Aller au contenu

Faites des rencontres coquines près de chez vous

bénéM

l'arbre magique

Recommended Posts

J'étais encore jeune, à peine majeure... j'avais dejà eut quelques expériences, mais celle là m'a marqué et de plus, je prend de plus en plus de plaisir à me "confesser" ici et je m'oblige à me souvenir de tout ce que j'ai pu vivre pour pouvoir ici vous le raconter...

C'était l'été, à la plage, en camping avec mes parents.. Jusque là, rien d'exceptionnel. J'avais repéré un mec, rapidement comme toujours, mais il était pris.. Je le voyais sur la plage bras dessus bras dessous avec une minette blonde et tres jolie, et je les enviais. Un soir, près du bar où presque tous les jours les jeunes se retrouvaient pour danser et boire, je les vis tous les deux s'éloigner discrètement vers la plage, et je n'eut pas de peine à imaginer la raison pour laquelle ils voulaient s'isoler... Il était déjà tard et chacun commençait à regagner sa tente seule ou en couple. Moi, j'aurai tant aimer ne pas être seule ce soir là encore, et en cet été chaud, je me sentais chaque jour de plus en plus excitée. Certes, il m'arrivait (presque toutes les nuits en fait..) de me caresser dans ma tente, mais ces plaisirs solitaires, bien qu'intenses, ne faisaient qu'attiser en moi le désir d'être vraiment prise.. J'avais rompu quelque mois avant avec un mec qui n'avait pas su vraiment comment s'y prendre avec moi, étant trop brusque et trop rapide dans ses gestes, il ne m'avait pas laisser de souvenirs inoubliables...

Enhardie par ma permanente excitation, je décidais de les épier. Je les suivit donc vers la plage en espérant au moins assister à une scène coquine, et donner de l'eau ou moulin de mes fantasmes nocturnes.. Seule au milieu des dunes, j'essayais d'être la plus silencieuse possible dans ma progression. Ils s'étaient arrêtés tous les deux au milieu d'un de ces buissons piquants qu'on trouve au bord de mer et il s'embrassaient allongés sur le sable. J'étais cachée derrière une dune et je ne voyais pas tout, mais la situation m'excitait déjà alors que ce qu'ils faisaient pour l'instant n'avait rien de torride. Et puis je le vis se mettre debout pour enlever son short et je compris qu'ils avaient décidés de passer à l'action. A croupie dans le sable, vêtue d'un paré haut et d'un simple débardeur, sans soutiens gorge, l'été les supporte mal, je sentais descendre dans mon ventre, en droite direction de ma culotte, les frissons du désir à l'idée même qu'un couple s'apprêtait à baiser à quelques mètres de moi. Je distinguais mal dans la pénombre ce qu'ils faisaient exactement, mais mon imagination fertile en matière de sexe pris rapidement le relais. Je voyais déjà la blonde en train de le sucer, lui, la main dans sa petite culotte, et ces idées m'électrisaient...

Mais soudain, je les vis se lever et partir, dans la direction du camping, elle devant, marchant vite et lui trainant la pate derrière, comme déçut.. C'est du moins ce que j'imaginais pour mon plus grand plaisir, jalouse que j'étais, même si l'interruption de cette scène dont j'étais la voyeuse me frustrait. Je restais donc là, attendant qu'ils passent pour ne pas me faire repérer, de plus en plus excitée, frôlant par moment mon minou à travers mes vêtements légers, sentant mes poils sous l'étoffe de coton, comme une petite vicieuse que j'étais. Je me sentais un peu honteuse de mon état et ridicule d'en arriver là, tellement seule que je ne pouvais que jouir par procuration de ce que faisaient les autres. Pourtant, je ne pouvais retenir en moi l'idée de me masturber d'avantage et passant une main sous mon paré haut, je la glissais dans ma culotte pour mieux sentir mon sexe en émoi. Que c'était bon, après tout de se toucher ainsi en plein air. Etrangement, étant jusque là en position de voyeuse, je n'imaginais pas un instant pouvoir être moi même vue.. et pourtant...

