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Faites des rencontres coquines près de chez vous

bénéM

cheminée

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C'était du temps de ma voisine Karine, qui a depuis déménagée...

Mon mari en voyage comme une semaine sur deux, je décidais donc seule de passer un week-end dans la maison de famille, dans la campagne déserte. J'arrivais le samedi en début d'après midi, fis quelques courses et le peu de jardinage que ma mère m'avait demandé d'accomplir en guise de loyer. Je ne suis pas tres douée et n'ai pas la main verte, mais en cet automne là, ramasser quelques feuilles à l'aide de ce râteau fourchu, rouillé et rouge me rappelait mon enfance. Et sous une pluie tres fine, cachée dans mon ciré, je prenais du plaisir (comme on le prend parfois..) à rendre immaculé la terrasse et la pelouse. C'est même thérapeutique, on dit que c'est cathartique et qu'en mettant de l'ordre ainsi dans le réel, on range un peu en soit, défoulant au passage notre énergie sexuelle.. C'est pas moi, c'est Freud qui le dit... (pas qu'à propos des feuilles..) De l'énergie sexuelle, j'en avais à revendre.. Ma voisine Karine, lesbienne jusqu'aux orteilles, m'avait conquise le coeur aussi bien que le corps, je ne pensais qu'à elle, et voulais que ça cesse pour ne pas compromettre mon couple jeune marié..

Aracée par le froid, la pluie et le "travail", mais fière que tout soit net, je rentrais me sécher et allumais un feu dans la grande cheminée qui régnait au salon. J'adorais cette pièce, j'y avais pleins de souvenirs, tous plus ou moins coquins, quand plus jeune j'osais à l'insu des parents, inviter pour une nuit, mon amour du moment, c'était toujours ici, devant le feu brulant que nous aimions baiser, nous offrant l'un à l'autre ce cliché romantique du feu qui se consume à l'image de nos corps. Le kitch n'est pas, contrairement à l'adage, le pire des excitants..

Assise près du feu, en sortant de la douche, juste couverte d'une serviette, nouée sur ma poitrine, je déguste une tisane qu'on dit revigorante, j'ai préparé un livre et suis prête à passer ma soirée toute seule, nécessité ultime pour savoir où j'en suis. Mais le téléphone sonne, c'est Karine qui appelle, elle veut que je la suive à une de ses soirées, où les filles sont belles et où je sais très bien qu'elle finit toujours par trouver son bonheur. Je lui explique froidement que je suis loin déjà, près d'une cheminée, et que j'ai besoin d'être seule. Elle connait l'endroit pour y être venue à un we sympa entre voisins d'immeubles alors que nous n'avions pas encore chacune gouter l'une à l'autre. Tout de suite elle m'envie d'être seule à la campagne et cherche à m'exciter me disant que le feu reste pour elle aussi, le meilleur des moyens pour amener son corps à l'ultime plaisir. Elle veut venir et est prête à partir en renonçant sans peine à la soirée d'orgie qu'elle s'apprêtait à faire. Que pouvais-je lui répondre d'autre que j'en rêvais....

Elle a deux heures routes, deux heures interminables ou en moi le désir monte comme une flèche. J'ai trop envie de jouir à chaque instant déjà, je veux tout préparer pour que ce soit sublime, j'ai rapidement jeter aux oubliettes mes doutes, je prendrais bien plus tard le temps d'être tiraillée. Car j'ai trop envie d'elle... Je cherche à l'étage un matelas pour deux que je place devant la cheminée coquine qui sera seule témoin, j'en suis sure, de nos cries. Je ne sais pas quoi mettre, je veux être accessible et ne pas perdre de temps à m'effeuiller longuement. Je sais que dans le placard à l'étage se trouvent quelques robes surannées, maigres vestiges prouvant que me mère ou ma tente furent un jour baba cool ! J'enfile une de ces robes sans rien mettre en dessous. Elle est ample et légère, transparente à souhait, couverte de fleurs vertes, rouges et oranges, je crois être sexy.. Le temps passe lentement quand on attend l'amante, je suis sur le matelas à genou face ou feu, je ne peux retenir l'envie de réchauffer au plus proche de la flamme, mon sexe impatient. Je soulève ma robe et approche lentement mon minou au plus prêt de la chaleur extrême qui émane de l'âtre, debout devant le feu je dandine des fesses, comme si l'une des flammes léchait mon entre jambe. C'est à ce moment là que j'entend le moteur, mécanique subtile qui m'apporte le belle, je laisse tomber ma robe et court lui ouvrir.

