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Faites des rencontres coquines près de chez vous

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Elle avait écrit « j’adorerais qu’on me le demande »

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Invité

Elle avait écrit « j’adorerais qu’on me le demande ». Dans un moment d’égarement, j’avais donc tenté ma chance et “osé demander“. On ne vit qu’une fois, comme on dit … mais quelle inconscience !

Et si c’était un piège, un guet-apens, un coupe gorge … Et si c’était une malade, une perverse, une psychopathe … Et si elle ne me plaisait pas du tout … Et si c’était une professionnelle et qu’elle me réclamait des “honoraires“ … Et si c’était moi qui ne lui plaisais pas du tout … Et si, et si, et si … On verrait bien …

J’étais un peu en avance. Le quartier était plutôt sympa et résidentiel. Mon cœur battait un peu la chamade, j’avais la gorge serrée et le souffle sensiblement raccourci. Je me faisais un peu l’effet d’un collégien dans l’attente de son premier rendez-vous. Comment diable cela allait-il se passer. Je n’allais évidemment pas faire demi tour maintenant …

Elle m’avait laissé son numéro de portable à l’issue de quelques courts échanges écrits. Nous n’avions pas cherché à nous appeler et nous étions contentés de confirmer le rendez-vous, le matin même, par sms. Pas de photo, pas de véritable conversation préalable. Nous ne connaissions en définitive rien de nos vies, de nos voix, de nos vécus. Nous nous étions lancés comme ça, sans rien savoir l’un de l’autre, ou presque, sans réfléchir, motivés par la seule puissance de notre fantasme partagé. Selon toute probabilité, elle ne devait pas en mener large, elle non plus, mais n’avait pourtant pas semblé hésiter à accepter.

Peut-être était elle coutumière de ce genre de rencontres “farfelues“ ? Etait elle mariée ? Avait elle des enfants ? Etait-ce une première pour elle ? Recevait-elle ainsi couramment des amants ponctuels, recrutés au hasard de “rencontres“ virtuelles sur les forums spécialisés ? Comment avait-elle pu me donner si facilement rendez-vous, sans rien savoir de moi, directement à son domicile ? Mes doutes me reprenaient : il était temps de sonner à l’interphone.

« Bonjour ! Troisième étage, porte de gauche ! » avait elle simplement annoncé, avant d’activer l’ouverture de la porte vitrée du hall. La voix m’avait parue plutôt jeune, chaleureuse, peut-être un brin intimidée ? On se rassure comme on peut. Je décidais d’emprunter l’ascenseur : ne pas arriver encore plus essoufflé que nécessaire …

Je prenais une grande inspiration et sonnais timidement à la porte de gauche : avait-elle bien dit « à gauche » ? J’aurais juré avoir vu un faible rayon de lumière danser subrepticement derrière l’œilleton : elle surveillait donc mon arrivée. Je regrettais une fraction de seconde de n’avoir pas pensé à inspecter la façade de l’immeuble en arrivant : peut-être, sans doute, me guettait elle depuis une des fenêtres donnant sur la rue ? Peut-être aurais-je pu l’apercevoir ? Mais son appartement donnait-il seulement sur la rue ?

La porte s’ouvrit lentement …

(La suite ? A suivre ...)

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J'aime! :wink:

J'aime cette façon que tu as d'aller des faits à l'intériorité du personnage. Ce passage instinctif donne vraiment de la fluidité à ton texte, le rends perspicace. Bon début :wink:

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Invité

(...)

Elle avait probablement la trentaine, les cheveux bruns coupés plutôt courts, un peu trop courts à mon goût, moi qui adore les belles crinières féminines, mais quelle importance en fait …

Un beau sourire franc, un visage plutôt harmonieux, un regard direct et pétillant … Pas vraiment le genre de fille sur laquelle je me serais spontanément retourné dans la rue, pour être honnête ; et pas du tout la fille que je m’étais imaginé depuis nos premiers échanges. Mais encore une fois, quelle importance ? Du charme, du chien, de la classe : à coup sûr, au moins, une belle rencontre humaine. Mon appréhension à son égard s’évanouit d’un coup. Je n’en demeurais pas moins très impressionné, par le personnage autant que par la situation.

