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daniel

Claire et son amant...

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Bien entendu, toutes ressemblance avec les personnages de ce récit...

Claire.

Un courant d’air frais s’insinua sous la robe légère et la souleva comme une voile de marine qui se gonflerait sous l'effet du vent.

Claire sentit la fraîcheur de la brise sur ses cuisses et sur ses fesses. Elle frissonna en se faisant remarquer qu’elle avait surestimé le soleil pâle de ce début de printemps.

Pour rejoindre son amant, elle avait choisi une jolie robe de soie imprimée mettant parfaitement en valeur sa taille fine et ses hanches généreuses. Nul besoin de soutient gorge. Ses seins pointaient parfaitement et gonflaient les tissus légers de la robe.

Par contre, elle avait passé beaucoup de temps à choisir ses autres dessous. Elle se savait sexy et en jouait beaucoup pour ses aventures avec les hommes et même parfois, avec les filles.

Dans le tiroir de sa commode, réservé uniquement à ses dessous et lingeries fines, elle avait fouillé un long moment avant d’arrêter son choix sur un magnifique string de dentelles noires. De temps en temps elle aimait porter ce mini slip qui lui laissait les fesses à l'air et sentir le mince cordon qui passait dans la raie de ses fesses. Elle trouvait très érotique l'impression de nudité que lui procurait ce minuscule bout de tissus.

Prête à refermer son tiroir, elle aperçut un bas. Elle fouilla de nouveau et dénicha l'autre bas. Elle les prit dans ses mains pour les regarder à la lumière. Ils étaient si fins et si doux qu’elle eut envie de les passer.

Elle chercha un porte jarretelles assorti au string et le fixa autour de sa taille. Elle se regarda dans la glace qui lui renvoyait une image coquine qui la décida à passer les bas.

Délicatement elle roula le bas dans ses doigts et le fit glisser sur ses jambes.

Elle ne mettait pas souvent de vrais bas mais de temps en temps, c’était avec grand plaisir qu’elle en portait.

Elle trouva très agréable le contact du Nylon sur ses jambes et délicatement elle fixa les jarretelles aux revers plus sombres qui lui barrait le haut des cuisses.

Elle s’admira de nouveau dans le miroir et se trouva très belle ainsi parée. Elle pivota et en tournant la tête regarda l'effet produit. Elle imagina l'image qu’elle donnerait sur un lit, à genoux les cuisses écartées, offerte. C’est son amant qui allait être content !

Le lendemain, après avoir quitté son amant, elle avait roulé en boule son string et l'avait glissé dans son sac à main. D’être carrément le cul nu l'excitait par dessus tout.

En marchant, l'air frais lui caressait les jambes et le Nylon de ses bas crissait d’une cuisse sur l'autre. Elle adorait ça. Son sexe était légèrement douloureux. Il faut dire que son amant était particulièrement favorisé par la nature, ce qui n’avait pas déplut à Claire.

Quelle agréable surprise elle avait eu en déboutonnant le pantalon et en entrouvrant le caleçon.

Elle avait découvert le sexe déjà en érection de son amant.

La grosseur des couilles l'avait impressionnée et s’était amusée à les soupeser et les tenir dans le creux de sa main en pensant à la quantité de sperme qu’elles devaient renfermer.

Instinctivement elle se pencha vers la queue dressée et déposa un baiser sur le gland énorme. Son audace l'excita et elle ouvrit sa bouche, ne pouvant pas résister à l'envie d’avaler cette tige tellement appétissante.

Souvent elle faisait une fellation comme préliminaire ou pour faire bander les hommes mais sans les laisser jouir et se déverser dans sa bouche. Mais là, ce sexe lui plaisait tellement qu’elle décida d’accorder cette faveur à son homme et parce qu’elle voulait goûter la douceur de cette tige avec les lèvres.

Elle le suça longuement avec beaucoup de douceur et de savoir faire en alternant les coups de langue sur la tige et sur les couilles. Elle tétait le gland et le branlait délicatement en même temps.

