Aller au contenu

Faites des rencontres coquines près de chez vous

AsMoth

Surprendre une femme mure en train se caresser, érotisme pur

Recommended Posts

Alors que j’avais dix huit / dix neuf ans, je passais souvent le vendredi soir chez un pote pour jouer quasiment toute la nuit durant aux jeux vidéos. Une vie classique d’ado. Pierre vivait chez sa mère, Aline, divorcée depuis deux ou trois ans déjà. Une superbe belle femme de quarante deux ans. D’ailleurs, je m’étais toujours étonnée que sa beauté ne l’ait pas permise de se remettre en couple avec un autre homme. Pierre m’avait dit qu’elle avait un amant, mais il n’avait jamais eu le plaisir – ou le malheur ! – de le rencontrer.

Il devait être deux heures du mat passées quand je me réveillai avec une envie de pisser. Je descendis donc en calbut pour aller aux toilettes. Je vis alors qu’il y avait de la lumière dans la cuisine, alors que la télé était restée allumée dans le salon.

M’étant soulagé, j’éteignis la lumière des toilettes et me dirigea à pas de loup vers la cuisine où j’entendis des bruits de talon résonner sur le carrelage. Je savais qu’Aline était sortie ce soir-même ; elle nous avait dit bonsoir, vêtue d’une belle robe verte, ses belles et longues jambes gantées de collants et ses pieds galbés par de beaux talons-aiguilles.

La porte de la cuisine était entrouverte. Je ne fis que la pousser de quelques centimètres seulement pour mieux voir ce qui s’y passait. Mes yeux s’ouvrirent en grand ; mon cœur s’arrêta presque. Aline était là, appuyée contre la petite table blanche en bois. Elle avait retroussée sa robe. Elle passait ses mains lentement sur son entrejambes. Je vis alors qu’elle ne portait pas des collants mais des bas, tenus qui plus est par des porte-jarretelles. Je crus tout d’abord avoir une vision tant Aline se caressait presque pudiquement. Elle passait ses mains à la jonction de ses cuisses. Sa robe était à peine relevée. Ses yeux étaient baissés sur son sexe. On aurait dit une jeune fille découvrant son corps sans trop aller plus loin. Cela suffit néanmoins à me faire gonfler et durcir le sexe. La vue de ses belles jambes longues et galbées suffisant à m’emporter dans l’érotisme de cette scène.

Aline se tourna alors un instant vers la table sur laquelle était posée une fiole. C’était du gel intime. Elle ne pouvait pas savoir que j’étais là. Je n’avais fait aucun bruit en descendant. Aline appliqua un peu de gel sur le bout de ses doigts, tandis que de l’autre main, je la vis retrousser enfin plus amplement sa robe pour se saisir de sa petite culotte noire. Je vis alors Aline tirer dessus pour la mettre sur la côté de sa chatte. Mon dieu. Comment aurais-je seulement pu le fantasmer : Je vis sa culotte – qui devait être un string tant le nylon noir et transparent était fin et échancré – dévoiler des lèvres parfaitement rasées et surtout bien charnues. Etaient-elles déjà gonflées de désir ? La vue du sexe lisse et parfaitement épilé d’Aline me transmit une vague de chaleur qui emporta tout mon corps. Je croyais tout simplement halluciner. Cette scène ne pouvait pas être réelle.

Aline s’appuya alors sur la table de façon à bien offrir son fruit d’amour en avant. A elle. A moi ! La tête baissée, elle se regarda appliquer le bout de ses doigts recouverts de gel intime sur son sexe épilé. Aline était-elle en train de s’adonner à un petit plaisir de femme célibataire ?!

