Codem)

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il te reste à nous raconter ces autres histoires Codem

 

On aime bien te lire

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J'ai toujours adoré ce texte, le premier que tu as écris et jamais posté ici

Merci de nous faire partager ces moments bucoliques

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On aime bien te lire

Merci  pour ton commentaire piewy  :biere:

J'ai déjà posté  ici des  histoires qui sont de la même époque et également qui  ce sont déroulées dans l'Allier.

Certaines  se  sont égarées  mais  je devrais  les retrouver!

 

J'ai toujours adoré ce texte, le premier que tu as écris et jamais posté ici

Merci de nous faire partager ces moments bucoliques

Et  oui n'ayant plus trop d'inspiration , je pioche  dans  mes  premiers  textes

Merci Joliette  :bisou:

 

 

Superbe souvenir ...

 

:)

Les  bons souvenirs sont  toujours superbes

Merci S' :bisou:

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Pffff, Codem, certaines  de tes histoires n'ont JAMAIS été postées ici, et d'une, et d'autre part, une partie la plus ancienne du fofo a été atomisée lors d'un bug! 

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Pffff, Codem, certaines  de tes histoires n'ont JAMAIS été postées ici, et d'une, et d'autre part, une partie la plus ancienne du fofo a été atomisée lors d'un bug! 

Je  viens d'en retrouver  quelques unes   justement, que  je croyais perdu !

Il suffit de fouiller dans  " contenu suivi "

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trés belle histoire j'adore personnellement ;)

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très belle histoire j'adore personnellement ;)

Merci   pour  ton commentaire  Kireas

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    • Par dédale
      Nous sommes en 1995, …

      Cela fait déjà un peu plus d’un an que je fréquente cette charmante demoiselle, une magnifique brune et entre nous ce fut…. Rapide (je vous passe les détails de la première soirée… si vous êtes sage une autre fois peut-être) et malgré nos 25 ans passé, nous vivons encore chez papa-maman (heu …) et nous nous voyons que les week-ends (chez les miens, et je ne les vois pas souvent), fin de semaine qui sont généralement… torrides !!!

      En ce doux mois de septembre, nous prennons nos premières vacances ensemble. Bien sûr il y a déjà eu des escapades amoureuses mais là, nous partons tous les deux pour 3 semaines, en moto ET en camping.

      Bon, précisons quand même que la demoiselle était habituée aux hôtels 5 étoiles. Mais par amour, elle fait l’effort de suivre son homme (moi haouuaaa, heureux le Dédale).

      Bon, chargeons la bécane, une routière, pas de soucis, pas de sac à dos, tout dans les bagages et roule, direction le sud ! les gorges du Verdon, plus exactement Moustier Ste Marie pour ceux qui connaissent (alors ceux qui ne connaissent pas : à voir !!!). je m’étais dit après tout, autant profiter de la chaleur du sud….

      Poissard ! Vous le connaissez ? Si si, celui qui a toujours une couille qui lui arrive.

      En gros, en septembre 1995, dans cette région-là, il y avait un orage tous les soirs vers 17h. Bon bah voilà quoi… les nuits à défaut d’être « hot » sont humides et pas pour les raisons auxquelles nous nous attendions, la tente n’est pas son grand truc, j’avais juste prévu un grande canadienne pour simplement heu dormir ? un peu quand même, mais entre le tonnerre, et l’humidité ambiante, pas trop de repos et surtout …. Pas trop de câlins !!

      Cette après-midi-là, nous avons décidé de la passer au bord du lac, repos.. nous trouvons une petite plage assez calme, pas un coin trop reculé ni désert.. il y a quelques personnes qui comme nous tienne à profiter du soleil et de la douceur de vivre de la Provence.

      Nous posons nos serviettes côte à côte, bien sûr et nous nous allongeons, tranquille.. est-ce le manque de câlin ? le lieu ? mais voilà que je m’approche d’elle, ma main passe sur son ventre, je me redresse et pose délicatement mes lèvres sur les siennes, elle les tend vers moi.

      Son corps commence à ce tendre, réclamant plus de caresses, plus de tendresse.. pas avare, je m’exécute.

      Rapidement, je me retrouve allongé sur elle, elle a écarté les cuisses pour m’accueillir. Autour de nous, les gens sont affairés dans leur livres, magazines et autre jeu, je n’y prête plus attention, ma main se balade sur son flanc, appréciant chaque parcelle de sa peau.

