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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Phoenix

Plaisirs masculin

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J’écris ces lignes un soir de pluie. Je suis en vacances mais il pleut.

Cette situation, ce… fantasme (oui on peut le dire comme cela) passe quelques fois dans mes rêves et le résultat en est tellement fort, tellement bon ;)

 

J'avoue que mon style cette fois-ci est un peu plus brute et la relecture m'a un peu surprise sur ce point, cela me perturbe un peu.

Mais je vous livre ce texte malgré tout car il reflète une partie de moi, de mes envies.

 

 

Je vous préviens que comme le dit le titre, il n'y aura pas (ou si peu) de présence féminine dans ce texte. Vous êtes donc averti ;)

 

Bonne lecture cher finaute!

 

 

 

Un stade de rugby, une équipe d’hommes musclés qui se chamaille, se bouscule sur le chemin du vestiaire après l’entrainement.

P. se tient en retrait, il a pour consigne absolue de ne pas importuner les sportifs. Il s’en retourne à ses tâches quand il se rend compte qu’il a oublié de laisser les serviettes éponges à l’entrée des douches. AIE ! Il faut absolument qu’il puisse entrer sans se faire prendre par sa superviseur, sinon elle va lui passer un sacré savon.

Il hésite, ne sait pas ce qu’il doit faire, il finit par peser le pour et le contre et décide d’entrer. Après tout, si il se fait prendre, il vaut encore mieux que les hommes aient de quoi s’essuyer non ?

 

En catimini, il pousse la porte, tenant la pile de serviettes devant lui. Il jette un œil, ouf il semblerait que tout le monde soit sous la douche, il les entend discuter de l’entrainement d’aujourd’hui.

 

Il compte déposer la pile ni vu ni connu mais c’est sans compter un retardataire qu’il n’avait pas vu en traversant le vestiaire. Cet homme est totalement nu (faute de serviettes). P. est comme paralysé par cette vue, son regard glisse sur la peau du joueur, ses épaules, son torse puissant, son ventre plat, ses hanches étroites, puis son sexe, oh oui son sexe… stop ! Arrêt sur image. Il n’en peut détourner le regard et l’autre n’en est pas du tout mal à l’aise.

  • Eh ! Regardez les gars, une petite chatte égarée ahahah.

Le reste du groupe se retourne d’un coup vers lui. Il est tétanisé devant tous ces hommes désirables qu’il a si souvent vu jouer sur le terrain.

Tous ces hommes nus, sans pudeur. Certains sont recouverts de mousse de savon, d’autres se trouvent sous le jet d’eau, l’eau glissant sur leurs corps.

Ces images éveillent tellement de sensations, elles réveillent tellement d’envies enfuies…

 

Il devient rouge pivoine, se sentant tellement visible tout d’un coup.

Le retardataire s’approche de lui par derrière :

  • Alors ? On dirait que cela te fait envie, toutes ces queues !
  • Euh … non … c’est que …
  • Pourtant je vois qu’ici ton corps réagit.

Il pose sa main sur son entre-jambe, caressant la bosse qui s’y est formée.

  • Mmmhhh, mais c’est que ça t’excite ma chatte, roucoule-t-il à l’oreille de P.

Eh ! Les gars, on a une petite chatte en chaleur ici !

Qui veut jouer avec notre nouvelle mascotte ?

Plusieurs rires gras s’élèvent mais pas seulement des rires d’ailleurs. Certaines queues réagissent d’instinct, elles se gonflent d’envie soudaine vite rejointes par des mains caressantes. Visiblement, certaines veulent jouer avec la petite chatte.

  • Suis-moi, tu vas te rendre utile.

Obéissant, il entre dans l’espace douche, suivant le joueur. Il se place sous un pommeau de douche et actionne le jet d’eau.

  • Savonnes-moi maintenant !

P cherche le gel douche des yeux, un autre joueur lui tend le sien.

  • Tiens mon mignon, tu viendras chez moi ensuite.
  • Ou … ou … oui monsieur.

Il prend un peu de gel douche et il commence par ses épaules en savonnant bien.

 

...

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Euh....

Quelque peu troublant, mais curieux et en attente de la suite.

Même si

Rhooooo sacrée coquine

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Vient ensuite son dos et son torse, P descend faisant glisser ses mains pour arriver sur ses fesses bien rondes.

  • Glisse bien entre mes fesses pour remonter sur mes couilles, murmure-t-il tout contre son oreille.

Il s’exécute, frémissant, Il a tant imaginé ce moment. Il savoure la glissade de ses doigts entre les fesses d’un autre homme. Ses doigts glissant bien contre l’anus réactif et sensible. Le joueur soupire d’aise.

