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Par Weby
Bonjour,
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Amicalement
Confession Intime
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Par la brune
En arrivant ici j'ai fait un blog et puis j'y ai posté de tout de rien, un peu de vous, un peu d'eux et aussi beaucoup de moi.
Et puis au fil du temps je me rends compte que c'est un peu comme dans mon cerveau ou les piles sur mon bureau.
Il n'y a que moi qui m'y retrouve. Du coup, je vais poster reprendre ici uniquement les liens vers mes récits.
Des racontottes érotiques au coin du feu
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Par Mein Teil
Futur post apocalyptique.
Les survivants se sont organisés en bandes ou meurent déchiquetés.
Les vestiges technologiques sont peu à peu remplacés par l'acier et la force brute, rien ne semble plus pouvoir ralentir ce chaos qui consume l'humanité.
La loi du plus fort, la loi du plus fourbe, la loi du plus cruel.
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Préserver son espace vital impliquait certaines batailles.
Se nourrir du cadavre du vieux monde, chasser sur ce qui restait de faune ou même faire de la récup' impliquait marquer fermement ses frontières.
La Meute avait aussi le besoin de marquer son territoire, et le monde de ce jour ne comprenait plus que la fermeté.
J'étais l'actuel chef de Meute car j'avais la capacité de déceler qui avait besoin de quoi, lui donner avant même qu'il le revendique : que ce soit par vice ou par besoin d'appartenance.
Il y avait les tatouages mais ça ne suffisait pas, diplomatie, épreuves de force, il fallait aussi que les hommes déchaînent leurs instincts les plus sombres, il fallait que je puisse pourvoir à celà, ou faire en sorte que ceux qui deviennent une menace meure. Il fallait préserver la Meute coûte que coûte et qu'elle aille dans le même sens, que chaque dent qui la compose forme une mâchoire impitoyable capable de broyer nos ennemis.
On est loin du code de chevalerie...On s'approche plutôt du code d'Hammourabi, mais pour animaux dégénérés.
Enfin quand la sauvagerie ne prenait pas le dessus.
Aussi quand on m'a dit qu'une pétasse aux cheveux verts voulait intégrer la Meute, j'ai tout de suite pensé à une désertion des Hyènes, on m'a expliqué qu'elle a été vue active pendant le combat avec son arbalète face à nos ennemis.
Elle avait réussi à montrer patte blanche et s'est dévoilée au moment où les Loups s'étaient enivrés du combat : elle avait donc un sursis sur ce qui allait peut être devenir son viol collectif si elle ne devenait pas une Louve.
Il n'y a plus de place pour les brebis.
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Par Guest Corto Maltese
longue nouvelle, qui commence très soft et evolue lentement vers.... deux couples d'amis en vacances se decouvrent des passions...
Le soleil flirte avec l’horizon et la brise marine apporte enfin un peu de fraîcheur. À cet endroit, la côte est rocheuse, rocailleuse, une végétation relativement dense recouvre en fouillis les alentours, maquis heureusement assez épars pour être parcouru sans trop de soucis. Le sentier, de la maison à la petite bande de sable qui sert de plage, est émaillé de roches calcaires qui affleurent sur le sable doré. Dans la crique, si petite qu’un seul voilier de taille modeste suffit à la combler, les vagues viennent paresseusement lécher le sable encore chaud à cette heure. La marée est étale, le clapotis des vaguelettes murmure une chansonnette apaisante, ponctuée par les cris espacés d’oiseaux marins qui jouent dans le couchant.
Assises sur des rochers, les pieds dans l’eau, Julie et Magali discutent tranquillement en observant leurs hommes qui s’ébattent comme des jeunes chiens un peu fous. En ce début de soirée, après le dîner, les quatre amis ont voulu profiter encore de la mer avant que la nuit ne tombe. Le coucher de soleil de la veille avait été superbe mais aperçut trop tard pour être apprécié à sa juste valeur, alors autant ne pas rater ceux à venir. Sitôt le repas terminé, avant même le café, la pétillante Julie avait donc bousculé son petit monde pour redescendre sur la plage, position stratégique idéale, selon elle pour bénéficier au mieux et jusqu’au bout du spectacle. Toujours très romantiques, les hommes ont visiblement oublié le but premier de la ballade : comme des enfants, Marc et Philippe tracent des canaux dans le sable, creusent des bassins et des ports miniatures que l’eau envahit rapidement, adoucissant les contours des excavations avant de les amollir, les avachir pour les effondrer ensuite. Les deux hommes continuent pourtant avec frénésie leurs constructions éphémères, recréant en désordre le port du Pirée, les Jardins suspendus de Babylone, le Dédale du Minotaure et le Phare d’Alexandrie : Alexandrie - J’ai plus d’appétit - qu’un barracuda - BA-RRA-CU-DA ! Ces deux idiots braillent l’inévitable refrain en jerkant sur le sable ! Ridicules ! Les deux jeunes femmes s’amusent de leurs bêtises et leur sourient, maternelles et attendries par leur délire juvénile.
