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polackb

Elle

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Elle...

Mon histoire se déroule pendant la belle saison d’été, voulant profitais des chaleureuses journées, je me lève tôt ce qui n’est pas une véritable habitude car je suis plutôt une hombre de la nuit.

Je flâne au aurore dans les rues de ma ville, voguant de rue en rue d’un pas nonchalant, sans véritable but. je regarde la ville s’éveiller, j’aime se moment de calme apparent avant que la cité ne deviennent une fourmilière pleine de bruits et d’anonymes.

Après quelques heures de marche, la foule m’agace et je décide de rentré chez moi pour retrouver le silence de mon petit appartement. Je retrouve les ruelles familière de mon quartier et comme a mon habitude je m’arette dans le petit bistro qui se trouve a quelques mètres de mon immeuble.

C’est un vieux rade, ni classe, ni totalement pourri, avec son patron adepte de blagues grivoises qui a toujours une remarque cul-turel a faire lorsqu’une jolie fille passe devant son établissement mais qui a le cœur sur la main et qui cache une grande intelligence de la vie; ses croques morts qui viennent boire leurs cafés et rigoler un coup avant de prendre leur sérieuse fonction; les étudiants pompeux de la fac la plus proche et les éternels «piliers de comptoir» mi clodo mi poète qui m’amuse avec leur histoire d’avant pour cacher la solitude bien actuel de leur âme....un endroit parfais pour moi, un micro-cosmos dont je fais partis intégrante.

Et elle arrive, réglé comme une horloge, 8h45 elle entre dans la salle d’un pas décidé, lance un bonjour générale et s’installe a la table a coté de moi...sa table. Comme d’habitude je lève brièvement les yeux dans sa direction, nous partageons un signe de tête, un sourire poli et je replonge dans mon chocolat chaud...

Un chocolat chaud, si je l’avais accompagné d’un lait fraise ma panoplie du macho viril aurait été parfaite, mais peu importe, elle ne me regarde jamais, ne me parle jamais et je le lui rend bien.

Le patron s’approche d’elle, doux, mielleux et prend sa commande avec un étonnant respect...Quel enfoiré...Mais il est vrai qu’elle force le respect, une sublime brune a la peau halé, de divines courbes et un regard a vous tétanisé. Elle transpire l’assurance et la sauvagerie et je pleins le pauvre diable qui s’amuserai a lui faire une remarque désobligeante.

- Un café et un verre d’eau. lui lance t’elle avec ce sourire exquis dont elle a le secret.

Bordel cette voix légèrement rauque, pleine de chaleur, pourquoi m’excite t’elle a se point, pourquoi faut t’il qu’a chaque fois qu’un son sorte du fond de sa gorge j’ai la terrible envie de l’entendre jouir.

Ils échangent des banalités et j’apprend qu’elle travaille dans le cabinet médical juste en face du café...Elle travaille dans le quartier, voilà pourquoi elle vient tout les matins.

A chaque fois je ne peux m’empêcher de l’observer du coin de l’oeil en essayant de comprendre pourquoi elle exerce une telle force d’attraction sur moi...je me sens comme le papillon qui irrésistiblement volette autour de la flamme s’éloignant dans les ténèbres, revenant aussi vite dans la clarté de celle-ci, il la caresse, l'effleure, danse autour d’elle comme dans une transe...Mais ne sais t’il pas que dans cette douce chaleur c’est la mort qui l’attend ...je l’observe, la détaille...Je ne sais pas se que je cherche, elle est habillé simplement, un jean qui épouse parfaitement ses courbes mettant en valeur ses fesses généreusement rondes, ses hanches gracieuses transcendent le galbe de ses seins voilé par un petit pull dont le col remonte jusqu’au cou, son visage couleur ambre arbore des lèvres pulpeuses et des yeux d’un noir aussi profond que sa chevelure tombant sur sa nuque.

Une sensation étrange m’étreint, perdu dans mon voyeurisme je n’avais pas fait attention qu’elle fesait de même, un léger sourire se dessinant sur son visage je détourne le regard mais il est trop tard le papillon vient de se brûler les ailes et tombe dans un dernier tourbillon d’étincelle...Merde.

Voilà que je me mets a rougir...Merde, merde merde...moi qui ne voulais pas attiré l’attention sur moi,me voilà pris la main dans le sac ou plutôt les yeux sur ces reins. Furtivement, j’entrevois sa main qui prends ma direction, je retiens mon souffle me préparant a l’impact mais rien.