Il jette un œil autour de lui, d’autres soupirs s’élèvent. Certains des autres joueurs se caressent sans gêne, profitant de la scène qu’il leur dévoile.

  • A genoux devant moi, tu vas me nettoyer la queue, je veux sentir tes mains savonneuses autour de moi, je veux voir mousser ma toison juste en face de ton visage.

P obéit sans poser de question, ça l’excite tellement, il en est tellement dur déjà.

Son pantalon trempé colle à sa peau mais il adore être à genoux, si proche de sa convoitise.

Ses mains mousseuses enserrent la tige dressée et impatiente du joueur. Il pousse un râle de plaisir, son corps se tendant. Ses mains montent sur le gland rougeoyant avant de descendre vers les couilles gonflées, elles glissent si bien sur cette verge délicieuse.

Il laisse poindre sa langue obéissant à ses pulsions. Ses doigts se serrent sur ce bâton de chaire chaude, il accélère, entendant l’autre gémir de plaisir, plus vite.

  • Oh oui ! Encore petite salope, tu aimes m’entendre gémir hein ?
  • Je … j’aimerais vous sucer si vous permettez … enfin … je…
  • Aaahhh ! Suce-moi !

Regardez bien les gars, la petite chatte voudrait m’aspirer la queue.

  • Déshabille-toi, ordonne un autre.

Ses vêtements trempés lui colle à la peau. Ils sont difficiles à enlever.

  • On se dépêche !

Une claque sonore retentit, ses fesses se font douloureuses.

Il arrive à son pantalon et se débat avec quelques longues minutes. Le voilà enfin nu.

  • Aller ! A genoux ! Ton petit cul tourné vers moi.

Il obéit toujours, sa queue a frissonné à cet ordre, un frisson de plaisir pur.

Alors, d’abord rincer le savon afin de pouvoir approcher sa langue.

  • Aller, petite chatte, suce-moi bien.

Je veux faire buter mon gland au fond de ta bouche.

Je veux t’entendre suffoquer à cause de moi.

 

Il ouvre la bouche, impatient de satisfaire ce mâle.

D’abord le gland soyeux sur sa langue, mmmhhh … savourer ce goût salé avant de l’enfoncer plus loin. Descendre, encore, aller plus loin, forcer un peu au bout … et remonter en serrant les lèvres, la langue s’enroulant autour du mât tendu tel un sucre d’orge suitant.

  • Eh toi !

Il lève les yeux, interrogateurs.

  • Ecarte les cuisses, que je puisse voir ton petit cul palpiter d’envie de se faire défoncer par une grosse queue bien glissante.

Il gémit, fermant les yeux, l’autre verge toujours dans sa bouche. Il frémit de plaisir à cet ordre.

Toujours obéissant et soumis, il écarte les cuisses, espérant une suite délicieuse.

 

Le premier se rappelle à son souvenir en attrapant ses cheveux et en appuyant sur sa tête.

  • Mm … mmm … mmmmm…, aaaaaahhhhhh !

Le joueur vient de se vider en longs jets dans sa bouche, sa liqueur coule dans sa gorge.

Mais ce regard sur son cul offert l’excite terriblement. Et cette bite encore enfoncée loin dans sa bouche … quel délice !

Il ose tortiller un peu des fesses pour provoquer les autres. Car ayant jeté un coup d’œil alentour, il peut voir que quelques-uns se masturbe avec une telle envie ! Leurs râles de désir emplissent la pièce.

  • Oh toi ! tu me provoques avec ton petit cul ouvert.

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terriblement troublant, y'a pas à dire ...

 

gêne ? excitation ? les deux Madame...

 

j'aime

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texte bien écrit et développé mais je ne suis pas fan. désolé red.

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Pas de soucis ;) , je me doute qu'il n'y a pas bcp de fan

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  • Debout ! Retournons dans le vestiaire que je puisse te prendre profondément, que je t’enfonce ma queue dans ton petit cul de chatte tout serré !

Le petit groupe migre vers la salle des vestiaires avec ses bancs en bois et ses casiers.

  • Allonge-toi, face contre le banc, pieds posés au sol avec les genoux à angle droit.

Voilà, ton petit anus tout serré bien visible.

P tremble, va-t-il vraiment se faire prendre ainsi ? Obéissant à leur moindre envie lubrique ?

Oh que oui, il en a tellement fantasmé durant toutes ces nuits.

 

Ce deuxième homme est plus musclé que le premier, il s’est approché et a passé une main caressante sur son dos, l’empêchant de bouger. L’autre main passe sur ses fesses, se faufilant entre elles pour venir caresser sa petite rondelle encore toute serrée.