La lune n'était pas pleine mais sa lumière, reflétée par la mer, éclairait suffisamment les lieux pour que l'ambiance, romantique, se prête aisément à tous mes fantasmes. A genou à présent, je me touchais un sein d'une main tout en me caressant lentement les lèvres pour mieux les préparer à accueillir un doigt. J'avais les yeux grands ouverts et je prenais plaisir à m'en donner dans un pareil endroit.. Si seulement je n'avais pas été seule.. Une pression plus soutenue sur mon sein coordonnée avec mon index sur mon petit bouton me fis une première fois gémir doucement. Je ne tenais plus en place et me pénétrant d'un coup, je sentis mes joues rougir, mes tempes transpirer, oui, j'étais folle d'excitation, et j'avais envie de poursuivre. Mais j'eu soudain peur que l'on me voit, et faisant un dernier va et vient rapide en moi, je poussais un dernier gémissement avant de me décider à me relever et à rentrer me coucher. Seule sous ma tente, je pourrais plus aisément, non pas crier c'est sur, mais au moins donner à mon minou sans risque plus de plaisir...

Je marchais donc dans le sable, cherchant mon chemin dans la pénombre du sous bois qui séparait le bar de la plage et je fût bientôt dans la lumière, au milieu des autres, me sentant un peu comme une étrangère, tant ces quelques caresses m'avaient déjà envoyé sur autre planète. J'avais du mal à me reconnecter au monde et tout autour de moi me semblait tres étrange. Une voix pourtant me rappela que j'étais bien sur terre. C'était lui. Je lui avait déjà parlé une fois ou deux au bar et sur la plage, nous avions sympathisé, mais, étant pris, j'avais renoncé à même essayer de le séduire.

- Alors on se balade ? me dit-il..

Et moi, bêtement de lui répondre que non, que j'étais resté toute la soirée au bar que j'allais me coucher, et je sentais que la rougeur de mes joues trahissait mon mensonge.

- Pourtant il me semble bien t'avoir vu dans les dunes à l'instant, non ?

Grillée.... et par lui en plus... qu'avait-il vu ? Avait-il compris que je les avais épiés ? que je m'étais un court instant caressée ? Je sentis ma tête tourner, mes jambes défaillir, j'avais terriblement honte et je ne savais pas quoi lui répondre. Je restais silencieuse, ne pouvant quitter ses yeux du regard, il était beau. Sans un mot il me pris par la main et m'entraina à nouveau dans le sous-bois. Puis, m'appuyant contre un arbre, il approcha sa bouche de la mienne, et m'embrassa sensuellement. Je me laissai faire sans savoir si ce que je ressentais était de la honte ou de l'excitation. Il embrassait divinement, et se collant à moi, je sentis qu'il était excité. Lorsqu'il interrompit son doux baiser, j'eu juste le temps de lui dire que quand même il avait une copine et que.. mais il repris son baiser fougueux, plaquant sa cuisse entre les miennes, me faisant sentir sans gène l'érection qu'il avait. J'étais trop troublée et excitée pour pouvoir sainement réfléchir à ce qui se passait et je mis mes mains autour de son coup, frottant docilement mon entre jambe sur son sexe, le long de sa cuisse. Notre étreinte devint de plus en plus chaude, sa langue dans ma bouche me faisait défaillir, je mouillais chaudement et il devait le sentir à travers son short fin de surfeur..

Il me prit par la main et m'entraina plus loin encore, dans la fôret qui longeait la plage et nous avons marché, presque couru un bon moment afin de nous éloigner au maximum du camping, toujours silencieusement. Je tenais fermement sa main et je n'arrivais pas à croire ce qui m'arrivait. Moi, la jeune fille à lunettes, pas très belle, excitée jusqu'à l'extase, suivant ce beau mec sans aucun doute sur ce qu'il avait l'intention de faire, frustrée que j'étais depuis plusieurs mois... a cette époque, je n'aimais ni mon corps ni ma gueule, comme beaucoup de fille de cet âge..

Il trouva un arbre à sa convenance, en lisière du bois, offrant une vue imprenable sur la mer, et me plaqua à nouveau sur le tronc.

- Depuis le premier jour, j'ai vu que tu me regardais, et ce soir, je t'ai vu dans les dunes en train de..., et tu m'a rendu fou.. Ma copine vient de me plaquer, et tu m'excites depuis le premier jour avec ton visage rond et tes lunettes coquines... Et je suis sure que tu étais là pour nous mater non ?

