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Faites des rencontres coquines près de chez vous

AsMoth

La Nympho du bus

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Je me rappellerai toujours cette belle rousse qui habitait non loin de chez moi et qui prenait le bus tout comme moi.

On était en été, le temps des jupes courtes et des décolletés plongeants. A heure et jour fixe, depuis quelques temps, j’avais repéré cette femme pour le moins aguichante qui prenait la même ligne de bus que moi. Non qu’elle était belle, mais elle avait une paire de jambes à rendre fou n’importe quel homme : lisses et galbées. Elle savait surtout en jouer. Je l’avais donc croisée à plusieurs reprises dans le bus, si impressionné par son sex-appeal que je n’osai m’en approcher. Nos regards s’étaient pourtant croisés, mais ses yeux et son sourire confiant m’avaient glacé les sangs.

Ce fameux après-midi, marqué par une chaleur caniculaire, voilà que m’apprêtant à prendre le bus, je vois la rousse inconnue débarquer du petit parc situé en bas de la résidence. Elle me voit. Peut-être ai-je rêvé ? Elle me décoche un léger sourire. Elle tourne et prend la route vers l’arrêt de bus. Je marche derrière elle. Je pense qu’elle n’aurait pu faire plus excitant : elle porte une mini-jupe en jean ultra courte, puisqu’elle lui arrive au ras du cul. Elle n’est ni ample ni moulante. J’ose espérer un courant d’air audacieux pouvant relever un instant ce tissu qui masque des fesses que je devine aisément rebondies et galbées. Mieux encore se produit : voilà qu’à quelques mètres devant moi elle s’abaisse, jambes tendues, pour réajuster la lanière de sa chaussure à talons. Sa jupe se tend, se lève… je vois alors apparaître entre ses fesses fermes une culotte blanche qui entre curieusement dans sa raie culière. L’inconnue se redresse. Moi, mon cœur s’emballe. Je constate alors en effet combien sa jupe est courte. Dès lors, mon imagination défit le temps : je vais monter derrière elle dans le bus. Je vais tout voir de près. Mon cœur redouble de battements. Je me mets à bander dans mon short en nylon lui aussi très court. La belle roule du cul et me regarde lorsqu’elle traverse pour rejoindre l’arrêt de bus. Je me sens prédateur suivant ma proie qui se plait à jouer ce petit jeu. Elle me mène par le bout de la queue.

Quelques personnes attendent à l’arrêt. Je dois déjà le bus arriver. Quel timing ! Grillant la priorité à une personne, le cœur serré, je fais tout pour me retrouver derrière ma belle inconnue. Elle fait quelques pas vers l’entrée du bus. Sa jupe s’est à moitié retroussée. Je vois déjà sa culotte blanche tendue entre ses fesses. Je découvre le galbe parfait de celles-ci lorsque la belle inconnue se tient de profil face à moi et son que son pied se lève pour se poser sur la première marche assez haute du bus, levant par la même sa minijupe. Elle monte la seconde marche et tend sa monnaie pour payer son ticket au chauffeur. Une aubaine ! Moi, je reste un instant – une éternité eus-je l’impression ! – tout en bas pour reluquer ses fesses parfaites sous sa jupe. Les gens derrière moi ne sont pas dupes de mon petit jeu. Cela me donne honte et m’excite tout à la fois. Mon cœur bat de plus en plus fort. Il faut absolument que je la suive ! Moi, j’ai déjà mon ticket. Je la suis une fois qu’elle a payé. Et là, le miracle se produit : elle monte à l’étage !

Dès lors, durant ce maigre laps de temps qui la fait monter les escaliers en colimaçon, je me délecte de ses fesses et de son entrecuisses pourtant masqué par sa petite culotte blanche. Un jeu de dupe, voir sous les jupes… Mais dans cet corridor, mon excitation est à son comble. J’ai ma tête à quelques centimètres de ses mollets, les yeux braqués vers le haut. Je la désire tellement en cet instant précis que je fus à deux doigts de poser ma main sur ses cuisses pour lui signifier mon abandon, la fin de ma résistance, la révélation de mon incontrôlable désir. La vue de son cul lisse me rend fou.

Finalement, il n’en est rien, sinon que je débarque au second avec une trique sévère devant moi, que des personnes ne tardent pas à remarquer. Mais dans ces circonstances, l’excitation supplante la honte et celle-ci nourrit même la première. La belle inconnue a fait exploser les carcans de mon éducation et de la bienséance. Tout en moi n’est que pulsion ardente.