- Je me présente Téviday, enchanté. La main tendu pour me saluer et son sourire pour me faire tomber dans ses filets.

-Bruno, également. Encore rouge...heu désolé pour...

- Je vous en prie se n’est pas grave, j’ai l’habitude en venant ici... me répond t’elle en riant.Je comprend, son entré dans le café est toujours très remarqués par mes congénères masculins, ils la suivent du regard la bave au lèvre et les yeux remplis de sex...Et ce qui m’a plus chez vous, généralement vous vous foutez complétement de moi et quand vous m'espionné, vous le faite avec une maladresse qui est touchante et j’avous que vous êtes un jeune homme intriguant.

- Merci. Je suis gêné, je ne sais pas si cela vient du fait que je suis pris en flagrant délit ou si c’est de réalisé l’intérêt qu’elle me porte et que je n’avais pas remarqué, mais je ressens un frisson qui me parcoure.

Je n’ai pût m’empecher d’entendre que vous travaillez dans le cabinet d’en face, sa doit être calme en se moment.

- Oui, en été les patients se font dorés au soleil, et en se moment le docteur n’est pas là, il est en vacances pendant la semaine avec sa femme. Je reste au cabinet, pour la faire la permanence et réglé la paperasse. Elle regarde sa montre et avec un soufflement d’agacement,ajoute...D’ailleurs il va falloir que j’y aille pour basculer la ligne téléphonique...

-Ok, je comprend, je vous laisse a votre devoir...au plaisir de vous recroiser.

Elle me fixe quelques secondes, se penche vers moi, et pour ne pas être entendu me chuchote.

- Vous savez je m’ennuie un peu toute seule la haut, et si sa vous dit il y a une très bonne cafetière dans mon bureau. Sa me ferais vraiment plaisir que l’on discute tout les deux, enfin si vous n’avez rien a faire et j’ai envie d’en apprendre un peu plus sur vous.

Je suis surpris par sa proposition, mais effectivement je n’ai pas grand chose a faire et j’ai également très envie d’en savoir plus.

-oui se serais avec plaisir.

-Très bien rejoignez moi dans un petit quart d’heure le temps que j’ouvre le cabinet. Vous n’aurez cas sonnez a l'interphone je vous ouvrirez directement.

Elle se lève; me frôle; se dirige au comptoir pour régler son addition et dans un dernier regard complice, quitte le café. De l’intérieur, je suis son dos, elle traverse la rue en courant et je fantasme sur ses fesses bondissantes dans son jean pour la voir disparaitre dans le hall de l’immeuble d’en face.

suite prochainement :welcome:

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:welcome: Superbeeeeee!!!! :clap:

Vite la suite, Polack!

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I Like :welcome:

J'aime ta façon d'écrire et de décrire la scène, les perso.. on à aucun mal à rentré dans l'histoire :clap:

Vite la suite :wink:

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Très joliment écrit monsieur Polackb.

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J'adore ,j'adhère lol

Non franchement j'aime comment c'est écrit ,tous les détails , nous mets dans l'ambiance.

:welcome:

Pressée de lire la suite :clap:

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voilà la suite

Le temps s’écoule lentement a l’intérieur du bistrot, l’impatience me gagne pourtant je suis partagé, mon corps vibre de désir pour elle tandis que mon esprit est embrumé par le doute, que me veut t’elle vraiment? Qui est t’elle? Pourquoi cet interet soudain?

Les minutes filent et je sens que je me défile...et merde... je me lève, je sors du bar et traverse la rue d’un pas décidé.

Je sonne, j’attend quelques secondes et le bruit familier de la massive porte se fait entendre.

Je m’informe sur les boites aux lettres de l’étage et commence a gravir les marches une par une, lentement pour ne pas lui montré que je n’attend que de la retrouver et aussi pour évacuer la pression qui monte en moi...Moi et ma timidité quel poisse que vais-je bien pouvoir lui raconter, moi et mon coté ours grrrr quel plaie je fais, je ne lui laisse pas 10 minutes pour me congédié avec politesse...Sans que je m’en rende compte me voilà devant la porte du cabinet, j’hésite et je finis par toquer...Voilà, il est trop tard pour reculer.

Elle ouvre, et d’un signe m’invite à entré.

-Je te fais visiter.

-Avec plaisir.

Le médecin exerce dans un vielle immeuble, l’appartement transformé en lieu de travail est plutôt agréable, d’un style ancien avec ses moulures au plafond, son parquet il est d’une bonne superficie et richement décoré de statues, de plantes et de tableaux.

