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Jolen

Fanny, douce Fanny...

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Ceci est mon premier récit, donc ne soyez pas indulgent, dites-moi ce qui va et ce qui ne va pas. :wink:

Cette histoire se passe il y a 6 ans, je venais de finir mes secondaires et commençai des études supérieures.

Fanny était la soeur d'un bon copain, que je connaissais via l'école et avec qui je partageai quelques sessions de basket. Elle était assez grande (+/- 1m75), de longues et fines jambes magnifiquement bronzées (d'origine italienne), une peau lisse et délicate, des bras fins et délicats, chevelure brune bouclée (certains l'appelaient "mouton" pour la faire enrager, aaaah s'il savaient qu'en réalité c'est une vraie biche...), de grands yeux verts avec un regard innocent, une merveilleuse petite bouche à p... (désolé mais il faut appeler un chat un chat :wink: ), un petit cul absolument magnifique, et ce qui m'attirait le plus chez elle, physiquement je parle, sa poitrine: un magnifique 95C tout beau tout doux, restant bien en place sans soutif (et 100% naturel), avec des petits tétons tout aussi excitants.

Je l'ai côtoyé 4 ans sans jamais osé lui avouer ce que je ressentais pour elle, jusqu'au jour où je l'ai vu arriver avec une longue robe bleu ciel, mettant tous ses charmes en valeur, et bien plus encore. Rien que d'y repenser j'en suis tout émoustillé, ce fut l'une des plus jolies choses que je vis de ma vie, et ce souvenir de sa robe frottant son corps (et surtout ses seins qui pointaient) au gré du vent fit office d'électrochoc. Prenant mon courage à 2 mains (en envoyant un copain parlementer :wink: ), j'appris qu'elle venait de quitter son copain et qu'elle ne cherchait pas de relations dans l'immédiat, essayant surtout d'oublier cette sale histoire (son copain avait envie d'elle mais étant toujours vierge elle avait une peur bleue de "la chose", et se refusant à lui l'avait quitté pour une vraie sa****...). La mort dans l'âme je dus me résoudre à laisser tomber l'affaire, du moins momentanément.

La fin d'année arriva, et les vacances furent longues, très longues... (je vous expliquerai pourquoi dans une autre confession)... Fin août j'allai m'inscrire dans ma nouvelle école, et là qui vois-je? Eh oui, Fanny, ma Fanny, elle aussi inscrite. On papote, se raconte nos vacances, on va même au ciné ensemble (en tout bien tout honneur (mais si dans un coin de ma tête (et de mon pantalon...))). Arrive la rentrée, 3 semaines après, comme à mon habitude pour un premier jour de cours je suis légèrement (3h c'est pas terrible :wink: ) en retard, et là comme on fait les classes le directeur (que je hais) me dit d'aller où il y a de la place.

Fallait pas m'en dire plus, si on me laisse le choix, il est EVIDENT que je vais choisir la classe où se trouve Fanny. Je fais donc 3 classes avant de trouver la bonne à la 4è tentative. La classe est archi-bondée, mais qu'importe, un ptit mensonge au prof (le directeur m'a dit de venir dans votre classe) et me voilà aux côtés de Fanny. Je l'ai côtoyé 4 ans dans mon ancienne école, mais c'est la première fois que je suis dans la même classe. Je demande gentillement à la pimbêche assise à ses côtés si je peux avoir la place, qu'elle me cède non sans insultes (les filles des grandes villes...). On est fin septembre, il fait chaud, très chaud, je suis en 3/4, et commence à avoir un (gros) problème dans mon short. Fanny étant habillé de sa robe bleue, je vous laisse imaginer l'effet que ça produit sur moi. Je suis rouge, elle me demande si ça va, je lui répond que c'est la chaleur qui m'accable (la chaleur à peut-être 0,000001% d'implication dans mon état) et lui dis que je vais sortir prendre l'air, après tout le prof à mon nom, l'horaire c'est pour demain, pas besoin de rester en classe pour rien.

