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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Kyoshidu33

De douces retrouvailles.

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Une petite histoire issu de mon vécu (ca fait un peu romanesque ^^)

Je vous préviens, c'est assez long donc si vous ne voulez pas lire changez d'histoire.

Dimanche 10 Juillet 2011...

Je me réveillais, ne sachant au début où je me trouve. La soirée aura finalement longue, sachant que j'étais revenu la veille et avec le décalage horaire...Allongé dans un lit double apparement... une lumière tel un voil lumineux devant mes yeux. La fenêtre n'avait pas de rideau. Il devait faire sacrément beau dehors.

J'observais autour de moi, et reconnu ma chambre. "On" s'était endormie sur mon canapé clic-clac. Je me retournai et te vis allongé face au mur. J'attrapai mon portable posé sur mon bureau à roulette, où était installé mon PC. 7h30... mon portable devait sonner pour 8 heures pour me dire que je devais me lever et aller courir. Je le désactivai et me retournai vers toi pour déposer un bisous et une caresse sur ton bras.

Tu avais pas mal changé depuis la derniere fois que je t'avais vu. Nos retrouvailles s'étais faites la veille. Nous n'avions pas fait l'amour, nous avions juste besoin d'être en contact avec le corps de l'autre. Encore heureux, j'ai su cacher mon énorme érection. Tu étais plus fine, tes rondeurs était resté la ou il fallait, et le fait que tu ai perdu un peu des jambes avait fait ressortir agréablement tes fesses.

Ta poitrine était redevenu bien ronde. Un spectacle inoubliable si on oublie pas tes cheveux bruns et lisse qui avait poussé plus en dessous de tes homoplates. Bref, tu étais devenu superbe et tu portais des vetements beaucoup plus féminins (pour mon plus grand plaisir !)

Et moi, avec le programme que je m'étais fait, j'étais devenu un beau gars au corps beaucoup plus fin et musclé à en faire craquer les nanas. Mais en même temps... Qu'est-ce que j'en avais mordu de la poussière, pour en arriver à ce résultat. Et maintenant je m'entretenais. Bref, 10 minutes et un café plus tard, j'étais dehors en train de trottiner. Je m'étais fait un petit parcours dans la tête. 10 km. 1 heure.

Avec la musique d'ambiance, je n'eu pas de mal à garder mon punch et mon souffle. mais au bout de 30 minutes, des images insolites me vinrent à l'esprit. Ton corps me rendais encore plus pervers que je ne l'aurais cru. La trique en courant, c'est pas génial, et ca fait un poids en plus. Mais les images continuaient à défiler, et je m'arrétai pour boire un peu d'eau fraîche.

Je m'imaginais collé à toi, les fesses bien en contact avec mon entrejambe, et ton derrière bougeant en même temps. En pensant que tu devais encore dormir à cette heure, une idée me vint à l'esprit. Je finis mes 30 minutes d'endurance restantes et regagna la maison en sueur. Tu étais encore en train de dormir comme je l'avais deviné. Je pris une douche et me sécha rapidement, puis pris un petit sachet de lingettes intîme et me glissai sous le draps.

Tu étais allongé sur le dos, en train de serrer ton coussin dans tes bras. A entendre ton souffle, oui, tu dormais bien ! Je me glissai donc sous le drap au niveau de tes jambes. Tu étais juste vétue d'une petite culotte mignonne. J'écartai un peu tes jambes et te retirai le bout de tissu défendant fièrement ton intimité (J'avais pris au moins 10 minutes à l'enlever

pour ne pas te réveiller, autant dire la galère. Arrivé à tes mollets, la culotte abandonna et se laissa retirer facilement. Elle était mouillée...

Quand tu avais vu mon corps hier tu ne m'avais rien dit, mais apparement, tu avais laissé toutes tes paroles au fond de tes sous-vetements.

J'écartai encore un peu tes jambes, approchai ma tête de ta chatte et vis de la mouille perler. Tu devais surement faire un rêve érotique.