Elle m’entraine a son bureau, je la suis soumis...Qu’est ce que je fous là...je sens l’odeur du café fraichement coulé.

Son bureau est de taille modeste, tout en longueur avec une fenêtre sur le fond de la pièce qui donne sur une cour intérieur.

Sur la droite une grosse armoire métallique où sont classifier les dossiers des patients, au milieux de la pièce se trouve sont bureau sur lequel trône son pc portable et le téléphone, une lampe de travail et un amoncèlement de documents.

Un peu en arrière une étagère sur lequel sont rangées des bouquins médicaux, coté fenêtre un évier et des cartons de matériel médical jonchent le sol.

-Pardonne moi pour le bazar, je suis en plein classement.

-Je t’en prie se n’est pas grave, je suis un jeune homme célibataire j’ai vu pire.

Elle sourit et aquiesca d’une moue pour me faire comprendre qu’elle imaginé très bien se dont je parlais...Quel abruti..

-Je te sers une tasse de café.

-S’il te plais.

Le café servis elle s’installe a son bureau et je fais de même en me posant a l’extrémité de celui-ci. Elle débarrassa un minimum pour que l’on soit plus a l’aise, ferme son ordinateur et me fixe du regard.

Je suis mal a l’aise, pas que j’ai honte de moi même mais entamer une conversation avec mes semblables a toujours était un défi et son regard de braise mêlé a sa curiosité me tétanise quelque peu.

Après quelques secondes de flottement elle se décide a ouvrir les hostilités.

- Je t’ai vu de temps en temps chez jean, tu t’y rend souvent.

- Oui, je bosse de nuit dans la restauration du coup après m’ont service, j’ai pris l’habitude de d’aller dire bonjour, vu que j’habite le quartier j’aime beaucoup cet endroit et toi dis moi je suis curieux pourquoi une belle femme comme toi viens faire dans ce nid de voyeurs.

Elle fut prie d’un fou rire.

-Voyeurs dont tu fais partie, me lança t’elle avec un clin d’oeil. Je rougis encore une fois et je lui répond d’un sourire coquin qui confirmais ses propos.

-Tu sais, moi j’ai atterri la bas car la proximité du bar avec le cabinet étais parfaite, sa me permet de me détendre avant de commençais le boulot.

-Et malgré qu’il a fallu que j’en remette un ou deux en place, je me suis attaché aux personnages qui hantent ce lieu.

Nous discutons un moment de tout et rien, de nos professions respectives, de nos passions, de la routine du quotidien et aux fils des mots et des rires, mon appréhension s’envole et je me rend compte que finalement elle est humaine.

La conversation se fait plus personnel, arrive le moment où nous abordons notre vie affective.

-Et j’imagine qu’un charmant jeune homme doit avoir une dulcinée qui partage sa vie?

-Non du tout, je t’avouerais que sa va faire un an et demi que n’ai rencontré personne, et je n’y pense pas vraiment. Et toi tu est accompagné?

-Non plus, enfin du moins rien de sérieux, je me concentre sur mon boulot mais je ne suis pas au régime non plus. Me dit t’elle les yeux pleins de malice. Mais sa ne te manque pas....?

-Franchement, se sont les petites attentions qui me manque plutôt que les relations charnelles en elle même.

Elle fut surprise, et rebondit directement sur mes propos.

-Tu sais que mon boulot ne s’arette pas a de l’administratif, il m’arrive de masser certains clients, le doc me le laisse faire car parait il je suis doué pour sa.J’ai tout se qu’il faut au cabinet, aimerais tu que je t’en fasse un?

Mon esprit bouillonna instinctivement a la proposition et je me doutais comment allez finir cette séance de massage, et le temps d’un soupir mes résolutions de chasteté s’envolèrent, mais toujours dans l’objectif de paraitre neutre, je lui répondit d’un banal :

-Si sa ne te dérange pas, pourquoi pas.

Elle sourit, elle n’était pas dupe de l’effet quel me fessait, mon regard la dévorant, l’étincelle de celui-ci a l’image de ses mains parcourant mon corps, et le début d’érection que mon imaginaire avait dessiné a travers mon jean ne lui avait pas échappé.

Elle me prit par le bras et me dirigea dans le couloir du cabinet.

-Suis moi nous allons nous installés dans le bureau de mon patron, sur la table de consultation nous serons plus a l’aise.

Une fois de plus, je ne peux m’empêcher de m’exécuter sous la douce étreinte de sa main autour mon bras, et nous marchons vers le lieux de notre première jouissance.