      La bosse qui se forme dans mon caleçon le fait devenir étroit, je ne tiens plus.. Lentement, je glisse ma main vers le haut de ses cuisses, la passe sur son bikini et sens sa fente s’ouvrir à travers l’épais tissu.
      Nos souffles s’accélèrent, ses ongles me griffent le dos alors que mon doigt fripon fait glisser le cache-sexe sur le côté avant de se faufiler dans cette intimité trempée, elle se laisse transporter, se laisse aller.. que j’aimerais y plonger ma langue, mais non, ce n’est pas le lieu, le moment oui mais pas l’endroit…

      Je la masturbe doucement, fouillant son vagin délicatement alors que mon pouce tourne sur son clitoris tendu, essayant de rester discret dans mes mouvements, mon sexe est de plus en plus à l’étroit.

      A mon tour, avec ma main restée libre, je libère ma verge de sa prison de tissus et viens poser mon gland à l’orée de ses lèvres ouvertes maintenant libérées de mes doigts. Le monde autour de nous n’existe plus, nous sommes seuls, dans notre bulle alors que lentement je m’introduis en elle…
    • Par dédale
      En d’autres temps …

      C’était au début, les fabuleux débuts …

      Les débuts sont toujours magnifiques, féériques et plein de surprises…

      Nous nous fréquentions depuis quelques mois, habitions toujours chez papa-maman malgré nos 25 balais et nous ne nous voyions que les weekends …


      Des weekends torrides, tout autant que notre première soirée …

      En général, elle venait à la maison en fin d’après-midi, travail oblige, elle dans son agence bancaire, moi dans mon véhicule… cette journée semblait toujours rainer en longueur mais une fois rentré nous tombions dans les bras l’un de l’autre, baisers passionnés et longues embrassades tant la chaleur de son corps m’avait manqué. L’avoir, lui parler chaque soir au téléphone ne suffisait pas.

      Bien sûr, il fallait souvent faire bonne figure, patienter encore un peu car souvent nous allions voir des copains, mais ceux-ci compréhensifs nous retenaient peu de temps…

      Parmi nos habitudes, souvent le dimanche soi nous aimions aller au cinéma, ne travaillant pas le lendemain, nous pouvions à loisir profiter d’une séance du soir… un bon film et ensuite nous regagnions la voiture pour retourner chez moi (enfin mes parents) pour une nouvelle soirée de débauche.

      Mais ce soir-là.... était-ce le film ? la douceur de la soirée ? ou bien…

      Alors que nous marchions, bras dessus, bras dessous, traversant la gare routière j’approche mon visage de son cou. Je me sens d’humeur coquine, oui, humeur habituelle quoi…. Il nous reste quelque mètres à parcourir pour atteindre le parking où se trouve la voiture et dans cette allée déserte, je la plaque tendrement contre le mur, elle ne résiste pas.

      Ma bouche se pose contre la sienne, je savoure le gout de ses lèvres, nos langue s’emmêlent, mes mains parcourent son corps. Je commence à la connaitre, alors je sais rapidement quelle zone il faut titiller, mais il n’y a pas besoin de s’attarder, elle s’appuie contre le mur, laisse ma bouche descendre le long de son cou.

      Puis je me redresse, la regarde, échange de regard et ses yeux en disent long alors que ma main se dirige vers la ceinture de son pantalon. Oui, mademoiselle met un jeans pour sortir au ciné avec son amoureux, mais cela ne me gêne pas, je défais cette ceinture, ouvre les premiers boutons et glisse ma main.

      Lentement je pars à la rencontre de son sexe lisse et déjà humide, de mon majeur et de mon index j’encercle son clitoris, je joue un peu avec, mais le contact de mes doigts secs n’est pas des plus agréable, alors ils se concentrent sur cette fente qui peu à peu s’ouvre, leur laissant un peu de place.

      Ma main tente de manœuvrer entre sa peau et sa culotte, le jeans serré ne facilite pas la tâche… alors j’ouvre les derniers boutons, créant plus d’espace pour bouger, pour évoluer. Voilà, je parviens à glisser un doigt, un deuxième, ses jambes ont du mal à la supporter et la propreté relative du mur n’incite pas à s’appuyer complétement dessus, alors elle s’appuie sur mon avant-bras qu’elle chevauche, son souffle s’accélère, son rythme cardiaque aussi.

      J’en ai jamais assez, j’en veux toujours plus, alors que ma main droite et entre ses cuisses, que mes doigts la fouillent gentiment, ma main gauche agrippe la ceinture de son pantalon que je tente de faire glisser le long de ses cuisses. Elle redresse la tête, me fixe, le regard plein de gêne et d’envie. Alors elle se tortille un peu, facilitant ma tâche et une fois le pantalon au niveau de ses genoux, je m’accroupis devant elle, tel un fiancé qui demande sa belle en mariage….

