La visite...

[Oo lilou oO 1]

Textes écris à quatres mains, merci à toi de m'avoir offert un tel moment de sensualité...

C'est l'histoire d'une visite, une vieille maison, un acheteur, une jeune négociatrice...

De vieilles maisons en pierre, sombres et souvent isolées dans la campagne... Je t effleurerais en passant devant toi dans certaines pièces trop étroites... Je jouerais à monter les escaliers la première, pour que tu te régales de la vue de mes fesses à travers ma jupe strict... Tu te demanderais quel dessous si cache... Aucun.

J'adore les vieilles maison en pierre, chargée d'histoires...

Je te suivrais, m'interrogeant sur tes frolements, ne sachant comment les interpréter, ne croyant à ma chance d'une si jolie rencontre...

A mon tour, je me laisserais aller à te froler, guettant ta réaction, te prenant par la taille pour te montrer un détail dans les pierres apparentes ou dans les charpentes...

Faisant une allusion coquine, en visitant la chambre ou la salle de bain, sur la possibilité d'y mettre une baignoire à remou, du bonheur de partager les bains à 2...

Et toujours guettant en tachant de rester discret, bien difficilement et rougissant la présence ou non de dessous...

Une tension naissante, deviendrait peu à peu visible à ton contact enchanteur...

J’adore ces instants, cette tension presque électrique, où l’on désire mais n’ose pas encore toucher, l’indécision, la frustration de ne pas savoir ce que l’autre souhaite…

Au détour d’une pièce un peu plus sombre que les autres, d’un regard brulant, je t’inviterais à oser… Oser poser tes lèvres sur les miennes en un fougueux baiser…

Tu glisseras ton visage dans mon cou, sentiras mon parfum, discret mais si féminin, je retiendrais mon souffle, ne sachant que faire, hésitant à t’enlacer, te caresser les épaules, le dos ou recommencer à t’embrasser…

Ma respiration se ferra saccadée de sentir ta chaleur…

Tout contre ton corps, je ressens ta chaleur et la douceur de tes formes...

Tu ne peux alors que deviner l'excitation dans laquelle je me trouve.

Je passe la main dans ta chevelure noire, caresse ta nuque et cherche à nouveau ta bouche pour un baiser passionné.

Ton haleine est fraiche comme le printemps, nos langues se cherchent et s'entremellent, l'atmosphère devient électrique...

Mes mains explorent ton dos, par dessus cette robe qui te va si bien, mais que je rêve de voir à nos pieds...

Je n'ose aller plus loin de peur de te voir t'éloigner et guette ton assentiment...

[Oo lilou oO 1]

Tu souris, caresse mon visage tendrement, ton regard est à la fois passionné et tendre, calme avant la tempête… Tu te penche a nouveau vers mes lèvres, doucement tu les effleure du bout de ta langue, comme une gourmandise sucrée, ton haleine et brulante, elle procure des frissons dans tout mon corps… Ta bouche caresse la mienne, délicatement, je me laisse aller, enlace tes épaules de mes bras, savoure cette douce étreinte. Soudain tu souris, tu me mords le lèvre, plonge ta langue dans ma bouche, me dévore…

Je lâche un gémissement de surprise. Mon corps réagit instinctivement à ce baiser : mes hanches se balancent d’avant en arrière, un mouvement lent, presque imperceptible.

Cela te rends fou de désir mais tu veux te contenir, y aller doucement, te faire attendre, tu rêve secrètement que je te supplie de me faire l’amour tant mon corps serait brulant.

Tu glisse un doigt mutin vers mon chemiser, une simple pression suffi a faire sauter le premier bouton…puis le deuxième…le troisième…

Mes seins sont la, face à toi, emprisonnés dans un soutien gorge de dentelle noire, laissant apparaître mes tétons fiers, dressés, une vrai supplique à la caresse. Tu emprisonne mes seins de tes mains, les caresses, les pétris, les effleures, je gémis, je voudrais que tu arraches ce soutien gorge, que tu touches ma peau…

Je glisse mes mains dans mon dos et défait l’agrafe, dans mon emportement, j’enlève aussi mon chemisier… Je suis la, face ç toi, les seins nues dans cette pièce sombre. Tu me veux, je peux le voir à la bosse se formant dans ton pantalon. Je l’effleure de la main, je veux la toucher mais tu m’en empêches, c’est toi qui dictes les règles.

