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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Guest Anonymous

du virtuel au réel… il n'y a qu'un pas…

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Guest Anonymous

Un plan simple

La première photo me donna envie d’en savoir plus. Ronde habillée de noir…

Ce forum de rencontres me laissait perplexe tant je sais que le virtuel peut rester longtemps virtuel.

Je contacte alors par message privé cette femme qui s’offre au regard. Une réponse. Puis une autre.

La jeu s’installe et quelques minutes plus tard les mots cèdent la place aux images via une web cam.

Les corps s’offrent alors à la vue et l’excitation monte. Je lui offre un spectacle de mon bassin en action si elle se trouvait vraiment là et l’incite à poursuivre cette danse en se tournant afin que je la prenne… virtuellement.

Cette excitation plus que passagère nous conduit à des contacts plus rapprochés qui se dessinent sous la forme de numéro de téléphone. Et commence un jeu nouveau. Celui des sms mms avec les mots précis des envies furieuses. Nos corps montent en température. Ce jeu se poursuit sur plusieurs jours avant que la voix ne prenne enfin place…

«Bonsoir… ça va ?» sourire dans les voix, excitation dans les souffles… scepticisme dans les possibilités mais pourquoi refuser de se faire du bien??

Les appels se multiplient et l’amour au téléphone se déchaîne et n’y tenant plus rendez-vous est pris…

Dans une ville à distance égale entre nos deux adresses… plus de 400km nous séparent, nous prenons rendez-vous dans un hôtel.

“L’envie de te saisir dans le couloir, écarter tes jambes et m’immiscer…

je te branlerai avant et je te sucerai dans l’ascenceur…

oui, j’aime et déjà sur le quai de la gare glisser ma main sur tes fesses…

je ne sais pas si je tiendrai jusqu’à l’hôtel…”

Tous ces mots s’enchaînaient lorsque le jour J fut là.

Sur le quai de la gare je l’attendais et elle était bien là…

Nous nous sommes d’abord dirigés vers le bar pour parler un peu et faire «tomber» ? la pression…

mais nous sommes parti bien vite vers l’hôtel… et l’ascenceur fut le moment du premier contact. Ma main fouilla directement son entrejambe et j’embrassais son décolleté pour fondre sur ces seins, je sentais ma queue raide saisie par ces mains manucurées… et la porte s’ouvre bien sûr… oups

nous sortons, dignes (!) et demandons la clé de la chambre.

”désolé, elle ne sera libre qu’en début d’après-midi vers 15h.”

!!!

Regards échangés, contrariés, souffle court et coupé, puis rires… nous sommes partis manger.

15 heures.

les clés remises enfin nous nous dirigeons vers la chambre.

“Fermer la porte, te plaquer contre elle, et te prendre sans préambule”. Ces mots-là étaient en moi depuis le premier contact téléphonique.

Et la porte se ferma. Il n’en fut pas comme dans les mots. Elle s’éloigna et posa ses affaires, je regardais ce cul magnifique et n’avait qu’une chose en tête. Elle, semblait en avoir plusieurs. Nous nous embrassâmes, nous dévêtîmes assez vite. Nous profitâmes de chaque morceau de peau qui s’offrait…

enfin ces seins que je voulais mordre. Je lui dévorais chaque mamelon et elle gémissait enfin.

Je ne sais dans quel ordre cela se passa exactement mais elle pris mon sexe en main et en bouche avec un regard malicieux. Elle me suçait et me regardait. Aux anges ! Sa langue faisait des tours et des détours et je sentais sa magnifique poitrine contre mes jambes. Je la voulais.

Je la fis se redresser et l’amène sur le lit non défait encore et je caresse ces fesses offertes. Cette croupe magnifique, cette cambrure de reins et cette odeur… Une madeleine de Proust… J’en frémis encore quand, en lui écartant les cuisses et entr’ouvrant ses lèvres avec mes doigts ma langue vînt efin s’emparer de ce sexe humide. Son clitoris de se dresser et chercher seul le contact de mes lèvres. Je le lui aspirais avidement. Lui titiller avec les doigts fouillant sa vulve de ma langue. Je voulais la pénétrer de toutes parts de toutes les façons. Elle me coulait sur le visage et dans la gorge… Je grimpais et la pris.

