Un coeur de feu dans une enveloppe de glace

[Mina-Harker 84]

Voici ce qui m'est arrivé deux ou trois mois auparavant. Une expérience inoubliable, je me souviens absolument de tout!

Désolée si c'est un peu long mais voilà! Quand on est littéraire, on l'est jusqu'au bout!

Et comme je l'ai dit, je me souviens de tout comme si c'était hier! ^^

Bon, c'est ma toute première confession, alors soyez indulgents

Bonne lecture!

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La serveuse déposa la tasse de chocolat que j'avais commandée sur la table. Je la remerciai d'un vague sourire avant de me replonger dans ma lecture. Mais impossible de me concentrer! Depuis peu, je repensai de nouveau à lui, que j'appellerai Luân. Luân ... Mon petit viêtnamien! Mon premier amour, celui qui m'avait tout appris, celui à qui j'avais tout donné, celui auquel j'avais voué un amour incendiaire, détraqué et obsessionnel mais jamais feint ... Celui qui m'avait abandonnée en novembre dernier! Sans me donner d'autre explication que ce texto d'une classe internationale : "Entre nous, il ne pourra pas y avoir d'avenir". Sans doute mais pour quelle raison? Mystère et boule de gomme! Monsieur n'avait pas jugé bon de m'aider à tourner la page en m'expliquant pourquoi il me quittait! A peine quatre semaines après cette séparation, j'avais perdu cinq kilos. Une angine carabinée, une gorge tellement douloureuse que j'avais du mal à avaler ne serait-ce qu'un verre d'eau, et un coeur en mille miettes. J'avais passé Noël 2009 clouée au lit, moi qui avais une santé de fer! Tout celà à cause d'un premier chagrin d'amour. Mais quand vous êtes réellement amoureux, peu importe que ce soit le premier chagrin ou le douzième! Celà fait toujours aussi mal. Ne laissez jamais personne vous dire qu'un chagrin d'amour est ridicule!

Et au passage, petit conseil d'amie. Si un de vos proches se retrouve le coeur brisé, ne lui dîtes jamais cette phrase : "Oh, tu trouveras bien quelqu'un d'autre!". La crétinerie dans toute sa splendeur! Songez que la personne à qui vous direz ça éprouvera un besoin urgent de vous étrangler! Ce n'est pas un autre qu'il veut mais bel et bien celui ou celle qu'il ne peut plus avoir! Il en est encore au stade où il se demande ce qu'il va devenir sans son partenaire, et on a le culot de lui parler de quelqu'un d'autre!

Bref!

Quelques mois après ma séparation d'avec Luân, je le rencontrai, lui. Kim. Ou plutôt, nous avions rapidement fait connaissance via un forum, puis échangé nos adresses e-mail ainsi que nos numéros de téléphone. Lui aussi habitait Nantes, mais nous n'avions pas encore eu l'occasion de nous rencontrer en vrai. Ce n'est que une heure plus tôt environ que nous avions décidé de nous voir. Pourquoi? Parce qu'en visitant mon profil facebook, Kim avait trouvé parmi mes amis, celui de Luân. Pourquoi ne l'avais-je pas supprimé de mes contacts? Pourquoi éprouvais-je malgré tout le besoin d'avoir encore un lien avec lui, si petit soit-il? ... Toujours est-il que ce détail en apparence insignifiant était l'élément déclencheur. Kim m'expliqua que son ex petite-amie l'avait trompé et quitté au début de l'année. Et pour nul autre que Luân, qui lui m'avait quittée deux mois plus tôt environ! Un nouveau couple se formait et quelques temps plus tard, les ex respectifs se rencontraient par pur hasard! Une histoire de fou, je suis la première à le dire! Le hasard fait parfois bien les choses.

Assise à ma table dans un coin du café, je surveillais l'entrée, guettais l'arrivée de Kim. J'avais hâte de le rencontrer et d'avoir sa version des faits. Je devinais que lui aussi voulait en savoir plus. Cette histoire était restée très floue autant pour lui que pour moi. En échangeant nos deux versions, nous aurions probablement quelques pièces supplémentaires du puzzle. Je continuais de surveiller l'entrée en remuant négligemment mon chocolat avec ma cuillère. Après quelques minutes, mon regard fut attiré par un nouvel arrivant dans le café. Environ la même taille que moi, une trentaine d'années, asiatique. Il explora la salle du regard, comme si il cherchait quelqu'un. Ce ne pouvait être que lui. Je lui fis un petit signe de la main. Dés qu'il me reconnut, il sourit légèrement et me rejoignit. Je me levai pour lui faire la bise, puis il s'assit en face de moi et commanda un café.

