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Guest decibel

Apparition de l’aube …

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Guest decibel

Cette narration est dédiée tout particulièrement à un copain de C.I. (... qui est un peu timide pour se présenter lui-même ;)), avec qui je corresponds depuis quelques mois "en toute amitié" ;) : j'admire tout particulièrement son courage au labeur, qu'il commence tous les jours à 5h00 du matin et, par ce récit, je veux l'encourager un peu dans ces moments par un petit récit érotique :

Tu es dans l’abribus à 3 h 00 du matin ... le monde dort autour de toi. Il fait froid, pluvieux et sombre. Tes pensées s’évadent vers des cieux meilleurs et tu ne me remarques pas à quelques mètres de toi.

En partant ce matin au boulot, tu pensais au sexe qui tu manques tellement et cette envie est toujours présente au bout d'un moment ... le bus arrive et tu y montes. Je te suis de près, dans ce silence encore semi-nocturne.

Tu es assis dans ton bus matinal et tu repenses aux différents récits de CI et aux vidéos excitantes que tu as regardées hier soir.

Le bus est quasi-vide et tu es seul sur ta banquette dans l'obscurité.

A force de repenser à ces images tu sens ton sexe se durcir dans ton pantalon, tu aimes cette sensation de ta queue comprimée et à l'étroit. Le trajet est assez long monontone et, perdu dans tes songes, tu glisses ta main sur la banquette : tu te baisses un peu plus sur ton siège afin que l'on ne s'aperçoive pas des petits mouvements que tu pourrais faire de la main.

Tu crois qu'il n'y a personne, mais je suis assise dans un petit coin et je t'observe du coin de l'oeil !!!

Ta main glisse sur ton sexe au travers de ton pantalon ; maintenant tu le sens gonflé au maximum, je te vois défaire doucement la tirette de ta braguette pour glisser à l'intérieur un doigt et le faire aller et venir le long de ce membre déjà tout dur au travers de ton slip. C'est si bon de te regarder et j'imagine aussi que tu sens ces caresses sur ton gland. N'en pouvant plus, ton doigt finit par se glisser à l'intérieur de ton slip pour mieux caresser cette queue tendue et gorgée de désir.

Tu te crois toujours tout seul et tu déserres ta ceinture ainsi que le dernier bouton de ton jeans ... c'est alors que, toute excitée, je me glisse sans bruit à côté de toi sur la banquette : je remplace ton doigt par ma main, elle glisse à l'intérieur de ton slip et commence ses caresses langoureusement, je sens ta respiration s'accélérer, je t'embrasse en même temps le long de la nuque, je sens nos coeurs battre de plus en plus vite dans la pénombre de ce bus vide, l'excitation est au maximum. Les va et vient que je fais sur ta queue t'excitent encore plus, tu continues toujours à penser aux vidéos et aux textes sur CI, le tout est très excitant et ton imagination est encore plus débordante.

Tu aimerais tellement baisser ton jeans pour être plus à ton aise mais tu n'oses pas ; la situation te donne encore plus envie, je décide donc de doucement faire descendre ton pantalon pour simplement en sortir ton sexe de son étui et de le mettre à l'air libre pour mieux le caresser.

Maintenant, tu as ta queue dressée avec ma main autour et je continue de faire mes va-et-vient, j'entame des petits mouvements de plus en plus rapides en pressant de temps en temps ton gland entre mes doigts. Tu oublies doucement où tu te trouves et tu pars dans tes fantasmes le splus fous, loins de ce triste quotidien.

Le plaisir monte de plus en plus, je ralentis mes mouvements mais tu as trop envie de jouir, je sens les secousses que tu commences à faire et les frissons qui te parcourent ; tu n'en peux plus mais je décide de continuer jusqu'au bout.... dans un moment où tout chaviere et que tu perds la tête, tu exploses là dans ma main ... je ne veux pas en perdre une goutte, je me penche vers toi et prends ton membre en bouche pour le sucer à fond ... et tout çà pendant que le chauffeur du bus ne se rend compte de rien !!!

