Jusqu'à aujourd'hui, les plaisirs solitaires n'ont jamais été pour moi, une source de frustration, bien au contraire...
Je n'étais pas encore adolescente quand mes mains sont parties explorer les recoins de mon anatomie, perçant à jour ses mystères les plus intimes. Les plaisirs nocturnes et diurnes étaient une source inépuisable de plaisir.
Je profitais du moindre instant de solitude pour m'adonner à ces besoins charnels, procurant ainsi à mon corps l'assouvissement de mes sens en quête de jouissance.
Jusqu'à aujourd'hui, aucun homme n'avait su remplacer mes mains de façon satisfaisante. J'ai toujours été dans l'obligation de faire fonctionner mon imagination fertile, pour libérer mes pulsions sexuelles, pour atteindre les rivages du plaisir et me faire dévorer par la vague puissante du plaisir.
A chaque fois, je touchais la jouissance du bout des doigts... mais le catalyseur de son accomplissement n'a jamais été un homme. Mes pensées les plus secrètes ont toujours été là pour me libérer des flammes... Mon corps s'embrasait, mais ne se consumait jamais...
J'ai eu un mari égoïste, qui ne s'est préoccupé que de son seul plaisir... Ma sexualité ne s'est jamais épanouie. Ou si elle s'est épanouie, je ne le dois qu'à moi même et au besoin insatiable que j'avais d'assouvir mes pulsions charnelles. Je me réfugiais souvent dans de la littérature érotique. Je m'imaginais à la place de l'héroïne. Et imaginer les mains d'un homme partant à l'assaut de mon corps comme les auteurs le décrivaient me faisait fantasmer au point que mon sexe se réveillait et réclamait à être soulagé dans l'instant. Ce que je faisais immanquablement.
Je m'isolais dans la chambre conjugale. Et en silence, mes mains fébriles caressaient ce bourgeon abandonné qui pulsait entre mes cuisses.
Il ne me fallait pas longtemps pour atteindre les sommets. Affamée que j'étais, il m’était ô combien facile de jouir...
J'ai eu des amants tendres et attentionnés, qui je dois l'avouer, ne se sont pas seulement préoccupés de leur propre plaisir. Je me suis ouverte comme une fleur au soleil, avide de chaleur. Si les premiers temps furent une révélation, il n'empêche que mes phantasmes et désirs ont toujours guidés l'assouvissement de mes envies.
J'ai découvert que j'étais une femme sensuelle et sexuelle, avide de sensations à la fois douces et fortes... à la fois tendres et animales.
Mais je n'ai jamais été satisfaite au point d'en perdre la tête, au point d'en oublier que mes mains été douées d'un pouvoir quasi instinctif et primitif, que rien ne pourrait ébranler et remplacer.
Jusqu'à aujourd'hui, aucun homme n'a su remplacer mes mains...Jusqu'à aujourd'hui, mon compagnon de jeu m'a toujours guidé, de façon infaillible, vers l'assouvissement, et ceci en un temps record!
Jusqu'à aujourd'hui, je pouvais atteindre la jouissance sans la présence d'un homme. Jusqu'à aujourd'hui mes mains et mon jouet sexuel, suffisaient largement et indéfectiblement à mon seul plaisir.
Aujourd'hui, je suis frustrée et en manque
Il y a un homme dans ma vie qui a l'audace de rendre mes jeux solitaires inintéressants, de transformer mes mains en automates, et de rendre mon jouet obsolète. Je n'ai plus qu'un triste objet froid et inutile entre mes mains et qui, malgré sa sophistication, n'arrive à me satisfaire pleinement.
Aujourd'hui, je me suis allongée nue sur mon lit. Je suis partie explorer mon anatomie de mes mains. Elles ont tout d'abord effleuré mes seins tendrement. Mes tétons ont immédiatement réagit. Leurs pointes se sont érigées, se sont durcies, réclamant les caresses avec avidité.
Mon sexe s'est gorgé de sève. Le sang pulsait en moi. J'avais encore le pouvoir d'éveiller l'animal en moi. Mais je voulais surtout prouver que je parviendrais à me faire jouir comme auparavant... rapidement, et de façon efficace.
Mes pensées étaient toutes concentrées sur ce que mes mains accomplissaient entre mes cuisses. Je n'ai jamais eu besoin de recourir à mon imagination pour me satisfaire. Mes mains sont quasi magiques.
Seulement voilà! Mon corps se tendait, mais réclamait davantage d'attention. Je me suis résolue à prendre mon jouet si prompt à me faire jouir. Je l'ai glissé entre mes cuisses, l'ai déposé sur mon sexe. Le désir était bien là. Et j'en fus soulagée. Mon clitoris, gonflé et avide, s'est tendu vers lui.
