Coucou à tous, sabounette est revenue de vacances ! Et l’esprit toujours aussi lubrique…
Mon penchant immodéré pour la fessée comme préliminaire des plus érotiques, parait intriguer nombre de personnes…je veux bien vous en relater une expérience particulièrement…inoubliable…spéciale dédicace à Bibinours, qui je crois a récemment découvert un pt’i penchant pour « l’attachement » je crois ?...
Nous avons pris rendez-vous à la terrasse d’un café…je l’attends, le cœur battant la chamade, essayant vainement de me concentrer sur le livre que j’ai en face des yeux…
Il fait chaud, m’obligeant à enlever ma veste, et révélant le petit décolleté sexy qui moule si bien mes deux globes au chocolat !...je sens d’ailleurs les regards sur moi…
Je voudrai tellement qu’il arrive maintenant, et j’ai les jambes flageolantes…heureusement que je suis assise…
Je lève instinctivement les yeux et croise en un éclair son regard…ça me fait un flash au cœur, et je sais que je lui plais et qu’il est aussi troublé que moi…
Notre complicité est intacte, pur moment de bonheur que de se savourer enfin en face à face…je lis tellement de choses dans son regard qui me trouble au plus haut point, son sourire me fait fondre littéralement…on discute mais rapidement ses yeux glissent sur mes seins et je vois ses pupilles se dilater sous le désir qu’il ressent…il est temps de partir…
Nous sommes côte à côte et c’est électrique ; on a envie de se toucher…mais nous savourons cette attente…notre scénario est déjà prévu à l’avance et l’excitation ne fait que monter…une fois dans la voiture, on ne peut s’empêcher de se toucher…sa main est douce, sa pression sur ma cuisse est voluptueuse…et mes tétons ne peuvent s’empêcher de se tendre sous le tissu du soutien-gorge…je sens mon sexe devenir humide et particulièrement réceptif à cet homme qui ne m’a pourtant pas encore touchée…mais le désir est bel et bien là…
Arrivés à la maison, la porte à peine refermée, mon souffle s’accélère car je sais ce qui m’attend :
LUI : « tu sais, les murs sont épais, et même si tu cries personne ne t’entendra…tu es à ma merci, tu le sais ?...
Quel délicieux guet-apens !...il sait parfaitement les mots qui m’électrisent…
Il me baisse mon pantacourt et mon string…sa main descends en me caressant les fesses et les cuisses…je frémis et ferme les yeux…je sens sa respiration s’accélérer…
Il m’emmène, s’assoit et me place à la renverse sur ses cuisses, mes pieds et mes mains touchent le sol…
-« c’est ça que tu attendais, hein ? »
Et une première claque fait vibrer mon fessier impatient…il prend un plaisir évident à me satisfaire…ses mains enveloppent fermement mes fesses charnues, les caressent tendrement, la pression se fait plus insistante et une autre claque vient faire rougir de plaisir mon postérieur…
-« Mais c’est que tu as des fesses faites pour ça ma petite cochonne ! »
chaque tape m’arrache un gémissement de plaisir…l’intensité de l’excitation vient dans l’alternance des claques et des caresses savamment distillées, et surtout notre dialogue est primordial (dialogue que je ne pourrais hélas pas relater car les mots sont particulièrement crus…et là encore l’excitation vient de l’alternance de ces mots crus qui s’entremêlent à des mots tendres)…excitation de cette ambivalence, et surtout abandon total car nous avons confiance l’un en l’autre…j’ai trouvé un alter-ego dans mon fantasme…
Je me sens dans un état second, je le sens maitre de la situation et moi je suis devenue totalement soumise à son désir et je ne veux pas qu’il s’arrête… mon sexe est en feu et je veux qu’il me le calme…il me met à quatre pattes et ses doigts viennent mettre au supplice mon clito gonflé, sa langue fond sur mes fesses et il me mange, sa langue s’enfonçant outrageusement dans mon petit trou…je ne suis plus que gémissements, une petite chienne en chaleur, excitée par ses bruits de succion et par la volupté de sa caresse…quel bonheur de se sentir désirée à ce point !