Ouhaa.. C'était la première fois qu'on me parlait comme ça.. et il n'eut pas besoin d'en rajouter plus pour finir de me convaincre.. J'étais prête à tout, j'en avais trop envie... il repris son baiser, sa langue était divine et laissait présager qu'il devait savoir faire ce que les femmes adorent. Il souleva mon débardeur, laissant mes seins lourds et ronds à l'air libre, les caressant frénétiquement, les malaxant sans retenu. Peu farouche lorsque je me décide, je mis mes mains sur ses fesses et repris mes frottements de bassin sur sa jambe. Je sentais son sexe, toujours aussi dur le long de sa jambe. Nous avons continué un long moment notre baiser, il me pelotait savamment, me procurant ainsi des décharges régulières dans le bas de mon ventre. J'avais, au travers de nos fringues légères d'été, la fente toute ouverte le long de sa raideur, mon clitoris frottant sur sa hampe.. A ce stade, je ne peux plus dire que je mouillais, j'inondais ma culotte...

Il respirait de plus en plus fort, et je sentis au mouvement de recul qu'il fit de son bassin, que si j'avais continué à me frotter ainsi, il aurait sans doute jouit.. Il pris appui sur l'arbre de part et d'autre de ma tête et il me regarda, j'avais les seins à l'air, pointés vers le ciel, mon débardeur relevé au dessus de mes lobes, petite salope à lunettes, sans doute il se disait, mon ventre rond ondulait toujours sous l'effet de mon excitation sans pouvoir s'arrêter, et mon paré haut était resté plaqué sur mon entrejambe, maintenue par l'humidité criante de mon sexe épanouit. Moi aussi je le regardais, il portait un t-shirt que je décidais d'enlever. Il repris la même position une fois torse nu, appuyé sur son arbre, et j'approchai ma bouche de ses tétons, Je les léchais tendrement, puis descendit sur son ventre, sur son nombril dans lequel je passai ma langue, ce qui le fit frémir... A genou à présent devant lui, je descendis son short qu'il portait sans caleçon et son sexe jaillit, raide et superbe devant mon visage. Il était assez gros, large et lisse et je le pris en main, le branlant lentement. Il était penché en avant tout au dessus de moi et je levais les yeux pour voir s'il regardait. Il ne perdait pas une miette du spectacle n'attendant dans ses yeux que ma bouche sur son sexe excitée sans doute que je porte des lunettes, et je le pris en bouche. Son gland, comme tout son torse, avait le gout salé qu'on trouve du bord de mer, et je goutais gourmande à la saveur subtile de sa queue endurcit. D'une main je tenais ses couilles et de l'autre je le branlais serrée, le suçant lentement, faisant tourner ma langue tout autour de sa bite, j'aspirais tout son gland, mais je sentis qu'il était trop excité et il retira ma bouche brusquement pour ne pas éjaculer..

Il m'aida à me relever, détacha mon paré haut, et me mis moi aussi en appui sur l'arbre dur. Il descendit ma culotte, farfouilla maladroit dans la poche de son short et en sortit un préservatif. J'avais peur qu'il se hâte et qu'il ne jouisse trop vite, autant d'excitation frustrée depuis tous ces mois ternes, m'avait mis dans un état où j'avais envie d'être prise longuement. Je connaissais peu les mecs à cette époque là, mais j'avais dejà compris qu'il fallait parfois les aider à tempérer leurs ardeurs si on voulait qu'ils durent..

Alors avant qu'il n'enfile sa capote, j'osai ce que je n'avais jamais oser, je lui demandai explicitement de me lécher.. Toujours cambrée en appuie sur cet arbre de supplice, il se mis à genou derrière moi et commença à passer sa langue chaude entre mes fesses, puis jusque sur mon vagin.. J'écartais mes jambes pour mieux le laisser faire et il se retourna, s'assit par terre, et levant sa tête, il me fit le cunnilingus de rêve. Aspirant chacune de mes lèvres, tournant autour de mon petit bouton, avalant goulument ma mouille, reprenant haleine lorsque son nez restait trop longtemps en apnée dans mon antre,.. Il me pénétra d'un doigt, je dégoulinais sur sa main, il me branla longuement en suçant mon clitoris, j'étais aux anges et j'eus un premier orgasme. Mes jambes se firent fragiles mais il soutenait mes fesses de ses deux bras musclés et il me portait presque pour mieux me laisser jouir. Je ne pus retenir quelques gémissements criants et il compris que je jouissais, accéléra ses doigts en moi, me faisant presque hurler, je m'accrochai à l'arbre du plaisir qui me tendait ses branches. Comme si toute ma frustration sortait d'un seul coup sous l'action de sa langue, je crois bien que je jouis plusieurs fois. Il s'arrêta de me lécher et me dit qu'il fallait que je garde encore un peu de force pour lui. On est idiot à cet âge, dans l'état où j'étais, j'aurai pu jouir toute la nuit.