Vous connaissez ce plaisir de rencontrer une sensation nouvelle, une nouvelle chaleur, un nouveau fourneau, une nouvelle étroitesse ou largesse. Je prends la mesure de ce corps qui s’offre et qui me prends. Je fond sur sa bouche son énorme poitrine ses chairs qui se donnent et que je palpe et roule et mange et mords. Mon bassin va et vient en elle contre elle sur elle. Sa moiteur colle à mes cuisses mes bourses et mon ventre, sa langue joue avec la mienne…

Combien de temps… ?

Elle est sur le côté et j’entre en elle en profitant avec largesse de ce cul qui se convulse se tend me cogne… elle bouge à me faire exploser… elle bouge encore à me faire la mordre… son tatoo… je lui enserre les jambes et la burine encore, je lui prends le ventre autant qu’elle me prend…

Combien de temps… ?

Je léchais son corps presque épuisé. La bouteille d’eau à proximité

“et quand je serai fatigué je te prendrai encore” C’étaient mes mots au téléphone… que pouvais-je faire d’autre que de tenir parole. Ce fut elle qui ranima la bête de sa bouche et de ses seins.

Elle se plaça sur moi doucement et fait passer cette poitrine somptueuse de part et d’autre de mon sexe. L’effet fut quasi immédiat. Son regard qui me défiait… ses seins qui me branlaient… ses doigts qui caressaient mes bourses et mon ventre et sa bouche qui m’avalait si ardemment… “Viens!” lui dis-je et elle me chevaucha… vision et sensation fantastiques… ce corps ondulant, ces mamelons que je flattais, ce ventre ce sexe cette vulve qui m’avalait me chauffait me rendait fou… je remontais mes reins afin de la pousser davantage vers la jouissance… aller au fond d’elle… saisir ces hanches la bloquer contre moi et lui asséner tous les coups de reins et de queue que je pouvais… la pourfendre, la prendre, la baiser, la faire chavirer hurler crier… le déchainement de sensations fut tel que je la projettai sur le dos et lui tînt les jambes écartées afin de la prendre à fond…

“oui je te baiserai comme une chienne, une femme soumise

— je serai pas soumise ” ces mots revinrent à ce moment-là lors de regards échangés…

active elle l’était, je transpirais comme un fou… nos corps glissaient l’un sur l’autre, nos odeurs et fièvres se démultipliaient à chaque contact et nous restions en contact… nos appétits ne connaissaient pas de pause

Je redoublais d’ardeur et fis lentement tourner mon sexe en elle. De lentes et profondes pénétrations pour sentir chaque parcelle de son excitation, répondre à chacun de ses soubresauts, apprendre les endroits de son plaisir et découvrir le lieu de sa jouissance.

Combien de temps… ?

je ne sais que ceci… elle se leva pour aller prendre une douche vers 19h…

les pauses et les reprises s’étaient enchaînées, bouteille d’eau vide…

je regardais ses hanches dignes d’un Rubens ondoyer sous l’eau de la douche… ses seins, mon dieu ses seins… je la suivi…

Assis sur le fauteuil dans la chambre, un fauteuil bas, elle s’approcha un sourire malicieux en coin

“ te prendre, là ? hm ? tu aimerais ? ”

ses mots… et les actes suivent… jamais une bouche n’était allé si rapidement en besogne…

“attends, viens”

je la relève m’assieds sur le lit plus à hauteur… et la regarde s’agenouiller… elle me regarde et approche sa bouche, titille mon gland de sa langue les yeux dans les miens…

Quel délice et fantasme vivant que ce souvenir vécu mille fois depuis…

elle me suce, me baise, me branle avec délectation, envie, foudroiement, déploiement de malices buccales, manuelles et linguales…

je laissais cette envie se défaire de toute sa furie et profitais de cette fellation divine… je prenais sa bouche ou elle prenait ma queue ? Seconde version. Elle me baisait ardemment et je ne pus que céder dans des spasmes qui me projetèrent en arrière. Je jouis dans sa bouche et elle continuait de me branler et de me lécher, de courir sur mes bourses et mon gland… Les décharges électriques se multiplièrent lorsqu’elle continua de sucer mon gland… contraint de lui ôter cette envie pour ma survie, elle me regardait souriante, espiègle, heureuse et j’en ris et souris dans un soupir laché en m’écroulant sur le dos…

“t’as aimé on dirait !” Les mots inutiles ne sortirent pas de ma bouche je la serrai contre moi et la suçais à mon tour…

Combien de temps… ?