Je décide que les choses s’arrêtent là car à mon tour d’aller à sa conquête…
Sa queue est déjà bien raide lorsque je la sors de son boxer…je ne peux m’empêcher de la faire gentiment coulisser tout en plongeant mon regard fiévreux dans ses yeux qui se voilent de désir…
-« ma main te fait gémir ? » lui dis-je faussement innocente…je compte bien le provoquer et je sais que ce que je vais lui dire l’excitera au plus haut point !
Ma bouche enveloppe délicatement son bourgeon puis ma lanque descends lentement le long de son frein sans le lâcher des yeux…je veux qu’il observe bien à quel point j’aime ça…ma bouche humide le gobe et vient faire quelques vas et vient langoureux avant de stopper net le mouvement…eh oui ! je veux juste sentir son membre dur sur ma cuisse lorsque je le place sur moi…ses fesses sont bien musclées, on voit que c’est un sportif, et ma petite main ne se lassera pas alors d’alterner claques dont l’intensité ira crescendo, avec des caresses qui viendront apaiser le feu de la douleur, et quelques incursions vers son anus palpitant, et à mon tour je ne pourrai résister à le lui lécher goulûment, à y enfoncer ma langue impudique pour le faire gémir sous ma caresse, tout en l’abreuvant des mots qu’il veut entendre…les rôles se sont inversés et le voici totalement sous mon emprise, et je maîtrise parfaitement la situation…
Ce qui nous excite tant est notre ambivalence…tour à tour homme dominant, puis totalement soumis, et moi femme-enfant puis maîtresse-femme…
Voici pour ceux et celles que cela intéressait, un petit aperçu de ce préliminaire que je trouve totalement érotique et sensuel, à aucun moment pervers ou sadique, car le plaisir ne réside pas dans la douleur mais bien dans l’excitation provoquée par cette douleur qui se trouve comblée par un plaisir sexuel par la suite, caresses et pénétrations diverses !
J’espère ne pas vous avoir choquée…et pour ceux qui sont intéressés par ce témoignage au complet (dialogues que j’ai ici censurés en fonction de la charte !, il n’y a qu’à me le demander par MP…ça va peut-être donner des idées, qui sait ?)… :D
Coucou à tous, sabounette est revenue de vacances ! Et l’esprit toujours aussi lubrique…
Mon penchant immodéré pour la fessée comme préliminaire des plus érotiques, parait intriguer nombre de personnes…je veux bien vous en relater une expérience particulièrement…inoubliable…spéciale dédicace à Bibinours, qui je crois a récemment découvert un pt’i penchant pour « l’attachement » je crois ?...

Nous avons pris rendez-vous à la terrasse d’un café…je l’attends, le cœur battant la chamade, essayant vainement de me concentrer sur le livre que j’ai en face des yeux…
Il fait chaud, m’obligeant à enlever ma veste, et révélant le petit décolleté sexy qui moule si bien mes deux globes au chocolat !...je sens d’ailleurs les regards sur moi…
Je voudrai tellement qu’il arrive maintenant, et j’ai les jambes flageolantes…heureusement que je suis assise…
Je lève instinctivement les yeux et croise en un éclair son regard…ça me fait un flash au cœur, et je sais que je lui plais et qu’il est aussi troublé que moi…
Notre complicité est intacte, pur moment de bonheur que de se savourer enfin en face à face…je lis tellement de choses dans son regard qui me trouble au plus haut point, son sourire me fait fondre littéralement…on discute mais rapidement ses yeux glissent sur mes seins et je vois ses pupilles se dilater sous le désir qu’il ressent…il est temps de partir…
Nous sommes côte à côte et c’est électrique ; on a envie de se toucher…mais nous savourons cette attente…notre scénario est déjà prévu à l’avance et l’excitation ne fait que monter…une fois dans la voiture, on ne peut s’empêcher de se toucher…sa main est douce, sa pression sur ma cuisse est voluptueuse…et mes tétons ne peuvent s’empêcher de se tendre sous le tissu du soutien-gorge…je sens mon sexe devenir humide et particulièrement réceptif à cet homme qui ne m’a pourtant pas encore touchée…mais le désir est bel et bien là…
Arrivés à la maison, la porte à peine refermée, mon souffle s’accélère car je sais ce qui m’attend :
LUI : « tu sais, les murs sont épais, et même si tu cries personne ne t’entendra…tu es à ma merci, tu le sais ?...
