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AsMoth

La joggeuse...

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Difficile d’écrire sur les joggeuses vue l’actualité morbide du moment, mais laissez-moi vous parler de la belle Lara...

J’avais repéré dans le parc situé non loin de chez moi une pure beauté blonde qui courait chaque jeudi après-midi entre quatorze et quinze heure. C’était l’heure à laquelle durant l’été j’aimais aller prendre l’air dans ce parc qui en effet était assez petit. Ça faisait déjà plusieurs semaines que je voyais courir cette jolie blonde qui devait avoir vingt huit ans environ. Un corps de rêve tout en muscle dont il était facile d’imaginer la fermeté. Sans même m’en rendre compte, voilà que je me mettais à surveiller l’horloge en pensant à elle. A attendre de la revoir. A la fantasmer. A n’en plus dormir la nuit. Oui, la belle joggeuse inconnue était devenue un fantasme pour ne pas dire une obsession. A plusieurs reprises, moi assis sur mon banc fétiche, elle passant en courant avec classe devant moi, la jolie joggeuse m’avait lâché un regard, puis un sourire. D’infimes petits signes faisant pourtant des ravages sur ma conscience et mes désirs. Cette femme était la beauté même, sans fioriture. On aurait dit un ange.

Ce fameux après-midi n’échappa pas à la règle. J’étais assis sur mon banc, anxieux cette fois-ci. mon cœur se serra lorsque je la vis apparaître dans mon champ de vision et s’approcher de moi par ses longues foulées. Elle portait un top blanc très moulant et un shorty bleu. Chaque seconde la faisait rapprocher de moi. Je portais moi aussi un shorty, et attendant ma muse, je n’avais pu m’empêcher de me caresser le sexe discrètement, le pétrissant lentement et délicatement dans ma main, le faisant gonfler et durcir.

Voilà qu’elle était toute proche de moi. ses beaux seins que j’imaginais fermes tanguaient au rythme de sa foulée. Elle ne portait même pas de soutif ! Voilà maintenant que ses yeux se posent sur les miens. La chaleur m’envahit. Mon cœur s’accélère. Elle me glace le sang et me le fait bouillir tout à la fois. Une relation hypnotique dans une ambiance électrique nous détache du temps. Je n’entends plus les bruits alentours. Seule sa foulée féline marque les secondes qui s’égrainent ; et mon pouls qui bat dans ma poitrine et dans ma gorge aussi.

Elle baisse les yeux et les tourne par pudeur dans une direction autre que la mienne, jusqu’à ce qu’elle arrive à ma hauteur. Ses yeux s’engouffrent à nouveau dans les miens. Mon cœur s’arrête. Elle passe. Reprenant vie, mon regard ne vit que pour son joli petit cul qui se dandine dans son shorty qui le moule merveilleusement. Non, elle ne porte assurément rien en-dessous. Pas même la marque d’un string. Je bande, je bande… Oh oui je bande. Mon dieu quel cul. Cette femme est la beauté incarnée. Un moment de pureté dans cette vie si misérable.

Je bande et mon cœur paniqué me fait perdre mes moyens. D’ici moins de cinq minutes, elle réapparaîtra après avoir bouclé son premier tour. Je sens que mon cœur gonfle d’une pression folle mon sexe en érection totale. Si dur. Si tendu. Il n’y a personne dans ce parc, surtout à cette heure et ce jour de la semaine. Je panique, je perds la conscience de mes actes… Je sors mon sexe de mon shorty par sa courte jambe de droite. Je sens aussitôt ma main saisir mon manche épais ainsi dénudé. Enfin. Mon dieu que je mouille beaucoup. C’est terrible. La panique et les circonstances de l’instant présent m’amènent au bord de l’orgasme. Alors que je n’ai encore rien fait. Cette femme me tue. Oui ! Elle me tue ! Elle me renverse, elle me bouleverse, corps et âme. Et je n’y peux rien. Je cède à ma pulsion. Elle est si belle.

La voilà soudain qui réapparaît. Mon cœur bat encore plus vite. Je ne sais plus quoi faire, ni même où donner de la tête. Si ! Vers elle bien évidemment. Je suis figé. Je suis de pierre. Elle approche, elle approche. Elle me regarde avec plus d’insistance. Mon dieu ! Ses yeux se baissent sur mon entrejambes. Elle a vu mon sexe dépasser de ma main, cela fait nul doute ! Mon dieu j’ai honte ! Mon dieu j’ai envie d’elle !

- Ouh… Quelle chaleur aujourd’hui !

Quoi ? Elle me parle ?! Mon silence ne semble même pas la surprendre.