Je la laisse alors s’asseoir. Elle opte pour le fond du bus libre de tout occupant. Nouvelle aubaine.

Je dois alors réfléchir très vite : dois-je m’asseoir à côté d’elle… ou plutôt en face d’elle, pour espérer apercevoir son entrecuisses à nouveau et pourquoi pas m’adonner à des pratiques libératoires ? Oserais-je ?

La question n’est pas d’oser mais de pouvoir résister…

Je m’asseois en effet à un siège situé en face d’elle, en quinconce. Vue directe sur ses cuisses. Une fois le bus parti, la belle ne tarde pas à sortir un magasine de son sac pour le lire. Il est posé sur sa cuisse droite. Je vois soudain la gauche s’ouvrir, s’écarter, son pied posé au beau milieu de l’allée. Sa culotte blanche apparaît généreusement. Mon cœur se bloque. Je ne vais de nouveau pas pouvoir résister. Je sens déjà le sang tambouriner dans mon sexe qui s’humidifie. La belle a les yeux plongés dans sa revue. Elle arbore néanmoins un petit sourire coquin et discret. Elle laisse sa jambe ouverte tanguer au rythme des ballotements du bus, comme pour exciter sa chatte… Je n’en peux plus, je n’en peux plus…

Je sors discrètement mon sexe et mes boules par la jambes droite quasi inexistante de mon micro short et gardant mon sexe dans la main droite, celle-ci posée dessus et l’entourant, je me mets à me palucher lentement. Ma main bouge de plus en plus librement sur mon sexe. Je sens la peau épaisse de celui-ci glisser contre mon gland trempé de mouille. Je bande de plus en plus fort. Mon gland s’éloigne de mon corps. Mes caresses ne sont plus discrètes. Soudain, les yeux de la belle se lèvent de sa lecture et se posent sur les miens. Elle a un large sourire. Satisfaite ? Ses yeux se rivent ensuite durant de longues secondes sur ma main et mon sexe en érection totale qui pointe entre mes doigts. La belle me matte sans gêne aucune. Hallucinant. Elle sourit toujours. Je n’ose y croire. Elle garde les cuisses bien ouvertes. Je fonds sur place. Je la désire plus que tout. Ma main qui cachait à moitié mon sexe l’a maintenant contourné. Je me paluche à pleine main devant elle. Je sens que je vais jouir. Je ne peux plus résister face à un tel niveau de sexe et d’interdit. Ma queue chuinte de mouille. Mon cœur s’emballe. Je transpire de peur, de désir, de honte… Tout se confond, je ne sais plus. Soudain, les yeux de la belle se posent son mon sexe puissant et mon gland en fusion et ils y restent… Quelques secondes, assez pour me faire exploser devant elle. Des battements de cils ayant la puissance de coups de langue, de caresses. Je mets à exploser devant elle, en prenant garde à ne pas râler mon plaisir. Les jets se suivent et ne s’arrêtent pas. Elle regarde. Elle regarde. Je suis dans l’embarras le plus complet. La belle soudain rabaisse les yeux et bouge son magasine. Le coin inférieur se celui-ci vient heurter son clitoris et elle le frotte volontairement contre, l’air de rien.

Moi, je suis en confettis, en mille morceaux. K.O. tel un boxeur. Passée l’excitation, la honte reprend le dessus. Qu’est-ce qui m’a pris !?!

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toujours une belle écriture stimulante :oops:

merci à toi :wink:

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Woah chaud, je n'aurais jamais oser me toucher devant une inconnue comme ça xD

Tu as jouis sur toi, elle ne l'a pas vu ? :oops:

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non, c ça le pire : j'ai joui devant moi... et comme je suis assez "généreux" en la matière, j'avais trop peur que quelqu'un arrive. c'est ce qui m'a fait le plus flipper! :oops:

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si seulement y'avai des bus chez moi...

je pense emenegr chez vous l;es gars...

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Tiens c'est bizarre je suis jamais dans le bon bus moi ^^.

Sinon ton récit est sympa et bien entrainant.

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Décidemment, tu as des talents pour la narration !

J'aime bien tes Histoires, continue comme ça ! =D

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ahhhhhhhhhhhhhhh, il est ou le temps ou je prennais les transports en communs; des regards se croisant, des sourires, de peurs et des claques a en rougir;lol.

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Je me rappellerai toujours cette belle rousse qui habitait non loin de chez moi et qui prenait le bus tout comme moi.