« - Bonjour, vous avez trouvé facilement ? Entrez, je vous en prie ! Excusez le désordre : j’ai essayé de ranger un peu avant votre arrivée, mais je ne suis pas vraiment une fée du logis … »

Evidemment, le petit appartement était en fait parfaitement propret et rangé, décoré avec goût, lumineux et accueillant. Un appartement de jeune femme, probablement célibataire, décontractée, bien dans sa peau, bien “installée“ dans sa vie, sûrement “intellectuelle“, à en juger par les nombreux livres harmonieusement agencés dans les rayons des bibliothèques du living.

Elle m’avait installé sur le canapé et me faisait maintenant face, à distance raisonnable, de l’autre côté de la petite table basse, sagement enfoncée dans un confortable fauteuil de salon assorti à mon canapé. Nous devisions de tout et de rien, nous jaugions “de loin“. Son regard me fixait sans ciller, m’obligeant souvent à baisser les yeux. Elle semblait très sûre d’elle, parfaitement à l’aise. De mon côté, je n’en menais pas large, et m’efforçais de faire bonne figure. Au pire, me disais-je, j’aurais pris un verre en agréable compagnie, avec une jolie jeune femme intelligente, chaleureuse, bien élevée, intéressante et cultivée. Je ne regrettais pas d’être venu. La glace semblait doucement se fendiller ...

« - Je reprendrais bien un verre, pas vous ?

- Avec plaisir !

- Je vais nous chercher ça. Je vous abandonne un instant ?

- Je vous en prie ! Je peux vous aider, peut-être ?

- Non-non ! Restez là ! Je n’en ai pas pour longtemps » commanda-t-elle d’un ton qui ne souffrait apparemment pas la discussion.

En son absence, j’osais me lever pour me dégourdir les jambes et jeter négligemment un œil sur les rayons des bibliothèques qui avaient attiré mon attention en entrant : beaucoup de classiques, communs à bon nombre de ceux qui aiment simplement lire, mais aussi du théâtre contemporain, des thrillers et de la littérature japonaise … Curieux cet attrait des jeunes femmes pour le roman nippon : beaucoup de mes amies ont essayé, sans réel succès, de me convertir. Malgré plusieurs tentatives, toutes rapidement avortées, je suis resté irrémédiablement réfractaire … Toujours trouvé ça mortellement ennuyeux. Je réessayerai un jour, peut-être …

Mon hôtesse ne tarda pas à revenir, avec les verres promis … mais elle avait trouvé le temps de troquer sa jolie robe contre un joli peignoir blanc, sous lequel je devinais déjà la “jolie nuisette sexy“ que j’avais osé “espérer“ au cours de nos brefs échanges de mails. Mon palpitant battait à tout rompre.

(A suivre ...)

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Invité

R2cit magnifique, vivement la suite =)

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Invité

Merci, Personne et Cyn ! :roll:

(...)

Elle posa délicatement les verres sur la table basse et se dirigea lentement vers moi, les yeux fixés dans les miens, formidablement sûre d’elle et provocante, me forçant une fois de plus à baisser le regard pour ne pas me consumer dans le sien. Elle me tendit la main et me tira doucement vers le canapé dans lequel nous tombâmes enlacés.

Nos baisers étaient tour à tour tendres, délicats, passionnés, violents. Nos langues s’emmêlaient avec ardeur, nos lèvres parcouraient chaque parcelle de peau accessible, nos mains courraient sous nos vêtements à la découverte de trésors dissimulés … Elle portait bien la fameuse nuisette en dentelle noire tant espérée, échancrée à souhaits, sous laquelle pointait une belle poitrine épanouie qu’il me tardait de mordre voracement … J’en avais complètement oublié le scénario que nous avions établi, et c’est avec une réelle surprise que je me retrouvais couché, en travers de ses genoux, en caleçon, le bras gauche fermement maintenu, tordu dans le dos par ma belle et mystérieuse hôtesse …

- J’avais presque oublié ce que nous avions convenu, avouais-je tout penaud, dans cette position peu glorieuse

- Pas moi ! rétorqua t’elle en riant. Vous n’avez pas changé d’avis au moins ?