Il se mit debout derrière moi et me pris d'un coup en levrette. Que c'était bon de sentir enfin cette queue en moi. Il était lui même tres excité et me baisa sans retenu. Je sentais ses couilles frapper contre mon clitoris, cambrée pour mieux le recevoir. Accrochée dans les bras de l'arbre à jouir, je lâchais un gémissement aigue à chaque coup de son sexe. Sentant que je jouissais, il accéléra encore la cadence, me faisant hoqueter de plaisir, mes cries devenaient bègues, mes seins s'agitaient d'avant en arrière, j'eus un nouvel orgasme. il le sentit, et jouit lui aussi par trois ou quatre coups fatales, lâchant un curieux râles à chaque fois qu'arrivé au fond de mon intimité, il lâchait une salve de sperme chaud au fond du caoutchouc protecteur. J'étreignais l'arbre de luxure de mes bras irrités par l'écorce, mais comblée de plaisir.

Il se remit néanmoins dès le lendemain avec sa copine et je fus sa maitresse discrète pendant le reste des vacances. Cette position me plaisait, je n'étais plus jalouse, il était un peu con dans la vie de tous les jours, jeune surfeur imbu de lui même, la seule chose que j'aimais chez lui, il me le donnait quelques fois, tard la nuit, collés contre notre arbre...

Partager ce message


Lien à poster

Un magnifique récit. Ca rappelle des souvenirs que de lire ça. En tout cas, j'adore ta facon de relater les événements

Partager ce message


Lien à poster
Guest sylphide

Toujours aussi excellent

J'espere que d'autres souvenir te reviendront bientot :oops:

Partager ce message


Lien à poster

une femme "voyeur"... ce monde regorge de surprise ! Merci à toi ! :oops:

Partager ce message


Lien à poster
Guest ElGulo

Quel récit ! Une superbe histoire, qui donne le goût de revenir à l'adolescence et de retourner en vacances au camping ! :oops:

C'est très agréable à lire ; je pense que j'ai gagné un centimètre par paragraphe ! :wink:

Partager ce message


Lien à poster

Je ne résiste pas à vous narrer encore une petite expérience avec ce jeune surfeur...

j'étais condamnée à être sa maîtresse pendant le reste des vacances, et comme je le disais précédemment, cela ne me gênait pas le moins du monde. D'abord parce que bien que beau, il était un peu con, et ensuite parce que je préférais être la maîtresse que l'officielle trompée.. à cette époque, j'avais décidé de ne plus trop croire en l'amour, non pas que je n'en eus pas envie, ressentir le frisson de l'amour reste un bonheur sans fin, mais parce que je ne trouvais personne à mon goût, et sortant de plusieurs déceptions, je préférais me concentrer sur le sexe que sur mes sentiments. Ces vacances là me donnèrent l'occasion d'expérimenter cet état. Etre juste une femme qui baise et non une femme qui aime.. J'en ai éprouvé également les limites, plus tard...

Luc, le surfeur, qui ne surfais presque jamais d'ailleurs, sortait toujours avec sa blonde, mais de temps en temps, (à peu pret un soir sur deux, il me donnait des rendez-vous cochons auprès de notre arbre. Il m'avait expliqué sans aucune gène que sa copine ne baisait jamais deux jours de suite et que je l'avais donc pour moi un soir sur deux.. (quand je vous disais qu'il était con..) Le fait que par ailleurs, je n'éprouve aucune sympathie pour sa copine que je fréquentais maintenant avec tout le groupe des potes de Luc, bien que je la trouve extrêmement belle, me rendait la tache plus facile. J'étais la pute secrète de son mec, c'est du moins comme ça que je me le racontais, celle qui le faisait jouir mieux qu'elle, et cela m'excitait. Luc avait l'avantage d'avoir peur des femmes et lâche comme peuvent être certains hommes, il ne risquait pas de révéler toute l'affaire ce qui aurait risqué de me faire passer aux yeux de tous pour une salope réelle. Or l'être dans mon fantasme et l'être aux yeux des autres, sont deux choses différentes.. ( si certains hommes pouvaient comprendre ça !)