Sa réaction est claire, elle se jette sur moi. Claque la porte derrière elle et m'embrassant perverse de sa langue percée, m'entraine sans hésiter vers la cheminée. Il est tard, il fait sombre, seul le feu éclaire nos deux corps impatients, déjà elle ôte ses bottes, fait tomber son jean sale, enlève pull et chaussettes se retrouvant soudain en string et en haut blanc, moulant ses seins superbes, elle roule de ses hanches en avançant vers moi. Je suis assise lassive sur un des fauteuils gris, je la regarde faire, elle m'excite et je sens pointer sous le tissu de la robe à fleurs, mes seins lourds qui durcissent. Elle danse presque à présent sur le matelas par terre, me demande de mettre un peu de musique de fond, il n'y a dans ce lieu que des disques vinyles datant des bonnes années où le rock fumait, portant loin chaque son pour une ivresse totale. Nous nous servons un verre de whisky irlandais et trinquons par avance à ce qui nous attend. Mais au lieu de baiser comme deux chiennes en ruts, de nous abandonner trop vite à la chaire, nous dansons toutes les deux, et elle roule un pétard. Nous fumons et buvons en riant de nos corps détendus par le feu, ondulant en saccades aux rythmes hallucinants du rock psychédélique. Mon impatience à jouir laisse maintenant la place à un désir profond, détendu et serein, sachant sans douter une seconde qu'il vibrera encore et à plusieurs reprises sous les charmes électriques de ma punk voisine.

Je m'appuie des deux bras sur le linteau immense de la belle cheminée, dos à elle et je bouge tout en cadence mon cul pour le plaisir de savoir qu'elle ne le quitte pas des yeux. Je sais qu'elle devinera par transparence subtile que mes cuisses sont ouvertes et que je ne porte rien sous ma robe légère. Je sais qu'elle mate mon cul, qu'elle imagine, coquine ce qu'elle veut en faire, je suis offerte à elle, elle le sait et attends surement le bon moment pour venir me cueillir. Elle est là, je la sens, debout derrière moi. Elle soulève le pan arrière de ma robe et le roule sur mes hanches, montrant mon cul à l'air, tire sur mon décolleté et fait jaillir mes seins qui chauffent immédiatement face aux flammes du feu, Elle retire son haut et vient frotter doucement ses deux tétons durcis sur mes fesses écartées....

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humm... encore....

la suite!!!!! stp :oops:

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la suite tout à l'heure... il faut que j'aille bosser...

travaille bien alors et reviens vite !!!! :oops:

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Guest sylphide

Quel texte ! il va etre difficile d'attendre la suite car il y aura bien une suite n'est ce pas?

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oui, je ne vais pas me laisser ainsi le cul à l'air avec la belle toute derrière moi....

il va bien falloir que les choses se poursuivent.. patience....

à tout.. bises

béné

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Guest ElGulo

Vivement le week end alors !

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sublime bene comme d'habitude mais est il encore necessaire de te le dire.Je deviens addict de tes textes, je ne peux plus m'en passer.

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voila la suite...

C'est le début des hostilités même si le terme est peu approprié à la douceur extrême que seront nos ébats. Karine se caresse sur mes fesses épanouies, je sens tendre ses pointes sur ma peau énervée, elle est comme un serpent sur ma chaire de poule, lovant avant d'étreindre sa proie effarouchée. Ses deux mains viennent prendre comme une ultime accroche mes deux gros seins qui bandent à la chaleur des flammes. Elle les malaxe, les tripote et les griffe de ses deux mains tendus, sa poitrine plaquée sur mon cul rebondit. Je sens son souffle chaud collé contre mon dos, elle me lèche l'échine, me fait frémir de joie, le décolleté dans le dos de la robe superbe laissant ma peau toute libre à être ainsi sucée. J'adore lorsque je sens une langue parcourir chaque vertèbre lentement faisant naître en mon sein la décharge érotique qui peu à peu remplit tout mon être excité. Soudain elle se relève, je sens ses seins frôler chacun de mes omoplates, sa bouche me suce la nuque et tout en me pétrissant elle colle son entre jambe sur mes fesses cambrées, comme si elle allait me prendre. Elle pousse de son bassin, pour mieux me simuler ce qu'elle ferait de moi si elle avait un sexe, dur et droit comme un homme, elle me baise sans queue, mais je la sens en moi, invisible sans y être, je m'ouvre sans qu'elle me touche. Je me cambre un peu plus, je lui offre mon cul, elle est droite derrière moi, me tenant par les seins, elle ondule son bassin d'avant en arrière, je l'accompagne des fesses, me frottant sur son sexe, levrette impossible pourtant entres gouines véritables, elle mime à merveille ces mouvements obscènes et me fait fondre sur place.

