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Guest sephonia

Une nouvelle vie...

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Guest sephonia

Ce jour là je m'étais dit que plus rien d'autre ne comptait dans ma vie, J'avais passé huit années dans l'incertitude d'une vie meilleure et heureuse avec lui. Il n'en était qu'illusion, les tromperies à répétitions, alors que je croyais en lui...Quel beau gâchis. Et puis un jour je suis tombée amoureuse de son meilleur ami ; j'ai cru trouver l'amour parfait un amour unique qui pourrait durer pour toute une vie, je m'étais bien trompé une fois de plus. J'ai fini par rompre avec l'homme avec qui j'avais passé huit ans pour un homme qui me méprisait. Il s'est joué de moi, il a joué avec mes sentiments. Pourquoi ? Quand je pense que j'aurais tout sacrifié pour lui et que lui en retour il me quitta sans même nous avoir donné une chance d'une vie à deux.

A présent, j'ai su tourné cette énième page de ma vie. Cette vie triste ou la dépression m'envahissait petit à petit. Mais je ne croyais plus au bonheur éventuel de ma future existence.

Pour moi, l'amour n'existait plus. J'ai voulu me faire d'autre contact pour oublier ceux qui m'avaient trahie et brisée alors je suis allée sur internet, et je suis tombé sur un homme aux allures sévères au premier abord mais qu'importe, cet homme avait un je ne sais quoi qui me disait d'apprendre à le connaître, et qu'au fil du temps je l'apprécierais surement. Cet homme c'était toi, François.

Tu habitais en Rhône Alpes et moi à Reims. Et malgré la distance qui nous séparait j'étais déjà envieuse de mieux te connaître.

Au fil de nos discutions, j'avais mieux cerné ce que tu étais. J’ai appris tellement sur toi, toi que je commençais à peine à aimer ; j'ai su entrouvrir mon cœur et te faire confiance. Et puis un jour tu me demandas si je voulais bien faire une virée à Chambéry avec toi. Mais dans cinq mois car tu partais faire ta mission en Afghanistan, là où la vie n'est que malheur et détresse. Là où l'incompréhension des hommes mène à une guerre. Tu étais courageux et volontaire et cela m'a plu, m'a beaucoup plu. Avant de partir, tu me téléphonas en attendant de prendre ton envol à l'aéroport. Nous sommes restés un moment, nous avions du mal à nous dire au revoir et pourtant nous ne nous étions toujours pas rencontrés...

Et chaque soir, j'attendais avec impatience ton petit sms, je fixais mon téléphone en espérant que tu penserais à moi comme je pensais à toi. Je commençais à aller mieux dans mon cœur, je me sentais bien avec toi, ça ne s'explique pas. Tu étais là pour moi comme moi pour toi nous avions besoin l'un de l'autre et le destin nous a rapproché.

Au fil du temps je commençais à préparer mon départ de Reims pour aller vivre à Lyon et pouvoir te rencontrer lors de ton retour. J’étais bien décidée à oublier le passé définitivement, oublier tout ce mal qu'on a pu me faire, oublier tout ce mal que j'ai pu lui faire en le quittant pour un homme qui n'en valait même pas la peine. Oublier cette vie triste où jamais je n'aurais pu évoluer, où j'aurais toujours été dans la misère jusqu'à la fin de ma vie. Un trait sur mon passé, ma décision serait irréversible.

Et puis j'ai toujours voulu vivre à Lyon, une ville que j'avais déjà visitée quelques années auparavant. Je m'y étais sentie bien tout de suite, je me sentais sereine. Oui cette ville allait être un nouveau départ pour une nouvelle vie.

Mon départ de Reims approchait, je pris les devants en partant une journée à Lyon pour rechercher un appartement. Déjà dans le train, je pensais à tout ce que j'allais entreprendre. Rechercher l'appartement de mes rêves, trouver un travail qui me plairait, avoir des activités et pourquoi ne pas reprendre la peinture. Et puis faire de nouvelles rencontre amical m'enchantais déjà. J'ai toujours eu besoin d'être entourée de personnes capables de me comprendre et de m'apprécier telle que je suis.

J'arrivais à la gare de Lyon, je me dirigeais vers cette agence immobilière que j'avais recherchée au préalable pour m'inscrire à la recherche de cet appartement tant désiré.

Je visitais déjà quelques appartements, ce qui me ravie tout de suite. Et puis au bout de la sixième visite, j'eu un coup de cœur ! L'entrée était au deuxième étage et quand la porte s'ouvrit je vis la beauté du lieu. Tout était comme dans un rêve, un salon digne d'empereur ou une cheminée trônait, deux chambre assez spacieuses et bien éclairer étaient magnifiquement embellit par un parquet rénové et brillant.