Voilà que la belle blonde pose un pied sur le tronc d’arbre situé non loin de moi, tend sa jambe et se met à s’étirer. Sa tête tourne et ses yeux se posent sur moi. Sur mon intimité, gonflée à bloc de désir. Je suis un âne, une bête en rut, dont seul le sexe ne capte plus que les yeux. Elle me sourit. Cela ne la choque pas. Elle doit me savoir pris sous l’ampleur de ses charmes. Elle sait, elle sent que je suis paralysé par sa beauté. Mon érection n’est que le symptôme de mon mal. Elle me sait inoffensif. Elle me regarde en s’étirant. Elle voit ma main caresser lentement mon sexe malgré toute ma volonté de me déconnecter de ce moment étrange et de revenir à la normale. Mais je ne peux pas. Voilà que la peau épaisse de ma queue coulisse et dévoile mon gland luisant de mouille au grand jour. La belle blonde le voit. Le fixe. Elle baisse les yeux un instant. Regarde autour d’elle. Désolé mademoiselle, avais-je envie de dire, mais votre beauté est au-delà de ma conscience. Nous sommes seuls…

- Je suis trempée ! me dit-elle…

Voilà qu’elle retrousse son body et me présente ses seins. De magnifiques seins. Magnifiques. Nos regards se croisent. Je n’en peux plus. Ne tentant plus de garder mon sexe blotti dans le creux de ma main, voilà que je l’expose cuisses ouvertes aux yeux de ma belle en le prenant à pleine main à sa base. Une bonne autre moitié dépasse et témoigne de ma folie, de mon désir… de la violence de ce dernier face à la beauté naturelle de cette femme venue d’ailleurs. Elle me regarde, elle me sourit. Je me mets à me masturber devant elle, au risque de la choquer et de tout détruire. Quelque part, n’est-ce pas ce que je recherche ? Tout perdre serait tout gagner dans cette situation : tout perdre serait me libérer des chaînes qui me lient à elle et qui me torturent tant le corps et l’esprit. Beauté empoisonnée !

Je me masturbe, tourné vers elle. Je gémis mon plaisir. Timidement. La belle fixe mon dard en feu. Le spectacle semble lui plaire. Soudain, un homme en vélo passe et constate notre petit jeu. Cela fait rire et excite la belle demoiselle.

Gardant les seins à l’air, voilà qu’elle passe une main entre ses cuisses et met son shorty aussi de côté pour libérer son sexe. Sa fente. Son fruit, visiblement lisse et doux. Elle me le présente. Je n’en peux plus de rester ainsi. Je me lève. La belle s’empare aussitôt de mon gros manche et se met à secouer sa main dessus. Je porte timidement une main à ses seins, n’osant encore croire à ce qui m’arrive. Ses caresses assez directes ne tardent pas à me faire éjaculer. Je me mets à jouir. Cela l’excite encore plus. mon sperme gicle en partie sur ses cuisses fermes et bronzées. Elle me rend fou.

Aussitôt mon éjaculation terminée, je m’accroupis à ses pieds et plonge ma tête entre ses cuisses. Elle a gardé son pied gauche posé sur le tronc. Parfait. Je me retrouve avec le nez à quelques centimètres de son intimité. Une main tirant sur le shorty, l’autre écartant sa fesse droite, voilà que la belle m’offre son fruit. Ma langue y plonge et s’y immisce. Humm… Un bon fruit lisse et juteux, que je me mets à dévorer à pleine bouche. Je sens ma langue écarter ses chairs et les exciter en recueillant leur suc. La belle se met à gémir. Elle mate à gauche et à droite tout en tentant de garder le silence. A son tour d’être torturé. Cette beauté m’a à la fois tant donné après m’avoir libéré de tant de souffrance que je suis prêt à tout pour la faire jouir. Inutile de me demander pourquoi, je ne le sais pas moi-même. Mais le ciel aurait pu me tomber sur la tête que cela ne m’aurait pas apeuré. A lui dévorer ainsi fougueusement et généreusement l’entrejambes, j’étais au paradis. Je lapai, léchai roulais des patins à son jardin d’Eden. La belle ondulait son corps pour ne pas crier son plaisir. Oui, c’est ça la fougue d’une chatte ! Son fruit se mit à clapoter, et aussi furtif que ce le fut pour moi, sous le coup de l’émotion intense et de la peur, elle se mit à jouir à son tour. Un long soupir. Un soupir d’ange, alors que sa main douce vînt caresser mes cheveux. Je voulais me rassasier de son nectar jusqu’à plus soif. Garder à jamais en bouche et dans ma mémoire le goût de son fruit d’amour… ce jardin d’Eden…

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Pas mal du tout ... J'pense que j'irais plus souvent dans des parcs :wink:

Il y a une suite ?

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Guest David rugit

génial!

encore

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Invité

C'est toujours un plaisir de lire tes histoires. Y a t il une suite?

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ne sois pas désolé :oops: superbe histoire qui a raison de se terminer ainsi :wink:

merci

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Merci à tous.

Pour être très honnête, j'avais peur d'être vu par vous comme un "pervers des parcs"... :lal:

Mais je pense qu'il y a 2 grands types d'individus :

- les pervers, purs et durs, impreignés par le mal,

- les gens comme moi, dont la beauté féminine renverse parfois la raison et embrase les sens.

Je ne saurai jamais décrire cet instant magique, presque rempli de poésie et d'érotisme qui m'emporte lorsque le charme des femmes opère sur moi. Elles m'emmènent 'ailleurs', dans un "entre deux mondes" dans lequel le cerveau, la raison, la morale n'existent pas. Un monde que je qualifierai de "pur" et d' "innocent" dans lequel seuls les sens existent et rendent l'existence merveilleuse, charmante et charmeuse, dépourvue de contraintes, de soucis et de peurs...

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Guest sliver

Superbe récit comme toujours Asmoth bravo !!

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Oui ca donne envie de se mettre à courir, pourvu que ca m'arrive un jour une histoire comme ça :)

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j'adore tré exitant si y'a une suite , je suis partant aussi :)

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