La musique s'arrête, il faut changer la face du disque 33 tours, Elle me laisse un instant bégayante de sueur, continuer seule ma danse, je suis ivre et j'aime ça. Ma robe est soulevée, tenant en équilibre, roulée sur mes hanches, je me dandine pute, en passant une main sur mes fesses écarlates, je les frappes en regardant fixement la jolie qui remet la musique en se mordant la lèvre de me voir si belle. J'ai envie de la rendre elle aussi folle d'excitation. La regardant toujours fixement dans les yeux, lui faisant bien comprendre qu'elle doit juste regarder ce que je lui prépare, j'ouvre doucement ma bouche et lèche copieusement mes doigts. Puis je reviens coquine passer ma main entre mes deux fesses roses, lubrifiant bien ma raie, écartant un peu plus mes jambes rondes devant le feu ardent. Je claque encore mon cul et je vois qu'elle aime ça, et cligne un peu des yeux à chaque fois que ma main fait sonner bruyamment la divine fessé. Je crache explicitement dans le creux de ma main la bave qui servira à faire briller mon antre, et je la fais couler le long de la vallée que forme mes deux boules charnues, un peu grosses à mon gout, mais qui cambrées ensembles, forment une sphère coquine coupée par le milieu, invitant l'ouverture.

Je sais qu'elle sait déjà ce que je vais me faire, et elle n'attend que ça, debout devant le meuble où sonne le tourne disque, tabassant le vieux rock, nous propulsant au loin dans ces autres contrées où la drogue et le sexe ont toujours flirté. Je la fait languir, dansant de mon bassin, l'écartant par instant pour qu'elle puisse m'admirer dans les moindre recoins. Son herbe m'a rendue belle et je fais la femelle pour ses yeux ébahît. Elle s'assoie simplement dans le gros fauteuil gris, elle a les seins à l'aire, ses tétons sombres et durs semblent vouloir la soulever du sol, elle caresse son string en se mordant un doigt. Elle n'en peut plus d'attendre. Par peur que ma robe qui pend trop proche du feu, ne s'enflamme d'un seul coup, je la retire et au lieu de la jeter par terre, j'en passe toute la longueur tout le long de ma fente et jusqu'entre mes fesses. La tenant un bout dans chaque main, je la fait coulisser dans un sens puis dans l'autre. Toujours de dos à elle, ouvrant en grand mes jambes, je sens le tissu chaud de la robe légère, frôler mon clitoris, passer entre mes lèvres et lécher mon anus, j'adore cette sensation comme lorsque trop excitée, je sens que ma culotte me rentre entre les fesses..

Ma tête est retournée, je ne la regarde plus, je suis toute concentrée sur mon propre plaisir, je sais qu'elle me regarde et je l'entend gémir, sans savoir ce qu'elle fait, je l'imagine déjà un doigt au fond d'elle même, mouillant de sa liqueur le coussin du fauteuil qui a bien le droit aussi de profiter une ultime fois encore des charmes d'une belle avant de terminer tôt ou tard aux ordures.. Me branlant de l'étoffe, je sens que le tissu étale mon jus intime tout au long du trajet que je lui fait subir. Je pousse de l'intérieur pour mieux ouvrir mon cul, je dégouline, j'ai chaud, le feu semble lui aussi attisé par la scène. Je tourne la tête et la regarde, laisse tomber la robe, prend appui sur la poutre horizontale de l'âtre, recule un peu mes hanches, et fait glisser un doigt par derrière sur ma pétale de rose. Karine, je le savais se doigte lentement et pince un de ses seins, elle fixe attentivement le doigt que j'introduis, dans mon trou, comme une pute toute offerte, juste là pour lui plaire. Je m'encule devant elle, et y prend du plaisir, mon minou est en feu et mes lèvres gonflées, mais je les laisse attendre, et branle dignement mon petit trou ouvert qui se laisse découvrir et me comble de joie.

Karine soudain se lève et part dans l'entrée, je crois d'abord savoir qu'elle aime toujours pisser avant de se faire jouir, mais je l'entend fouiller, tout au fond de son sac, puis ouvrir les placards et tiroirs de la cuisine. Seule et ivre, sous l'emprise de mes gestes, je continue mon oeuvre, me demandant quand même, ce qu'elle fabrique encore. Je la vois revenir, elle enlève sa culotte, elle tient dans une des mains un tube de vaseline et enfile, sûr d'elle, un gant de vaisselle rose, qu'elle tend avec ses dents sur sa main droite experte. Me rassurant sur le fait qu'elle vient de le rincer, elle enduit tout le gant de la grasse pommade et vient se mettre à genou la tête contre mes fesses.

Elle retire mon doigt qui était enfoncé au plus loin que l'on peut dans ce trou délicat et elle caresse le tour de ma rosette ouverte, appuyant vers le centre, je n'ai envie que d'elle, de ses doigts déguisés, caoutchouc ménager pervertie par ma punk, toujours pleines de ressources pour pimenter le sexe et le rendre plus beau. Elle me pénètre lentement en approchant sa bouche de mes chaires humides, mes lèvres pendent pour elle, ne rêvent que de sa langue qui bientôt les inonde de caresses buccales. Je suis aux anges, son gant est doux en moi, il coulisse en douceur. Elle écarte en lenteur les parois de mon cul qui ne voulaient que ça, je me laisse enculer de deux puis de trois doigts, elle suce mon clitoris, claque mon cul parfois. Elle veut me faire jouir, je ne tiens plus déjà, agrippée au morceau de vieux chênes qui ferme la cheminée, je jouis de ses douceurs, Je hurle au feu ma joie. Elle me baise en silence, seule ma voix résonne dans des cries de putains, c'est mon cul qui s'affole, elle a quatre doigts en moi, son pouce est dans mon sexe, elle m'aiguise et me lime sûre de m'emmener jusqu'au point culminant d'un plaisir ravageur.