Mes doigts ont actionné le mode vibratoire et mon corps s'est crispé dans l'attente d'une déferlante.
Si vous saviez à quel point mon vibro était efficace jusqu'à aujourd'hui, vous comprendriez mon désespoir actuel.
Je déteste l'homme qui m'a ôté le pouvoir de me faire jouir!
J'ai du recourir à maints stratagèmes pour assouvir ce besoin bestial qui m'emplissait au fur-et-à mesure que mon corps constatait l'échec de mes caresses...
Mon esprit s'est mis à vagabonder, mon imagination s'est mise au diapason. Je sentais que la jouissance était proche, je la touchais du bout des doigts. Je me tendais vers elle, concentrée et appliquée...
Mes efforts à atteindre le plaisir n'ont été récompensés qu'après une lutte acharnée...
Mes fantasmes se sont laissés envahir par le souvenir de celui qui hante mes jours et mes nuits. Je l'entendais me murmurer à l'oreille des mots tendres… des mots crus, je l'entendais respirer et gémir...
Mon corps et mon âme réclamaient à corps et à cris, ses mains, sa peau, son sexe... Je fus un moment sur le point d'abandonner la partie, mais mes pensées sont devenues plus animales, plus enfiévrées...
Je savais ce que mon corps voulait, ce qu’il réclamait. Je savais ce que mon imagination souhaitait. Alors, je me suis laissée portée par ce besoin animal.
Les mots et les images qui ont pris possession de moi à cet instant furent brutaux et agressifs. Mais ô combien salvateurs.
Tu m'as prise avec force et virilité. Tu as prononcé des mots qui, maintenant, ont de quoi me faire rougir. Ils brûlent mes neurones à l'instant même où je me les remémore...
J'ai eu besoin de cet instant de force virile, de me sentir chienne entre tes mains, pour pouvoir m'abandonner...
Jusqu'à aujourd'hui, je ne pensais pas être dépendante d'un homme, pour atteindre la jouissance, tu détiens désormais ce pouvoir entre tes mains... et finalement, j'en suis ravie...
Je t'offre désormais, mon corps et mon âme, en espérant que tu ne failliras pas...
Ton papillon
(dédicace à l’homme qui pourrait faire de moi son esclave )
Jusqu'à aujourd'hui, les plaisirs solitaires n'ont jamais été pour moi, une source de frustration, bien au contraire...
Je n'étais pas encore adolescente quand mes mains sont parties explorer les recoins de mon anatomie, perçant à jour ses mystères les plus intimes. Les plaisirs nocturnes et diurnes étaient une source inépuisable de plaisir.
Je profitais du moindre instant de solitude pour m'adonner à ces besoins charnels, procurant ainsi à mon corps l'assouvissement de mes sens en quête de jouissance.
Jusqu'à aujourd'hui, aucun homme n'avait su remplacer mes mains de façon satisfaisante. J'ai toujours été dans l'obligation de faire fonctionner mon imagination fertile, pour libérer mes pulsions sexuelles, pour atteindre les rivages du plaisir et me faire dévorer par la vague puissante du plaisir.
A chaque fois, je touchais la jouissance du bout des doigts... mais le catalyseur de son accomplissement n'a jamais été un homme. Mes pensées les plus secrètes ont toujours été là pour me libérer des flammes... Mon corps s'embrasait, mais ne se consumait jamais...
J'ai eu un mari égoïste, qui ne s'est préoccupé que de son seul plaisir... Ma sexualité ne s'est jamais épanouie. Ou si elle s'est épanouie, je ne le dois qu'à moi même et au besoin insatiable que j'avais d'assouvir mes pulsions charnelles. Je me réfugiais souvent dans de la littérature érotique. Je m'imaginais à la place de l'héroïne. Et imaginer les mains d'un homme partant à l'assaut de mon corps comme les auteurs le décrivaient me faisait fantasmer au point que mon sexe se réveillait et réclamait à être soulagé dans l'instant. Ce que je faisais immanquablement.
Je m'isolais dans la chambre conjugale. Et en silence, mes mains fébriles caressaient ce bourgeon abandonné qui pulsait entre mes cuisses.
Il ne me fallait pas longtemps pour atteindre les sommets. Affamée que j'étais, il m’était ô combien facile de jouir...
J'ai eu des amants tendres et attentionnés, qui je dois l'avouer, ne se sont pas seulement préoccupés de leur propre plaisir. Je me suis ouverte comme une fleur au soleil, avide de chaleur. Si les premiers temps furent une révélation, il n'empêche que mes phantasmes et désirs ont toujours guidés l'assouvissement de mes envies.