Dsl pour l'attente, je l'écris au fur et a mesure et finalement elle va être plus longue que d'habitude, j'espère que sa vous fera patienté pour l'instant crucial de l'histoire^^

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La pièce réservé au consultation est spacieuse, couper en deux par une cloison, la partie de gauche est meublé du grand bureau en bois du médecin, d’une énorme bibliothèque et d’un confortable fauteuil. Elle m’enmena dans la deuxième partie, là où se trouve la table de consultation.

- Attend deux secondes s’il te plais. Elle se dirige vers les fenêtres et en tire les épais rideaux, se qui plonge la pièce dans une légère obscurité laissant juste un rayon de lumière traverser la pièce.

- Maintenant que nous sommes tranquille et que je sais qu’il n’y a pas de risques que l’on nous voit je vais pouvoir m’occuper de toi...

Elle s’approche de moi tel un félin sur sa proie, je vois dans ses grand yeux noir son appétit féroce, j’attend, ne bouge pas je sais qu’il est inutile de résister.

Elle est maintenant collé a moi ... je suis pris, le coup de grâce va arrivé et me délivrer de son emprise... Je sens son souffle sur mon cou, sa poitrine battre contre la mienne, son envie est palpable...elle va vraiment me rendre fou... ses lèvres s’approchent de mon oreille est me murmure.

- Me permet tu de te déshabiller?.

D’un mouvement de tête je lui fais part de mon approbation et le sourire qu’elle afficha montra sa satisfaction.

Elle commença par ma chemise déboutonnant un a un les boutons tout en me fixant du regard pour ne rater aucune de mes réactions. Une fois fait, elle passa ses mains a l’intérieur de celle-ci, lentement ses doigts parcourent mon torse inspectant le moindre centimètre de peau, elle les remonta a mes épaules et d’un mouvement laissa tomber ma chemise au sol.

Je ne bouge pas, je la laisse faire profitant de cet instant qui m’excite terriblement, j’ai envie de sa bouche si proche mais je me retiens, ce n’est pas que j’attendais son autorisation mais je savais que si je succomber a la tentation je ne saurais jamais ce qu’elle me réserve et cela m’amusais de voir comment elle aller m'emmener peu a peu dans les griffes de son désir.

Elle fait quelque pas en arrière pour mieux me contempler, mon désir commence a être vraiment visible a travers l'étoffe de mon pantalon de lin.

- Vraiment parfait et je vois que l’idée de se massage te fais vraiment plaisir. Me fit t’elle remarqué avec in petit clin d’oeil.

- Un massage? je t’avouerais que d’autres idées me traverse l’esprit.

- Il va falloir que tu sois patient et que tu te montre très sage mon cher.

- La patience et la sagesse sont deux choses qui me font cruellement default.

- ha oui? C’est se que nous allons voir. Me répondit elle tout en se recollant a moi. Crois moi je te les enseignerai.

Elle s’agenouilla devant moi, dégrafa le bouton et fit glisser doucement le tissu le long de mes cuisses, exposant mon sexe tendu. Elle resta un moment a le regarder, puis elle laissa vagabonder ses mains sur mes fesses, ses caresses me réjouisse et la voir devant moi, les lèvres si prêt de mon membre me frustre, j’envie la caresse de sa langue.

- hummm, tu est vraiment très beau, je ne vais pas pouvoir résister longtemps finalement.

Ses caresses se font de plus en plus appuyées, elle dépose des baisers sur mon ventre se qui m'électrise, ses lèvres humides glissent le long de mon pubis et la frustration se fais plus intense mais je la laisse me tourmenter avec un certain plaisir.

Du bout de sa langue, elle goute la base de mon sexe, remonte le long et prend en bouche mon gland gonflé entre ses lèvres pour y déposer une unique succion, je ne peux m’empecher de laisser échapper un gémissement... mais mon calvaire n’était pas terminé car elle avait vraiment décider de me faire languir encore un peu...Elle se releva,tira deux fauteuils poser dans un coin de la pièce et les déposa l’un un face de l’autre a quelques mètres de distance.

-Assis toi, regarde, profite mais tu n’a aucun droit de te caresser.

A la coquine, je vois où elle veut en venir...J’obeis bien que je ne sois pas fan de soumission mais comme j’adore regarder une femme s’exhiber je ne rate pas une miette du spectacle qu’elle offre a mon regard.

