Première consultation.

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Première consultation.

Qu'elle journée !!! Le travail, ton enfant, les courses. Un marathon fatiguant, éreintant. Et encore tout le monde n'est pas couché. La journée arrive a son terme et tu ne sais plus ou donner de la tête. Un repas sur le pouce, ravioli et basta....

Pyjama, une histoire, un bisou, juste que pour ta fille se sente reine. Après cette journée exécrable. Le repos paisible d'une guerrière. Voila, enfin, te voila tranquillement étendu de tout ton toi. Te délassant, en attrapant ce que tu crois être ta délivrance, le programme télé te tends les bras. Quelle programme télé!!!! . Il se liquéfie sous tes yeux d'or. Pourquoi une telle journée, rien a regarder "pourquoi moi !!!!!".

Tu aurais préférée un cinéma. Des mots doux, un dîner des caresses verbales, te sentir femme plutôt que mère. Qu'on t'aime toi rien que toi. Mais voila la réalité de ton environnement ta rattrapée.

Peu importe, tu feras de cette journée ordinaire une paisible journée, super ordinaire. Un bain, de la musique. Tu as besoin de te délasser a défaut de t'entremêler. Quelques bougies allumées, une rigole d'eau chaude imprégnant ta baignoire abreuvées de bulles moussantes dégageant ton odeur préféré, et voila le tour est joué.

Prête a te submergée de ces odeurs réparatrices, tu laisses tomber tes vêtements. Les uns après les autres ils glissent sur ta peau. Jusqu'au petit soutien-gorge bien moulé et moulant qui t'aura oppressée toute la journ§§§§§§§§§§§§§§§§ toc toc toc toc toc toc toc toc toc. Un sursaut, tu glisses un peignoir. Mais qui peu cogner à ma porte aussi vaillamment. Tu ne veux pas répondre faire la sourde oreille. Juste t'approcher de la fenêtre pour espérer apercevoir le contrevenant. Tu ne le connais pas, ne me connais pas (ou alors par mes mots). Il est 22 heures maintenant mais pourquoi est il la, pourquoi chez moi. Ta curiosité s'emporte, tu ouvres, veux savoir qui il est, et ce qu'il fait la.

Curieuse, tu m'ouvres et m'interromps dans ma fuite.

"Monsieur" d'une voix nasillarde.

"Michelle....."

"Oui" t'interrompant, je me place devant toi, te souris. Tu as compris, tu me laisses entrer, referme la porte et me submerges de ton doux sourire. Tu es génée. Pas tant que moi, dans un premier tant. Tu m'avais promis de venir me voir, je n'ai pas résister, je suis la. Tu argumentes sur ta tenue du fait que tu aller prendre un bain. Je prétexte mon long voyage pour t'accompagner aux pays de tes eaux vives.

A peine entré dans la salle de bains, tu oublies ce bain. Tu me plaques contre la porte. Tes bougies parfumées te donnent un élan tel que tu me plaques contre la porte. Goûtant à mes lèvres te délectant de moi. Tu me voulais, et tu m'as. L'occasion est trop belle pour ne pas me goûter.

Je pense la même chose, l'occasion est trop belle pour ne pas unir nos sens. De ce fait, ton joli peignoir de soie brodé contre ton corps, contre tes formes, glisse naturellement. Ce qui, j'avoue au fur et a mesure me fait bander. Tu l'as bien ressenti, d'ailleurs tu en profites pour de plus en plus te frotter contre moi. Ma main dans tes cheveux, ma bouche se promenant de ton coeur jusqu'a ton âme. Tu te cambres. Me demande.

Calmons nous et profitons de ce filet d'eau ma belle.

Chevauchant ce strapontin qui ordonne ta baignoire, tu montes cette pomme d'amour qui fait office de douche. Humide, autant toi que moi, plus toi que moi d'ailleurs, nous laissons cette eau tiède nous envahir afin que cette chaleur artificielle, nous brûles jusqu'au sixième sens.

Tu n'en peux plus, dégouline, tu sens que ton antre t'échappe. Tu mouilles. Ma grosseur t'effleurant puis forçant ton corps frissonnant, tu me prends en main, en bouche. Mon sexe est en toi. Tu le suces, le lape, il t'appartient, je suis à toi. Cette impression fugace mais réelle te fait penser que tu t’en es abreuvé toute ta vie, tu me connais. Me fait monter dans des supplices au point que je te demande de t'arrêter. Ne t'exécutant pas, une seule solution. T'agripper de mes mains, te retourner, et te pénétrer vaillamment. Aucun mal d'ailleurs, ta croupe m'attendait. Au premier coup de semonce, tu cries, cette levrette improviser laisse poindre quelques larmes au coin de ton joli regard.

Cette douche est de trop, arrêtant l'arrivée d'eau tu te retourne et me demande de te suivre jusqu'à ton lit. Mais je ne peux pas, passant prêt d'une table, je t'allonges et m'humectes de ton clitoris. J'aime tes odeurs. Ton jus d'amour me ravi. Je ne peux m'empêcher d'y retourner, tu es ma drogue. Mes va et viens t'emportes au pays des rêves. Tu disjonctes sous mes coups. Me demandant d'y aller de plus en plus fort.

Je jouis mais pas autant que toi apparemment. Tes jambes flagellent, nous nous retrouvons dans la jouissance. Nous ne formons plus qu'un regard endiablé. L'osmose est parfaite, merci. Un répit, et c'est reparti. Cette nuit est la tienne. Le temps importe peu. Nous nous abandonnons. Nous sommes heureux......

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j'ai besoin de savoir qu'est qui ne vous a pas plus ?

j'en avais écrit d'autres...