"-Je ne t'ai pas fait trop attendre? demanda-t-il.

-Oh non, ça ne fait pas longtemps que je suis arrivée."

Conversation très banale, je vous l'accorde. Mais passage obligé, avant d'en venir au sujet qui nous intéressait. Loin de moi l'idée de vouloir espionner Luân. Je voulais simplement comprendre pourquoi il m'avait quitté et comment celà s'était passé. Je pensais en avoir besoin pour me reconstruire et tourner complètement la page. J'allais par la suite comprendre que finalement, je ne guérirais peut être jamais totalement de cette première rupture. Peut être parce que, justement, c'était la première ... Peut être à cause de ma capacité innée à me torturer l'esprit ... Allez savoir. Comme dit mon beau père, va savoir quand tu ne sais pas!

Kim et moi avons alors échangé nos versions de cette histoire. Mais ce fut bien plus bref que je ne le pensais. La conversation dériva très vite sur d'autres sujets. Nos loisirs, nos expériences, ce que nous faisions dans la vie. Au bout d'un petit moment, je réalisai que j'étais comme hypnotisée, envoutée. La lumière tamisée du café éclairait délicatement le visage de Kim, sa peau dorée, ses yeux en amandes. Je me sentis fondre, petit à petit. Je me surpris m'imaginant défaire un à un les boutons de sa chemise. Reprends-toi, ma grande! Si Kim avait pu lire dans mes pensées à ce moment là, j'aurais été mal. Très mal! Quoi que ... Et en plus, j'étais mal à l'aise dans cette jupe très (trop) courte! Pourtant, il n'y avait rien de vulgaire! J'avais une paire de collants noirs totalement opaques. Et je ne pensais pas être plus provocante que ça avec mon sous-pull blanc à col roulé qui dépassait de sous mon gilet noir. Franchement, il y avait bien plus vulgaire que moi! Mais en présence de cet homme qui avait allumé le feu de mes reins, j'aurais tout donné pour avoir un bon vieux jean, tellement j'étais mal à l'aise!

Comment, que dîtes-vous? Angoissée? Mal dans ma peau? Moi? Jamais de la vie! Comment ça, vous ne me croyez pas?

"-Hé, détends-toi, je ne vais pas te manger", me taquina Kim, qui avait senti ma nervosité mais ignorait (du moins, je l'espérais) qu'il en était la cause.

Si tu continues de me sourire comme tu le fais, c'est moi qui vais te manger, pensai-je. Ah! Ce sourire! Ah! Ces yeux! Ah! Cette voix! Je détournai les yeux un moment pour essayer de me calmer les nerfs. Manque de bol, mon regard atterrit sur les mains de Kim. Et bien entendu, pendant un instant qui me parut durer une éternité, j'étais incapable de les lâcher des yeux. Ses mains étaient fines, tout en restant masculines. Hormis une ou deux traces de coupures, elles étaient en très bon état pour quelqu'un qui travaillait en cuisine. Je me réinstallai correctement sur ma chaise et le regrettai aussitôt en sentant que mon entre jambe était humide, ce qui m'aida pas à me sentir plus à l'aise! Je relevai enfin timidement les yeux vers Kim. Quand ses prunelles sombres croisèrent les miennes et qu'il m'adressa de nouveau un de ces satanés sourires, un frisson remonta le long de ma colonne vertébrale. La désir que je sentais dans le bas de mon ventre et dans le creux de mes reins se fit plus intense, presque douloureux, tant il aspirait à être assouvi. Avant Kim, aucun homme n'avait réussi à embraser mes sens en si peu de temps! Et ce n'était pas donné à tout le monde de faire fondre un glaçon tel que moi, qui plus est, complètement névrosé et rongé par l'angoisse. L'expression qu'avait employée ma mère pour mé définir prenait alors tout son sens. "Mina, c'est un coeur de feu dans une enveloppe de glace."

"-Serais-tu par hasard quelqu'un de stressé? dit-il en continuant de me taquiner gentillement.

-Comment as-tu deviné?" ironisai-je en riant.