Toujours debout, elle commence a remonter son haut dévoilant sa sublime poitrine ronde, voluptueuse, orné de magnifiques mamelons ambrés surmonter de petits tétons durcis par le plaisir.

elle se retourne afin de se retrouver dos a moi, se cambre en avant et laisse glisser son jean le long de ses cuisses, elle ne porte pas de sous vêtements et la vue de ses fesses rebondies dissimulant avec grâce la fente de son sexe m’excite au plus au point.

Du coin de l’oeil elle guette mes réactions tout en se débarrassant des vêtement qui entrave ses mouvements, elle s’approche, pose une jambe sur l’accoudoir de mon fauteuil laissant son sexe exposé a quelques centimètres de mon visage, me laissant le loisir de le contempler avec avidité.

Je n’en peux plus, j’ai envie de la lécher, gouter a ce plaisir humide qui s’offre a moi...mon corps me crie de me rebeller contre cette frustration et écoutant pas ses recommandations je glisse ma main sur mon membre le caressant du plat de la main.

Me voir dans tous mes états lui plait et elle m’accompagne dans mes caresses en passant deux doigts sur son bouton durci.

Les caresses qu’elle s’octroie font frissonner son corps, elle ferme les yeux, bascule la tête en arrière et laisse échapper de court gémissement de satisfaction accélérant le rythme de ses frictions sur son sexe dégoulinant.

Mon cerveau bouillonne, je ne tiens plus...mon membre en main je me masturbe avec vigueur, ma respiration s’accelere, elle m’a mis dans un état de transe et je sens que la jouissance n’est pas loin, les yeux mi clos je me perds dans mon plaisir... Soudainement une douleur aiguë me pince au visage, je suis tellement surpris que je me tétanise arrêtant toute activité sur l’instant...Sortant de la brume de mon plaisir, je l’entends vaguement me dire que c’est a elle se s’occuper de ma belle queue.

Les yeux écarquillés je la regarde s’éloigner, elle s’installe tranquillement sur le fauteuil qu’elle avait installer a son intention quelques instants auparavant, un sourire se dessine sur ses lèvres et avec un air de défi dans les yeux elle continu a se caresser avec envie.

La garce, elle a oser, elle vient de me gifler...Je reste là sans bouger pendant de longues minutes, essayant tant bien que mal a rassembler mes idées, les yeux bloqués sur ses doigts dansant sur son clito, s’enfouissant dans de frénétiques va et vient.

Sans et trop tu va me le payer, ma belle...D’un bond je me lève, déterminer a arrêter son petit jeu, ou du moins a en prendre le contrôle.

Elle ne se démonta pas, et continua a se doigter avec gourmandise, laissant juste échappé un petit rire a mon approche.

En effet la situation était comique, moi les poings fermés, le regard noir après la gifle dont elle m’avait gratifié, marchant le barreau tendu en avant comme si je m’appréter a envahir la Pologne à moi seul avec pour seul arme mon gourdin se balançant entre mes jambes a chacun de mes pas.

Je lui prit le poignet fermement, pour qu’elle arette de s’amuser seule, je me penche sur elle et lui chuchota.

- Finis de jouer, a mon tour maintenant.

Son regard se fit lumineux, elle n’attendais que sa...elle écarta les cuisses dans une invitation.

- Lèche moi, montre moi se dont tu est capable.

Je ne me fis pas prier, je m'agenouilla devant elle, et c’est avec une certaine gloutonnerie que je la dévora littéralement, ma langue massant son clito gonflé de plaisir, variant le rythme de mes mouvements, l'effleurant, le taquinant...les gémissements étouffés ne se firent pas longtemps attendre, elle apprécié le traitement et de ses mains elle me plaqua encore plus contre elle, se déhanchant pour accompagner mes caresses.

J’etais aux anges, les lèvres enduites de sa mouille, je me délecter du spectacle de cette femme lâchant prise et qui ne pensais plus qu’a son plaisir.

Son odeur m'enivré, elle prie mes mains les posa sur ses seins, m’intiment d'exercer une pression dessus, je les prie a pleines mains, les serrant autant que je pouvais mais j’avais peur de lui faire mal, donc je restais timide.

- Serre plus fort encore j’adore sa, tu va me faire jouir. lacha t’elle.

j’aimais sa, avoir du pouvoir sur elle et quand je sentis qu’elle allez partir, je stoppa net mes caresses.

- Mais qu’es ce que tu fous?

Je la prie par le bras, la força a se retourner et la plaça en levrette sur le fauteuil. M’aretta quelques secondes afin d’admirer son cul et son sexe luisant offert a mes envies, et je lui claqua une fessés magistrale sur sa sublime croupe.