On était en été, le temps des jupes courtes et des décolletés plongeants. A heure et jour fixe, depuis quelques temps, j’avais repéré cette femme pour le moins aguichante qui prenait la même ligne de bus que moi. Non qu’elle était belle, mais elle avait une paire de jambes à rendre fou n’importe quel homme : lisses et galbées. Elle savait surtout en jouer. Je l’avais donc croisée à plusieurs reprises dans le bus, si impressionné par son sex-appeal que je n’osai m’en approcher. Nos regards s’étaient pourtant croisés, mais ses yeux et son sourire confiant m’avaient glacé les sangs.

Ce fameux après-midi, marqué par une chaleur caniculaire, voilà que m’apprêtant à prendre le bus, je vois la rousse inconnue débarquer du petit parc situé en bas de la résidence. Elle me voit. Peut-être ai-je rêvé ? Elle me décoche un léger sourire. Elle tourne et prend la route vers l’arrêt de bus. Je marche derrière elle. Je pense qu’elle n’aurait pu faire plus excitant : elle porte une mini-jupe en jean ultra courte, puisqu’elle lui arrive au ras du cul. Elle n’est ni ample ni moulante. J’ose espérer un courant d’air audacieux pouvant relever un instant ce tissu qui masque des fesses que je devine aisément rebondies et galbées. Mieux encore se produit : voilà qu’à quelques mètres devant moi elle s’abaisse, jambes tendues, pour réajuster la lanière de sa chaussure à talons. Sa jupe se tend, se lève… je vois alors apparaître entre ses fesses fermes une culotte blanche qui entre curieusement dans sa raie culière. L’inconnue se redresse. Moi, mon cœur s’emballe. Je constate alors en effet combien sa jupe est courte. Dès lors, mon imagination défit le temps : je vais monter derrière elle dans le bus. Je vais tout voir de près. Mon cœur redouble de battements. Je me mets à bander dans mon short en nylon lui aussi très court. La belle roule du cul et me regarde lorsqu’elle traverse pour rejoindre l’arrêt de bus. Je me sens prédateur suivant ma proie qui se plait à jouer ce petit jeu. Elle me mène par le bout de la queue.

Quelques personnes attendent à l’arrêt. Je dois déjà le bus arriver. Quel timing ! Grillant la priorité à une personne, le cœur serré, je fais tout pour me retrouver derrière ma belle inconnue. Elle fait quelques pas vers l’entrée du bus. Sa jupe s’est à moitié retroussée. Je vois déjà sa culotte blanche tendue entre ses fesses. Je découvre le galbe parfait de celles-ci lorsque la belle inconnue se tient de profil face à moi et son que son pied se lève pour se poser sur la première marche assez haute du bus, levant par la même sa minijupe. Elle monte la seconde marche et tend sa monnaie pour payer son ticket au chauffeur. Une aubaine ! Moi, je reste un instant – une éternité eus-je l’impression ! – tout en bas pour reluquer ses fesses parfaites sous sa jupe. Les gens derrière moi ne sont pas dupes de mon petit jeu. Cela me donne honte et m’excite tout à la fois. Mon cœur bat de plus en plus fort. Il faut absolument que je la suive ! Moi, j’ai déjà mon ticket. Je la suis une fois qu’elle a payé. Et là, le miracle se produit : elle monte à l’étage !

Dès lors, durant ce maigre laps de temps qui la fait monter les escaliers en colimaçon, je me délecte de ses fesses et de son entrecuisses pourtant masqué par sa petite culotte blanche. Un jeu de dupe, voir sous les jupes… Mais dans cet corridor, mon excitation est à son comble. J’ai ma tête à quelques centimètres de ses mollets, les yeux braqués vers le haut. Je la désire tellement en cet instant précis que je fus à deux doigts de poser ma main sur ses cuisses pour lui signifier mon abandon, la fin de ma résistance, la révélation de mon incontrôlable désir. La vue de son cul lisse me rend fou.

Finalement, il n’en est rien, sinon que je débarque au second avec une trique sévère devant moi, que des personnes ne tardent pas à remarquer. Mais dans ces circonstances, l’excitation supplante la honte et celle-ci nourrit même la première. La belle inconnue a fait exploser les carcans de mon éducation et de la bienséance. Tout en moi n’est que pulsion ardente.

Je la laisse alors s’asseoir. Elle opte pour le fond du bus libre de tout occupant. Nouvelle aubaine.