Mon orgasme vient du cul, je le sens douloureux s'ouvrir et se répandre, il jouit et dégouline, on mouille aussi de là, prise par là où je voulais la prendre, sa langue vient m'achever et mon sexe clapote dans des bruits de liquide tout autour de son gant. Mes seins me brulent d'être restés si longtemps prêt du feu. Je lâche ma cheminée, pose mes deux mains froides sur mes miches brulantes, augmentant mon plaisir, je tiens à peine debout, j'attrape la tête rasée de karine qui me lèche, caresse ses cheveux ras, et plaque une dernière fois sa bouche sur mon sexe avant de m'étaler sur le matelas par terre. Elle accompagne mon geste, finit de me baiser, rythmant ses doigts en cadence sur mes cries, ils s'arrêteront lorsque je le voudrais. Elle se retire enfin, me laissant haletante, heureuse à en crever, la guitare saturée des hippies sur le disque, comme si elle jouait pour moi, termine délicatement l'extase musicale. On n'entend plus alors que le bruit du sillon, tournant en rond en crépitant à la fin du vinyle.

Je m'arrête là pour l'instant, car moi aussi j'ai jouit, écrire c'est revivre.. Mais vous saurez un peu plus tard ce qu'il y a lieu de savoir sur la suite de la nuit...

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Guest sylphide

Il n'y a pas que cette cheminé qui donne chaud :D

J'ai vraiment hate que tu écrives la suite

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Guest Tendre émoi

En accord avec Sylphide, ce n'est pas un feu, c'est un incendie que tu allume en nous !

Un grand bravo pour ton style et ta narration !

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Nous sommes allongées toutes collées l'une à l'autre devant le feu qui crépite et ses flammes comme nous, semblent s'être endormis. Karine m'embrasse amoureusement sans trop marqué le ton de son excitation, mais je sens qu'elle ondule légèrement du bassin sur ma cuisse. J'ai jouit jusqu'à l'extase, excitée comme une folle depuis plusieurs heures, mon orgasme est venu trop rapidement pour elle et je sais qu'elle adore lorsque nous partageons ces moments ravageurs. Je me sens rassasiée de plaisir mais je sais que pour elle, ce premier épisode n'est que préliminaire à ce qu'elle compte faire. Elle me laisse pourtant reprendre mes esprits et m'assoupir un peu. Je sens qu'elle me quitte, je m'endors en sentant sur moi la couverture qu'elle dépose maternelle sur mon corps nu et chaud. Lorsque j'ouvre les yeux quelques moments plus tard, des bûches ont regarnis le feu et il brule à présent en grandes flammes jaunes. J'ai chaud et je retire la couverture, je la cherche des yeux. Elle a remis son t-shirt qui moule trop bien ses formes, et elle lit mon bouquin, à croupie, concentrée, sur le gros fauteuil gris, son sexe toujours à l'aire, le tripotant inconsciemment, comme on se gratte la tête, absorbée par son livre. Elle a refait du thé, et en sirote parfois une gorgée ou deux, son calme me surprend. Elle qui était tout à l'heure déchainée, impérieuse sur mon cul, baisante comme une furie, et dont j'étais certaine qu'elle crèverait à présent de continuer à jouir, est là toute sereine à lire au coin du feu. J'avais de ma voisine une vision biaisée, la prenant pour une bête qui ne pense qu'à baiser. La voir ainsi si sage ne la rend que plus belle, plus humaine et profonde, transformant d'un seul coup le désir charnel que j'éprouve d'habitude pour le cul de cette fille, en un sentiment doux, amoureux et subtile. Est-ce la même qui, une heure auparavant, me pénétrait encore en écartant mes chaires comme jamais on ne me le fît, qui perverse avait même transformé en fantasme érotique, l'image ménagère que j'ai d'un gant de vaisselle ?

Assise sur le matelas, mes bras autour des genoux, je regardais Karine, je tombais amoureuse. Et ce sentiment doux, brulant comme le feu qui se consumait là, en silence devant nous, me fît reprendre force. J'eu envie plus que tout de lui dire tout haut et sans aucune honte, que je l'aimais. Je prononçais les mots fatidiques, elle s'arrêta de lire, me regardant sans gène, elle sourit, mais ne répondit pas. Et je savais pourtant qu'il faut bien se garder de confondre hâtivement ce qui est ressentit lorsque le corps à jouit, avec ce que le coeur, qui n'est pas insensible, est à même de comprendre. Peu importe après tout, si je trompais mon âme en croyant de travers que j'étais amoureuse, j'avais le béguin pour elle. Et en me regardant, elle alluma soudain, dans son oeil brillant, l'étincelle maline qui prouvait pour sa part qu'elle ne confondait pas, elle, l'amour et le désir et qu'elle comptait bien, étant sûre de son choix, me remettre sans peine sur le bon droit chemin, celui de la luxure, libéré des tourments de sentiments trop graves, qui gâchent trop souvent les chemins de l'extase. Je lui faisais confiance et déjà je sentais en moi reprendre le mouvement des fluides intérieurs qui appellent à jouir. Je devenais cochonne juste par son regard, basculant tout d'un coup du coté de la transe, comment elle faisait ça ?...