- Sa c’est pour la gifle...maintenant on est quitte.

-Petit salaud. Un sourire s’affichant sur ses lèvres.

je me colla a elle, mon gland gonflé titillent son clitoris, faisans glisser mon gland entre ses fesses... je m’amuser a la tourmenter, et la voir se dandiner en quête de ma queue m’exciter terriblement.

- Arette de faire joujou, prends moi je n’en peux plus j’ai envie de te sentir en moi.

Et elle avait raison, je n’en pouvais plus non plus, mon envie de la posséder était trop grande, il était grand temps de nous delivrer de cette tension.

J’introduit délicatement mon gland, sa chatte était trempé et brulante...quelques centimètres de plus...un vrai délice...elle poussa un gémissement de satisfaction que j’accompagna du même son.

J’entama un doux va et vient, la vue de mon membre mouillé par son plaisir me combler, je la prie par les hanches et j’accelera le rythme, elle prenais son pied, accompagnant chaque coup par un mouvement de recul afin que je m’empale plus profond en elle.

mon corps était en sueur, mon gland en feu, j’étais aux anges. Au bout d’un certains temps elle se caressa avec frénésie, je sentais ses doigts s’activer sur son clito effleurant mes testicules a chaque fois qu’elles étaient a porter et j’adorais sa.

Elle se lâcher complétement, exprimant son plaisir en de grands cris de jouissance, oubliant les voisins qui devait se demander se qui se passait chez le médecin, elle se releva colla son dos contre mon torse, elle pris ma bouche et m’embrassa passionnément, j’adorais le gout exquis de sa langue, jouant dans ma bouche et sur mes lèvres dans une danse torride...la jouissance était proche, je la sentais monter sournoisement en moi...

- Tu me rends fou je vais jouir...je ne tiens plus.

- Jouis mon beau je veux te regarder.

Elle se retira, se rassis sur le fauteuil, continua a se faire jouir, insérant deux doigts voltigeant a l’intérieur de son être.

- Jouis sur moi, je veux sentir ton sperme chaud sur mon corps.

Je ne tenais plus, la tension était trop forte, je n’etais plus moi, la vision de cette sublime femme me torturer, je me branlais sur elle sans aucune honte...je me sentis partir en de grandes giclées qui venait se poser sur ses seins et son ventre. elle ferma les yeux satisfaite, et joui dans un orgasme majestueusement beau.

Nous etions heureux, épuiser mais le sourire aux lèvres, je me pencha sur elle, l’embrassa sur la joue et la remercia.

Nous avons passé le reste de l’après-midi dans la salle de bain du cabinet, dans les bras l’un de l’autre papotant et nous calinants dans un bon bain chaud...cette histoire dura un an avant qu’elle se finisse dans la douleur mais je ne l’oublierais jamais

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merci émily, des livres tu crois, il va falloir que je me munisse d'un Bescherelle

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merci émily, des livres tu crois, il va falloir que je me munisse d'un Bescherelle

Et aussi d'un nouveau string panthere, j'ai bousillé le tien, oupsss désolé :D :D

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Hé bé, moi qui le croyais sage... faut se méfier des slaves en apparence timides, en réalité, c'est un véritable feu sous la glace :D

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lol oui faut se méfier de l'agneau qui dort ^^

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Ouais, si tu le dis... habituellement c'est l'eau, mais bon, l'agneau c'est pas mal non plus :D

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loool moi j'aime bien l'agneau qui dort

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Je ne te contrarierai point :D

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tu est gentille :D

Mais oui, toujours, je suis quelqu'un d'exceptionnellement gentil :D

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moui moui je suis sur qu'il doit bien y a voir une diablotine qui se cache quelque part :D :D

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moui moui je suis sur qu'il doit bien y a voir une diablotine qui se cache quelque part :D:D

Nan, je suis un ange, plus immaculée que moi tu meurs, d'ailleurs mes parents auraient du m'appeler "Immaculée Conception" tiens :D

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il est où l'émotte qui dit mon oeil loool

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Invité

Quel délice cette histoire

Tu as une belle plume, il se dégage beaucoup de sensualité, d'érotisme

Une belle alchimie entre un homme et une femme

bravo :D

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Quel délice cette histoire

Tu as une belle plume, il se dégage beaucoup de sensualité, d'érotisme

Une belle alchimie entre un homme et une femme

bravo :D

merci beaucoup

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