Les deux couples ont débarqués la veille dans ce petit paradis croate. Arrivés par la mer à bord du petit voilier loué la semaine précédente à Zadar, ils avaient connu quelques hésitations maritimes lorsqu’il s’était agit de dénicher cette petite crique minuscule et la maison. Avec le seul secours de cartes marines, ils seraient certainement encore entrain de dériver à mille miles, mais, vive la technique, le G.P.S. les avait guidé aussi précisément que le chien guide l’aveugle. Et il fallait bien ça pour ces marins d’opérettes, champions interclasses (CM1-CM2 !) de Dériveurs sur plan d’eau artificiel. Depuis huit jours qu’ils tiraient des bords en Mer Égée, ils ont, certes, acquis un peu d’expérience, pris un peu d’assurance, il n’empêche que les îles visitées, magnifiques au demeurant, non pas toujours été celles qu’on croyait ! Le capitaine Philippe a plusieurs fois été surpris en découvrant le véritable nom de l’île où il venait de débarquer. Mais, en définitive, le programme prévu a été respecté et l’enchantement total.
Après cette semaine passée en mer, les deux passagères n’ont pourtant pas caché leur joie de retrouver de façon plus définitive la terre ferme et le confort, spartiate mais acceptable, de la villa louée. La douche, à l’eau douce, leur a permis de dessaler les chevelures, d’en démêler les nœuds, de reprendre figures plus féminines. D’un commun accord, les deux femmes ont convenu que si les hommes voulaient encore régater, pêcher, jouer aux petits marins, ils le feraient sans elles, qui désormais consacreraient leur énergie à … s’étaler sur la plage.
Julie avait craint un moment, au début du séjour, que la timide Magali et son Marc somme toute un peu apathique, ne manquent singulièrement de fantaisie et de tonus. De leur groupe d’amis, ces deux-là n’étaient pas leurs préférés, ceux dont ils se sentaient, Philippe et elle, les plus proches. Julie aurait largement opté a priori pour Béatrice et Christophe ou Sophie et Marc. Surtout Marc et Sophie, vu les récents événements ! Mais ça n’avait pas pu se faire. Et tout compte fait, les choses se passaient plutôt bien avec Magali : la jeune femme s’était révélée moins coincée, moins chipoteuse que ne l’avait craint Julie. Malgré l’exiguïté des lieux, le manque d’intimité, la liberté bornée, la semaine à bord du catamaran n’avait provoqué aucun heurt, aucune fâcherie, chacun s’était accommodé des circonstances, avait jonglé avec l’humeur des autres. Tacitement, les corvées d’approvisionnements avaient été assurées en alternance par chaque couple, histoire de ménager une petite heure de liberté à l’autre tandem. Quelques sourires entendus, des réflexions amusées avaient, dès la première fois, entériné la pratique et instauré le roulement. De son côté, Marc s’était révélé nettement plus dynamique et disert qu’à son habitude : derrière le jeune homme discret des soirées du groupe était apparu un compagnon drôle et toujours disponible. En bref, Julie appréciait l’ambiance bon enfant de l’aventure. Elle aurait préféré qu’un petit brin de folie vienne à l’occasion pimenter le séjour, mais appréciait en définitive le farniente indolent de cette croisière balkanique. Et pour ce qui est du piment, je n’ai pas dit mon dernier mot, pensait-elle.
— Tu sais, déclare Magali, je suis bien contente qu’on ait eu cette idée de louer une maison sur la côte. Huit jours en mer, c’était génial, mieux, beaucoup mieux que je ne l’aurai imaginé, mais ça suffisait !
— Tout à fait d’accord avec toi ! Le bateau est sympa, mais on finit quand même par tourner en rond.