J'accélère les mouvements, je frotte de plus en plus ton gland et lèche en même temps, tu tends ta queue vers l'avant, je sens ta nouvelle jouissance venir, je continue mes caresses, ton gland se gonfle de plus en plus, je sens ton jus monter, tu diriges encore plus ta queue vers l'avant, tes jambes sont écartées au maximum pour y laisser passer mes lèvres et là ta jouissance se fait, tu te mords les lèvres pour ne pas faire de bruit. Je continue mes caresses lentement, je fais glisser un doigt sur le bout de ton gland, je le fais tourner autour, je sens ton jus s »µ’écouler et je l'apporte à ma bouche gourmande.

Tu me fais une petite place entre tes jambes, je m'agenouille face à toi et commence à te lécher entre les cuisses ... tu déboutonnes mon chemisier, fait sortir mes seins de leur soutif', tu caresses lentement ma poitrine et tu me pinces les têtons pour qu'il se dressent devant toi...je gémis aussi sous cette pression excitante ... ta verge grossit de nouveau et tu viens la placer entre mes seins tout doux, que je reserre autour en te frottant ... bien au chaud... et nous restons comme çà jusqu'à l'arrêt de bus où tu dois descendre ... hélàs, l’heure a tourné et il est temps de penser au travail ; déjà j’ai disparu dans la pénombre, te laissant seul sur ce trottoir glacial :P:twisted:

Le lendemain, 3h00 du matin ... il fait froid, tu es encore un peu endormi et tu montes à nouveau dans ton bus pour aller travailler. Tu t'installes au fond du bus vide, toujours dans une semi-pénombre. De là, tu peux voir si des gens montent et tu peux mieux surveiller si quelqu'un t'observe ... à part le chauffeur du bus qui te regarde malicieusement dans son rétroviseur (.. il doit se souvenir de nos ébats de la veille…) , le peu d’autres passagers somnolent

Tu t'installes confortablement sur la banquette du fond et t'appuyes sur le dossier pour mieux étendre tes jambes. Tu fermes les yeux et machinalement, en repensant à ce qui t'est arrivé hier, ta main caresse ton jeans à la hauteur de ton entre-cuisses ... tu as encore tellement envie de sexe ! Je monte également dans le bus et m'assied sur une banquette plus loin, juste en face de toi. Tu ouvres les yeux et tu remarques que j'observe tes premiers attouchements sur ta braguette. Tu me fais signe de venir à côte de toi, mais je fais "non" de la tête en souriant ... je veux que - seuls dans cette demi-obscurité - nous puissions nous observer lentement et sensuellement et que ton désir monte suffisamment fort pour m'accueillir fougueusement quand je déciderai de te rejoindre !

Je porte des bottes en cuir à talons et une longue jupe ... mais je soulève un pied et le pose sur ma banquette ... puis je lève lentement ma jupe pour que de ta place, tu puisses mieux me regarder faire. Ma jupe monte et - oubliant ma timidité par l'excitation qui m’inspire - j'entrouvre mes cuisses pour que tu voies ma petite culotte blanche en dentelle semi-transparente. Je te souris pendant que - déjà - tu t'actives sur la fermeture de ton jeans. Tu entr’ouvres ton pantalon et tes doigts caressent déjà la bosse qui s'y forme ... tu sens ton gland tressaillir d'excitation. D'une main je deboutonne lentement mon chemisier, et fait apparaître mes seins blancs à ton regard ... je commence à les malaxer et à en tirer les têtons … je gémis doucement des premiers émois que me procurent mes caresses. Quelqu’un assis à l’avant du bus se retourne ; je te vois tressaillir comme un gamin pris en faute, mais rapidement le passager reprend sa douce somnolence !

Tu ouvres à présent largement ta braguette et je vois ton sexe sortir victorieusement de son étau … tu le branles de plus en plus vite en me regardant. Tes yeux brillent d’excitation … mon slip devient quasi-translucide, car je commence à mouiller très fort … je glisse deux doigts savamment léchés en-dessous de l’élastique et les dirige vers mon intimité : j’entr’ouvre mes lèvres et électrise mon clito par des petits mouvements circulaires de plus en plus apuyés. Je sens mon bas-ventre s’échauffer de plus en plus et mon bouton d’amour gonfle de jouïssance … tes va-et-vient sur ta verge sont de plus en plus rapides et j’aperçois ton gland luire de quelques gouttes de sève qui s’en écoule … nous avons vraiment envie de jouïr ensemble … nous sommes prêts à décoller à présent !