Un soir où nous avions copieusement abusé de nos sens et où il avait même risqué son membre à venir visiter certaines parties intimes que l'ont trouve au verso, il avait évoqué sur le retour, l'idée que nous pourrions essayer de baiser à plusieurs. Cette idée avait toujours été présente en moi sans jamais oser me l'avouer et remuée que j'étais au plus profond de mon être, précédemment par sa queue, et à présent par sa proposition, je ne répondis rien qui puisse l'encourager à croire que j'étais d'accord, mais laissais planer le doute sur mon consentement.. Je savais d'une part que ça l'exciterait plus, et ça me laissait le temps de me faire à l'idée, ou pas...

Les deux jours qui suivirent passèrent sans allusion à ce qu'il m'avait dit. Comme toujours il restait tres distant, jusque dans ses regards qu'il ne m'accordait pas. Et lorsqu'il m'arrivait de les voir s'embrasser ou de les voir partir le soir ensemble, sachant ce qu'ils feraient, je n'avais plus pour moi que l'extrême certitude qu'il penserait à mon cul lorsqu'il la baiserait. Je n'en étais pas sûre, mais c'était mieux comme ça. Ils dormaient tous les deux dans les caravanes de leur parents et ne pouvaient passer toutes leurs nuits ensemble, ce qui m'arrangeait bien. Le soir du Deuxième jour, impatiente à l'idée que je l'aurais pour moi, et excitée d'avance de ce qu'il me ferait, Je le vis discuter longuement avec un mec. Un de ses amis maigre et drôle à lunette dont chaque bande de pote compte un échantillon. Son nom était Fabrice, il sortait avec Anne, un peu plus âgée que lui. Et c'est bien entendu bien à posteriori que je pus me souvenir que c'est à ce moment qu'ils avaient fais leurs plans.

Comme c'était devenu la coutume, Luc, lorsqu'il fut tard, partit seul vers les bois, se retournant tout juste pour voir si du regard, j'avais noté sa fuite et que je le suivrais. Certes la situation peut paraître humiliante, mais pris dans mon fantasme, ça m'excitait beaucoup. Le suivant à distance je sentais à chaque pas que ma chatte mouillait, impatiente et docile, prête avant tout le monde à être comblée sans crainte. J'avais ma tenue fétiche, en paré haut pratique pour en faire un matelas sur le sol humide du bois du littorale. J'avais pris l'habitude d'ainsi me préparer à l'approche de la nuit où il devrait me prendre : Peu de temps avant l'heure ou il me devancerait dans la fôret intime, je faisais une halte dans ma tente igloo bleue, pour ôter ma culotte de risque de la perdre dans les sous-bois trop sombres, je vérifiais l'odeur de mon sexe excité, coupais un ou deux poils qui dépassaient de trop, passais du rouge à lèvres, performant mon haleine pour que ma bouche en coeur accueille avec éclats ses baisers délicieux, et allant ce soir là jusqu'à passer aux douches pour laver au cas où l'orifice impudique qu'il avait prit sans gène la toute dernière fois.

Je le suivis cette fois là comme les fois précédente, jouant dans mon cerveau, le scénario cochon auquel j'aspirais, je ne me lassais pas d'assister spectatrice à ces séances mentales de cinéma porno que chaque femme connaît bien avant de faire la chose.. A chaque pas qui me rapprochait du lieu où aurait lieu la scène, mes jambes devenaient cotonneuses et fragiles, je ne sentais plus mes pieds, comme si de tout mon corps, seule mon sexe existait. Je le sentais humide, ouvert et accueillant, désirant tout d'avance et sûr d'y arriver. Mais lorsque j'arrivai devant l'arbre superbe, je vis Luc adossé sur le tronc coutumier parlant en rigolant avec deux silhouettes sombres. C'était Fabrice et Anne qui faisaient irruption là où j'avais trop crus que ce lieu n'existait que pour lui et pour moi. Rouge de chaleur je n'osais trop rien dire, ne souhaitant pas comprendre si c'était le hasard ou bien la manigance qui les avaient amenés.

Luc, en un regard, me fis comprendre sans honte pourquoi ils étaient là. Déjà Anne embrassait goulûment son grand maigre Fabrice et je restais muette, pâle d'excitation, sachant où nous irions si je ne m'enfuyais pas. Je m'approchais de Luc, prête à lui dire que non, mais il ne me laissa pas une chance de refus en m'embrassant, superbe, ma langue lui dit oui. Une décharge intense parcourra ma colonne, sa main avait glissé immédiatement en moi et il pénétrait de deux doigts magnifiques ma chatte trop ouverte qui n'attendait que ça.