— Pouvoir prendre une vraie douche, laisser couler l’eau sans être rationnée, c’est un vrai plaisir.
— Tu imagines pour moi, avec mes cheveux longs ! Je ne t’explique pas comme j’ai apprécié de pouvoir les bichonner un peu ! Et puis bon, la maison est rustique, mais j’aime bien sa terrasse avec cette tonnelle ombragée.
— Un minimum de confort, c’est autre chose ! Et puis dormir dans un vrai lit !
Magali adresse à sa voisine un clin d’œil chargé de sous-entendus. L’occasion est trop belle pour que Julie laisse passer l’occasion.
— Ah, parce que vous avez dormi ! La taquine Julie.
— Oui, un peu quand même ! Plaisante Magali. Cela dit, pour être tout à fait franche, je dois reconnaître que j’en avais assez des papouilles dans la couchette. Je ne sais pas si tu es comme moi, mais les petites … récrées sur le bateau, ce n’est pas trop mon truc !
— Ah bon, quelque chose te gênait ? demande Julie, à la fois intriguée et surprise de voir son amie aborder tout à coup un sujet intime. Jusque là, la jeune femme a fait preuve d’une grande pudeur, une pudeur telle que Julie n’avait jamais osé bronzer seins nus sur le bateau ou sur la plage ! Quand les navigateurs avaient croisé au large d’une plage naturiste, Magali avait refusé énergiquement qu’on s’approche de trop près et encore moins qu’on aborde, de peur sûrement d’avoir à adopter la tenue de rigueur. Aussi, qu’elle aborde le sujet sexe à présent …
— À vrai dire, je n’ai jamais réussi à prendre vraiment mon pied à bord. Faire ça, à quai, dans le port … C’est idiot, mais j’avais toujours peur que le bateau tangue et que les promeneurs ne remarquent quelque chose. Et je craignais toujours que vous ne reveniez trop tôt …
— Ça, c’est bien toi ! On n’en avait jamais parlé, mais on savait bien qu’en allant faire les courses, on laissait le champ libre aux autres. Pourquoi crois-tu qu’on avait insisté pour que vous preniez votre temps lorsque vous avez débarqué la première fois !
— Oui, bien sûr, je le savais bien, mais bon, je n’étais pas tout à fait à mon aise !
— Dans ce cas, je ne vais certainement pas te dire qu’on vous a entendu hier soir ! Non, je ne dirai rien, sinon tu vas être gênée ! Compte sur moi, je ne te dirai pas qu’on a bien rigolé Philippe et moi !
Magali est toute embarrassée, rougit, tortille ses doigts comme une gamine prise en flagrant délit de gourmandise.
— Tu exagères, parce que nous aussi dans ce cas, on vous aurait entendu !
— Vous n’avez rien entendu parce que vous étiez dans le feu de l’action, mais il faut croire qu’on a fini avant vous !
Sur son rocher, Magali ne sait plus quelle contenance adopter. Elle triture l’ourlet de sa courte robe de plage blanche, baisse chastement les yeux :
— Oh je suis désolée ! Avoue-t-elle péniblement, toute contrite.
— Mais arrête ton char, ma Chérie ! Oh ! Y a rien d’anormal ou d’extraordinaire dans tout ça ! Non mais, si à nos âges, on ne s’envoie pas en l’air avec enthousiasme, on le fera quand ? Et ne va pas, maintenant que je t’ai dit çà, te bloquer, te retenir ! On est en vacances ! Je peux te dire que nous, on se gênera pas, sous prétexte que vous puissiez entendre quelque chose ! On est comme vous, on a un peu de retard à rattraper !
— Oh toi alors ! Tu n’y vas pas par quatre chemins !
— Quatre ? Quatre chemins ? Un, deux, … trois, mais le quatrième, je ne vois pas !
Décontenancée, Magali ne répond pas d’abord, puis réalisant l’allusion, elle éclate de rire. Un rire cristallin, débridé, franc et clair qui attire l’attention des deux hommes :
— Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que vous vous racontez les nanas ? demande Philippe intéressé. On peut en profiter ?
— Non, c’est des trucs de filles ! Lui répond sa femme. Allez, les gosses, fini les pâtés de sables, on se lave les mains et on rentre !
— Oui Maman ! Répondent en cœur et en riant les grands dadais.