Tu me fais un petit clignement d’yeux m’indiquant de venir enfin te rejoindre … je me lève prestement, fait trois pas et me voilà debout devant toi, le dos présenté à l’avant du bus, faisant un paravent de mon corps aux regards indiscrets.

Ta queue est à présent fièrement dressée à ma vue … je soulève à nouveau ma jupe … tu glisses tes mains sur mes cuisses, une main me caresse tendrement les fesses et l’autre s’active à m’ôter cette petite culotte trempée, dernier rempart à tes assauts virils. Fébrilement, tu la fais glisser à terre et passe tes doigts à l’entrée de ma grotte. Mon bourgeon tout excité attend encore quelques coups de langue de ta part avant que ma corolle ne décide à s’ouvrir plus indécemment à toi. Je tiens ma jupe en l’air d’une main et te caresse le gland de l’autre. Prestemment, tu portes ta bouche à mon clito, que tu suces et tu bois ma cyprine goulûment. Mon bassin se cambre pour mieux te frayer un passage et je sens la pointe de ta langue s’immiscer ardemment dans mon intimité … le bus frêne brusquemment, je vascille et manque de tomber, le cœur battant la chamade sous tes ardeurs. Tu me ratrappes de justesse et m’oblige maintenant à descendre lentement sur ton pieu turgescent … j’écarte largement les cuisses et glisse lentement sur ton membre tendu à l’extrême. Nous étouffons nos gémissements rauques par un baiser fougueux. Nous sommes à présent face à face, assis maladroitement sur cette banquette, moi sur tes genoux, toi enfoncé dans ma chatte abondamment lubrifiée. Tu me titilles les seins d’une main, pendant que l’autre s’accroche à mes hanches pour m’aider dans mes mouvements ondulatoires sur ta bite. Je me sens entièrement emplie de toi, agitée par tes francs coups de reins. Les secousses de ta verge s’activent sous l’excitation des contractions de ma vulve et nous atteignons le point culminant de notre orgasme : dans un petit cri animal, tu lâches ta semence au plus profond de moi et je ressens des milliers de petites décharges électriques au creux de mon intimité. Ouuuuïïïïï … instants msagiques !!!

Nos respirations reprennent un rythme normal, nous restons un moment pantelants mais ravis de cette excitante aventure matinale … quand tout-à-coup tu remarques que tu vas râter ton arrêt de bus.

Tu te rhabilles rapidement … tu te retournes pour me chercher de la main, du regard … il n’y a plus personne : surpris mais hagard, tu te lèves pour descendre du bus et aller à ton travail … rêve ou réalité ??? Fantasme ou vécu ?? Ce mystère persistera !!! ;);) :P

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Guest hermann

Holalààà ! Je vais prendre le bus plus souvent très tôt, moi ! ;)

Merci pour ce moment de pur bonheur ! :twisted:

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Félicitation et merci beaucoup pour ce magnifique récit, qui me fera rêve tous les matin dans mon bus.

Merci décibel.

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Guest decibel

Félicitation et merci beaucoup pour ce magnifique récit, qui me fera rêver tous les matins dans mon bus.

Merci décibel.

Tout le plaisir :twisted: fut pour moi qui l'ai écrit, Loublanc ... afin qu'il te donne du courage ;) et "du coeur à l'ouvrage" ;)

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Guest decibel

super bien écrit Decibel bravo :twisted:

Merci Flo, c'est très gentil ;)

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Guest hermann

Merci Décibel... que j'aimerais savoir écrire aussi bien !

Tu peux nous en mettre tout plein, tout plein, des narrations :twisted:

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Guest decibel

Merci Décibel... que j'aimerais savoir écrire aussi bien !

Tu peux nous en mettre tout plein, tout plein, des narrations ;)

Merci Hermann :twisted:

Dès que possible ... je me remets à mon clavier, promis !!! ;)

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