Tu soulève ma jupe, ris à entendre le râle que je laisse échapper, tu découvres avec plaisir ce que tu imaginais secrètement depuis le début de la visite, aucun dessous, une nudité totale, mon sexe parfaitement lisse offert à ta vue. Tu te dis que finalement, tu ne vas pas pouvoir résister longtemps, ton sexe te fait mal à force de durcir dans ton pantalon. Tu glisse un doigt entre mes lèvres, elles sont trempées, le haut de mes cuisses aussi, tu aimes ça, découvrir à quel point je te veux en moi.

Je gémis de plus en plus, mes hanches se balancent, je te touche le torse, cherche les boutons de ta chemise, une fois de plus tu me repousses, alors, frustrées, je titille mes tétons, les caresses, les tournes. Tu aimes ça, tu attrapes ma main et la pose sur mon sexe, tu te recules et me regarde…Tu attends…

Je glisse mes doigts dans mon intimité, les ressort humide, je les lèches en te regardant droit dans les yeux, provocante.

J’écarte un peu plus les jambes, je vais jusqu’à poser mon pied sur une pierre saillante, ainsi tu vois tout, absolument tout de mon sexe rougi par l’envie. J’acare les lèvres d’une main, caresse mon clitoris de l’autre, je sens déjà des fourmis dans mon ventre, je vais vite jouir, tant ta présence m’excite.

Tu continu à me regarder, un regard insistant, brulant, sexuel. 0 mes gémissements tu souffles de plus en plus fort, tu as mal de me vouloir à ce point. Mon bouton n’a jamais été aussi gonflé, aussi réceptif, je vais jouir d’une seconde à l’autre, alors, j’empoigne ta main, la plaque sur mon sexe et me frotte, une fois, deux... Je jouis, déverse mon jus sur la paume d ta main. Tu ne tiens plus, tu gémis toi aussi.

Tu défais ton pantalon, le baisse, tu m’offre ton sexe à la vue. Je le veux, maintenant, je me baisse pour le prendre au fond de ma gorge mais tu m’en empêche, tu m tournes et claque une de mes fesses. Je me cambre, carte mes fesses de mes mains pour offrir à ta vue tout ce que tu désires. Tu me caresses avec ton sexe, le fait glisser sur mon petit trou, insiste un peu, reviens plus bas…

Tu pénètre ton gland, à peine, tu ne bouges plus. Tu sais que si tu t’enfonces trop vite, trop fort, tu viendras rapidement, trop excité par nos jeux. Je te supplie, je te veux au fond de mon ventre.

Je bouge mon corps, essai de m’enfoncer sur toi, je sens ton sexe trempé de mon désir, cela me rend folle. Alors, d’un cou de reins libérateur, tu me pénètre au plus profond. Nous crions tout les deux, en même temps, délivré de la frustration et de l’attente nous ne nous maitrisons plus. Tes mouvements de font rapides, presque violents. Tu défais mon chignon, plaque ton visage dans mes cheveux. Ton ventre tape contre mes fesses, tes bourses claquent sur mon sexe, je hurle.

Tu agrippes mes hanches, t’y accroche comme un naufragé. Mon sexe se contacte, tu le sens enveloppé le tien en de multiples contractions, mon orgasme est puissant, violent. Tu décharge en moi aussitôt, incapable de te retenir, tant mon sexe t’enveloppe. Tu jouis si fort ton cri, même étouffé par mes cheveux est impressionnant…

Heureusement que la maison est isolée…

[peterN 222]

:wink: :-D

[Rain 9]

Récit très excitant et très bien écrit. Bravo !!! Dommage que tu ne termines pas "soir d'orage."

[Oo lilou oO 1]

:-D

[Oo lilou oO 1]

Récit très excitant et très bien écrit. Bravo !!! Dommage que tu ne termines pas "soir d'orage."

Merci beaucoup Rain! Mais c'est incomparable à ta narration, que j'admire beaucoup. Je me penche sur soir d'orage prochainement, j'ai du mal à le terminer!

[Wolfwood 4]

Très jolie Lilou!

Belle écriture, plaisir pour les yeux et pas que ^^

[Oo lilou oO 1]

Très jolie Lilou!

Belle écriture, plaisir pour les yeux et pas que ^^

Merci beaucoup!

[dirtyemily 37]

Superbe

Très bien écrit, vos 4 mains ont fait de l'excellent travail :-)

[peterN 222]

J'ai entendu dire qu'il y allait avoir une suite écrite à 8 mains :-)

[Guest Tendre émoi]

Les vieilles maisons sont chargées d'histoires et de secrets...

Et quels secrets !

Celui la est merveilleusement raconté, on voudrait y être !