Dans le salon, Philippe, assis sur le canapé, a installé son ordinateur portable et vient de transférer les photos prises dans la journée.
— Oh les filles, appelle-t-il, vous voulez voir les photos ?
De la cuisine où elles finissent de remplir le lave-vaisselle, les deux jeunes femmes lui demandent deux minutes de patience. Marc, alerté par l’appel, rejoint Philippe, bientôt suivi par Julie et Magali qui s’installent à gauche et à droite de Philippe ; Marc lui reste debout et se glisse derrière le trio, derrière le canapé.
— Superbe, s’exclame Magali en découvrant sur l’écran une magnifique pris de vue de la plage. L’eau est vraiment d’une couleur incroyable !
Les clichés se suivent, succession de paysages paradisiaques d’une netteté et d’un rendu étonnants qui provoquent les compliments ravis des spectateurs.
— C’est vraiment génial cet appareil, quelle qualité, s’exclame Marc
Sur l’écran apparaît alors une photo de Magali. Prise en contre-plongée, cette photo volée présente la jeune femme en buste, debout, discutant visiblement avec le photographe indiscret qui a déclenché à l’insu de son modèle, l’appareil vraisemblablement plaqué sur la hanche. Le volume de la poitrine est largement mis en valeur par l’angle de visée et la netteté du cliché est telle que l’on voit parfaitement ses tétons poindre sous le tissu immaculé de son maillot de bain blanc.
— Oh mon dieu, s’exclame l’intéressée, non, tu ne vas pas garder cette photo ? Vire-moi ça !
— Mais non, sûrement pas, elle est superbe, répond Philippe qui déjà passe à la suivante.
Quelques clichés anodins suivent avant que l’écran n’affiche en gros plan cette fois la plastique irréprochable de Julie : alanguie sur le sable, les yeux clos, elle profite visiblement avec délice des rayons solaires sans se douter de la présence du photographe indiscret. La chaleur, l’indolence, la somnolence ont relâché son corps et ses seins orgueilleux sont très légèrement affaissés. Les pans de soutien-gorge du maillot noir ont été rétrécis au maximum, et le tissu ne couvre à peine que les aréoles, histoire de laisser les rayons du soleil lécher les globes clairs de ces seins dont la rondeur étonnante est ainsi révélée.
— Waouh, s’exclame Marc, magnifique.
Alors que Julie sourit sans rien dire, Magali feint la colère et se retournant vers son ami, fait mine de vouloir le battre.
— Évidement, toi, toujours le nez sur les seins des autres ! Veux-tu bien regarder ailleurs !
Déjà le diaporama présente d’autres clichés, plus anodins qui ramènent un calme précaire, ne suscitant que des remarques tranquilles sur la qualité des prises de vue. L’accalmie est de courte durée : les deux jeunes femmes réapparaissent en effet bien vite, toujours étendues sur le sable, toujours endormies. L’implacable objectif ne cache aucun détail, ni la finesse du grain de leurs peaux, ni les petites gouttes de sueur qui perlent sur leurs ventres dorés.
Mais c’est pas vrai, quel obsédé ton mec, déclare mi-figue mi-raisin Magali en décochant une petite bourrade à Philippe. Il n’en rate pas une !
— Dis donc, il est sexy ton maillot, fait remarquer Philippe.
Magali rougit : elle a bien entendu remarqué, comme les autres, la précision de la photo qui dévoile en premier plan les reliefs de son mont de Vénus sous le tissu trop fin de son maillot blanc. "Trop moulant, c’est le cas de le dire" pense-t-elle sans oser prononcer à voix haute cette remarque trop explicite.
— Plus jamais, je ne mettrai ce maillot, déclare-t-elle, péremptoire.
— Mais allons, il est très bien ton petit maillot, enchaîne Julie.
Le défilé des images continue, un papillon délicat aux couleurs chatoyantes inonde de lumière l’écran de l’ordinateur, puis, l’émeraude de la mer et une nuée de petits poissons, à peine flous sous la surface de l’eau, des rochers aux formes inattendues, ou encore le panorama idyllique de la côte … Les compliments se succèdent, les exclamations fusent. Tous apprécient l’extraordinaire luminosité des clichés. La dernière photo de la série est annoncée par Philippe : il s’agit à nouveau des jeunes femmes, debout, et de dos cette fois, remontant de la plage, leurs sacs en bandoulières. Le cliché est charmant, amusant même puisqu’on y voit Julie aidant Magali à grimper la pente. Pour ce faire, la coquine la pousse d’une main secourable … gentiment placée sur la fesse droite de son amie que l’on aperçoit riant aux éclats.