Cette question trouva immédiatement sa réponse lorsque je vis Aline s’asseoir sur la table et poser son pied sur l’une des chaises située devant elle. Cuisses écartées, la chatte bien en avant, je la vis dessiner des cercles sur sa belle chatte lisse et gonflée de désir. Le bout de ses doigts se mit à plier ses chairs visiblement tendres. Un pied sur la chaise, l’autre au sol, Aline offrait sa chatte à ses caresses coquines et surtout à mes yeux ébahis. Je tentais de retenir ma respiration qui s’effectuait à pleine bouche, tant mon cœur battait fort. Je ne pus que baisser mon calbut à mi-cuisses et saisir mon membre bien dur pour me caresser à mon tour, à l’issu d’Aline dont le plaisir semblait l’envahir. Je le compris en voyant sa tête chavirer en arrière. Le bout de ses doigts coquins travaillaient sa chatte que je voyais luir de mouille. Sa vulve m’était tout à fait apparente. Aline prenait de plus en plus de plaisir. Sa bouche était ouverte à elle aussi. Sans doute aurait-elle aimer gémir son plaisir. Aline était maintenant allongée et accoudée à la table. Son corps, sa chatte semblait réclamer le sexe d’un homme. Je devinais sans mal ses tétons darder sous sa robe. Ma queue se mit à chuinter de mouille. Je n’avais jamais vu une femme « mûre » se caresser devant moi jusqu’alors. Ce spectacle était pour moi le sommet de l’érotisme. La Femme dans toute sa puissance, dans toute sa splendeur.

La chaleur enveloppait le corps d’Aline. Je la vis alors interrompre un instant ses caresses pour dézipper sa robe dans son dos. Elle m’offrit alors sa belle poitrine généreuse, contenue autant faire se peut dans un magnifique soutien-gorge en dentelle et nylon transparent. Aline était une femme très coquette à ce niveau. Je l’avais toujours su en voyant sa lingerie fine sécher dans la buanderie.

Ainsi plus à l’aise, Aline poursuivit ses caresses. Moi, j’avais la queue en feu. Une seule envie : la rejoindre. Je voulais qu’elle me prenne en main pour profiter de son expérience charnelle et de sa délicatesse certaine. J’étais impressionné de la voir ainsi se caresser en silence. Elle posa enfin ses deux pieds sur la chaise et se mit à se caresser la chatte un peu plus en profondeur. Elle m’offrait sa fente. Sa tête chavirait.

Aline se leva et vint alors s’asseoir sur la chaise après avoir ôté ce qui était bien son string. Cuisses amplement ouvertes, je la vis se caresser la chatte d’une main, tandis que se l’autre, elle rabaissa lentement les bretelles de son soutien-gorge avant de dénuder ceux-ci un à un. Mon dieu, quelle paire de nibards ! Son majeur titillait sa vulve avec de plus en plus d’insistance. Le bout de ses doigts venait exciter ses tétons qui se raidissaient à vue d’œil.

La mère de mon pote se caressait, se masturbait devant moi, les cuisses ouvertes et la chatte bien offerte.

C’est à ce moment là que je vis qu’il y avait un godemichet en métal poli posé sur la table. Aline se leva de la chaise et commença à faire tournoyer sa langue autour du gland argenté, simulant une fellation très torride. Je la vis enfoncer celui-ci dans sa bouche, langoureusement. J’imaginais sans mal que c’était mon sexe. Aline était de trois quart. Elle me présentait son cul de rêve malgré elle. Mon dieu si elle savait ! Un cul parfait merveilleusement mis en valeur par ses bas qui lui arrivaient en haut des cuisses. Ainsi penchée en avant, ses seins pendaient dans le vide. Je n’avais plus qu’une envie : enfoncer mon sexe en fusion dans sa chatte et prendre ses nibards à pleine paume pour enfin la prendre et entrer en elle, dans sa belle chatte que j’imaginais bouillante et humide. Prendre, saisir, sentir tous ses attributs.

Aline saisit alors son gode dans sa main et se redressant, elle se mit à se caresser l’entrejambes avec. Je croyais halluciner. Quelle scène torride de sexe pur et intense. De l’érotisme à l’état brut ! Je vis le gland de métal pétrir ses chairs intimes, s’immiscer entre elles. Travailler son fruit d’amour.

Et là, le meilleur, l’inconcevable arriva.

De trois quart, Aline fit un pas ou deux de côté et posant son genoux gauche sur la table, elle se pencha en avant et me présenta son cul et sa chatte. Je me retrouvais pile dans l’axe de ses parties intimes. Aline continua ses caresses, faisant glisser le sexe de métal entre les lèvres de sa chatte et jusque sa rondelle. Elle excitait sa fente plus que jamais. Je devinais celle-ci réclamer le gode en elle.