Comme un déclic sournois tout alla très très vite dans mon cerveau instruit, la décision fatale de m'abandonner totalement sans pudeur à ce qui m'attendait fut prise en un éclaire, et j'enlevai moi même mon débardeur gonflé par mes seins qui pointaient, prête à subir sans gène le regard des intrus. Luc dénoua mon paré haut et je fus toute nue, il me doigtait encore, je l'embrassai sans hâte, profitant pleinement de sa langue tournante qui attisait mon feu, j'ondulais du bassin sur sa main chercheuse, jouissant déjà trop vite d'hexiber mes belles fesses aux regards du couple qui était derrière nous. Je ne savais d'ailleurs pas bien ce qu'ils faisaient et ne m'en soucias guerre. Mon Luc me faisait jouir avec ses doigts en moi, une main pelotant mes seins pour me rendre plus folle, j'avalais toute sa langue en écartant mes cuisses.

Cambrée jusqu'à l'extase, branlée divinement, je vis de chaque coté approché les voyeurs. Anne me regardait en souriant et Fabrice se branlait à quelques centimètres de ma main qui pendait. Il la prit et la posa sans gène sur sa queue déjà raide. Elle était fine et courte, mais dur comme de l'acier. Je me mis excitée à le branler lentement, intriguée par la sensation de ce sexe inconnu, et je vis Anne à genou, descendant le short jaune du surfeur, sortir sa bite, bien plus grosse et plus belle. Mais au lieu d'elle même la cueillir et la prendre, elle pris mon autre main et la posa dessus. Un éclair de jouissance me parcourut l'échine, je branlais une queue dans chacune de mes mains et l'idée aussi bien que l'acte me fit jouir sur le coup. Je coulais toute ma mouille sur la main du surfeur et retira ma bouche de ses lèvres merveilleuses pour laisser échapper un gémissement de plaisir. Ne tenant plus je me mis à genou moi aussi, et branla vigoureusement ces deux bites face à moi. Je les regardais fixement, éclairées par la lune, grossir entre mes doigts, chaque gland tres différent pourtant, apparaissaient ensemble en sortant des fourreaux que formaient mes deux mains. J'aurai pu les branler toute la nuit durante, tant le spectacle offert était trop excitant.

Mais Anne en voulait plus et elle me pris des mains la queue de son copain, qu'elle engloutit d'un coup dans sa bouche perverse. La voire sucer ainsi toute à coté de moi m'excita d'avantage et je fis la même chose sur la bite de Luc. Je pense qu'à ce moment, j'aurai aimé moi même pouvoir me dédoubler et regarder la scène. Anne n'était pas tres belle, son Fabrice non plus, mais on n'imagine jamais à quel point les gens laids peuvent être beau quand ils baisent. Ce qui me rendait folle, c'est qu'au lieu d'être toute concentrée à sucer son copain, cette fille me regardait, la joue toute déformée par la bite dans sa bouche, elle me regardait faire. Et moi je m'appliquais, tout autant pour faire jouir mon idiot de surfeur, que pour la satisfaire, elle, dans ses instincts voyeurs. Moi aussi je ne perdais rien de ce qu'elle lui faisait. La bite était plus courte et elle pouvait sans risquer l'étouffement l'avaler toute entière, ce qui semblait fort plaire au binocleux bandant. Notre complicité à sucer nos deux hommes, fit naître, en moi au moins, un désir pour elle. Nous avons même sourit, autant que faire se peut, lorsque l'on suce une bite, sourit de nous voire faire, excitée l'une par l'autre. Chacune peu à peu eut envie de changer, Moi qui n'arrivais pas à prendre plus d'un tiers de l'engin du surfeur, fantasmais de pouvoir gober une bite entière, et elle apparemment envieuse d'un pieux de si belle taille devait avoir envie de feindre l'étouffement.