Guidée par le mouvement sensuel et voluptueux de ses battement de cils, elle me fît approcher d'elle à quatre pattes et écarta ses cuisses, posant chacune des jambes sur les deux accoudoirs ravagés par le temps, érodés par ces fesses qui se sont trop assises en hâte sur ses bords. Elle lâcha le livre, mis sa tête en arrière, le vieux fauteuil en velours avait gardé pourtant tout le confort suave dans lequel je m'étais plus d'une fois caressée. Et la voir ainsi prête à se faire lécher dans cette position crue que je connaissais bien pour l'avoir à sa place essayée sur ce siège, m'excita d'avantage. J'avais souvent rêvé qu'une langue m'aidait en me touchant ici. Son sexe était rasé, complètement épilé, ses lèvres étaient toutes lisses, charnues et rondes, gonflées déjà de sang, elle n'avait pas cesser pendant que je dormais d'exciter son minou et lorsque ma petite langue lécha une première fois ces grandes lèvres superbes, elle se mit à trembler dans un gémissement qui semblait soulager d'un seul coup tout son être. Sa fente s'écarta presque machinalement pour que ma langue chercheuse puisse puiser plus loin toute sa liqueur âcre qu'elle devait retenir depuis longtemps déjà. La consistance épaisse de sa mouille blanchâtre confirma qu'elle avait depuis plusieurs heures dû mouiller en silence. Elle était concentrée en gout comme en odeur, et je me délectais de délayer ainsi de ma bave coquine son fluide génitale. Je lapais comme un chat la chatte bouillonnante, voulant tout avaler, je nettoyais précise chaque replis de l'antre. Enfonçant au plus loin ma langue dans son con, elle râlait de bonheur et agrippait ma tête, plaquant sans ménagement ma bouche sur son sexe, je devinais sans peine qu'elle expulsait par vague les orgasmes contenus depuis son arrivée, excitée à l'extrême de m'avoir fait trop jouir. Elle se cambrait soudain, laissant passer un spasme, évacuant toute sa mouille trop longtemps retenue, on aurait cru sans peine à la voir se tendre qu'elle jouissait à reprises pour soulager son corps comme une purge nécessaire avant de commencer. Elle se calma doucement, et elle prit même soin de me remercier. Maintenant disait-elle, elle était prête enfin à pouvoir faire l'amour, libérée du surplus de désir encombrant, qui la tenait au ventre depuis qu'elle était là.

L'amertume dans ma bouche était un pur délice, je léchais mes babines en la fixant des yeux. Elle s'était mise debout, étirant tout son corps, fesses à l'aire sublimes, en t-shirt saillant, je vis des auréoles de sueur dans son dos et même sous ses bras prouvant qu'elle s'était bien lâchée sans retenue aucune, toute son humidité étant sortit aussi par les ports de sa peau. J'adorais cet état où l'on put un peu trop, où le corps par l'odeur vient se rappeler à l'ordre, moi même je sentais fort.

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On remit la musique, Neil Young pour être précise, et nous nous embrassions debout devant le feu. Je retirai sans hâte son t-shirt trempé de sueur blonde, sa peau luisait d'avoir eut trop chaud et ses seins satinés reflétaient la lumière des flammes aguicheuses. Je caressais son corps lubrifié par son eau, elle avait transpiré jusqu'entre ses deux fesses, tellement fermes et serrées qu'elles retenaient les fluides prisonniers dans l'étroite fente que formait ses deux sphères parfaites. Elle aimait mon massage et elle s'allongea sur le ventre, me demandant sournoise si je ne trouverais pas, par hasard en cuisine, de l'huile même "ménagère" pour lui enduire le corps. Décidemment celle-là, faisait feu de tout bois, après le gant de vaisselle, voila qu'elle transformait de l'huile de cuisine en lubrifiant coquin.

Je trouvais une bouteille d'huile d'olive italienne, douce en odeur et verte, et je la rapportai prêt du feu, excitée par avance de ce que j'allais faire. Passant mes mains sur elle, enduisant tout son corps du liquide brillant, je la massais partout, sur les hanches et les fesses, les pieds et les chevilles, même la tête y passa, car ses cheveux rasées se lavent comme des mains me dit-elle au passage. Je massais aussi bien toute la face interne, de ses seins à son ventre, de son cou à son sexe, ses cuisses musclées bandait sous mes caresses fermes, son corps entier bientôt fut brillant de cette huile. J'osais même passer un doigt entre sa fente, à son invitation, me disant que l'olive n'est pas plante irritante et qu'elle l'utilise aussi pour d'autres choses intimes quand elle n'a plus que ça....