Quel délicieux guet-apens !...il sait parfaitement les mots qui m’électrisent…
Il me baisse mon pantacourt et mon string…sa main descends en me caressant les fesses et les cuisses…je frémis et ferme les yeux…je sens sa respiration s’accélérer…
Il m’emmène, s’assoit et me place à la renverse sur ses cuisses, mes pieds et mes mains touchent le sol…
-« c’est ça que tu attendais, hein ? »
Et une première claque fait vibrer mon fessier impatient…il prend un plaisir évident à me satisfaire…ses mains enveloppent fermement mes fesses charnues, les caressent tendrement, la pression se fait plus insistante et une autre claque vient faire rougir de plaisir mon postérieur…
-« Mais c’est que tu as des fesses faites pour ça ma petite cochonne ! »
chaque tape m’arrache un gémissement de plaisir…l’intensité de l’excitation vient dans l’alternance des claques et des caresses savamment distillées, et surtout notre dialogue est primordial (dialogue que je ne pourrais hélas pas relater car les mots sont particulièrement crus…et là encore l’excitation vient de l’alternance de ces mots crus qui s’entremêlent à des mots tendres)…excitation de cette ambivalence, et surtout abandon total car nous avons confiance l’un en l’autre…j’ai trouvé un alter-ego dans mon fantasme…
Je me sens dans un état second, je le sens maitre de la situation et moi je suis devenue totalement soumise à son désir et je ne veux pas qu’il s’arrête… mon sexe est en feu et je veux qu’il me le calme…il me met à quatre pattes et ses doigts viennent mettre au supplice mon clito gonflé, sa langue fond sur mes fesses et il me mange, sa langue s’enfonçant outrageusement dans mon petit trou…je ne suis plus que gémissements, une petite chienne en chaleur, excitée par ses bruits de succion et par la volupté de sa caresse…quel bonheur de se sentir désirée à ce point !
Je décide que les choses s’arrêtent là car à mon tour d’aller à sa conquête…
Sa queue est déjà bien raide lorsque je la sors de son boxer…je ne peux m’empêcher de la faire gentiment coulisser tout en plongeant mon regard fiévreux dans ses yeux qui se voilent de désir…
-« ma main te fait gémir ? » lui dis-je faussement innocente…je compte bien le provoquer et je sais que ce que je vais lui dire l’excitera au plus haut point !
Ma bouche enveloppe délicatement son bourgeon puis ma lanque descends lentement le long de son frein sans le lâcher des yeux…je veux qu’il observe bien à quel point j’aime ça…ma bouche humide le gobe et vient faire quelques vas et vient langoureux avant de stopper net le mouvement…eh oui ! je veux juste sentir son membre dur sur ma cuisse lorsque je le place sur moi…ses fesses sont bien musclées, on voit que c’est un sportif, et ma petite main ne se lassera pas alors d’alterner claques dont l’intensité ira crescendo, avec des caresses qui viendront apaiser le feu de la douleur, et quelques incursions vers son anus palpitant, et à mon tour je ne pourrai résister à le lui lécher goulûment, à y enfoncer ma langue impudique pour le faire gémir sous ma caresse, tout en l’abreuvant des mots qu’il veut entendre…les rôles se sont inversés et le voici totalement sous mon emprise, et je maîtrise parfaitement la situation…
Ce qui nous excite tant est notre ambivalence…tour à tour homme dominant, puis totalement soumis, et moi femme-enfant puis maîtresse-femme…
Voici pour ceux et celles que cela intéressait, un petit aperçu de ce préliminaire que je trouve totalement érotique et sensuel, à aucun moment pervers ou sadique, car le plaisir ne réside pas dans la douleur mais bien dans l’excitation provoquée par cette douleur qui se trouve comblée par un plaisir sexuel par la suite, caresses et pénétrations diverses !
J’espère ne pas vous avoir choquée…et pour ceux qui sont intéressés par ce témoignage au complet (dialogues que j’ai ici censurés en fonction de la charte !, il n’y a qu’à me le demander par MP…ça va peut-être donner des idées, qui sait ?)…


:D
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