Mon dieu, ces yeux! Son regard s'attarda un moment sur ma bouche, sur laquelle j'avais appliqué un léger gloss transparant avant de venir. Presque malgré moi, je me mordis la lèvre inférieure. Je me maudis intérieurement. Un sourire apparut sur le visage de Kim. Pourquoi? Pour me rassurer ou parce qu'il avait compris la raison de mon anxiété? Toujours est-il qu'il me proposa de bouger. A mi-chemin entre la déception et le soulagement, je me levai et enfilai ma veste. Après quoi, je fouillai dans mon sac. Kim m'empêcha d'ouvrir le porte-monnaie que je venais de sortir en posant sa main dessus, effleurant la mienne au passage. Je vais finir par croire que tu fais exprès! Malgré mes protestations, il paya l'addition. Une fois dehors, je le remerciai timidement. Kim me proposa de me reconduire chez moi. Il insista même quand je lui dis que j'habitais à même pas un quart d'heure à pieds. Kim m'ouvrit la portière. Inutile de discuter, je pris place sur le siège passager. Il referma la porte, fit le tour de la voiture et s'assit à côté de moi. Le sentir encore plus proche que tout à l'heure manqua de me faire perdre le peu de self-control qui me restait. Je tâchai de me détendre mais l'humidité entre mes cuisses me rappela qu'il était inutile d'y songer tant que Kim serait avec moi. J'adressai un regard à Kim alors qu'il tournait la clef de contact. Je rêve ou tu regardais mes cuisses, là? La voiture démarra. Nous roulâmes quelques minutes, je lui indiquai la route. Nous arrivâmes rapidement dans ma rue. Kim arrêta sa voiture. C'était le moment de se dire au revoir.

Je me penchai vers lui mais au lieu de lui faire la bise, je glissai presque malgré moi ma main derrière sa nuque et l'embrassa tendrement sur la joue. Qu'est ce qui te prend? Je le sentis frémir au contact de mes lèvres sur sa joue. En le regardant de nouveau, je réalisai qu'il avait fermé les yeux à ce contact. Quand il les rouvrit (mon dieu, ce regard!), nous restâmes un instant à nous dévisager. Je m'étonnai moi même en réalisant que, contrairement à mon habitude, je soutenais son regard. Kim effleura ma joue du bout des doigts avant de glisser son index sous mon menton et de m'attirer à lui. A nouveau un long frisson parcourut mon corps quand ses lèvres touchèrent les miennes. Ce contact fit tomber mes dernières barrières et, obéissant à cette impulsion qui me tarabustait depuis le début de la soirée, je nouai mes bras autour du cou de Kim pour approfondir notre baiser. Je sentis son étreinte se resserrer autour de moi, alors que ma langue allait instinctivement chercher la sienne. Je frémis de tout mon corps quand les mains de Kim commencèrent à caresser mon dos. Incapable de tenir plus longtemps, je glissai ma main sous sa chemise pour toucher sa peau.

"-Tu as les mains gelées, souffla-t-il. Tu as froid?

-Non, répondis-je. Pas du tout."

Sans lui laisser le temps de répondre, je capturai à nouveau la bouche de Kim. A son tour, sa main se glissa sous mon pull pour caresser mon ventre, et remonter juste en dessous de mon soutien gorge.

"-Tu comptes rester dans la voiture?" demandai-je.

Kim sourit à nouveau. Nous sortîmes du véhicule et il me suivit jusqu'à l'entrée de l'immeuble où j'habitais. Je le fis entrer et fermai la porte derrière nous. Avant que j'aie eu le temps d'appuyer sur l'interrupteur pour allumer la lumière, Kim me plaqua dos au mur et m'embrassa dans l'obscurité quasi-totale du hall d'entrée. Aussitôt, je lui répondis en l'enlaçant. Un soupir m'échappa en sentant sa main se glisser sous ma jupe. Finalement, je ne regrettais pas de l'avoir mise! La main de Kim s'insinua sous mon collant, jusqu'entre mes cuisses. Il repoussa le tissu de ma culotte et arriva enfin à mon intimité. Il soupira en sentant combien j'étais humide, preuve évidente de l'effet qu'il me faisait. Je l'arrêtai gentillement et lui fis signe de me suivre. Nous montâmes les escaliers en colimaçon qui menaient à l'étage. Une fois devant ma porte, je glissai ma clef dans la serrure et ouvris. Une fois à l'intérieur de mon studio, je me jetai de nouveau au cou de Kim pour l'embrasser. Ce dernier se déroba et me poussa gentillement vers le lit. Je m'assis sur le bord, il s'agenouilla sur le sol, face à moi. Il posa sa main sur ma poitrine pour que je m'allonge complètement sur le matelas. Sans me quitter des yeux, il insinua de nouveau ses mains sous ma jupe et fit glisser mon collant et ma culotte le long de mes jambes. Il passa délicatement ses mains sur mes cuisses, les caressa un moment avant de descendre sur mes genoux et de les écarter. Je tremblais de partout, incapable de faire un mouvement, partagée entre désir et appréhension alors que je m'apprêtais à offrir dés le premier soir à Kim, ce que Luân avait mis des semaines à obtenir. Je me demande aujourd'hui si ce n'était pas une sorte de revanche, autant pour lui que pour moi.