Mon massage prit alors une tournure érotique, elle se retourna et prit un gros coussin qu'elle plaça sous son ventre et m'offrant surélevé son cul que j'idolâtre, elle me dit qu'au japon, on masse vraiment tout. Je fis couler franchement l'huile sur sa raie, puis massa tout le long jusqu'a atteindre son con, tout ouvert tout à l'heure par ma langue excitée, il était toujours chaud et accueillit l'olive en s'ouvrant d'avantage. Je massais longuement toute la pente obscène, appuyant fermement à chaque point sensible, elle gémissait de bien en soupirs sensuels, m'aidant dans mon travail en écartant elle même de ses mains ses deux fesses. Mes doigts coulissaient facilement sur elle, et je voyais s'ouvrir lentement ses deux trous, si bien que sans le vouloir vraiment, je pénétrai sans heurt son minou écarté. Son cul aussi bougeait comme mû par l'intérieur, elle devait pousser pour l'aider à s'ouvrir, je le voyais cligner de l'oeil comme pour dire qu'il était prêt à tout et que j'avais le choix. Mes doigts passèrent alors de l'un à l'autre des antres, rentrant sans empêchement facilement partout, je massais concentrée, consciencieuse et consciente de l'acte presque médicale que je lui prodiguais. Elle prenait du plaisir à mon étrange caresse, mais sans partir trop loin elle semblait se détendre et profiter pleinement qu'on s'occupe si bien de ces endroits intimes délaissés d'ordinaires par ces kinés stupides. Ses yeux étaient fermés, elle ondulait des hanches, accompagnant chaque geste, moi même je dois avouer que je mouillais de voir son cul si bien offert et je massai experte longtemps encore sa raie.

M'installant à mon tour sur le coussin tout chaud qui l'avait soutenu, elle me fit connaître les mêmes plaisirs de chaires qui détendent et excitent sans mener à l'orgasme, j'étais toute luisante, moi aussi de cette huile, sa main était si douce sur mon corps et en moi que je crois que j'aurais pu me laisser pétrir ainsi pendant des heures, le feu nous tenait chaud. Neil Young fît son effet, les quatre faces de l'album accompagnèrent nos bien curieux massages, et c'est étrangement lorsque Karine changea de disque, pour du rock endiablé, plus dérangé et dur, que la musique nous prit dans un tout autre sens. On se jeta sur l'autre dès la batterie en marche, nos corps lubrifiés glissait bien l'un sur l'autre, nos tétons se touchaient en se faisant bander, nos mains cherchaient nos culs, nos bouches s'embrassaient, nos langues enivraient nos cuisses entre ouverte, chamailleuses extrêmes, nous nous disputions presque la primeur de celle qui asservirait l'autre.

Karine eut une idée, comme toujours vicieuse, et elle me demanda si on ne pourrait pas trouver dans la cuisine, quelques aides pénétrantes, elle avait trop envie, d'être prise et de prendre avec quelque chose de plus profond qu'un doigt. Excitées comme deux puces, nous cherchions de concert, ce qui pourrait bien être le plus proche d'un sexe d'homme. Dans la cuisine ancienne, quelques manches trop usés de poiles défraichies ne faisaient pas envie et les tiroirs rouillés garnis de couverts gras, n'excitaient pas nos sens, pourtant en déraison. Karine ouvrit la porte du cellier où se trouve, lorsque c'est la saison, les légumes du jardin. L'étagère était vide, seule restaient gisant là, une botte de gros poireaux et quelques pommes de terre. J'eu la même idée qu'elle, l'aillant toujours penser je n'avais pas vraiment pris le temps d'oser tester la chose, mais il est vrai que nul ne pourrait trop nier, que le poireau adulte, pris dans le sens inverse, une fois ses poils rasés, peut faire bien semblant d'être une longue bite. Karine pris la botte et en sélectionna deux gros, me demandant coquine de préparer les bêtes, d'en arrondir le bout et de bien les laver, elle fila dans l'entrée et fouilla dans son sac.