Mmmhhh … c’est douce caresse !

Il ferme les yeux de plaisir. Il sent à présent les cuisses de l’homme contre les siennes, son gland brulant venant glisser contre sa rondelle impatiente.

Il s’approche de son oreille et d’une voix grave et vibrante ;

  • Je vais te dilater le cul comme jamais, tu vas sentir ma queue te forcer, centimètre par centimètre je vais m’enfoncer en toi, petite chatte soumise.

Son gland fait pression, glissant, cherchant cette ouverture. Une chaleur brulante s’abat sur P. Il pousse encore, plus fort maintenant, forçant la porte à s’ouvrir pour lui. Puis soudain il s’engouffre par la serrure se tenant à ses hanches.

Il crie … douleur … excitation … plaisir … désir de mouvement…

Les autres hommes poussent un soupir et se rapprochent. Leurs verges suintantes laissent s’échapper quelques filets de liqueur salée.

  • Bouge pas, petit jouet, je vais te prendre bien à fond et te faire gémir comme une salope bien obéissante !

Il ne bouge pas, savourant de se faire remplir le cul par une grosse queue si glissante qui s’enfonce toujours plus loin.

Il gémit quand soudain une main lui attrape les cheveux et le presse contre une autre verge impatiente de le prendre. Un autre joueur s’impose à lui et exige de se faire sucer jusqu’à gicler au fond de sa gorge.

Le voilà couché sur un banc au milieu du vestiaire pour homme, se faisant investir par derrière et par devant, entouré d’hommes masturbant leurs grosses bites juteuses de manière affamée.

Les mouvements se font plus amples et plus sauvages dans son antre et dans sa bouche. L’excitation de tout le monde monte d’un cran, progressivement.

Ses 2 amants l’ont agrippés et imposent leurs rythmes. Ils le remplissent puis le vide. Son anus palpite et se fait dilater à chaque assaut. Quant à sa bouche, elle n’est pas vide bien longtemps.

Les glands venant buter aussi loin qu’ils le peuvent. A force de mouvements, sa propre queue se retrouve coincée entre 2 planches du banc, exerçant une délicieuse pression sur sa propre bite si durement dressée elle aussi.

Les autres joueurs se sont rapprochés et le touchent de leurs glands poisseux, déclenchant leurs jouissances. L’un après l’autre, ils libèrent leurs jus sur son corps pilonné par les 2 premiers. Sa propre jouissance est imminente. Le sperme coule sur son corps en fin ruisseaux et il adore ça.

Mais il doit se focaliser sur la bite qu’il a entre ses lèvres, il sent qu’elle sursaute de plus en plus fréquemment. Elle est proche de se répandre en longs jets chauds au fond de sa gorge. Il fait le vide d’air et se met à pomper, faisant pousser un long râle à son troisième amant. Son corps se tend et il lâche ses giclées sur sa langue.

C’est tellement puissant qu’il en coule sur son menton. Il le rattrape de ses mains et en suce la moindre parcelle, avalant bien docilement.

Le deuxième homme entre ses fesses pousse de lourds gémissements. Il a remarqué que la queue de P passe entre les 2 planches. Il l’attrape et la serre pendant qu’à son tour il se répand dans son cul tout dilaté maintenant. Le fait combiné de se retrouver entravé et possédé le fait jouir à son tour.

  • Oh que c’est bon, ooooouuuuuiiiii !!!!!

Aaaaaahhhhh

Il s’écroule pantelant et poisseux sur le banc, épuisé de tant de plaisirs.

  • Maintenant nettoie-moi tout ça !

Il se redresse et vient lécher sa main avant de savourer son goût sur sa queue qui débande, la faisant rouler sur sa langue.

 

Les joueurs retournent sous la douche pendant qu’il cherche ses vêtements de travail.

En se levant maladroitement, son œil capte un mouvement au niveau de la porte des vestiaires, un éclair roux !

Avec un effroi soudain :

  • Serais-ce ma superviseur ???

Il attrape une des serviettes éponges qu’il a apportée et sort précipitamment, encore faible sur ses jambes, le corps tremblant encore de plaisir.

Il sort de la pièce et trouve une petite culotte abandonnée … trempée, juste derrière la porte.

Apparemment quelqu’un d’autre semble avoir apprécié la scène de plaisirs masculins dont il était la pièce centrale (c’est le cas de le dire vu qu’il vient de se faire prendre en sandwich ;) ), il en frissonne encore.

 

 

Un fantasme qui peut surprendre, je peux le comprendre.

Mais je l’ai souvent lu dans l’autre sens (une femme en pièce maitresse), alors pourquoi pas ?