— Évidement, tu ne pouvais pas rater çà ! L’enfoiré ! Enfin, tout de même, c’est génial ces photos ! Et pouvoir le regarder tout de suite …, admet Magali.
— Quand je te dis qu’il faut qu’on s’en achète un numérique, déclare Marc.
— Oui oh, je sais parfaitement pourquoi tu en veux un, toi ! Comme je te connais, ce n’est pas pour prendre des photos de paysages ! T’as d’autres idées en tête !
— Et tu crois que je suis le seul dans ce cas ? Si les numériques se vendent si bien, ce n’est pas pour rien !
— Absolument, enchaîne Philippe, avec ces petits joujoux, on fait ce qu’on veut, n’importe où, tout de suite et … sans passer par un labo !
— Ah oui, c’est bien çà l’avantage, pas de censure à craindre, pas de photographe pour lorgner les clichés. Si vous croyez que je n’ai pas compris ! Et toi, ajoute-t-elle à l’adresse de Julie, tu en dis quoi ?
— Moi, j’en dis que c’est génial ! Pour une exhibitionniste comme moi, c’est super !
Magali est estomaquée par la franchise de son amie. Elle n’imaginait que celle-ci avouerait pareille chose ! Et de façon si … décontractée, comme si c’était naturel !
— Ah parce que …
— Et alors, où est le mal, répond sa copine, très à l’aise. Julie est bien décidée à ne pas se cacher derrière une fausse pudeur. Bien au contraire ! Son récent dévergondage avec Sophie a semble-t-il réveillé ses sens, ouvert des horizons libertins insoupçonnés.
— Alors comme çà, tu es exhibitionniste ? Tu te laisses photographier …
— Bien sûr, c’est très excitant ! Des petites séances un peu chaudes, un peu olé-olé. Çà ne te plairait à toi ? T’en as jamais eu envie ?
— Ben euh … Je ne sais pas … Enfin, bon, … oui, pourquoi pas ? Mais … tu … vas jusqu’où, … çà ne te gène pas de t’exposer … nue ?
— Oh tu sais, faut que je t’avoue un truc, … Philippe m’a souvent vue toute nue, réplique Julie, moqueuse.
— Oui bien sûr, c’est pas ce que je voulais dire, tu m’as comprise non ?
— Évidement que j’ai pigé ! Mais non, non, çà ne me gène pas, et même, je dirais que j’aime çà ! Surtout les petites exhib à l’extérieur, ou dans des magasins.
— Qu’est-ce que tu entends par exhib dans les magasins, demande Magali ahurie.
— Ben, des petites photos coquines, discrètes, dans des boutiques, des magasins, au supermarché, …
— Quoi, mais comment ?
— Oh, simple, explique Julie, je me ballade sans rien sous ma minijupe et je m’arrange pour la soulever pendant qu’on fait les courses. L’autre jour, à Auchan, par exemple, un moment, je me suis accroupie pour "examiner" de plus près un produit. Philippe en a profité pour prendre une photo.
— Mais, il avait du monde ?
— Tu as déjà vu un hyper vide le vendredi soir ? bien sûr qu’il y avait du monde, mais il suffit de bien choisir le moment !
— Mais vous faites çà souvent, s’étonne Magali.
— Assez souvent, oui !
— Et vous ne vous êtes jamais fait prendre ?
— Oh, il est arrivé qu’un type … ou une femme regarde … au bon moment. Et alors !
— Et alors ?
— Personne ne s’est jamais plaint !
— Mais, il y a quoi comme réaction ?
— Les types rigolent, mais n’osent pas s’approcher. Une fois, une mémère était visiblement choquée mais n’a pas moufté, peut être qu’elle n’était pas sûre d’avoir bien vu; mais le mieux, c’a été une petite gonzesse, dix huit/vingt ans, chez Connectic, elle m’a vue alors que j’étais debout, jupe relevée et Philippe en face, qui discrètement, l’air de rien, prenait la photo. Elle s’est approchée, s’est plantée à côté de moi, m’a fait un grand sourire, un clin d’œil et un petit coup de tête, et elle a remonté sa jupe elle aussi, pour que Philippe nous prenne en photo ensemble.