      Mais la demande que je vais lui faire, elle l’attend, elle en a envie, elle adore. Et lorsque ma bouche se pose sur son pubis qu’elle entretient pour moi, je sens le frisson qui la parcourt, doucement mes lèvres amorcent leur descente vers les siennes, plus intimes et une fois atteinte je savoure la fierté d’avoir été le premier à lui faire découvrir ce baiser si intime.

      Ma langue vient alors trouver ce petit bouton à peine caché derrière son capuchon, son souffle s’accélère de plus en plus, sa main se pose sur ma tête alors que les miennes remontent sous son chemisier, retrouver sa petite poitrine nue, l’un des avantages des petits seins… je suis concentré sur mon labeur, je tiens à la faire jouir, il n’y a pas d’issue autre que celle-là !!

      Ma langue tourne autour de son clitoris, puis vient se glisser entre ses deux parois humides… dans le lointain, je perçois le bruit de pas… quelqu’un approche.. Mais son orgasme aussi, tant pis, je n’arrête pas ! Hors de question, de mes lèvres, je pince les siennes, les aspire, les recrache, retourne sur son clitoris maintenant sorti de son refuge, il est dans l’attente de mes caresse linguale.
      Les pas s’approchent

      Son souffle.. Haletant

      Tout s’approche, un coup de langue, son liquide coule sur mon menton, je m’en abreuve alors que ses mains appuient mon crane, collant mon visage à son entrecuisse trempée, elle se raidit..

      Les pas sont là, à côté, ils ralentissent, se demandant surement ce qui se passe, puis soudainement, repartent alors que dans un souffle j’entends son orgasme… elle est toujours discrète quand elle jouit.

      Les dimanches soir ciné …

      C’était il y a longtemps, fort longtemps…
    • Par dédale
      En d’autres temps …
       
                    C’était au début, les fabuleux débuts …
       
           Les débuts sont toujours magnifiques, féériques et plein de surprises…
       
           Nous nous fréquentions depuis quelques mois, habitions toujours chez papa-maman malgré nos 25 balais et nous ne nous voyions que les weekends …
       
       
            Des weekends torrides, tout autant que notre première soirée …
       
           En général, elle venait à la maison en fin d’après-midi, travail oblige, elle dans son agence bancaire, moi dans mon véhicule… cette journée semblait toujours rainer en longueur mais une fois rentré nous tombions dans les bras l’un de l’autre, baisers passionnés et longues embrassades tant la chaleur de son corps m’avait manqué. L’avoir, lui parler chaque soir au téléphone ne suffisait pas.
       
           Bien sûr, il fallait souvent faire bonne figure, patienter encore un peu car souvent nous allions voir des copains, mais ceux-ci compréhensifs nous retenaient peu de temps…
       
           Parmi nos habitudes, souvent le dimanche soi nous aimions aller au cinéma, ne travaillant pas le lendemain, nous pouvions à loisir profiter d’une séance du soir… un bon film et ensuite nous regagnions la voiture pour retourner chez moi (enfin mes parents) pour une nouvelle soirée de débauche.
       
         Mais ce soir-là.... était-ce le film ? la douceur de la soirée ? ou bien…
       
           Alors que nous marchions, bras dessus, bras dessous, traversant la gare routière j’approche mon visage de son cou. Je me sens d’humeur coquine, oui, humeur habituelle quoi…. Il nous reste quelque mètres à parcourir pour atteindre le parking où se trouve la voiture et dans cette allée déserte, je la plaque tendrement contre le mur, elle ne résiste pas.
       
           Ma bouche se pose contre la sienne, je savoure le gout de ses lèvres, nos langue s’emmêlent, mes mains parcourent son corps. Je commence à la connaitre, alors je sais rapidement quelle zone il faut titiller, mais il n’y a pas besoin de s’attarder, elle s’appuie contre le mur, laisse ma bouche descendre le long de son cou.
       
           Puis je me redresse, la regarde, échange de regard et ses yeux en disent long alors que ma main se dirige vers la ceinture de son pantalon. Oui, mademoiselle met un jeans pour sortir au ciné avec son amoureux, mais cela ne me gêne pas, je défais cette ceinture, ouvre les premiers boutons et glisse ma main.
       
           Lentement je pars à la rencontre de son sexe lisse et déjà humide, de mon majeur et de mon index j’encercle son clitoris, je joue un peu avec, mais le contact de mes doigts secs n’est pas des plus agréable, alors ils se concentrent sur cette fente qui peu à peu s’ouvre, leur laissant un peu de place.
       