Le résultat ne se fit pas attendre. Un peu étonnée par la saveur qui envahissait sa bouche, elle le laissa se vider à longs jets puissant et chauds. Pour ne pas suffoquer elle avala le sperme onctueux en se disant que tout compte fait, il avait un parfum très agréable et se promis de renouveler l'expérience une autre fois.

Elle imagina que ce serait drôle de raconter cette séance de fellation à sa copine Lisette. Et par la même occasion elle lui demanderait si elle aussi, elle aime faire des pipes à ses amants…

Toute fière d’avoir donné du plaisir avec le seul concours de sa bouche, Claire s’était laisser aller sur le dos.

Les cuisses grandes ouvertes, le sexe béant et offert, elle attendait avec le secret espoir qu’à son tour, il viendrait lui dévorer le sexe et la ferait jouir rapidement et sauvagement.

Son amant avait deviné l'appel secret et avait plongé à son tour entre les cuisses pour plaquer sa bouche gourmande sur le sexe de Claire. Ce contact humide et chaud sur ses muqueuses l'avait électrisée alors pour mieux s’offrir, elle avait relevé ses jambes sur les épaules de l'homme. Cette position l'excitait et lui donnait l'impression d’être obscène.

La langue qui la fouillait avec agilité la faisait jouir d’une façon continue et elle remuait les hanches pour en augmenter les sensations.

D’une main experte, il lui avait planté son pouce dans son vagin trempé et son majeur, souple comme un serpent, avait investi son orifice le plus secret.

Ce doigt planté dans son cul et les lèvres aspirant son clitoris enflammé la faisait jouir à flot continu.

Elle se sentait prise de partout à la fois et le plaisir secouait son ventre en spasmes de bonheur.

Au paroxysme de sa jouissance elle ferma les yeux et imagina une queue dressée devant elle.

Le goût persistant du sperme dans sa bouche et la vision de cette bite lui fit imaginer le plus pervers des tableaux et à cet instant précis, elle ne se serait pas faite prier bien longtemps pour engloutir une deuxième queue dans sa bouche asséchée par le plaisir.

Presque brutalement, il retira ses doigts de son sexe et de son anus et il la força à se retourner sur le ventre. Il passa son bras sous celui ci et la souleva pour lui faire saillir la croupe. Elle se trouvait ainsi sur les genoux, le cul offert et le visage enfouis dans les draps défaits.

Ses bas avaient mal supporté ce traitement et plissaient en tout sens mais elle s’en foutait complètement.

Il lui plaisait à cet instant d’être comme une poupée que l'on force à prendre toutes sortes de positions vulgaires.

Il s’installa à son tour derrière elle et frottait sa queue tendue sur ses fesses. Elle passa une main entre ses cuisses et saisi le sexe pour le guider elle même dans son sexe trempé par le plaisir et l'impatience.

Elle suffoqua quand la tige brûlante la perfora. D’une poussée rectiligne il s’était planté bien au fond de sa fente onctueuse.

De nouveau, elle imagina le tableau qu’elle représentait ainsi et son excitation augmenta encore un peu plus.

Il la maintenait fermement par les hanches et entama un va et viens puissant et régulier. Elle adorait cette position pour faire l'amour et c’est certainement celle qu’elle préférait entre toutes pour jouir sans retenues.

Elle sentait le gland énorme buter au fond d’elle et les parois de son sexe se contractaient pour mieux le retenir.

Il la baisait avec une régularité de métronome alors elle laissa monter de son ventre les vagues du plaisir. Elle suffoqua presque en jouissant et eut juste le temps de lui supplier avant de s’effondrer, le visage dans les draps :

-« Encule moi ! Encule moi fort dans cette position ! J’en ai trop envie ! »

Là encore, l'érotisme des mots jouait un grand rôle pour Claire et elle ne se privait jamais d’employer des mots de l'amour, grossiers.

De demander à son amant « encule moi, ou fout la moi dans le cul » l'excitait terriblement

Alors après avoir énoncé quelques insanités d’ordre sexuelles elle se laissa bercer par la jouissance en sentant déjà que son cul palpitait en attendant d’être pris ainsi.

