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Labourge33

La bourge acte 3

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Sébastien est devenu mon amant pendant plusieurs mois. Dès le lendemain de notre première relation sexuelle, nous nous sommes retrouvés dans un hôtel. Collée contre le mur, nous nous sommes embrassés fougueusement. Ses mains sous ma jupe ont vite remarquées que j'avais troqué mes collants contre des bas. Il a fait glissé ma culotte a terre, il s'est déboutonné, il a rapidement enfilé un préservatif et il m'a prise debout, contre le mur. Je prenais un vrai plaisir en subissant ses assauts. Après un moment, toujours empalée sur sa queue, nous nous sommes dirigés vers le lit. Son sexe me défonçait littéralement, je gémissais au rythme de ses va-et-vient. Vaincue, j'ai eu un violent orgasme. Sébastien m'a suivi de peu, inondant le préservatif de sa semence. Nous nous sommes déshabillés et nous avons passés l'après midi à nous donner du plaisir.

Les semaines qui ont suivies, nous nous sommes retrouvés régulièrement à notre hôtel. A chaque fois que j'arrivais, le patron, un homme, la soixantaine bien passée, physiquement peu agréable, me gratifiait d'un sourire salace, sachant pertinemment que j'allais me faire sauter. Sébastien en rigolait, pensant même qu'il devait nous écouter faire l'amour. Et que peut-être, il se masturbait derrière la porte. Dans un premier temps je trouvais cette idée obscène et malsaine, mais très vite j'ai imaginé sa présence, et je prenais encore plus de plaisir.

Je ne sais pas pourquoi, cet homme était devenu un fantasme. Rien qu'en le voyant à mon arrivée à l'hôtel, avec son sourire et son regard pervers, mon sexe s'humidifiait. Pourtant il n'était vraiment pas beau. Pour vous situez le personnage, il ressemble énormément à Michel Galabru.

Sébastien ne me suffisait plus, le plaisir dans ses bras perdait de l'intensité a chacune de nos rencontres. Il le sentait bien. Je prétextais la routine de nos rapports, et que la flamme de la passion s'était éteinte. Sébastien était un garçon très intelligent, qui comprenait très bien ce que j'essayais de lui expliquer. Nous nous sommes revus quelques temps, puis un jour il m'a annoncé qu'il avait rencontré une fille de son âge et qu'il était éperdument amoureux. Il mettait un terme à notre histoire. Mon amour propre en prenait un coup, mais c'était dans la logique des choses. Même en s'y préparant, intérieurement on a du mal a accepter une rupture. Je suis restée quelques jours cloitré chez moi. Sébastien était déjà un souvenir.

Un homme était sans cesse dans mes pensés. Le vieil homme de l'hôtel. Je voulais cet homme et je me devais de combler mon désir. Je me devais d'aller jusqu'au bout de cette histoire. J'ai pris mon courage à deux mains, et je me rendue à son hôtel. Arrivée à l'angle de la rue, je me suis arrêtée. J'ai regardé la façade, je ne pouvais, je ne devais reculer. Je suis entrée. Le vieil homme était toujours là, le regard plus pervers que jamais. Il m'a donné la clé de la chambre. J'ai commencé à monter les marches. Je me suis arrêtée en lui disant.

-Mon jeune amant ne viendra pas. D'ailleurs il ne viendra plus. Peut-être souhaiteriez-vous le remplacer Monsieur...c'est comment votre prénom ?

-Robert, mais les amis m'appelle Bébert !

Rien qu'en entendant ce prénom, les images du routier sont ré-apparus. Encore un Bébert, je dois être une femme à Bébert. J'espère qu'il sera à la hauteur de mon fantasme.

Il a demandé à une de ses employées de venir tenir l'accueil et il est venu me rejoindre dans la chambre. J'étais fébrile. Mon cœur battait la chamade, par contre mon sexe était trempé. Une fois la porte fermé, je me suis assise sur le lit, les jambes légèrement écartées. Bébert est entré, en fermant la porte derrière lui. Je regardais cet homme, les yeux rouge d'excitation, s'approcher de moi.