Mon dieu ! Cette femme parfaite, en bas et porte-jarretelles, m’offrait son cul on ne peut plus ouvert, à en voir sa jolie rondelle parfaitement lisse, avec le bout de métal poli pétrissant les chairs tendres et humides de sa belle chatte.

Alors, Aline, se penchant encore un peu plus sur la table, pour ne pas dire s’affalant dessus, ouvrit ses fesses d’une main pour offrir sa chatte le plus généreusement possible à son gode qui s’enfonça d’une bonne moitié à l’intérieur. La chaussure du pied gauche d’Aline en tomba par terre. Les yeux fermés, la bouche ouverte, Aline se mit à pétrir sa chatte avec le gode. Celui-ci allait et venait en elle. J’aurais voulu à mourir que ça soit ma queue. Je n’avais qu’une envie : prendre la belle Aline, la mère de mon pote en levrette. La baiser, la remplir, la faire jouir. Exploser en elle et la remplir de mon sperme brûlant. Il n’était pas humain de voir une femme si belle, si érotique si « sex » s’offrir de la sorte sans rien faire. Pourtant, j’y ai étais contraint. Des gémissements sourds sortirent enfin de la bouche de ma muse. Et dire que des hommes, tout du moins son amant, avait le bonheur de pouvoir prendre une telle déesse en levrette. Y mettre sa queue, faire claquer les fesses de la belle contre son bas ventre. Aline écarta et cambra ses fesses plus que jamais, m’offrant la complète intimité. Elle accéléra le rythme des allers-retours de son jouet d’argent en elle. Ses gémissements se succédèrent. Le galbe de ses pieds se cambra plus encore. Quelle belle chatte rose et luisante de mouille elle avait ! Tout l’érotisme et le désir d’une femme exposé là devant mes yeux. Je bandais comme un âne. Je mourrais d’envie de faire irruption dans la cuisine, de tenter le tout pour le tout. Dans son état, pourrait-elle vraiment me repousser ?

Aline se redressa alors pour s’allonger alors sur la table sur le dos. Les jambes bien ouvertes et pliées sur elles-mêmes, je la vis caresser sa chatte du bout du gode. Elle s’amusait à l’introduire en elle et à le ressortir tout doucement. Sa main, serrant ce chibre de métal, me laissait aisément imaginer qu’il s’agissait de mon sexe. Je le voyais écarter son fruit d’amour et glisser en elle. Les seins plus gonflés que jamais, Aline se mit à exciter son clitoris avec le gland de métal. La vue de ces deux sexes s’excitant l’un l’autre sur leurs parties les plus sensibles me donna envie d’exploser. Cela en fut plus pour Aline se mit à onduler avant qu’elle ne soit contrainte à geindre profondément son orgasme qui secoua son corps tout entier.

Aussitôt son orgasme achevé, Aline s’assît de nouveau sur sa chaise et posa sa jambe droite sur la table, les seins gonflés et durs comme des obus, et sa chatte bien offerte aux caresses de son gode. Bien droite sur sa chaise, Aline se rentrait le godemichet dans la fente et se caressait le clitoris du bout de l’autre main. La vue de ses gros seins gorgés de désir et de jouissance me donnèrent envie d’exploser dessus. Je n’en pouvais plus, je n’en pouvais plus. Pour autant, je voulais que mon plaisir continue…

Le summum fut atteint lorsqu’Aline se leva de sa chaise et qu’elle posa le gode à la verticale sur sa chaise. Enjambant celle-ci, elle ne tarda pas à s’empaler sur le godemichet, face à moi, ce qui lui arracha un râle de plaisir en sentant ce sexe de métal entrer profondément elle. Elle s’offrait comme une bête de sexe en rut à celui-ci. La pointe de ses seins se mit à darder aussitôt. Je regardais le sexe de métal fendre et pénétrer le fruit d’amour de la mère de mon pote qui montait et descendait dessus. Son corps était un volcan de désir en fusion. Les yeux fermés, elle se caressait le clito, noyée dans un torrent de plaisir. Si Pierre savait que sa mère était une chaudasse pareille ?!!