J'étais trop excitée à l'idée de le faire, c'était trop incongru pour pouvoir résister. Je prenais soin pourtant d'ôter la première feuille, presque sèche et beigeâtre, qui avait protéger l'intérieur du légume, vert et blanc en pleine forme, raide comme un soldat, je leur rasais la tête, sculptant tout au couteau un bout un peu ovale à ces godes naturelles qui allaient nous baiser. Karine revint vers moi des capotes dans les mains, Elle avait beau être punk, un peu d'hygiène quand même ne faisait pas de mal. A genou face à face sur le matelas au sol, devant le feu bouillant, chacune ayant posé son légume à coté, nous nous sommes regardées. Le désir remonta comme une flèche après cette pause champêtre. Elle approcha ses lèvres en même temps que sa main, et sa langue vînt pénétrer ma bouche tout autant que ses doigts dans mon intimité. nous étions toujours pleine de la douce huile d'olive et le contact soyeux que faisaient nos poitrines l'une sur l'autre excitée, nous ravissait déjà. Je la doigtais aussi. Elle pris son manche vert et le suça comme si il s'agissait vraiment d'une queue raide et dur, je ris de la voir faire et en fis tout autant. Cela ne procurait aucune vrai sensation, si ce n'est de s'offrir nue au regard, salope devant l'autre.

Puis on se mit de coté en 69 parfait et chacune impatiente de tester sur l'autre son nouvel attirail, présenta sur la chatte adversaire la pointe du poireau, dont le bout était rond et gros face à la fente. Nous nous sommes pénétrés l'une l'autre sans ménagement, nous arrachant des cries qui soudain vinrent briser le silence laisser par le vieux tourne disque. La longueur obscène de nos jouets fabriqués, permettait à nos hanches d'être prises en profondeur. Le légume était lisse, le bout ne piquait pas, et lorsqu'il venait, sur l'une ou l'autre taper tout au fond de nos chaires, il nous propulsait dans un plaisir aiguë. Je ne résistai pas longtemps à ce traitement, tout en branlant ma belle, avec assiduité, la faisant même hurler lorsque j'accélérais, c'est elle qui me vaincu.

J'éclatais mon orgasme, mouillant comme une folle, j'entendais les bruits sales des clapotis de chatte, accompagner ma vague, je jouis tres longuement et par paliers serrés, allant chaque fois plus haut, m'acharnant moi aussi sur le sexe comblé de celle qui me baisait, pour qu'elle me rejoigne dans cet orgasme long. Mais elle me laissa jouir, et lorsque j'eu finit, elle se mit à quatre pattes, et avec le poireau qui m'avait bien faite jouir, elle me dit de la prendre par là où je voulais..

J'avais déjà en elle un autre mât baisant, qui tournait dans sa chatte, faisait des va et vient, je compris qu'elle voulait être comblée partout, elle écartait déjà, cochonne, son petit trou. Son anus était rond et parfaitement docile, se laissant pénétrer sans frémir une seule fois, prise par les deux bouts, je limais an cadence, excitée encore plus d'être aux commandes subtiles de son double plaisir. Il ne fallut pas plus de quelques mouvements, pour que Karine en nage hurle comme une déchainée. Elle tremblait de trop jouir, son corps était luisant, superbe, en furie. Son orgasme semblait ne prendre jamais fin et la mener au ciel d'où elle chantait maintenant, ses cries se transformaient en une mélodie de bonheur éclatant et de mots inconvenants. Elle fredonnait un "oui" qui s'amplifiait soudain pour devenir un souffle, brutale et érotique, terminant dans un "haaa.." qui signait son orgasme. Elle était merveilleuse, belle à en mourir, j'adorais la voir jouir, et bien que les légumes eurent une allure stupide, qui à froid j'en suis sûre, nous auraient amusés, pénis ridicules, pris dans ce tourbillon de jouissance complice, on en oubliait presque leur provenances vulgaires. Nous avons pris notre pieds comme seules deux femmes complices peuvent savoir le faire.

Nous nous sommes endormît peu à peu près du feu. Cette nuit fut magique, drôle et presque irracontable, j'ai presque honte aujourd'hui de penser qu'un poireau m'a mis dans cet état, même si je sais que seul il n'aurait rien pu faire...

Seul le désir commun, entre copines coquines, prêtes à tout pour l'extase peut permettre l'impensable..

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Invité

Je ne peux que dire que bravo....Histoire touchante,excitante c'est vraiment tres agreable a lire meme si je dois avouer que le poireau me laisse perplexe :D

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wow, quelle belle expérience.

tu es une conteuse ensorcelante, qui nous fait vaciller à travers tes sensations, tes émotions.

j'en suis presque toute émue et émoustillée. en tous cas avec tes mots, on imagine le paroxysme de ce désir charnel que t'as vécu.

merci de nous partager et de te dévoiler.

j'ai une question : est-ce si évident de se mettre à nu ?

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Guest sylphide

Suite très agitée :D mais je suis comme Lorane je ne suis pas très poireau sauf en vinaigrette :D

En tout cas j'espère que tu continueras à me faire rever avec d'autres textes.

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Ta plume ne fait pas vraiment de concession hein lol! Elle est directe et crue, avec une éloquence qui donne à la vulgarité une élégance et une intelligence, devant laquelle on peut bien sûr être perplexe :D mais on ne peut pas vraiment aller plus loin que ça.

Ton talent oblige à la révérence de toute façon.