Son amant, soucieux d’exaucer ses désirs la laissa jouir et se retira doucement de son sexe la queue toujours tendue, énorme.

Elle sentit un souffle chaud contre ses fesses et tout de suite après une langue qui s’infiltrait dans la raie de ses fesses. Toujours en levrette, elle se laissa lécher par la langue agile qui partait de son sexe congestionné et remontait jusqu’à son anus palpitant. Des mains puissantes écartaient ses fesses et elle se sentait ainsi, obscène et offerte ; ce qui apaisait ses tendances exhibitionnistes.

Elle le laissait faire en roulant doucement des hanches et frissonnait de plaisir quand la langue se faisant plus pointue contre son orifice secret.

La salive contre son cul permettait à la langue de pénétrer et de détendre ses muscles intimes.

Quel merveilleux moment elle passait là, à s’offrir ! D’autant plus que la sodomie n’était que très rarement accordée à ses amants.

Quand cette pratique lui venait à l'esprit elle ne disait pas « je me suis fait enculer ! » Mais elle préférait dire « je me laisse enculer ! »

Alors, quand elle demandait qu’on la prenne ainsi, il fallait que la fête soit totale. Pour elle, c’était plus cérébrale que physique, alors elle ne s’occupe plus de l'homme qui est derrière elle et déclenche sa boite à fantasmes.

Le visage reposant dans le creux de son bras replié elle imagine le visage de son amant enfouit entre ses fesses, ce qui lui déclenche ensuite la venue d’autres images. Elle pense alors au gland qui va bientôt remplacer la langue. Ce gland, elle le connaît bien pour l'avoir léché et sucé. Il est gros mais elle désire tant qu’il prenne sa place dans son cul que ça ne la préoccupe pas plus que ça.

D’ailleurs elle le devine qui s’appuie contre son cul alors seulement elle pousse un peu pour lui faciliter le passage délicat de son anneau bien préparé par la langue.

Elle se sent s’ouvrir et se laisse maintenant enculer sans rien faire ni bouger. Le sexe entier l'a investit et elle reporte toute son attention sur les sensations qu’elle ressent.

Le pieu brûlant entame un va et vient de plus en plus profond et elle peut sentir les couilles qui s’écrasent contre elle à chaque poussée.

Il peut forcer le rythme, l'empaler, lui ‘’violer’’ le cul, plus rien ne lui importe maintenant. Elle sait qu’elle va hurler quand le plaisir viendra et que la jouissance sera foudroyante alors elle imagine ce piston de chair qui la transperce et ça suffit à son bonheur.

Elle glisse une main entre ses cuisses et se branle en creusant encore un peu plus les reins. Elle se sent ‘’chienne ‘’ et obscène et c’est exactement ce qu’elle recherche pour assouvir son envie de plaisir et de jouissance.

Il lui semble que la queue plantée en elle devient encore plus dure et plus grosse. L'homme plaqué contre ses fesses pousse des grognements et accélère son mouvement. Sa jouissance est proche.

Claire est maintenant ballottée en tout sens et se retient de jouir pour être à l'unisson de son compagnon. Elle lui crie de l'inonder de son foûtre maintenant.

A bout de résistance, son amant se laisse aller lui aussi et Claire sentant le sperme brûlant se répandre en elle, suffoque tellement sa jouissance est dévastatrice. Ils restent un long moment effondrés sur le lit en reprenant leur souffle.

Une fois de plus, la magie a eu lieu pour elle. La violence et la ‘’bestialité’’ de cet enculage l’auront transporté dans son monde à elle. Celui du plaisir entier.

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Guest Anonymous

:wink:

ça donne envie de rencontrer Claire

si tu as ses coordonnées, en MP merci :wink:

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je serai prêt à me contenter d'être le doux vent qui parcourt ses cuisses :wink:

Trés beau récit :wink:

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Guest decibel

Très directe :wink: ,mais intense :wink: cette narration ... :wink::P:wink: pour les détails très très coquins :wink:

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Guest decibel

Même avis que Décibel :P

:wink::wink: :wink:

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Guest K@thy

très très sympa cette histoire :wink: :wink:

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