Sans rien dire à nos hommes, nous avons changer de place, à genou toutes les deux sur mon pratique paré haut. Mais Anne avant de prendre la grosse queue dans sa bouche, se dénuda aussi, découvrant son corps mince, aux petits seins pointus. J'avalais d'un seul coup cette curieuse bite, tellement dure et si courte que ma langue pouvait lécher un peu ses couilles tout en l'aillant entière tout au fond de ma gorge. Du fait de cette sucions, j'avais les deux mains libres, ce qu'on ne peut pas faire si l'on veut dignement pouvoir faire une pipe à une queue de la taille de Luc. Fabrice tenait ma tête et baisait toute ma bouche sans que cela fut brusque. J'adorais. Anne suçait à deux mains la grosse verge de Luc et elle me regardait, divinement ravie. De mes mains libres, j'entrepris de me nous rendre le plaisir qu'on donnait. Je mis un doigt en moi dédoublant mon extase et je cherchais hâtive, à toucher de l'autre main, l'entre jambe aiguë de cette étrange fille. Redoutant sa réaction, je posais simplement ma main sur sa cuisse. Elle compris tout de suite et elle ouvrit ses jambes, me laissant un passage, se resserrant un peu l'une à l'autre coquine, je mis ma main sournoise sur son sexe excité. Elle ne me quittait pas des yeux tout en suçant encore, et semblait approuver ce que je lui faisais. Je doigtais en cadence nos deux minous en rage, et nous gobions ensemble au rythme de mes doigts. Cela aurait bien pu durer toute une vie, mais nos mecs instables, eurent en même temps ce geste qui signifie clairement que leur semence est prete à sortir d'un seul coup si nos langues habiles continuent leurs caresses.

Privées ainsi de queues, nos bouches salivantes n'eurent rien d'autre à faire de mieux que se rejoindre dans un baiser de gouine. c''était bon, c'était chaud, ses doigts vinrent remplacer ceux qui étaient en moi et nous nous sommes branlées, devant eux à genou, en caressant nos seins, oubliant presque ainsi les deux mâles excités. Ils nous regardaient, satisfaits de la scène, en se branlant encore.

Mais les hommes ne savent pas longtemps rester trop inactifs, chacun se déplaca et se mit derrière celle avec qui normalement il a coutume de faire ces choses si intimes qui là se partageaient. Luc me mis à quatre pattes, m'obligeant à regret à laisser sortir les deux doigts d'Anne, et il me prit d'un coup, m'arrachant en même temps un hurlement de rage et de plaisir soudain. Fabrice fit de même et nous pouvions ainsi nous faire pénétrer tout en continuant, coquines, à mêler nos deux langues. Luc me faisait jouir, Anne aussi laissait croire qu'un orgasme était là. Elle ferma les yeux et hurla sa jouissance, lui demandant plus fort de la prendre plus vite. J'osais lui demander entre deux gémissement si elle trouvait ça bon et elle me répondit en souriant perverse, qu'il était dans son cul. Fabrice enculait Anne tout en la masturbant et elle jouissais sans peine, me criant au visage. La scène se déroulait tous juste devant moi et j'avais l'impression d'en ressentir la joie. J'eus un orgasme intense en les voyant ainsi, et Luc ralentit en moi ses va et vient. Les hommes se mirent debout en discutant tout bas, nous laissant toutes les deux à quatre pattes haletantes. Puis Anne s'écroula sur le dos essoufflée, me disant soupirante qu'elle n'avait jamais jouit de cette façon là et qu'elle n'en pouvait plus. Je regardais les mecs en train de discuter, leur queues toujours durs tenues entre leurs doigts, ils préparaient une chose tout en me regardant, je devais être cette chose.

Luc vint s'allonger à coté de moi et m'invita doucement à venir sur lui. Lechant un peu ses doigts il lubrifia mon antre qui n'avait pas besoin de ce traitement là. Il coulissa en moi me disant qu'il n'avait pas encore jouit et que Fabrice non plus. Il me limait lentement et je le sentais bien. Il était encore plus gros que les autres fois, excité sûrement par le nombre d'acteurs qui jouaient ce soir là. Me penchant en avant pour venir l'embrasser, il me glissa à l'oreille une étrange question. Etais-je prête aussi à prendre son pote Fabrice par là où il avait la veille éjaculé. "Dans ton p'tit trou du cul" il prit soin d'ajouter.

Au point où j'en étais, je me dois d'avouer que j'en avais envie. Anne avait prit son pied de cette belle manière et je l'enviais un peu. Je soulevais lentement mon bassin excité, fit sortir de mon antre l'énorme queue de Luc et offrit à Fabrice ma croupe toute cambrée.. Il approcha sa langue et lecha mon petit, l'ouvrant sans résistance tant j'étais excitée et avait par avance souhaité que l'on me prenne ce soir là également par cet étrange trou. Luc se branlait sous moi, faisant claquer son gland contre mon clitoris, augmentant mon attente. J'étais toute en sueur, les seins plaqués sur lui, j'avais mes mains posées sur chacune de mes fesses ouvrant sans ménagement un passage à la queue que j'attendais fébrile. Fabrice posa son gland sur ma rosette offerte et il poussa lentement. Qua sa bite était dur.. je le sentais rentrer comme un morceau de bois, écartant sans douleur mes chairs les plus profondes, je comprenais d'un coup pourquoi Anne avait jouit aussi rapidement. Il fit des va et vient tendrement tout d'abord, puis plus en plus sûrement. Je frottais mon clito sur la verge de Luc, savourant la maitrise du grand maigre Fabrice qui opérait en moi. Anne nous regardait, Luc n'osait plus bouger, j'étais plaqué sur lui. C'est elle qui accomplit ce que tous attendaient. Passant par derrière et soulevant mon sexe, elle saisit la grosse bite et elle me l'enfonça dans mon vagin ouvert.