Je pris l'appartement. Mon rêve commençait à prendre forme, il ne me restait plus qu'à trouver un travail et entreprendre mes petits projets personnels. J’étais déjà heureuse. Un mois plus tard, j’étais installé. Et comme chaque soir, assise dans mon canapé, prés de la cheminée, j’attendais ton petit sms. Ce fut le rituel du soir, j’étais si contente que tu ne m'oublie pas malgré le temps qui passait. Tu me disais que je te manquais que tu aimerais tant être auprès de moi, j’étais si heureuse d'entendre ta voie de pouvoir te parler pendant de longues minutes. Le bonheur se créa dans ma vie grâce à toi.

Pendant ces longs mois, je t'attendais. J’attendais ton retour si impatiemment pour pouvoir enfin te rencontrer. Je rentrai le soir après une autre journée de travail bien remplie. J’étais contente de pouvoir servir à quelque chose dans ma nouvelle vie. J’étais vendeuse en prêt à porter féminin. J’aimais me rendre utile, préparer les articles, toucher les divers matières et tissus. Et je me prenais déjà au rêve, une nuisette de satin doré dans les mains, Je rêvais que je la porterai pour toi, pour notre première nuit dans tes bras...

Enfin le grand jour arriva, tu étais de retour en France. Ton appel m'avais transporté de joie, j’étais tellement épanouie, j'avais tellement attendu ce moment que j'ai du m'asseoir quelques instant pour me remettre de mes émotions. Nous avions convenu d'un rendez vous dans la grande place de Lyon. J’arrivais sur les lieux la première habillée de crème et rouge, joli tailleur que j'avais acheté spécialement pour le jour de notre rencontre. Je m'asseyais sur le banc prés des arbres dénudés de leurs feuilles, un livre à la main je t'attendais. Je commençais à bouquiner la première page quand tu fis ton apparition, debout devant moi, avec une allure distinguée et disciplinée comme je le pensais.

Je me levais et voyais que tu me souriais, tu avais l'air heureux de me voir, cela se lisait sur ton visage. Sans mot dire je te pris dans mes bras un long moment. Puis tu me pris le visage dans tes mains et après m'avoir fixé droit dans les yeux tu m'embrassas. Ce baiser que j'avais tant de fois rêver était enfin réel, plus rien d'autre ne comptait même plus le temps. Les minutes s'écoulèrent paisiblement tandis que nous savourions ce si doux moment.

Puis tu me proposas d'aller boire un café pour que nous parlions un peu et je t'emmenais dans mon café préféré, le café anglais. Peut-être était ce à cause de mes origines anglaises que je lui trouvai un charme spécial aux autres cafés, qui sait ? Nous étions pratiquement seuls, assis l'un en face de l'autre je n'arrêtais pas de te regarder. Tu me fixais également les yeux empli de joie, j’étais comblée par ta présence. Tu me pris la main et la baisa. Puis tu me dis que tu n'avais jamais été heureux de rentrer qu'à ce moment ou nous nous sommes rencontrés.

Après de longs et divers sujets de conversation, tu m'invitas chez toi. Et c'est avec plaisir que j’acceptai ta proposition. Arrivé chez toi, tu me proposas un verre, j’acquiesçai de la tête et m'installa dans ton canapé. Tu m'avais fait un Margarita, ma boisson préférée. J’étais étonnée que tu t'en souviennes lors de nos conversations par internet. J'aimais à être surprise de cette manière, cela prouvais que tu tenais à moi ; Oui se souvenir même des petits détails me plu beaucoup.

Tu t’installas prés de moi nous nous regardions, pensifs et distrait par la beauté de notre début d'histoire. Après avoir posé nos verres sur la table basse, tu te levas et me tendit la main. Je la pris volontiers. Tu m’emmenas dans la chambre, m’embrassa d'abord dans le cou, puis d'un geste assuré et doux tu m’enlevas ma veste et moi je te laissai faire car j'adorai cela que d'être à toi.

Tu retiras ton pull et nous finition de nous dévêtir mutuellement sur ton lit. Tu me dis combien j'étais magnifique et douce, tu m’embrassas passionnellement durant de longs instants. Rien que nos baisers et caresses parlaient pour nous, les mots seraient devenus trop superflu.

Tout en caressant mon corps enfoui sous le tien tu m’embrassais dans le cou avec cette infinie douceur que je n'aurais jamais soupçonné. Puis tu me fis l'amour. Doucement, lentement, avec cette attention que je ne connaissais pas. Je caressais ton dos nu sous mes petites mains câlines, je t'embrassais à mon tour dans les moindres recoins de ta peau si velouté et parfumée. Ces instants furent si magiques, si long, si bon. Jamais je n'avais été empli de tant de passion et d'émotions en une seule fois de toute ma vie. Ces moment perdurèrent toute la nuit, jusqu’au petit matin.