Je n’avais d’yeux que pour son corps parfait et son fruit d’amour fendu en deux par ce sexe d’argent qui glissait merveilleusement en elle. Son corps se raidissait de plus en plus. Aline peinait de plus en plus à contenir sa respiration et son désir.

Elle s’est alors allongée sur le sol, et lâchant son gode, Aline s’est mise à pétrir sa fente avec ses doigts d’une main, tandis que de l’autre, elle se mit à titiller ses tétons en les roulant entre ses doigts. Aline se tenait de profil. Je ne voyais plus sa chatte, mais seulement le plaisir à l’état pur parcourir et faire onduler son corps. Ma queue clapotait de mouille. J’allais éjaculer d’une seconde à l’autre. Voyant Aline les yeux fermés, noyée dans le plaisir, je ne pus me retenir d’ouvrir la porte un peu plus grand. Aline se mit à gémir de plus en plus fort. Si elle ouvrait les yeux en ma direction, nul doute qu’elle aurait aperçu ma queue en feu. mes yeux quant à moi étaient hypnotisés par la cambrure mouvante de ses hanches, par ses seins gonflés de plaisir. Mes oreilles étaient bercées, excitées par ses gémissements de femme. Le dos d’Aline se leva soudain du sol alors que sa main s’occupait généreusement de sa chatte en feu et en eau. Elle me mit à jouir une nouvelle fois, visiblement très fort. Je ne pus me retenir. Me penchant comme je pus, je me mis à éjaculer tant bien que mal dans mon caleçon tendu entre mes cuisses pour ne pas en mettre partout en me mordant les lèvres et en serrant les paupières pour ne pas crier ma jouissance dévastatrice après autant de torture de désir. Je vis alors un puissant jet de sperme que je ne réussis à contrôler qui vint gicler dans la cuisine, un bon mètre et demi devant moi. Je ne pouvais bien entendu rien faire pour l’effacer…

A avoir entendu les râles de jouissance d’Aline, ce fut comme si j’avais joui en elle, joui avec elle. Un souvenir inoubliable.

J’essuyai tant bien que mal les traces de sperme qui avait giclé à mes pieds en ôtant mon caleçon et en essuyant le tout avec. Restait cette fameuse giclée de sperme dans la cuisine que je ne pus essuyer.

Le lendemain matin, je fus le premier à me lever. Les traces de sperme n’y étaient plus. Aline les avait essuyées. Savait-elle que j’étais planqué derrière la porte en train de me palucher comme un beau diable en admirant toute la féminité et l’érotisme de son corps de rêve ? Je ne sais. Sauf que j’eus le droit à un étrange sourire amusé lorsqu’Aline me dit bonjour au matin…

Partager ce message


Lien à poster

Bravo Asmoth, c'est toujours aussi torride!!!!

J'adore ton style, terriblement excitant sans jamais être vulgaire!!!!!

Partager ce message


Lien à poster
Invité

Superbe récit, il me fait penser à mon inconnu d'un après midi :arrow:

:welcome:

Partager ce message


Lien à poster
Guest omabiche

C'est très sympathiquement écrit, il faudrait songer à écrire et à faire éditer

Partager ce message


Lien à poster

bravo, franchement je suis troublé par la précison de tes textes, j'ai a chaque fois l'impression d'y etre moi aussi et j'avoue que j'adore alors merci et continue comme ça.

Partager ce message


Lien à poster

Très bon texte, excitant et très bien écrit. On voit la scène comme au cinéma.

Partager ce message


Lien à poster

je suis moi-même surpris de ces commentaires... des fois, les lecteurs n'aiment pas trop l'excès de détails... mais si vous me dites que vous imaginez la scène comme sur la toile, alors là, je suis vraiment très flatté... :welcome:

Partager ce message


Lien à poster

Quand quelque chose est beau, il faut le dire pour encourager l'artiste a continué et faire partager ses autres oeuvres. :welcome:

Partager ce message


Lien à poster

Rien qu'à lire ton récit, on se met à ta place et on a une excitation aussi forte que toi.

Très belle écriture.....

Partager ce message


Lien à poster

×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.