- Non, bien sûr, soufflais-je maladroitement

- J’aime mieux ça ! » rétorqua t’elle triomphante, savourant visiblement la situation contraignante dans laquelle elle me maintenait fermement

Sa main restée libre s’abattit sur mon caleçon dans un claquement sec, m’arrachant un petit cri de surprise. Un délicieux picotement m’assaillit à l’endroit de l’impact, tandis qu’un long frisson parcourait ma colonne vertébrale. Je bandais comme un cerf sur les cuisses de la belle.

(A suivre ...)

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Mes remarques sur ton style seront les mêmes. Il y a une aisance presqu'orale de la narration vraiment plaisante. :roll:

Le seul petit bémol que je viendrais ajouter, est là longueur de tes textes ^^ Je crois qu'il vaut mieux préférer attendre davantage (pas trop hein :roll:) et faire des mises à jour plus longues que le faire par à-coups avec des textes trop bref. Ce gout-de-trop peu empêche un peu de se laisser porter par ton style alors qu'il le mérite pourtant. :D

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c'est clairement particulier comme style de narration, mais tant que c'est appréciable, pourquoi pas, bonne continuation :roll:

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Invité

Merci à tous les deux ! :roll:

Tu as évidemment raison Naughty, mais que veux tu, je suis comme ça : je n'en fais qu'à ma tête :roll:

(...)

- Ça fait mal ? s’enquit-elle pour la forme, pas vraiment inquiète

- Un peu, lâchais-je, passablement gêné d’admettre si facilement ma défaite

- Tant mieux ! Je vais te mettre le cul en feu, tu sais ? Je te garantis que tu ne pourras pas t’asseoir dessus pendant au moins une semaine ! Tu vas prendre la fessée de ta vie, je te le garantis !

- Euh … D’accord … acquiesçais-je pour me donner une contenance … Mais cette clef de bras, c’est vraiment indispensable ? geignais-je piteusement

- Absolument ! rugit-elle en me gratifiant d’une nouvelle claque sonore sur mon pauvre fessier sans défense. Je veux contrôler la situation. Mais tu te souviens bien des “codes“, n’est ce pas ? Il ne tient qu’à toi de tout arrêter !

Je sentis mon caleçon glisser jusqu’à mi-cuisses et sa main caresser tendrement mes rondeurs.

- Mmmmmhhhh ! J’aime beaucoup ton beau petit cul tout rond. Un vrai cul de mec tout blanc et poilu, hein ? Tu vas souffrir mon amour ! Je vais te faire changer tout ça de couleur ! Je te jure que tu vas déguster !

- N’exagère pas quand même ! N’oublie pas que c’est une première pour moi ! Je ne sais pas du tout si je vais aimer ça !

- Il fallait y réfléchir avant ! Mais je te rappelle que pour moi aussi, c’est la première fois ! Et pour ma part, je suis sûre que je vais adorer “ça“ ! Quel effet ça te fait, d’ailleurs, de prendre un bonne fessée sur les genoux d’une faible femme ? demanda t’elle, un tantinet moqueuse, en glissant délicatement la main entre mes jambes, caressant tendrement au passage mes testicules avant de remonter le long de ma tige durcie. Mais c’est que tu bandes, mon lapin ! Tu aimes bien cette situation, en fait, on dirait ! »

Et sa main droite de s’abattre de nouveau impitoyablement sur mes pauvres fesses, de plus en plus fort, à cadence soutenue, m’arrachant des gémissements que j’avais de plus en plus de mal à contenir.

- Enlève ta main ! m’intima t’elle fermement, tandis que je cherchais à me protéger des coups avec mon bras laissé libre. Allonge ton bras devant toi ! Je n’en ai pas fini avec toi ! C’est une fessée magistrale que je vais te mettre, mon chéri ! Tu n’imagines pas à quel point j’aime ça ! Je mouille comme une fontaine ! J’adore te fesser et voir ton petit cul rougir sur mes genoux ! Si tu voyais ça : tu as l’empreinte de ma main gravée sur chacune de tes fesses ! »