Je lui propose d'aller boire un verre en vitesse mais comme elle est pressée (rdv à l'hôpital pour son genou) on remet ça à demain. Demain... Il fait de nouveau très chaud, je suis de nouveau en 3/4, chemise hawaïenne, lunette de soleil (horreur du soleil qui tape) et... tongues. Rien de bien neuf par rapport au secondaire, si ce n'est les tongues qui ont remplacé les baskets. Et là Ô vision de rêve, Fanny est dans le bus. Je ne savais pas qu'elle prenait le bus, mais qu'importe, là c'est ma chance. On parle de tout et de rien sur le trajet, et comme on arrive 40 minutes en avance, je lui propose d'aller prendre un verre. Elle préfère marcher et on boit nos jus d'orange dans un parc floral. Et là, elle m'annonce qu'elle a besoin de moi mais qu'elle n'ose pas me demander de l'aide. Après négociations je promets de ne pas rire (condition pour qu'elle m'explique) et là j'apprends que son ex a envie de se remettre avec, mais qu'elle n'en a vraiment pas envie, mais comme il se fait insistant, elle a besoin de quelqu'un de baraqué (14 ans de basket ça aide) pour jouer le rôle du petit ami.

Rendez-vous est prit le samedi suivant (qui se fait loooooong à attendre) pour remettre se jeune (bon il est plus vieux que moi) blanc-bec "à sa place". Nous arrivons chez lui, je suis en short (comme d'hab'), elle en mini-jupe (mais très mini hein, j'aurais jamais cru ça d'elle) et petit top (avec sa poitrine c'est un pur bonheur, vous n'imaginez pas mon état). Mon rôle est simple: je sonne, elle se cache derrière le mur, je m'explique avec lui, et quand je lui annonce que je suis avec Fanny elle sort du mur et elle prend le relais. Simple donc, mais quand elle y ajoute une surprise... Ce qui n'était pas prévu, c'est le baiser langoureux que l'on s'est échangé (à son initiative) en face de lui. Sur le coup je me suis senti mal pour lui, après tout je ne le connaissais pas, et je venais de lui "briser le coeur" (si tant est qu'il en ait un).

En la raccompagnant, une envie de recommencer ce baiser m'envahit, mais je n'ose rien dire. C'est elle qui prit les devant. Arriver devant chez elle elle me propose un verre, je dis oui (il fait chaud...), il n'y a personne chez elle à part la "bonne", nous nous installons dans le salon et je profite de l'air co pour me rafraichir un peu. Son frère rentre quelque minutes après, et me propose d'aller me baigner dans leur piscine. Je veux bien mais n'ayant pas de maillot, je propose d'aller chercher un short maillot chez moi, il me dit ok, rdv dans 30 minutes. A mi-chemin de chez moi je reçois un sms, c'est lui: "Je sais ce que tu attends, t'en fais pas je vous laisse seuls, je vais prétexter que ma copine a un problème pour m'éclipser, profites-en bien avec Fanny mais fais attention à la "bonne", elle raconte tout à mes parents.". Redoublement d'excitation, je prends une douche vitesse vv prime pour me calmer un peu, mais je suis déjà en feu.

Arrivant chez elle je sonne, la "bonne" vient ouvrir, me dit que monsieur a du s'absenter mais que mademoiselle m'attend dans le jardin. Je me dirige donc vers celui-ci, tout en ayant bien vu la tête de la "bonne" faire une mimique genre "peuh... jeunesse perverse...", ce qui me refroidi quelque peu (une vieille comme elle qui tire la tête, ça fait peur...), mais une fois devant la piscine, put***, vision d'extase, Fanny est là, au bord de l'eau, dans un bikini jaune à peine trop petit pour sa poitrine (et ça m'excite à mort) et moulant parfaitement son magnifique petit cul. Heureusement que mon short est large, car la trique que je me tape aurait fait mal en frottant. Pour me calmer je saute direct dans la piscine en n'enlevant que les tongues, si je prends le temps d'enlever ma chemise hawaïenne elle risque de s'apercevoir du drame qui se joue plus bas.

L'eau est exquise, mais le soleil tape, et je demande si elle a de la crème, car je n'ai pas envie d'attraper des coups de soleils (j'ai horreur de peler). Elle me dit qu'il y en a à côté de son transat. Je sors de l'eau, non sans avoir vérifié que la 3è guerre mondiale en était à l'armistice, m'éponge avec SON essuie (eh oui dans ma précipitation j'ai oublié d'en prendre un), un essuie doux, très très doux, et je sens des frissons me parcourir. Je m'installe ensuite sur un transat à côté du sien et commence à m'appliquer de la crème sur le nez (très sensible), le torse, j'essaie les épaules en faisant bien attention de ne pas y arriver et voyant mon désarroi elle me propose de m'en mettre sur le haut du dos. Elle sort de l'eau (vision de rêve, heureusement que je suis sur le ventre, car la 3è guerre mondiale a repris de plus belle), s'essuie les mains, fait sproutcher un peu de crème sur mes épaules et commence à l'étaler. Je suis au paradis, entre ses mains fines et douces. Elle me demande si j'en veux sur les jambes, je dis non (jamais eu de problème aux jambes), et m'apprête à retourner dans l'eau quand elle me demande de lui en mettre dans le dos.