— Oh je le crois pas, s’exclame Marc. Et alors ?
— Alors, elle non plus, n’avait pas de culotte ! Ensuite, elle m’a collé un bisou sur la joue, et elle a fait demi-tour en nous souhaitant "Bon amusement".
— Et vous ne l’avez jamais revue ?
— Jamais !
— Ouah, incroyable ! Et vous avez toujours la photo, demande Marc ?
— Bien sûr, on vous la montrera !
— Waouh ! s’exclame Marc, vivement intéressé.
Si lui ne se pose pas davantage de questions, il n’en va pas de même pour sa compagne : Magali est ahurie par la tournure des événements, ce déballage impudique la choque, ou tout au moins la surprend, la sidère.
— Attends, réalise Magali, non mais tu te rends compte de ce que tu dis ! Tu parles de nous montrer une photo où on vous voit, toi et cette fille, jupes relevées et … sexes à l’air !
— Oh oui, et pourquoi pas ? C’est rien qu’une photo ! Et pour ce qu’on voit ! C’est pas du gros plan, rassure-toi ! Et puis, vous ne seriez pas les premiers !
Cette fois, c’en est trop pour Magali qui se lève et se place debout, face aux trois autres. Marc ne sait pas quelle contenance adopter : si Magali est choquée, il aurait intérêt à se ranger de son côté, mais la situation l’excite, il sent la soirée déraper, ce qui n’est pas pour lui déplaire.
— Comment ça "on serait pas les premiers" ? Vous les montrez souvent vos photos ?
Le petit sourire qui flotte sur ses lèvres et le ton, plus enjoué que fâché, rassurent quelque peu les autres participants : ainsi, elle est plus intéressée que choquée. Julie répond donc tranquillement :
— À vrai dire, celle-ci et quelques autres, Philippe les a envoyé sur un site exhib d’Internet. Visages masqués bien sûr !
— Waouh, s’exclame Magali, vous balancez vos photos sur Voyeur.com !
Cette remarque est parfaitement calculée : en dévoilant sa connaissance des sites d’exhibitions amateurs, la petite rusée sait parfaitement ce qu’elle fait !
— Ah tiens, tu connais ! Tiens, tiens, tiens ! Finaude Julie qui enregistre la réflexion de son amie. Ainsi donc la demoiselle surfe sur des sites olé-olé ! Se dit-elle.
— Oui oh, tu penses bien, avec Marc ! … Quand je disais tout à l’heure que je savais pourquoi il voulait un appareil photo numérique, ce n’était pas pour rien
— Mais dis donc petite hypocrite, quand tu me demandais ce que je faisais dans les magasins, tu savais parfaitement de quoi il retournait ! Des exhib magasins, t’as dû en voir un paquet sur Internet.
— Oui c’est vrai, reconnaît Magali avec un petit air satisfait de coquine heureuse d’avoir joué un bon tour à ses compères. S’asseyant tranquillement dans un gros fauteuil club face à autres, elle explique :
— Pour être franche, c’est même celles que je préfère, parce qu’il y a un petit côté défi qui est assez émoustillant ! Braver l’interdit, c’est excitant ! Les autres rubriques sont moins intéressantes, même s’il y a parfois des séries de photos très jolies, gentiment érotiques, pas vulgaires. Mais bon, il y en a d’autres, beuh ! Le porno, c’est pas mon truc ! Et de plus, il n’y a pas que des canons qui osent se présenter, il y en a même un paquet qui ferait bien de s’abstenir !
— Il en faut pour tous les goûts ! Mais nous sommes d’accord avec toi, ce sont les exhib publiques qui sont les plus intéressantes, convient Philippe.
— Allez, racontez-nous, qu’est-ce que vous avez envoyé comme photos, demande Magali très intéressée, le buste penché en avant. Une des fines bretelles de sa robe légère a glissé sur son épaule, et la position de la jeune femme offre un panorama plongeant sur ses seins rebondis. Derrière le canapé, Marc a enregistré le changement d’attitude de sa compagne et histoire de resserrer l’intimité du groupe, il décide de s’installer confortablement sur le canapé, à côté de la belle Julie, dont il attend les confidences avec gourmandise.