Assoupie je posais ma tête sur ton épaule si large et si forte. Je me sentais protéger de tout auprès de toi. Quand je me réveillai tu n'étais plus là. Je me sentais bien pourtant et je commençais à me lever quand tu apparus devant moi, un plateau de crêpes au sucres, petits croissants et de brioches encore chaud et dorés à point. Jamais un homme ne m’avait servi mon petit déjeuner au lit. J’étais comblée.

Tu me demandas si j'avais bien dormi, et je te dis que oui, que j'avais passé la plus belle nuit de toute ma vie. Tu me proposas de m'emmener à Chambéry après mon petit déjeuner, je te dis oui sans hésiter une minute, prête à te suivre n’ importe où pourvu que nous soyons ensembles.

Tu garas la voiture prés d’une forêt enneigé, c’était si beau, toute cette neige immaculée, ce paysage si parfait qu'on se serait cru dans une peinture de Renoir. Tu sorti et m'ouvrit la portière. Comme tu étais galant, je ne pouvais espérer mieux. Tu me pris par la main et me dirigea vers un chemin montant vers la montagne. Jolie escortions en effet, toutes ces senteurs de nature fraichement paisible s'offraient à nous. Nous montions dans les profondeurs des chemins blancs et tu me racontas qu'il y avait tout la haut un surprise qui me ferai surement plaisir.

Rien que de t'avoir prés de moi j'étais déjà comblée. Et puis à un moment ou nous arrivions presque en haut, tu m'arrêtas, tu me pris dans tes bras pour me réchauffer tu savais que j'avais très froid à en juger par la glaceur de mes mains. Tu étais si prévenant, si affectueux, je fermais les yeux. Et pendant de longs instant nous restâmes blotti, enlacé l'un à l'autre sans mot dire, avec pour seul compagnie, le bruit des feuilles jouant avec le vent. C'était magnifique.

Nous réprimes la route et peu de temps ensuite nous aperçûmes un petit chalet. Tu me dis de te suivre et nous nous dirigeâmes vers cette petite maison de bois en plein cœur d'une montagne

blanchâtre et douce. Tu sorti une clef de ta poche et me regarda un instant en souriant gentiment. Je compris ce qu'étais alors cette surprise dont tu m'avais parlé. On dirait que tu connaissais le moindre de mes rêves, le moindre de mes désirs, tu me devinais si bien.

A peine entré, tu commençais à allumer un feu dans la cheminée. Moi je n'osai pas bouger, j’aimais à te regarder dans tes moindre geste et me perdre dans des pensées que moi seule connais. Et puis tu t’approchas de moi, et me dévêtis de ce manteau de ce gros pull que tu m'avais prêté. J'aurai aimé le garder encore un peu car l’odeur de ta peau et de ton parfum qui s'y était imprégner me réconfortait tellement. Tu me fis asseoir dans un fauteuil en face de la cheminée pour me réchauffer un peu et tu me préparas un thé. Tu avais vraiment pensé à tout. Tu étais tellement minutieux, réfléchi, comment se pouvait-il que tu n'eu jamais pu trouver une femme digne de toi ? Mais au fond je ne me plaindrai pas car nous étions ensemble grâce au destin qui nous avait réunis.

Le feu crépitait et dansait de ses belles flammes si rouge et dorées. Le bruit de la buche enrobée de ces flammes était apaisant et magnifique. Et il nous refléta de toute part. Ton visage était submergé de dorures et ombres rougeâtre, ce qui te rendait très sensuel à mes yeux. Et tu t’approchas de moi me leva et m'embrassa tendrement, subtilement. Chaque instant était savouré comme ci c'était le dernier. Tu me pris dans tes bras et me dit d'une voie douce et à peine perceptible à l'oreille que tu m'aimais profondément.

Tu t’absentas un moment et revint avec un sourire en me disant que tu m'avais préparé un bain de mousse. Je te regardais étonnée mais agréablement surprise. Et tu me dit que si je le voulais tu pourrai venir aussi me rejoindre.

J'acquiesçai en souriant et nous nous engouffrions dans la salle de bain quelques minutes plus tard.

Apres nous être mutuellement déshabiller nous prenions place dans le bain chaud que tu avais préparé. Des essences de verveines imprégnaient la salle et les vapeurs d'eau nous enivrèrent de tout sens aussi doux que furtifs. Tu te plaças derrière moi. Tu mis tes bras autour de moi comme ci j’étais ton trésor et que tu voulais me chérir tendrement. J'adorai cela.je sentais ton souffle doux au creux de mon cou et puis tu m’allongeas le dos contre ton torse Je pouvais sentir ta chaleur m'emporter délicieusement. Que cela fut bon. Je m'endormais ma tête contre ton épaule, fermant les yeux je me laissai transporter de ces moment si divins mais tellement rare entre deux être humains.

Je savais déjà que grâce à notre complicité et nos sentiments partagés, notre histoire pourrait durer à jamais...

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