NON !! me dis-je intérieurement. Je ne peux pas refuser, mais si j'accepte je risque de défaillir. Je prends sur moi et essaie de penser à autre chose pendant que je lui étale la crème dans le dos mais comment penser à autre chose qu'à son corps parfait à son petit cul si magnifique? Je ne suis pas à l'aise et elle le sent, me demandant si c'est la chaleur ou elle qui me fait cet effet. Ouch, aucune réaction vocale de ma part, mais mon corps parle pour moi. Je me sens soudain trembler dans tous le corps, je deviens rouge pivoine et n'ose plus dire un mot. Et là elle me dit qu'il n'y a pas de problème, qu'on se connait depuis assez longtemps et que ça ne la dérange pas que nous nous retrouvions dans une telle situation. Ca me déstresse quelque peu, quoique cela titille ma curiosité: est-ce innocent, ou dit-elle ça dans un but bien précis?

Je retourne dans l'eau, elle me demande de ne pas la regarder car elle va s'appliquer de la crème sur le ventre et les seins, je m'exécute, la mort dans l'âme... Je vais à l'autre bout de la piscine, regarde le fond du jardin avec le chien du voisin qui se demande quand va s'arrêter cette canicule, et je commence à "caler" sur lui. Je n'entends même pas Fanny entrer dans la piscine, tellement je suis plongé dans mes pensées sur ce pauvre chien qui a autant de mal que moi avec la chaleur, jusqu'à ce que je sente l'eau remuer. Je n'ai pas le temps de me retourner qu'elle me saute sur le dos comme pour me couler, et la stupeur, je peux sentir qu'elle a enlevé le haut ?? Je recule, pris de panique, ferme les yeux et lui demande de remettre son haut (je précise que je n'ai AUCUNE envie qu'elle le remette), elle me demande si j'en suis sûr, car elle a envie de bronzer, je lui dis que ça me mets mal vis-à-vis d'elle de la voir seins nus mais elle me dit que ce en sont que des seins, que j'en ai déjà vu et que de toute façon ça ne lui fait rien.

Bon, soit, mais elle n'aurait pas du me provoquer. Je lui dit pour plaisanter que vu qu'elle a enlevé un vêtement maintenant c'est mon tour, elle me regarde étonnée et là je me rends compte de ma gaffe, puis me lâche: si tu veux, après tout il fait bon, autant en profiter. Je ne m'exécute pas, je garde mon short, mais à chaque fois que je sors de l'eau pour faire un plongeon, elle peut constater que la situation est on ne peut plus clair: j'ai envie d'elle, de sa bouche, de ses seins, de son petit cul. D'elle et de rien d'autre. Arrive un plongeon foireux, en effet, mon short descends sur mes chevilles après mon entrée dans l'eau (je n'attache jamais mes short, sauf au basket), et en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, elle s'en saisi et me l'enlève entièrement. Je pique une crise, n'osant me montrer avec mes mains devant le caporal qui n'attend qu'une chose. Je lui demande pourquoi elle a prit mon short, elle me dit qu'elle a envie de devenir "femme", qu'elle veut qu'on s'occupe d'elle tendrement, et que pour elle je correspond à son choix. Ne répondant pas elle s'approche de moi, me regarde intensément dans les yeux, puis se colle à moi et m'embrasser passionnément. A ce moment-là c'est fini, je ne réponds plus de rien, je vais obtenir ce dont je rêve depuis très, très longtemps et rien ni personne ne pourra m'en empêcher.