           Ma main tente de manœuvrer entre sa peau et sa culotte, le jeans serré ne facilite pas la tâche… alors j’ouvre les derniers boutons, créant plus d’espace pour bouger, pour évoluer. Voilà, je parviens à glisser un doigt, un deuxième, ses jambes ont du mal à la supporter et la propreté relative du mur n’incite pas à s’appuyer complétement dessus, alors elle s’appuie sur mon avant-bras qu’elle chevauche, son souffle s’accélère, son rythme cardiaque aussi.
       
           J’en ai jamais assez, j’en veux toujours plus, alors que ma main droite et entre ses cuisses, que mes doigts la fouillent gentiment, ma main gauche agrippe la ceinture de son pantalon que je tente de faire glisser le long de ses cuisses. Elle redresse la tête, me fixe, le regard plein de gêne et d’envie. Alors elle se tortille un peu, facilitant ma tâche et une fois le pantalon au niveau de ses genoux, je m’accroupis devant elle, tel un fiancé qui demande sa belle en mariage….
       
          Mais la demande que je vais lui faire, elle l’attend, elle en a envie, elle adore. Et lorsque ma bouche se pose sur son pubis qu’elle entretient pour moi, je sens le frisson qui la parcourt, doucement mes lèvres amorcent leur descente vers les siennes, plus intimes et une fois atteinte je savoure la fierté d’avoir été le premier à lui faire découvrir ce baiser si intime.
       
           Ma langue vient alors trouver ce petit bouton à peine caché derrière son capuchon, son souffle s’accélère de plus en plus, sa main se pose sur ma tête alors que les miennes remontent sous son chemisier, retrouver sa petite poitrine nue, l’un des avantages des petits seins… je suis concentré sur mon labeur, je tiens à la faire jouir, il n’y a pas d’issue autre que celle-là !!
       
           Ma langue tourne autour de son clitoris, puis vient se glisser entre ses deux parois humides… dans le lointain, je perçois le bruit de pas… quelqu’un approche.. Mais son orgasme aussi, tant pis, je n’arrête pas ! Hors de question, de mes lèvres, je pince les siennes, les aspire, les recrache, retourne sur son clitoris maintenant sorti de son refuge, il est dans l’attente de mes caresse linguale.
      Les pas s’approchent
       
           Son souffle.. Haletant
       
            Tout s’approche, un coup de langue, son liquide coule sur mon menton, je m’en abreuve alors que ses mains appuient mon crane, collant mon visage à son entrecuisse trempée, elle se raidit..
       
           Les pas sont là, à côté, ils ralentissent, se demandant surement ce qui se passe, puis soudainement, repartent alors que dans un souffle j’entends son orgasme… elle est toujours discrète quand elle jouit.
       
                   Les dimanches soir ciné …
       
                                   C’était il y a longtemps, fort longtemps…
    • Par joliette
      Un début d'après-midi, Paris l'été, Paris suffoque sous le soleil...Joliette et Gourmande sonnent, excitées et gloussantes comme 2 ados, à la porte d'un sauna. Pas n'importe quel sauna, ce serait trop simple! Non, un sauna libertin!
       
      La gérante leur ouvre. Bienvenue dans un univers de pénombre, fraicheur agréable et d'obscurité! Lorsque leur vision s'est adaptée, elle paient la gérante qui leur tend  une serviette et leur indique les vestiaires.
       
      Opération strip tease, dans la joie et la bonne humeur. Elles s'effeuillent l'une l'autre en riant, d'ailleurs ca va vite, elles sont si légérement vétues! Et puis une fois nues, elles s'enlacent, s'embrassent, se bercent, se caressent...
       
      La porte s'ouvre sur un nouveau client, les filles se tiennent coites. On ne voit pas le visage du nouvel arrivant, mais sa silhouette se découpe à contre-jour. Non! C'est Dédale, requis comme garde du corps! Elle n'espéraient pas trop en sa venue, mais il l'a fait, il a séché le boulot pour les accompagner!
       
      Guidé par la patronne qui minaude, le voilà à son tour dans les vestiaires, et se retrouve un peu estomaqué devant deux matures nues comme des vers, l'oeil rieur, en qui il reconnait vite Gourmande et Joliette, toujours enlacées. Il en reste pétrifié. Mais déjà elle bondissent joyeusement vers lui de concert et lui plantent  sans façon sur chacune de ses  joues un peu rapeuses un bisou joyeux et amical. Leurs tétons se frottent sans façon sur la chemise à carreaux, et il ne sait plus que faire de ses mains, le malheureux!
       