Magnifique déferlantes de spasmes et de gémissements je voulais la prendre de toutes parts et je la pris en levrette… Oh cette cambrure accentuée, ces seins que je pétrissais, ce sexe que j’envahissais à foison, à outrance, à plaisir et à déraison ! Je la prenais allant jusqu’au fond d’elle, au plus profond, j’allais et venais parfois doucement, parfois juste à l’entrée de son vagin en caressant ce cul dont la seule vue me faisait un effet indescriptible. Je tournoyais en elle, glissant mon sexe entre ces fesses et la reprenant entièrement, puissamment, lui asséner des coups profonds et rapides, la plier, la ployer, la déchainer, la remplir, la défoncer, la baiser et la faire jouir… mes coups de queues et de reins, ma sueur tombant sur son dos… je la prenais encore et encore et je sentais sa chaleur, son envie non satisfaite encore… quel plaisir d’être en elle ainsi. Je voyais son corps se convulser de plaisir et je labourais son ventre jusqu’au moment où je me collais à elle lui saisit fermement les hanches et lui burinait le ventre en une myriade de coups rapides qui nous menèrent à l’explosion…

Combien de temps… ?

je restais en elle en caressant son corps ne voulant pas sortir de ce fourreau délicieux…

Nous nous sommes quittés au matin.

“Merci. On ne m’avait jamais baisée comme ça !”

Ce compliment-là fut loin de me satisfaire tant j’aurai aimé la faire hurler à réveiller tout l’hôtel.

Phrase dite pour satisfaire l’ego de mâle dominant ? J’ai toujours osé espérer que non et nous en avons parlé après… Cette partie de plaisir-là fut une de mes meilleures journées… même si je ne vous en ai raconté qu’une partie.

“Merci à toi… S.

PS?: s’il y en a parmi vous qui pense qu’un forum n’est fait que pour du virtuel… ce récit est vrai et vous montre l’inverse

à ceux qui croient aucune preuve n’est nécessaire, à ceux qui ne croient pas aucune preuve n’est possible.

Mesdames je vous aime.

Sweethellboy

je garderai toujours en mémoire cette image d'un homme assis jambes écartées sur un fauteuil bas en rotin et cette femme nue, ronde, qui s'approche sourire aux lèvres pour prendre…

Te prendre, te reprendre et te surprendre…

Bises ma S.

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Guest Anonymous

superbe récit... très bien écrit et très... intense... :D:D:)

merci :D

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superbe recit, bravo!!!

enfin une belle histoire virtuelle qui explose en beauté dans la réalité. :)

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Guest Anonymous

il ne tient qu'à vous coquine… et vous le savez :)

Libertinement vôtre

S.

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Guest Anonymous

:) :D

Oh oui quelle intensité :D

Magnifique récit qui fait naître en moi des sensations étranges

Merci, merci , merci :D

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Guest monicadk

Effectivement , superbe récit , très excitant et très bien écrit .

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Guest Anonymous

merci… un autre en cours d'écriture… :wink:

une autre rencontre, du virtuel au réel…

femmes je vous aime

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Guest zeitgeist 2011

ouch

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superbe récit...excitant :???:

Je vous conseil également d'oser franchir le pas, moi je l ais fais pour mon plus grand plaisir .

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:P je ne l'avais pas lu, cette histoire !!

Superbe récit, très bien raconté, j'adore le style, en puis, il ne laisse pas le lecteur de marbre ;) :P

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C'est une très belle histoire :lal: , comme chacun(e) de nous devrait pouvoir en vivre régulièrement :D .

Bien que nous soyons inscrits sur un ou des forums plus ouverts que le monde qui nous entoure, nous ne nous décoinçons pas si facilement en fait :D ; saluons les circonstances dans lesquelles cela arrive.

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