"Autant en profiter !". Mes actes suivirent ma pensée. J'étais déja en train de te lécher le clitoris et la vulve avec gourmandise. J'avais passé un coup de lingette histoire de te rafraîchir un peu, et l'odeur m'emportait, ca sentait bon. Je sentais ton corps trembler un peu. Je continuais mes coups de langues, mes suçions et mes pénétrations langoureuses ! C'était le paradis, caresser et pénétrer ton corps me faisait sentir aussi bien que si j'étais dedans.

Il faut le dire, une année relativement longue m'avait séparé de toi. Je sentais ton corps bouger de plus en plus, signe que tu n'allais pas tarder à te réveiller sous mes caresses.

J'entrepris d'introduire deux doigts, et mouillée comme tu l'étais, deux ne suffisait même pas pour bien frotter. Je sortais de dessous du drap pour

remonter derriere toi, anticipant le moment où tu te réveillerais. Mais tu restas encore endormi... J'en profitais pour masser ta poitrine, te lécher les tétons et les sucer.

La sensation avait un peu changé, c'était plus facile et plus excitant, vu que ta poitrine était redevenu ronde, les pointes ressortaient plus.

Je continuais les caresses et me mis même à t'embrasser et te lécher dans le cou jusqu'à que tu ouvre les yeux et que tu murmures : "Ooooh continue... je vais jouir dans

pas longtemps... utilise tout ce que tu veux mais je t'en prie finis-moi... c'est insoutenable je vais exploser !".

Je restais bouche-bée par ce que tu venais de me dire, mais reprit vite mes esprits. Tes mots m'avaient excités à un tel point que ma queue s'était durcie comme un roc.

Je te tournais vers le mur, et me colla contre toi en descendant un peu et te pénétra d'un coup. Tu lachas un "Oh mon dieu..." en essayant de le retenir. La sensation était

simplement orgasmique ! Ma queue était serré à l'intérieur de ta chatte, et je sentais tout ton corps contre moi. Tes fesses, ton dos, tes jambes, ta poitrine

que je tenais relativement fermement dans ma main et qui se ballotait au même rythme que mes vas et vients vigoureux.

Je pouvais même sentir l'odeur de tes cheveux, et je t'embrassais dans le cou. J'étais enivré par toutes ces sensations, et mon désir de jouir était monté trés rapidement.

Ca ne faisait à peine que 2 minutes que je te pénétrais, et pourtant on aurait cru que 1 heure c'était passé. Nos corps étaient tout les deux en symbiose, ton intimité se contractait

au même moment que je te pénétrais. Tu gémissais fort, pratiquement des petits cris, et moi je râlais plus fort que jamais. Qui a dit que l'abstinance n'étais pas bonne ? 1 an, et votre propre corps explose !

Tu serrais ma main qui te caressais un sein, et tu te cambrais pour te coller plus à moi et m'offrir encore plus tes fesses. Je le sentais, tu allais jouir et tu t'étais retenu.

Je redoubla donc encore mes coups de reins et te serra contre moi. Je sentais mes timpans battre, et je comptais les derniers va et vients... 5...4...3...2...1...

Au zéro, je lachâ tout dans un puissant râle et tu fis de même en criant "Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!".

Aprés une dizaine de secondes contre toi, mon sexe se ramollis et une quantité étonnante de ma semence coula de ton orifice. Je pris quelques mouchoirs pour te nettoyer et me nettoyer.

Je te demanda si tu avais bien repris la pillule. Tu me répondis avec le sourire " T'inquiete pas chérie, vu comment tu me fais l'amour c'est pas pour l'instant qu'on va faire des gosses !".

Le sourire au lèvre, je me rallongea à tes cotés en prenant ta main et l'odeur de tes cheveux, la douceur de ta peau, ne m'aidèrent pas lorsque mes yeux se firent lourds. Je m'endormis littéralement contre toi...

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