      Reprenant ses esprit, il entreprend de se mettre à l'aise, puisque c'est la rêgle dans ces lieux. Mais ses doigts tremblent trop pour détacher les boutons, et les filles viennent à la rescousse! 20 doigts habiles s'agitent et se promènent sur lui pour le dépouiller de ses effets! Exit chemise, exit jean, exit sandales! Reste le boxer, Dédale  se demande vaguement s'il ne devrait pas le garder. Mais déjà dans un bel ensemble les filles  font glisser le boxer, le laissant un instant nu comme au jour de sa naissance avant de nouer autour de ses reins la serviette en pagne, de le faire pour elles-même, joliette pragmatique la nouant autour de sa taille, Gourmande plus pudique choisissant de cacher ses seins, et les filles mains dans la main se dirigent  vers le bar
       
       
      Peut être car c'est l'été, il y a peu de monde, et ça convient très bien au trio qui commande un thé pour les filles, un café pour le bodyguard, et qui papote gaiement. Ravigotés, on leur propose de visiter librement, et ils errent au hasard, découvrant les lieux avec curiosité. Tiens les douches, l'occasion de se raffraichir, et pour les filles de se peloter gaiment, sous l'oeil curieux de Dédale qui une fois finies les ablutions, s'offre à les sécher, le coquin! Et c'est reparti pour une errance dans la pénombre!
       
      Le jacuzzi, enfin, havre de fraicheur, petit bassin de mosaiques bleues et blanches. Petit, mais accueillant! Gourmande passe l'échelle la première, Joliette suit, et Déd ferme la marche, se rinçant l'oeil sans vergogne devant ces coquins de popotins qui passent au niveau de  ses yeux. Il lui suffirait de se pencher pour déposer un bisou sur les pommes offertes
       
      Les filles s'installent côte à côte, leur bodyguard en face. Les jambes parfois se frôlent, devant l'étroitesse du lieu, qui s'abandonnent aux bienfait  de bulles bienfaisantes.
       
      Gourmande qui ne tient jamais en place à les mains baladeuses! Qu'importe! Pour mieux se faire caliner, Joliette choisi de s'assoir sur  sa copine. Et pour lui rendre ses calins elle se met à genoux  en face de Gourmande, lui rend baisers langoureux et  tendres, et caresses douces ou osées, doucement, elles s'attisent l'une et l'autre, oublieuses de ce qui les entoure, leur douceur initiale devient fringale. Elles se lèvent, traversent le bassin, gravissent l'échelle, leur bodyguard les suit, la main sur sa queue.
       
      Elles avancent dans le couloirs encore inexplorés, à la recherche des coins calins. Elle ne trouvent pas, mais un sofa large et spacieux les tente et elle s'abattent dessus, impatientes, mains et langues sorties, se caressent, s'embrassent, se calinent, se goutent, malgré  l'odeur de chlore. Leurs corps encore humide glisse l'un sur l'autre. Elles ont envie d'un 69 et se positionnent, se dévorant, se léchant, se doigtant, calinant leur clito, gémissantes, haletantes, miaulantes, dans un corps à corps endiablé, attentives à se donner du plaisir, diablesse emmélées, échevelées.
       
      Un puis deux, puis trois voyeurs rejoignent Déd', se posent près de lui, se branlent devant la scène. L'un deux plus culottés que les autres tente de se joindre aux ébats des filles mais Déd' le retient doucement mais fermement. On regarde, on ne touche pas!
       
      La danse des filles monte en intensité avec la venue du plaisir. Gourmande jouit sans retenue sous la langue de Joliette, qui la suit, 3 doigts de son amante fichés en elle, un 4 e en numéro bonus calinant le clito.
       
      Le calme après la tempête, les filles émergent lentement! Les gars se branlent, feu d'artifice final, se résignent à se vider dans leur paume et s'esquivent sans demander leur reste.
       
      Gourmande et Joliette savourent ce moment d'intimité et de tranquillité. Elles sont bien. Leurs corps trempés de sueurs se collent l'un  contre l'autre, l'air sent le sexe et  la cyprine.
       
      Quand elles se disent que l'accés aux douches a du être libéré par les hommes, elles se lévent, et s'y dirigent, main dans la main, hanche contre hanche. Une lueur attire l'attention de Joliette, elle veut savoir ce que c'est et bifurque. Docile, Gourmande suit le mouvement.
       
      Une piece apparait, illuminée.
       
      Elles en restent interdites.
       
       
       
      -Un glory hole!
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