— Il y a eu une série Ikéa, c’est pas très original je sais, parce qu’il y en a souvent sur le Web, explique Julie. Les surveillants de ces magasins doivent passer de bons moments ! Mais bon, moi je m’en souviens parce que c’était notre première exhib magasin. J’étais excitée comme une puce ! Un moment, j’étais à califourchon sur l’accoudoir d’un divan, eh ben, quand je me suis relevée, y avait une trace humide, tellement je mouillais ! S’ils ont encore ce fauteuil en magasin, vous devriez y aller, vous aurez un bon prix expo ! A part çà, il y a eu aussi une série Mac Do et une autre prise dans différentes boutiques du centre-ville.
— Mais, personne ne dit rien en te voyant entrer dans les magasins avec ton appareil photo, demande Marc à Philippe. Tu dois être repéré immédiatement.
— Non, parce que je n’utilise pas ce gros reflex, explique Philippe en désignant le gros appareil posé sur la table basse. J’en ai un autre, tout petit, qui tient dans la main. Et je ne cadre pas les photos, je les prends au jugé, l’appareil dans ma main, le long de la hanche, mine de rien ! Ni vu, ni connu ! Quelques fois, bien sûr, la photo est ratée, mal cadrée, mais dans l’ensemble, je ne m’en tire pas trop mal !
— Il y a eu aussi des photos prises à la maison, une séance bricolage, reprend Julie. C’est d’ailleurs la première série de photos qu’on ait envoyé, c’était … il y a pas mal de temps, début d’année ?
— Et si quelqu’un avait reconnu votre appart ? Vous courez le risque ? S’inquiète Magali.
— Non, tu vois, on avait fait ces photos au moment où on repeignait le salon : tous les meubles étaient recouverts de draps, les tableaux décrochés, forcément, les luminaires démontés, impossible donc de reconnaître quoi que ce soit !
— En plus, ajoute Philippe, sur l’ordi, j’ai retouché les photos : les murs bleus sont devenus vert d’eau, la salopette bleue de Julie est devenue rouge, et de plus, j’ai inversé les photos, en miroir. Ensuite, histoire d’éviter tout rapprochement, on transmet tous nos mails avec des commentaires en italien !
— Attends, s’exclame Marc, italienne, salopette rouge ? Avec une casquette rouge aussi ? Mais je les ai copiées ces photos ! On voit la fille sur un escabeau, les seins nus sous la salopette, un pinceau à la main ? Oui ? … Je les avais repérées ces photos, magnifiques soit dit en passant, mais vraiment, je n’aurai jamais imaginé que c’était Julie ! Waouh ! Super strip-tease ! S’adressant à sa petite amie : Tu vois de quelles photos je parle Magali ?
— Oui, oui, je m’en souviens ! Bon, super jolies ces photos, c’est vrai ! Marc les a mis dans sa petite collection et il est difficile vous savez. Il n’y met pas n’importe quoi. D’ailleurs, on a revu ces photos il n’y a pas longtemps, puisqu’il en avait mis une en fond d’écran. La première justement, quand tu es sur l’escabeau et qu’on aperçoit juste la rondeur des seins. Dis donc, t’imagine, si vous vous étiez pointés chez nous à l’époque où il avait cette photo en fond d’écran, çà vous aurait fait drôle non ?
— Ça aurait été amusant, reconnaît Julie.
— Mais dis donc Julie, … dans cette série, … tu as fini complètement nue !
— Ben oui ! C’est le but non ? Ça te choque ?
— Nnnnon. C’est vrai que ces photos étaient jolies. Érotiques, suggestives, mais pas pornos ! Mais quand même, ça me fait drôle de savoir qu’on a des photos de toi, toute nue ! On a regardé ces photos, on les a commentées et si Marc les a copiées, c’est qu’elles nous ont plu. Ça ne te fait rien à toi Philippe de savoir qu’on a vu ta femme … nue ? Vous ne regrettez pas maintenant que vous savez qu’on a vu ces photos, parce que nous, on est pas des inconnus, on est pas à douze milles kilomètres de chez vous. Ça ne vous embarrasse pas de savoir qu’on a pu faire des commentaires sur son corps, ses seins, ses postures, enfin je sais plus ce qu’on a pu dire, mais bon …
— Franchement, j’avoue que … ça me trouble, ça m’amuse et quelque part aussi, ça m’excite d’imaginer que vous vous êtes peut être excités en les regardant ! Et toi Chérie, ça te gène ?