Un fantasme récent qui est apparu soudainement et qui m’a surprise, mais avec une telle force et … un tel plaisir humide !

 

Voila cet instant de partage terminé... jusqu'à la prochaine fois ;)

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Mais pourquoi pas oui!!

C'est surprenant, assez éloigné de ce que tu as écrit précédemment, mais le style est là.

Et j'ai bien aimé le " coup de théâtre" final!

Quant aux fantasmes....ils n'ont de limites que celles que l'on pose, non?

Donc, merci pour le partage

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Puissant

Extrêmement déroutant, dérangeant

J'adore

Ceci dit, entre nous hein ? Me faire coincer la bitte entre deux latte en bois je dis ouille.

Mais comme je comprends ! Le fantasme bi existe dans les deux sens !

(Mince, ma suite est à la correction pour une fois mais ....)

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Moi j'ai bien aimé, c'est très bien écrit !

Mais...

Pour rien au monde je ne voudrais vivre ce fantasme !

À moins de me teindre les cheveux en roux et n'être que spectateur...

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j'ai bien aimé le texte la narration, le côté graveleux des brutes du rugby.

Je comprends aisément l'aspect fantasme féminin mais je préfère le sexe opposé avec tous les jeux possibles.............. :D

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Moi j'aime !

Merci pour ce texte et pour ce fantasme si bien écrit...

Je suis d'accord avec les qualificatifs de Dédale "Puissant, extrèmement déroutant, dérangeant...". Il a trouvé les mieux adaptés...

J'ai moi aussi quelque fois eu ce fantasme de regarder des hommes se toucher... Comme tu dis, l'inverse avec des femmes existe et est intéressant, beau même mais justement pourquoi des hommes ne se toucheraient-ils pas mutuellement aussi? Et pourquoi ne serait-ce pas excitant??

Merci pour cet écrit et pour ce fantasme !

Merci d'avoir osé !

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J'aime bien, c'est vrai quoi, ça va toujours dans l'autre sens. C'est vrai que c'est troublant mais bon. Et je suis d'accord sur le fait qu'avoir la bite entre deux planches....

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Très bien ecrit et rempli de sensations fortes qui ne laissent pas indifférent.

Le premier reflexe est de penser qu'il s'agit d'un sujet "osé"... alors qu'au fond, quand on lit des sujet lesbien on ne pense pas cela :)

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      Je me redresse, me tourne, t'embrasse, t'enlace. Ta peau, merveille de douceur, de tendresse. Tes seins si rond, moelleux, sensibles. Si réceptifs à ma bouche, ma langue.

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      Je te prends, te possède, là, sur le sol, sur cette table où nous déjeunons, contre ce mur.

      Je ne me contrôle pas, tu me laisses m'abandonner à toi, me laisse me fourvoyer dans tous tes orifices, la tempêtes à beau gronder, les éléments se déchaîner dehors, rien ne compte, rien n'existe si ce n'est tes cris, mes assauts, leur furie et soudain !

      Soudain nous grondons ensemble, dans un long râle commun nos corps se délectent du simple bonheur d'être là, ensemble, réunis tous les deux.

      Moi, en Toi

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      Abandon total ...






    • Par Mein Teil
      Noirs instincts



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      Leurs bouts des doigts se cherchent, se trouvent

      Un voile rouge masque la lune

      L'assemblée est fascinée par le spectacle

      Ils profitent de l'instant

      Un baiser ardent, une étreinte

      Une anomalie, une aberration

      L'étreinte se poursuivra parmi les hommes

      Cachée derrière les peaux de bêtes et les tissus rouges

      Langues de velours, crocs luisants

      Cette énergie folle qui en jaillira

      J'absorberai tout je m'en nourrirais, je me baignerai dedans

      Et quand viendra l'instant je la propagerai

      Sois le témoin de cette douce folie

      Ebroue toi des moeurs inculquées

      Affranchis toi de tes limites

      Mes petites fleurs à moi sont des lanières de cuir

      Mes mots doux sont des grondements sourds

      Mes caresses laissent des traces de griffes

      Pas de vaine promesse, pas de mièverie

      Engouffres toi dans l'instant

      Vibre

      Déchire

      Renaît

      Sois prophète de tes propres envies

      Fais les voyager là où les autres n'osent pas s'aventurer

      Traverse les rideaux lumineux, les voiles sombres

      N'ai pas peur de qui tu es

      Et quand tu en auras terminé avec les murs de la décence

      Quand ton corps encore chaud tremblera et réclamera à nouveau

      Quand les hommes ne sauront plus te contrôler

      Quand les coccinelles forniqueront à ta seule vue

      Alors tu t'éleveras et tu prendras ta place parmi les Dieux qui t'ont crée.





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