Je dois alors réfléchir très vite : dois-je m’asseoir à côté d’elle… ou plutôt en face d’elle, pour espérer apercevoir son entrecuisses à nouveau et pourquoi pas m’adonner à des pratiques libératoires ? Oserais-je ?

La question n’est pas d’oser mais de pouvoir résister…

Je m’asseois en effet à un siège situé en face d’elle, en quinconce. Vue directe sur ses cuisses. Une fois le bus parti, la belle ne tarde pas à sortir un magasine de son sac pour le lire. Il est posé sur sa cuisse droite. Je vois soudain la gauche s’ouvrir, s’écarter, son pied posé au beau milieu de l’allée. Sa culotte blanche apparaît généreusement. Mon cœur se bloque. Je ne vais de nouveau pas pouvoir résister. Je sens déjà le sang tambouriner dans mon sexe qui s’humidifie. La belle a les yeux plongés dans sa revue. Elle arbore néanmoins un petit sourire coquin et discret. Elle laisse sa jambe ouverte tanguer au rythme des ballotements du bus, comme pour exciter sa chatte… Je n’en peux plus, je n’en peux plus…

Je sors discrètement mon sexe et mes boules par la jambes droite quasi inexistante de mon micro short et gardant mon sexe dans la main droite, celle-ci posée dessus et l’entourant, je me mets à me palucher lentement. Ma main bouge de plus en plus librement sur mon sexe. Je sens la peau épaisse de celui-ci glisser contre mon gland trempé de mouille. Je bande de plus en plus fort. Mon gland s’éloigne de mon corps. Mes caresses ne sont plus discrètes. Soudain, les yeux de la belle se lèvent de sa lecture et se posent sur les miens. Elle a un large sourire. Satisfaite ? Ses yeux se rivent ensuite durant de longues secondes sur ma main et mon sexe en érection totale qui pointe entre mes doigts. La belle me matte sans gêne aucune. Hallucinant. Elle sourit toujours. Je n’ose y croire. Elle garde les cuisses bien ouvertes. Je fonds sur place. Je la désire plus que tout. Ma main qui cachait à moitié mon sexe l’a maintenant contourné. Je me paluche à pleine main devant elle. Je sens que je vais jouir. Je ne peux plus résister face à un tel niveau de sexe et d’interdit. Ma queue chuinte de mouille. Mon cœur s’emballe. Je transpire de peur, de désir, de honte… Tout se confond, je ne sais plus. Soudain, les yeux de la belle se posent son mon sexe puissant et mon gland en fusion et ils y restent… Quelques secondes, assez pour me faire exploser devant elle. Des battements de cils ayant la puissance de coups de langue, de caresses. Je mets à exploser devant elle, en prenant garde à ne pas râler mon plaisir. Les jets se suivent et ne s’arrêtent pas. Elle regarde. Elle regarde. Je suis dans l’embarras le plus complet. La belle soudain rabaisse les yeux et bouge son magasine. Le coin inférieur se celui-ci vient heurter son clitoris et elle le frotte volontairement contre, l’air de rien.

Moi, je suis en confettis, en mille morceaux. K.O. tel un boxeur. Passée l’excitation, la honte reprend le dessus. Qu’est-ce qui m’a pris !?!

vive les transport en commun

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oui,

les transports en commun regorgent de surprise... ! Des douceurs cachées qui savent enlever la grisaille du quotidien à vous en faire exploser le coeur ! :) :D

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J'adore les transports en commun, surtout pour les jolies nymphes qui ouvre leurs cuisses le temps d'un regard.

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Guest decibel

:P Toujours aussi bon narrateur, AsMoth :wink: ... et c'est dingue tout ce qui peut t'arrriver :P:P losque tu te balades en micro-short ! :P:P:(:D

:D

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MDR ! Voilà une bonne résolution "Développement Durable" !

Les femmes sauront nous convaincre de délaisser nos montures de métal pour leurs croupes et rondeurs charmeuses... :P :wink:

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Encore un jolie récit!

il devait faire chaud dans le bus!

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Ca donne envie de prendre le bus plus souvent !!!!

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Ne plaisantez pas messieurs, je connais des filles aimant faire ce genre de choses, elles disent prendre beaucoup de plaisir à se sentir désirer :???:

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Guest zeitgeist 2011

Ne plaisantez pas messieurs, je connais des filles aimant faire ce genre de choses, elles disent prendre beaucoup de plaisir à se sentir désirer :???:

Et on en est frustré

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