Un soupir m'échappa quand je sentis la bouche de Kim entre mes cuisses. Je me cambrai presque instantanément en sentant sa langue titiller mon clitoris, alors qu'il me tenait fermement par les hanches pour que je ne lui échappe pas. Puis, mon compagnon abandonna mon entre-jambe pour faire glisser la fermeture éclair de ma jupe et me la retirer. Il me rejoignit sur le lit, à quatre pattes au dessus de moi. Je levai les mains et défis le bouton de son col. Je les déboutonnai un à un, en m'efforçant de prendre mon temps, ce qui n'était pas aisé, tant je le désirais. Enfin, Kim fut libéré de cette chemise. Je m'appuyai sur mon coude et passai mon autre bras autour de sa taille, tandis que je déposai des baisers légers sur son torse. Je souris en sentant sa peau frémir. Je passai ma main sur son torse, remontai vers son épaule, son cou, sa joue.

"-Tu es beau", murmurai-je en lui souriant.

Kim me rendit mon sourire et déposa des baisers sur mes doigts. Puis, à califourchon sur moi, il fit remonter mon pull. Je l'aidai à me le retirer en levant les bras. Il passa ses doigts à la limite entre mon soutien-gorge et ma peau. Il se coucha délicatement sur moi et fit glisser une bretelle le long de mon épaule, puis l'autre. Il repoussa le tissu d'un bonnet et taquina le téton du bout des doigts avant de le prendre dans sa bouche. Je fermai les yeux en sentant sa langue et passai ma main dans ses cheveux noirs comme de l'encre, descendis sur son dos, sur ses fesses à travers son pantalon. Je le fis rouler sur le dos et déposai des baisers légers sur son torse. Je descendis sur son ventre, en le parcourant du bout des doigts, à la recherche des zones sensibles. En embrassant le bas de son ventre, je débouclai sa ceinture et déboutonnai son pantalon. Je le fis glisser le long de ses jambes. Puis, son caleçon, une fois encore, en essayant de prendre mon temps. Je le fis descendre, centimètre par centimètre, mes baisers descendant en même temps de plus en plus bas.

Enfin, le caleçon de Kim alla rejoindre nos autres vêtements sur le sol. Je décidai de le torturer encore un moment en le faisant attendre. J'embrassai le bas de son ventre, caressai ses cuisses. Je sentis ses doigts se glisser dans mes cheveux. Les yeux clos, la tête posée sur mon oreiller, Kim respirait profondément, un soupir lui échappant de temps à autres. Quand enfin je me décidai à le prendre en bouche, un gémissement franchit ses lèvres. J'imprimai un mouvement de va-et-vient le long du sexe de mon partenaire, mes doigts suivant le mouvement. Je fis jouer ma langue avec le gland avant de le reprendre en bouche et de l'aspirer légèrement, ce qui arracha un nouveau gémissement à Kim. Je m'appliquai, tâchant de ne pas lui faire mal avec mes dents. J'étais à l'affût du moindre de toutes ses réactions et j'étais satisfaite de voir que mon "travail" portait ses fruits.

"-Tu fais tellement bien, qu'il faut que je me retienne", souffla-t-il entre deux soupirs.

Rassurée, j'osai le regarder dans les yeux un instant, avant de le reprendre en bouche presque jusqu'à la garde. Kim m'arrêta gentillement et m'attira à lui. Il en profita pour dégraffer mon soutien gorge, le seul vêtement qui me restait. Puis, il me fit rouler sous lui. Je frémis d'impatience en sentant l'extrémité de son sexe effleurer mon clitoris. Sentant probablement que je ne tenais plus et en ayant autant besoin que moi, Kim me pénétra d'un coup de rein. Un gémissement m'échappa et j'écartai un peu plus les cuisses pour lui laisser le passage. Mon compagnon s'agenouilla, un genou de chaque côté de mes hanches. Il me prit par la taille d'une main de fer et commença à aller et venir. D'abord doucement, le temps que je m'habitue à sa présence. Mais, incapable de tenir plus longtemps, il ne tarda pas à donner des coups de reins plus puissants et moins espacés. Je laissai échapper un gémissement en savourant les allées et venues de Kim, sentant son pénis glisser à l'intérieur, entrer et sortir. Sortant presque entier avant de me pénétrer de nouveau d'un coup de rein. Personne ne m'avait jamais fait l'amour comme ça!