Les phases de châtiment alternaient avec les moments de tendresse et de “consolation“. Sans doute, aussi, pour laisser reposer sa main endolorie, elle caressait tour à tour chacun de mes globes meurtris, les pétrissait à pleine main ou du bout des doigts, passait le tranchant de sa douce menotte le long de ma fente, titillait mon petit trou du bout du doigt, qu’elle enduisait régulièrement de salive … Je goûtais intensément ces moments de félicité, trop vite interrompues par de nouvelles “salves meurtrières“ : je sentais mes fesses prêtes à éclater sous les coups de ma maîtresse, dont les cris d’enthousiasme et les ordres impératifs se mêlaient à mes plaintes de moins en moins retenues

- Arrête de te trémousser comme ça ! Mon dieu, comme j’aime te fesser ! Si tu savais comme je mouille ! Je vais te détruire le cul ! Il est à moi ! Je vais te le mettre en bouillie !

- Arrête ! Ça fait trop mal ! Arrête bon dieu ! Aïe ! Tu me fais mal !

- Tu connais le code !!! Tant que tu ne me supplieras pas, je continuerai ! Tu vas pleurer mon amour !

- ARRETE MON AMOUR, JE T’EN SUPPLIE !!! »

Rien n’y faisait : sa main continuait à s’abattre impitoyablement sur ce petit derrière rond qui plaisait en général tant à la gente féminine. Un moment de panique me saisit. Avais-je oublié le code ? Nous étions-nous mal compris ? Etais-je tombé sur une incontrôlable sadique ? Elle continuait à me battre en ahanant, manifestement en proie à un enthousiasme exalté.

- ARRRÊÊÊTE MON AMOOOUUUURRR, JE T’EN SUPPLIIIIIEE !!!

Trois claques de plus, pour la forme, et le “châtiment“ cessa. Mes fesses étaient en feu, prêtes à exploser. Ma belle ne lâchait toujours pas mon bras gauche, mais s’activait désormais à masser tendrement mon pauvre derrière endolori.

- Pardonne-moi, mon chéri, je me suis un peu laissé emporter dans mon élan … cela dit, c’était une fessée, donc une punition, n’est-ce pas ? Donc, ça n’avait pas lieu de s’arrêter exactement sur commande, tu ne trouves pas ? … Tu m’en veux ?

- Non … pas vraiment … mais tu peux peut être libérer mon bras maintenant ?

- Certainement pas ! Je n’en ai pas encore fini avec toi ! Tu oublies la suite du programme ? … à moins que tu ne préfères tout arrêter tout de suite ? Tu connais le code, n’est ce pas ?

Sa main droite se faisait de plus en plus insistante entre mes fesses, enduisant progressivement mon petit trou d’une matière fluide et froide que je devinais être un quelconque lubrifiant. Son doigt ne tarda pas à me pénétrer dans un lent va et vient qui m’arracha un râle de plaisir

(à suivre ... :D )

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Waouh; je ne suis pas un amateur de SM; mais, j'avous que écrit de cette manière, en laissant une part de suspense, je me suis bien laissé aller, bravo pour ce texte emm., je suis sous le charme, et j'en conçois même une certaine excitation! :roll::roll:

La suite : je t'en supplie! :D

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Invité

Merci Bibi ! Ravi que ça te plaise ... mais je ne suis pas du tout amateur de SM non plus :roll: (cela dit ces notions sont tellement “subjectives“)

(...)

« Tu aimes vraiment que je te tripote le cul, on dirait ! Tu vas voir ce que je vais te mettre ! Je vais te le défoncer, ton petit cul, mon amour ! »

Ma belle jouait parfaitement le rôle convenu : celui d’une dominatrice soft et tendre, au verbe crû, mais sans pour autant verser dans la vulgarité, la violence inutile, l’humiliation ou l’insulte, que je ne recherchais pas. Je rêvais depuis longtemps d’une telle expérience de soumission et, aussi, qu’on s’occupât ainsi de mon côté “verso“. Elle rêvait de son côté d’inverser les rôles et de prendre possession du cul d’un homme. Nous étions donc parfaitement sur la même longueur d’onde. On prenait visiblement tous les deux un pied d’enfer !