Arrivé à ma hauteur, il a déboutonné son pantalon. Je découvrais un sexe énorme. Je ne pensais même pas que cela pouvait exister. Il m'a attrapé par les jambes, il a retroussé ma jupe et retiré ma culotte. Il a posé ses doigts sur mon sexe trempé et il m'a caressé un moment. Puis il a porté ses doigts à sa bouche et il les a léché. Il bavait d'excitation. Il m'a tiré jusqu'à lui par les jambes, comme un vulgaire sac de pommes de terre. Il a présenté sa queue à l'entrée de ma chatte et sans ménagement, il m'a pénétrée. Je ne pensais pas que mon sexe pouvait recevoir une queue de cette taille. Pourtant, il est entré sans difficulté.

Bébert à commencer à me baiser. Il ne dit rien pas un mot. Seul ses râles donnaient le signe qu'il prenait du plaisir. De mon côté, je criais, j'hurlais de plaisir au rythme des coups de reins. Cet homme me procurait un plaisir indescriptible. Je ne contrôlais plus rien, ni mon corps, ni mes émotions. Je n'étais plus que plaisir. Un violent orgasme c'est emparé de moi. J'ai jouis si fort que j'ai du perdre connaissance quelques secondes. Je sentais cet homme me besogner, j'ai mis aussi quelques secondes pour reprendre le cour des choses. Bébert était rouge d'excitation, de la bave coulait de sa bouche et tombait sur mon visage. Cet homme me baisait comme si pour lui c'était la dernière fois. Le plaisir m'envahissait de nouveau. Cet homme infatigable allait et venait en moi à un rythme effréné. Je criais, j'hurlais de plaisir. Soudain, vaincu, il a jouis à son tour. En sentant son sperme inonder mes entrailles, j'ai jouis pour la seconde fois. Il est resté en moi un moment, le temps de bien se vider. Il est sorti de ma chatte, il s'est essuyé la queue sur ma jupe et il s'est rhabillé. Il est sortit de la chambre sans un mot. Je suis restée, vannée, les jambes écartées, son sperme coulant le long de mes cuisses. A ce moment, je me suis mise à pleurer, mais de bonheur. Je me suis lavée, rhabillée et je suis partie. En arrivant pour payer la chambre, il m'a juste dit.

-La chambre c'est pour moi. Au plaisir de vous revoir.

Les jambes tremblantes, la tête pleine de plaisir, je suis rentrée chez moi. Je ne pensais plus à rien, je ne pensais plus qu'à lui, juste à cette homme que j'avais hâte de revoir et de sentier sa queue en moi.

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très belle histoire...tu a réussi s a en gonflé un.... :shock:

vivement une nouvelle histoire!

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magnifique.. j'adore... on sent tout.... de la bestialité à l'humanité...

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j'ai adoré te lire labourge :shock::help:

une certaine façon d'écrire, de décrire avec moindre détail ce que tu as vu, vécu..

un douce ressemblance avec les textes d'une très chère membre de CI, qui a surement du te lire aussi... :shock: pas vrai BénéM :lal:

en tout cas merci :shock::lal:

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Mélange sordibe, envoutant, excitant !

Divinement agréable à lire :shock:

Merci beaucoup :shock: j'ai adoré !

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beau recit les ressentis sont tellment ben décris que l'on a le sentiment d'en avoir été spectateur :shock:

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Oui, c'est vrai, très belle confession !!!!

Encore !

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Très très beau récit - confession, j'ai adoré ! j'en bande encore !

Mais je vois qu'à tes histoires, celle-ci et celle du routier, tu es très attirée par tout ce qui est comment dire... à l'extrème de ta vie de bourgeoise... Des hommes vieux et moches, qui ne font pas dans la tendresse, qui te prennent pour un sac à foutre...

Continue à te confesser, te gene pas, raconte nous encore les moments ou tu te fais baiser comme une chienne...

bizzz

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Une confession des plus exquise. J'adore la force des mot dans ton récit. L'imagination prend place à la lecture et c'est totalement savoureux. Merci à toi :-D

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Quand je pense que tu dois prendre autant de plaisir à te confesser que nous à te lire ...

Continue, j'adore ....

Eric

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Guest sliver

Hé bien cela devient de plus en plus excitant tes confessions Bravo !!

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