J'ai découvert que j'étais une femme sensuelle et sexuelle, avide de sensations à la fois douces et fortes... à la fois tendres et animales.
Mais je n'ai jamais été satisfaite au point d'en perdre la tête, au point d'en oublier que mes mains été douées d'un pouvoir quasi instinctif et primitif, que rien ne pourrait ébranler et remplacer.
Jusqu'à aujourd'hui, aucun homme n'a su remplacer mes mains...Jusqu'à aujourd'hui, mon compagnon de jeu m'a toujours guidé, de façon infaillible, vers l'assouvissement, et ceci en un temps record!
Jusqu'à aujourd'hui, je pouvais atteindre la jouissance sans la présence d'un homme. Jusqu'à aujourd'hui mes mains et mon jouet sexuel, suffisaient largement et indéfectiblement à mon seul plaisir.
Aujourd'hui, je suis frustrée et en manque
Il y a un homme dans ma vie qui a l'audace de rendre mes jeux solitaires inintéressants, de transformer mes mains en automates, et de rendre mon jouet obsolète. Je n'ai plus qu'un triste objet froid et inutile entre mes mains et qui, malgré sa sophistication, n'arrive à me satisfaire pleinement.
Aujourd'hui, je me suis allongée nue sur mon lit. Je suis partie explorer mon anatomie de mes mains. Elles ont tout d'abord effleuré mes seins tendrement. Mes tétons ont immédiatement réagit. Leurs pointes se sont érigées, se sont durcies, réclamant les caresses avec avidité.
Mon sexe s'est gorgé de sève. Le sang pulsait en moi. J'avais encore le pouvoir d'éveiller l'animal en moi. Mais je voulais surtout prouver que je parviendrais à me faire jouir comme auparavant... rapidement, et de façon efficace.
Mes pensées étaient toutes concentrées sur ce que mes mains accomplissaient entre mes cuisses. Je n'ai jamais eu besoin de recourir à mon imagination pour me satisfaire. Mes mains sont quasi magiques.
Seulement voilà! Mon corps se tendait, mais réclamait davantage d'attention. Je me suis résolue à prendre mon jouet si prompt à me faire jouir. Je l'ai glissé entre mes cuisses, l'ai déposé sur mon sexe. Le désir était bien là. Et j'en fus soulagée. Mon clitoris, gonflé et avide, s'est tendu vers lui.
Mes doigts ont actionné le mode vibratoire et mon corps s'est crispé dans l'attente d'une déferlante.
Si vous saviez à quel point mon vibro était efficace jusqu'à aujourd'hui, vous comprendriez mon désespoir actuel.
Je déteste l'homme qui m'a ôté le pouvoir de me faire jouir!
J'ai du recourir à maints stratagèmes pour assouvir ce besoin bestial qui m'emplissait au fur-et-à mesure que mon corps constatait l'échec de mes caresses...
Mon esprit s'est mis à vagabonder, mon imagination s'est mise au diapason. Je sentais que la jouissance était proche, je la touchais du bout des doigts. Je me tendais vers elle, concentrée et appliquée...
Mes efforts à atteindre le plaisir n'ont été récompensés qu'après une lutte acharnée...
Mes fantasmes se sont laissés envahir par le souvenir de celui qui hante mes jours et mes nuits. Je l'entendais me murmurer à l'oreille des mots tendres… des mots crus, je l'entendais respirer et gémir...
Mon corps et mon âme réclamaient à corps et à cris, ses mains, sa peau, son sexe... Je fus un moment sur le point d'abandonner la partie, mais mes pensées sont devenues plus animales, plus enfiévrées...
Je savais ce que mon corps voulait, ce qu’il réclamait. Je savais ce que mon imagination souhaitait. Alors, je me suis laissée portée par ce besoin animal.
Les mots et les images qui ont pris possession de moi à cet instant furent brutaux et agressifs. Mais ô combien salvateurs.
Tu m'as prise avec force et virilité. Tu as prononcé des mots qui, maintenant, ont de quoi me faire rougir. Ils brûlent mes neurones à l'instant même où je me les remémore...
J'ai eu besoin de cet instant de force virile, de me sentir chienne entre tes mains, pour pouvoir m'abandonner...
Jusqu'à aujourd'hui, je ne pensais pas être dépendante d'un homme, pour atteindre la jouissance, tu détiens désormais ce pouvoir entre tes mains... et finalement, j'en suis ravie...
Je t'offre désormais, mon corps et mon âme, en espérant que tu ne failliras pas...
Ton papillon
(dédicace à l’homme qui pourrait faire de moi son esclave
)
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