Envoutement

[angelou 1]

10h, on toque à la porte. Je m'empresse et ouvre. Quelle fut ma surprise en découvrant cette tendre sylphide brune de 30 ans au courbe parfaite. Elle est là, devant moi, un petit sac à la main. Elle me regarde et me sourit, consciente du charme qu'elle dégageait et auquel je ne pu rester insensible.

Bonjour, moi c'est Val. Je suis l'amie de Faby. Je crois que tu m'attendais. Je peux entrer ?

Je l'attendais ? Oh ca oui. Elle était mon cadeau d'anniversaire, ma promise. Elle allait être mienne corps et âme. Mon amie voulait me présenter cette fille histoire de délier en moi cette retenue qui restait. Elle était aguérie en la matière, franche, sur d'elle et par dessus tout, habituée à la timidité et aux désirs des femmes.

Euh oui certainement, je t'en prie entre. Lui répondis-je d'une voix troublée.

Elle était à quelques centimètres de moi, je la regardais, l'admirait. Et ne pensais qu'à une chose, l'enlacer, la serrer contre moi. Sentir sa chaleur, respirer son odeur. Déjà son parfum d'envoutement agissait sur moi.

Elle entra et s'intalla sur le canapé, en ne manquant pas de croiser subtilement les jambes afin de laisser planer un doute ... Avais-je bien vu qu'en dessous de sa petite jupe, rien ne couvrait sa mince toison ? Délicate suggestion comme entrée en la matière.

Après une courte discussion elle me demanda où se trouvait la salle de bain, elle voulait passer y faire un tour. Je lui indiqua l'étage et l'invita à monter.

Quelques minutes plus tard elle réaparait devant moi dans une tenue plus que compromettante. Elle porte une robe moulante et des cuissardes lacées en latex rouge. Je crois rêver, bouche béante devant mon idole. Sa peau, blanche comme le nacre, ses lèvres rose comme un bonbon que l'on a envie de gôuter. Son corp, galbé et généreu. Son regard perçant, charmant, envoûtant.

Je m'assied maladroitement en ne cessant de la déshabiller du regard. Elle me demande si j'ai un poste cd, elle voudrait mettre une musique qu'elle appellera d'ambiance. Elle me demande de fermer les yeux. J'entend une chaise bouger, un cd s'enclencher.

Ouvres les yeux ma belle, regarde et prend plaisir de ce que tu vas voir. Je suis là juste pour toi.

A mon étonnement je reconnais alors la musique. Goldeneyes ...

Elle commence alors ce balet. Elle se trémousse, roule de ses hanches. Se penche, se tortille. Se tourne et retourne en m'offrant ainsi la vue la plus parfaite de son corps. Elle use de la chaise comme d'un corps, elle se frotte, se dandine. Puis finis par abandonner cette chaise inerte et avance devant moi.

Je veux la toucher mais elle repousse mes mains, je veux parler mais glisse son doigt sur mes lèvres. Je ne puis rien faire d'autre que de la regarder. Cela m'exite. Je sens la chaleur monter entre mes cuisses. Je n'en peux plus, il faut que je la touche, elle comprend alors mon étant, et tout en dansant pour moi, me fait comprendre qu'elle veut me voir me caresser pour elle, devant elle.

L'exitation est de mise. Plus elle se cambre, plus je mouille. Plus je me caresse, plus elle demande. Plus elle me donne, plus je veux. Je la veux elle, entière, parfaite, s'offrant à moi sans retenue. Je la veux mienne n'obéissant qu'à mes désirs.

à suivre ...

[titdiable 2]

oh yessss

superbe récit décrit à merveille

la suite la suite la suite, vite vite vite

j'ai trop hâte de lire de nouveau ce que nous dit ta plume