Il y a un passage dans ce texte, celui de ton amante plongée dans la lecture, qui m'a juste époustouflé. Plus de doute, tu es l'une des plus belles plumes de ce forum, inégalée même sur certains aspect. En tout cas c'est mon avis. :D

Bravo :D

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Vraiment très bien raconté !!! Tu sais retranscrire ce que tu as ressenti et j'ai vraiment pris du plaisir à te lire ...

Bravo !!

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Quel récit époustouflant!! Quelle expérience. Je confirme : tu es la plus belle plume de ce forum.

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Ta plume ne fait pas vraiment de concession hein lol! Elle est directe et crue, avec une éloquence qui donne à la vulgarité une élégance et une intelligence, devant laquelle on peut bien sûr être perplexe ;) mais on ne peut pas vraiment aller plus loin que ça.

Ton talent oblige à la révérence de toute façon.

Il y a un passage dans ce texte, celui de ton amante plongée dans la lecture, qui m'a juste époustouflé. Plus de doute, tu es l'une des plus belles plumes de ce forum, inégalée même sur certains aspect. En tout cas c'est mon avis. ;)

Bravo :clap:

Merci infiniment pour tous ces commentaires. Oui je sais que le coup du poireau est sûrement la limite que peu oseraient franchir. Mais qui n'a jamais, dans le secret total d'une caresse intime, cherché, toute excitée, à transformer les choses les plus usuelles, en objets de plaisir. Dans ce état second, plus rien n'est comme toujours, et l'on peut travestir n'importe quoi, n'importe qui parfois, en fantasme érotique.

Moi aussi je dois dire, en relisant ce matin, cette confession longue, que je suis allé loin, peut-être même trop loin, en osant proclamer publiquement et sans honte que sous l'effet du feu et de l'excitation, il m'est arrivé, comme cette fois là encore, de perdre un peu la tête, et de m'abandonner à d'étranges pratiques. Le désir en surchauffe repousse les limites. Même dans mon style lourd, d'alexandrins idiots, je sens parfois aussi que les mots me surpassent, emportée moi aussi par le rythme implacable des phrases, je pars un peu trop loin.

Mais j'aime ça, que voulez-vous, j'aime ça...

Merci pour vos réponses.

béné

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Guest sylphide

Je ne pense pas que tu aies ete trop loin, tu as simplement retranscrit cette intense excitation que tu as ressentie à ce moment précis. De mon coté, j'ai simplement dit que je doute de pouvoir aller jusqu'à ce genre de chose mais qui sait ... et loin de moi l'idée de juger le bien ou le mal de tel ou tel envie

De toute facon cela ne retire rien à ton texte qui est j'ose le redire extremement agréable autant pour la lecture que pour nous faire fantasmer

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Merci infiniment pour tous ces commentaires. Oui je sais que le coup du poireau est sûrement la limite que peu oseraient franchir. Mais qui n'a jamais, dans le secret total d'une caresse intime, cherché, toute excitée, à transformer les choses les plus usuelles, en objets de plaisir. Dans ce état second, plus rien n'est comme toujours, et l'on peut travestir n'importe quoi, n'importe qui parfois, en fantasme érotique.

Moi aussi je dois dire, en relisant ce matin, cette confession longue, que je suis allé loin, peut-être même trop loin, en osant proclamer publiquement et sans honte que sous l'effet du feu et de l'excitation, il m'est arrivé, comme cette fois là encore, de perdre un peu la tête, et de m'abandonner à d'étranges pratiques. Le désir en surchauffe repousse les limites. Même dans mon style lourd, d'alexandrins idiots, je sens parfois aussi que les mots me surpassent, emportée moi aussi par le rythme implacable des phrases, je pars un peu trop loin.

Mais j'aime ça, que voulez-vous, j'aime ça...

Je ne trouve pas non plus que tu vas trop loin. Je comprends tout à fait ce que tu veux dire lorsque tu expliques que l'écriture t'emporte avec elle. Pour écrire tu pars en quête des sensations des moments que tu racontes, tu les retrouves, manifestement, et tu en ressens de nouvelles comme tu l'expliques ailleurs. Tu ne saurais pas écrire, tu ne saurais pas retranscrire justement ce que tu ressens, il est probable que nous resterions étranger à ta prose. Mais ce n'est pas le cas, tu sais très bien écrire et tu nous emportes, enfin beaucoup d'entre nous, avec toi aussi loin que tu ailles...

Et puis bon, les poireaux, ce ne sont pas non plus des rutabagas ou des melons d'Espagne, hien! :lal:

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bon, alors je continue..... enfin, à écrire....

sur cette histoire là, je n'ai rien à ajouter, mais me souvenir de cette maison, me rappellent bien d'autres expériences.... je vais fouiller dans ma mémoire interne...

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bon, alors je continue..... enfin, à écrire....

sur cette histoire là, je n'ai rien à ajouter, mais me souvenir de cette maison, me rappellent bien d'autres expériences.... je vais fouiller dans ma mémoire interne...

oui s'il te plait encore des écrits de ta part :lal:

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