J'hurlais de plaisir incongrus, prise ainsi doublement sans l'avoir trop prévu, j'avais l'impression dingue que le sexe de Luc était deux fois plus gros. La pine dur de Fabrice baisait sans ménagement mon cul et cette sensation provoqua un orgasme profond, lent à venir et long, si bien que Luc en moi, baisant comme un sauvage, me fit jouir lui aussi, par des à-coups violents. J'avais l'impression folle de jouir deux fois en même temps.. Les sensations se mélangeaient, je jouissais du vagin comme j'en avais coutume, par spasmes courts et aigues, tout en sentant monter une autre vague d'ivresse par mon derrière ouvert. Et lorsque le spasme anale eut atteint son zénith, conjugué à l'extase pointu que ma chatte subissait à chaque coup de Luc, j'eu l'impression ultime de perdre connaissance et ma vue devint trouble, des larmes coulèrent de mes yeux plissés. Je criais et sentais mes orifices ouverts, complètement dilatés, déchaînés par l'orage, giclant de toutes leurs mouilles, inondant les deux bites. Juste à coté de moi Anne se masturbait et je l'entendu jouir lorsque je fus achevée. Fabrice se retira et il jouit sur mon dos, Luc avait jouit en moi, je le sentais mollir, J'avais le sentiment que mon cul prenait l'air tant il restait ouvert et que mon doux minou avait fondu sur place.

Nous sommes restés là, tous les quatre, un moment en silence, les vacances s'achevaient sur une partie de sexe que nous étions certains de ne pas oublier.

Le sexe cru parfois vaut mieux que l'amour lâche....

Partager ce message


Lien à poster
Guest ElGulo

Quelle belle partie de jambe en l'air tu nous raconte là !

Je suis fan...

On a l'impression d'y être, tout est décrit comme si on était carrément dans le feu de l'action... et j'aime la manière dont tu traites ton "idiot de surfeur" (c'est vrai qu'il y en a des tonnes sur les plages...) !

Partager ce message


Lien à poster
Guest Tendre émoi

En phase avec Elgulo, quel talents de narratrice tu as ! C'est génial on ressent toutes tes impressions, on y est...

Même si notre orgueil de male est un peu écorné, franchement j'adore !

Merci à toi, Béné !

Partager ce message


Lien à poster

J'adore tes récits BénéM :wink: , je ne me lasse pas de te lire.

:oops:

Partager ce message


Lien à poster
Guest sylphide

Pfiuuu quelle suite !! j'en suis toute retournée :oops:

Partager ce message


Lien à poster

Je crois bien que tout a été dit... encore une fois ce fus un plaisir de te lire... :oops:

Partager ce message


Lien à poster

Merci, merci, merci pour tout ce que vous me dites à propos de mes textes..

ça me touche vraiment beaucoup, et à un endroit qui n'est pas que sexuel, celui là...

béné

Partager ce message


Lien à poster

C'est les 2eme et 3eme textes que je lis et j'en suis vraiment :D

Partager ce message


Lien à poster

Bravo pour vos récits. Ce fut vraiment un vrai plaisir de les lire. Belle plume, bien raconté.

Partager ce message


Lien à poster
Invité

Chacun de tes textes me bouleversent,tu as une ecriture qui me transperce.C'est vrai qu'on a vraiment l'impression d'etre là et de tout voir.C'est vraiment waouuuuuuuhhh :D

Partager ce message


Lien à poster

Très très beau textes.

Je suis fan, vraiment !

Tout passe au travers de tes mots, l'atmosphère, les sensations, les sentiments, l'excitation.

C'est merveilleux.

Sauf que maintenant, je sens un truc au bout de mon sexe, et j'ai une folle envie de me caresser ...

Merci, merci !

Partager ce message


Lien à poster

×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.