Un petit objet lisse et froid avait maintenant remplacé son doigt et me remplissait le fondement. La cadence de la pénétration s’amplifia progressivement. Ma belle se faisait plaisir et expérimentait toutes les façons possibles de me pistonner, alternant les mouvements rotatifs et les poussées horizontales, sur tous les rythmes, dans tous les sens …

- Mmmmmmhhhh ! Voilà un beau petit cul bien assoupli : on va pouvoir passer aux choses sérieuses maintenant ! Tu n’imagines pas comme je mouille, mon amour ! J’ai trop envie de t’enculer jusqu’à la garde ! Tu veux voir le beau pénis que j’ai acheté spécialement pour te défoncer, mon chaton ? »

Un peu que je voulais le voir ! Ne serait-ce que pour en évaluer les dimensions et me préparer psychologiquement à l’assaut !

Toujours étendu en travers de ses genoux, je l’entendis fouiller dans mon dos, entre les coussins du canapé, pour en retirer l’objet du délit. Elle avait donc tout prévu et planifié, la coquine ! Elle exhiba fièrement à bout de bras la prothèse pénienne dont nous avions parlé dans nos mails : un gode double de forme coudée, conçu par une lesbienne “pour garantir le plaisir mutuel des deux partenaires“, disait la pub. Je tenais à ce que mon initiatrice prenne son pied en me sodomisant. J’avais toujours imaginé une belle jouissance partagée. Mon rêve semblait sur le point de se réaliser.

- Maintenant, étends ton bras devant toi vers le bord du canapé, commanda-t-elle.

Un bracelet dur et froid se referma sur mon poignet, m’arrimant solidement à l’armature métallique du convertible.

« Parfait ! L’autre main maintenant ! minauda t’elle, relâchant enfin l’emprise de sa redoutable clef de bras

Je ne tardais pas à me retrouver à quatre pattes, fermement attaché par les mains, le cul tendu vers ma partenaire, dans l’attitude passive d’une femelle soumise, dans l’attente du rut.

Mais elle avait visiblement décidé de prendre son temps. Elle m’écarta délicatement les fesses pour mieux les respirer et pointa une langue gourmande contre mon petit œillet. La délicate caresse se prolongea longtemps, tandis qu’elle palpait, massait, pressait et mordillait mes fesses à qui mieux mieux, évitant savamment tout contact avec mon sexe, qu’elle devinait, depuis longtemps, à la limite d’exploser.

Une furieuse envie de me masturber me tenaillait, mais ces satanées menottes me maintenaient prisonnier, le cul tendu à la limite de l’insoutenable vers la tendre bouche de ma geôlière.

(à suivre ...)

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Très beau texte, vivement la suite :roll:

La phrase me rappelle quelque chose :roll:

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Invité

Merci à tous les deux pour ces compliments qui me touchent :roll:

(...)

- Caresse-moi, s’il te plait !

- Mais je ne fais que ça, mon amour !

- Branle-moi le sexe, cruelle !

- Comme te voilà pressé ! Nous avons tout notre temps mon chéri ! Tu n’aimes pas comme je suce ton petit croupion ? Mmmmmmhhhh ! J’adore le goût de ton petit cul en chaleur ! Tu sens comme il frétille ? Comme il s’ouvre ? Comme il réclame les caresses ? Mmmmmmmhhhh … je l’aime ce petit cul là !

- Je t’en prie ! Je n’en peux plus !

- Et moi là dedans ??? Tu m’oublies ? On avait prévu de jouir ensemble ! Quel égoïsme ! Ça mérite une punition !

- Tu ne trouves pas que tu m’as déjà assez “puni“ comme ça ?

- Ça, c’est moi qui décide ! Mais tu peux toujours tout arrêter si tu veux … Tu veux vraiment qu’on arrête tout maintenant, mon amour ? se moqua-t’elle gentiment

Elle allait me rendre fou. Je la sentis enfin abandonner, comme à regret, son travail de succion, se redresser derrière moi et la devinais en train d’installer la partie la plus charnue de l’engin de silicone dans son vagin dégoulinant de désir, positionnant délicatement les aspérités prévues à cet effet contre son doux clitoris en érection, puis, finalement, pointant la partie phallique à l’entrée de ma grotte jusqu’ici inviolée …

Cette frêle et jolie jeune femme, que je ne connaissais pas une heure plus tôt, allait bel et bien me sodomiser.