"-Tu aimes ça? demanda-t-il essoufflé mais loin d'en avoir fini avec moi. Tu la sens?

-Oui, je te sens, soufflai-je. Vas-y ... Vas-y."

Encouragé, Kim ne se fit pas prier. Je passai mes mains sur son torse, je l'admirais tandis qu'il me faisait sienne. Mais qu'est ce qu'il était beau! J'avais du mal à croire qu'il était dans mon lit et me faisait l'amour avec autant de passion que si nous avions été ensemble depuis des années. En le caressant, je sentis les muscles de son ventre se contracter tandis que ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides et énergiques. Après un orgasme apparemment foudroyant, Kim se laissa retomber, épuisé. La tête contre ma poitrine, les yeux fermés, il tâchait de reprendre son souffle. Je caressai doucement son dos, ses épaules, ses cheveux, pour l'aider à redescendre. Je déposai un baiser sur son front. Quelques instants plus tard, il dormait profondément. Il passa la nuit comme ça, dans mes bras.

Le lendemain matin, je le raccompagnai jusqu'à la sortie. Avant de s'en aller, il prit ma main dans la sienne et la porta à ses lèvres avant de m'adresser un de ses magnifiques sourires.

"-Merci", murmura-t-il.

Puis, il monta dans sa voiture.

___

Aujourd'hui, Kim et moi nous donnons régulièrement des nouvelles, mais en tant qu'amis simplement. Lui a le projet de partir sur Paris, et moi j'ai quelqu'un d'autre dans ma vie depuis peu. Mais je n'oublierai jamais cette fameuse nuit avec lui! Une des meilleures de ma vie! Je me suis sentie comblée et apaisée comme rarement je l'avais été. Je ne regrette absolument rien, ça a été une de mes plus belles expériences! Merci Kim! :D

[lasouile 0]

Merci de nous faire partager ton expérience, félicitation on ressent la passion, le désir, l'émotion qui ta traversé lors de ton échange. Je t'encourage à écrire d'autres récit, je les lirais avec plaisir.

[Mina-Harker 84]

Désolée pour le double post, je ne trouve pas le fonction "éditer" --'

Je voulais juste préciser que j'ai donné de faux prénoms aux personnes qui apparaissent dans mon texte. Luân et Kim ne sont pas les vrais noms. ^^

Histoire de préserver leur anonymat tout en leur donnant quand même un nom, quoi. ^^

Je trouve ça plus sympa que de simplement les appeler par une lettre comme K ou M, ou alors dire "le mec" ou "la nana". XD

Voilà! ^^

édit:

ah, quelqu'un a eu le temps de poster avant moi, finalement! ^^

Merci beaucoup pour ton message! ça me fait très plaisir!

T'inquiète, il y aura d'autres publications. ^^ Bon, des confessions, je n'en ai pas tant que ça mais peut être des récits inventés par contre ^^

Bien à toi! :D

[raziel42 17]

merci pour ton récit plein de passion et de sentiments :D

[Guest NickyLarson94]

Très belle expérience, très bien écrite ( Pas étonnant de la part d'une littéraire ), bravo. J'ai pris beaucoup de plaisir à te lire :D

[Mina-Harker 84]

Merci beaucoup pour vos commentaires! ça fait toujours plaisir de savoir que son oeuvre est appréciée! ^^

[chuk bass 0]

Très beau récit

[bee76 0]

Très belle histoire, pleine de fraicheur, de sensualité, et d'amour. Tu as une très belle plume Et je dois te dire que l'on sent vraiment le désir et la complicité qu'il y a entre vous ^^

[dirtyemily 37]

Très jolie confession. Adorablement écrit et absolument passionnant à lire. Que d'émotions !

Je crois que je vais devenir accroc à ta façon d'écrire 8)

[bigbi33 3,626]

très beau récit, très sensuel écrit avec beaucoup de tact! :D