— Pas vraiment, ça m’excite moi aussi, j’en suis toute chose ! Et j’aimerais bien savoir quels commentaires vous avez pu faire …
Gêné, Marc, qui sait pourtant bien de quoi il retourne, se tait et lance un regard circonspect à Magali qui comprend son embarras et répond à sa place :
— Il me parait évident que nous avons parlé des seins, des commentaires très positifs t’imagine, mais ce qu’on a dit exactement …
— Et c’est tout ?
Magali rougit :
— Je sais qu’on a fait des commentaires sur … euh … sur le, comment dire, sur la forme de ton … enfin … du petit buisson
— Sois pas timide comme ça, tu peux dire "TES seins", "TON buisson", c’est bien des miens qu’il s’agit ! Alors, qu’est-ce qu’il avait "mon" buisson, il avait quelle forme d’ailleurs à l’époque ?
— Il était … parfaitement … triangulaire, impeccable, tout petit, et …
— Et quoi ?
— Non rien !
— Comment ça "non rien", qu’est-ce tu voulais dire encore ?
— Ben, non, enfin …, je voulais dire, … juste un petit buisson … bien net et rien d’autre, …, tout le reste bien propre, impeccable !
— Ah, tu veux dire, les lèvres bien propres, sans poil, épilées ?
— Oui, répond en rougissant Magali d’une petite voix un peu étranglée.
— Et ça vous a plu ?
— Ben oui, surtout à Marc, il n’aime pas beaucoup les … les poils.
— Ah oui ? Mais toi alors ?
— Moi ! Magali n’en peut plus de rougir. Son visage est en feu, elle se tortille, mal à l’aise, dans son fauteuil, tire sur sa courte robe de plage, histoire de couvrir un minimum ses cuisses exposées qu’elle serre instinctivement.
— Ben moi, … je ne suis pas très poilue, naturellement, et …
— Et quoi ?
— Ben à force d’insister, de montrer des photos d’amatrices épilées, j’ai … j’ai fini par me laisser convaincre, j’ai … nettoyé, avoue-t-elle timidement.
— Ah oui ? Complètement ou tu en as gardé un peu, insiste l’indiscrète Julie qui s’amuse follement de la gêne de sa copine.
— Je … j’ai gardé juste … une petite … bande !
— Oh mais çà doit être mignon çà, commente Philippe avec un air gourmand.
— Je suis sûre que Marc doit adorer, ajoute Julie en cherchant un assentiment dans le regard de l’intéressé.
— Oh ben lui, il s’est rasé complètement, enchaîne Magali avec comme un petit ton de vengeance dans la voix.
— Ah bon carrément, s’exclame Julie avec un grand sourire.
Tentant désespérément d’afficher un air désinvolte, Marc répond du tac au tac :
— C’est parce que TU as insisté, et d’ailleurs je laisse repousser depuis … et je ne me raserai plus à l’avenir !
— Et pourquoi donc, demande Julie étonnée. Ah c’est bien les mecs, nous on doit obéir à leurs caprices, se peler l’abricot, mais vous, non ?
— Non, il y a simplement que … Enfin, pour nous, c’est pas très … confortable. Rasé, j’avais les … les bonbons qui collaient au papier, si vous voyez ce que je veux dire. Mais bon, je l’avais fait quand Magali s’était épilée. De toute façon, c’était donnant-donnant ! C’était sûrement d’ailleurs un petit fantasme de Mademoiselle !
— Ah non, ce n’était pas du tout un fantasme, c’était juste pour voir, et pour t’embêter aussi ! Mais non, mes fantasmes, c’est autre chose quand même !
— Ah oui, finaude Philippe, et c’est quoi alors tes fantasmes ?
— Oh je ne sais pas !
— Si si si, allez, raconte un peu !
— Que je raconte ? Mais qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ?
— Raconte-nous un de tes fantasmes, insiste Philippe.
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Bonjour à toutes et à tous
J'ai testé tout plein de chose, mais il y a un truc auquel je ne trouve pas d'intérêts, c'est le Gang Bang, pour ne pas mourir idiot, j'ai regardé un film traitant de ce sujet
(perso je ne suis pas fan).
Ma question est la suivante, qu'est ce qui vous excite mesdames à pratique celà, si tout du moins quelques unes d'entre vous l'on fait ???
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