- Je vais enculer un homme ! Je vais enculer un petit homme !!! J’ai une grosse queue et je vais, là, maintenant, te l’enfoncer tout au fond de ton petit cul serré, mon amouuuur !

Joignant le geste à la parole, elle appuya délicatement l’extrémité de l’appendice artificiel contre mon petit anneau de chair et entreprit d ‘en enfoncer progressivement toute la longueur au tréfond de mes chairs intimes. Heureusement que, par égard pour mon état de novice, nous avions convenu de nous limiter au modèle “d’initiation“ !

La longueur de cette foutue queue de plastique me parut néanmoins infinie. La belle s’enfonçait doucement mais inexorablement en moi, comme dans une tendre motte de beurre. Nos gémissements se mêlaient maintenant sans la moindre retenue. J’étais sa femelle soumise, sa proie, sa victime consentante. Elle était mon maître, mon étalon, mon bourreau adoré. Bientôt, elle attrapa mes hanches fermement à deux mains et entreprit de me limer sans retenue. La pression de l’engin dans son vagin et le frottement des picots contre son clitoris faisaient monter son plaisir. Elle rugissait de bonheur en me possédant tandis que mes gémissement à moi perdaient toute dignité.

- Je t’encule ! Je te défonce ! Je t’éclate le cul ! Tu es à moiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiis !!!

Je sentis bientôt son corps agités de soubresauts interminables tandis qu’elle laissait échapper un long cri de victoire. La sensation de domination et de possession ajoutait visiblement une puissante dimension psychique à l’orgasme mécanique qu’elle venait de s’octroyer en me limant à son rythme, avec ce fabuleux instrument de plaisir partagé.

Elle se laissa retomber sur mon dos pour reprendre ses esprits. Vaincu, je m’effondrais à mon tour sur le ventre, la tendre poitrine de mon amante écrasée contre mon dos, le cul toujours empli de son membre infatigable.

(à suivre ...)

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ouh là, il fapt chaud d'un coup! :roll: j'aime beaucoup ton récit, initiatique, mais oh combien savoureux :roll:

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Invité

Merci encore Bigbi ! Voici l'épilogue :roll:

(...)

Bientôt, elle reprit ses esprits et, toujours allongée de tout son long sur mon dos, elle m’embrassa tendrement dans le cou, tandis que ses mains fourrageaient dans mes cheveux ou caressaient langoureusement mes bras, mes flancs et mes cuisses.

- J’ai joui comme une folle mon amour. C’était trop bon. Merciiii ! Je n’aurais jamais imaginé que ça puisse être si bon de prendre un homme … mais au fait, je te dois encore une punition pour avoir voulu me lâcher en route tout à l’heure : j’ai bien envie de te remettre une bonne fessée pour t’apprendre !

- Tu plaisantes, là ! protestais-je outré

- Ne t’inquiète pas, ria t’elle. C’est à mon tour de m’occuper de ta queue à toi, maintenant …

Se redressant doucement pour me libérer de son membre toujours tendu, elle me tira délicatement par les chevilles et me fit pivoter sur le dos, positionnant mes fesses à la limite du clic-clac, sous lesquelles elle glissa un coussin. Mes poignets étaient toujours entravés par les menottes, au dessus de moi, à l’autre extrémité du convertible : j’étais encore et toujours à sa merci, tributaire de son bon vouloir, tandis qu’elle me dominait maintenant de toute sa hauteur.

Elle était magnifiquement belle et imposante. Sa jolie poitrine, fièrement dressée juste au dessus de moi, mais hors de portée, ajoutait à ma sensation de vulnérabilité. Son redoutable regard noir était plus que jamais coloré d’une note de tendresse bienveillante. Loin d’abuser de la condition de soumis dans laquelle j’avais accepté de me mettre ponctuellement pour satisfaire à notre caprice mutuel, elle m’était visiblement grée du plaisir qu’elle avait pris à ces ébats si “particuliers“, d’un genre nouveau, pour elle comme pour moi. Les yeux dans les yeux, elle me couvrit encore de caresses et parsema mon corps entravé de baisers enflammés.

- Laisse-moi te bouffer la chatte, ma biche, s’il te plaît, osais-je enfin supplier

- Bonne idée, mon amour. Ça va m’aider à me remettre en condition pour la suite !

Elle vint délicatement s’asseoir à califourchon sur mon visage, plaçant précisément sa douce petite fente intégralement épilée sur ma bouche affamée. Ma langue s’insinua incontinent dans son sexe humide pour y laper le miel qui le tapissait, s’attardant sur les petites lèvres, dardant son petit bouton d’amour qui ne tarda pas à s’ériger fièrement sous les caresses. Elle se pencha doucement en avant vers mon sexe pour l’accueillir délicatement entre ses lèvres. Imaginant le point d’excitation auquel j’étais maintenant rendu, elle prit soin de contenir l'ardeur de ses baisers pour ne pas me faire rendre les armes avant l’heure. Quand elle se sut prête, elle abandonna comme à regret ma bouche gourmande pour enfourcher encore une fois notre nouvel engin de plaisirs. Se positionnant entre mes jambes, elle pointa à nouveau l’objet du délit face à l’entrée restée béante depuis ses récents assauts.

- Je vais encore te prendre mon amour, tout en douceur. Quand tu seras prêt, dis-moi …

Le petit sexe rigide retrouva sans difficulté le chemin de son domaine réservé, s’enfonçant doucement entre mes jambes, tandis que mon amante me supportait de la voix et du regard

- J’aime te prendre mon amour … j’aime ton petit cul serré autour de ma queue … je vais te faire jouir comme tu n’as jamais joui … quand tu seras prêt, j’étalerai sur ta queue une bonne dose d’huile de massage et je te caresserai avec tendresse jusqu’à ce que tu exploses, en continuant à te limer jusqu’au bout … jouis mon amour, tu l’as bien mérité …

- Maintenant, ma douce !

Jamais de ma vie, je crois, mon jet ne porta aussi loin. Je me libérai dans un long cri, qu’on entendit probablement à l’autre bout de la rue, auquel répondit instantanément la manifestation sonore de son propre orgasme, comme en écho.

Quand elle me démenotta enfin les poignets, je réinvestis avec plaisir, et dois-je l’avouer, non sans un certain soulagement, mon rôle de gentil mâle dominant pour la porter délicatement dans la chambre adjacente : nous nous enlaçâmes dans une belle étreinte tendre et passionnée pour ne nous séparer qu’au petit jour. Nous avions eu tous les deux notre lot de sexe et de transgression : le reste de la nuit ne fut que tendresse, abandon et générosité.

Pas une seule fois, nous ne jugeâmes utile d’évoquer les événements de la veille … Mais en me raccompagnant à la porte, le lendemain matin, à l’heure de se séparer, après un solide petit déjeuner, elle me glissa simplement à l’oreille, après un long baiser amoureux : « reviens te faire enculer quand tu veux, mon amour »

(The end)

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J'aime définitivement :roll:

J'ai décidé d'attendre la fin de ton texte pour le lire dans sa totalité, t'ayant donné mon point de vue sur le découpage trop bref des textes. Le résultat est néanmoins à la hauteur de mes espérances :roll:

Quelque chose de subtile se dégage de ta plume. J'espère qu'elle ne tarira point et que d'autres textes sont à venir :D

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Très bon récit, malgré que je ne suis pas fan de soumission/domination, j'ai beaucoup aimé lire ton histoire, qui est d'ailleurs très bien raconté... :roll:

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Bon, alors là ... définitivement conquise :wink:

:oops:

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Invité

Merci à toutes les trois ! :oops:

A Naughty Girl : pas d’autre texte en prévision pour le moment. C’était une première pour moi, dans le genre “érotique“. J’y reviendrai peut-être, qui sait :wink:

A Cyn : d’autant plus content que ça t’ait plu :roll:

A Mimie : “conquise“ par le texte ? Le scénario ? L’auteur ? :roll:

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j'adore, j'adore, j'adore....

tres beau et tres erotique,

belle plume et bel art de faire venir les choses pour exprimer ce fantasme pour le moins incongru..

à quand en vrai ?

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Invité

Merci Béné :D

J'imagine qu'il faudra que l'occasion se présente car je ne me vois pas du tout avouer ce fantasme à ma partenaire habituelle :D

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