Pendant ces baisers fougueux mes mains parcourent son corps de long en large, puis les posant sous ses fesses divines je la soulève de manière à ce que sa poitrine soit à bonne hauteur pour ma bouche (oui je n'avais aucune envie de romantisme à ce moment) et m'en occupe goulument, passant de l'un à l'autre avec ferveur, envie et passion. Après plusieurs minutes à m'occuper du haut, je décidai de passer au bas, et fit glisser mes mains sur ses cuisses, les caressants sur toute leur surface, avant de m'aventurer sous son bikini. Il ne m'a pas fallu longtemps, le temps de passer un doigt, pour comprendre qu'elle était entièrement épilée, un véritable bonheur par rapport à mon ex qui voulait sans doute sauver la forêt amazonienne. Je la porte, l'installe au bord de la piscine, lui retire son bikini, et commence à embrasser ses cuisses, puis petit à petit je me rapproche du fruit défendu, tout en faisant durer le plaisir, je veux prendre le temps de la gouter entièrement, depuis le temps que j'en rêve.

(A ce moment je n'ai pas beaucoup d'expérience, et ignore comment faire plaisir avec le clitoris).

Ma langue commence tout doucement à se rapprocher de ses lèvres (pas buccales... :wink: ), et avec mon manque d'expérience, s'enfonce directement dans son temple. Je l'enfonce et la retire au gré de ses mouvements du bassin, puis me colle à elle, la "suçant" carrément, et elle semble aimer ça, puisque dans un énième soubresaut, je sens un liquide couler dans ma bouche. Elle vient de jouir, le premier orgasme de sa vie, et c'est à moi qu'elle le doit (il est beau coco :wink: ). Je la prends par les hanches, la remettant dans l'eau, et l'embrasse passionnément. Pas un mot ne sera échangé mais elle prend maintenant la direction des opérations. Elle cherche maladroitement mon caporal déjà gonflé de désir et l'attrape un peu fort, vu le petit "aie" que je laisse échapper de ma bouche. Elle s'excuse en rigolant, et la reprend en main. Sa main est douce, ses doigts sont longs et fins, je ferme les yeux pour profiter intensément de ce moment de pur bonheur et sans crier gare, je me mit à éjaculer dans l'eau. Un "baaaah" plus tard et nous voilà tous les deux hors de l'eau, complètement nu, allongé l'un contre l'autre sur son transat. Nous nous embrassons tendrement mais j'ai envie de plus, beaucoup plus... Je lui propose donc de me laisser me coucher sur le dos, elle venant s'allonger sur moi à l'envers, pour un petit 69 de derrière les fagots. C'est sa première fois, elle est malgré tout "gênée", j'y vais calmement, ne la force pas, la laissant se "mettre à l'aise".

Quand elle se sent enfin prête nous prenons position, je lui bouffe littéralement la chatte et l'entrée de son anus qui ne demande qu'à être prit, du moins ais-je envie de le croire. Après hésitation elle me prend en bouche, et là, là, c'est magique: je suis tellement excité que même en ayant éjaculé 5 minutes avant, je sens que je en tiendrai pas. Elle n'est pas experte, mais elle fait de son mieux, et sentir en plus le poids de ses seins magnifiques sur mon ventre fait que le plaisir monte, monte... et explose, quelques instants plus tard, sans crier gare. Elle est d'abord surprise, mais la vraie surprise fût pour moi quand je m'aperçus qu'elle n'était pas le moins du monde dégoûtée par le sperme, et qu'elle avala tout jusqu'à la dernière goutte, ralèchant mes bourses et mon ventre pour ne pas en perdre une goutte.

Pendant qu'elle me nettoie je m'occupe toujours de son temple secret, je n'y ai pas encore mit de doigts, et après tout je ne veux pas, je préfère profiter de cette "vierge" entièrement. Toujours au garde-à-vous, je la fait se coucher sur le dos, lui attrape les fesses avec les mains pour la surélever quelque peu, me prépare à entrer en elle mais là voilà qui dit "j'ai peur de la douleur, mais j'ai envie d'essayer par derrière, ma soeur (qui a 7 ans de plus qu'elle) dit que c'est génial. Mais si vraiment tu veux par devant c'est comme tu veux." Je lui dis que c'est pareil, que l'un ou l'autre ça me convient, mais que pour la prendre par derrière je dois la mettre en levrette. Je lui explique en quoi consiste la position, elle s'exécute, et offre à mes yeux la plus belle vue qu'elle pouvait leur offrir: son petit cul tout rose, tout mignon, tout vierge également, qui ne demande qu'une chose: être enfin visité. Je lèche sa grotte, joue avec ma langue, j'essaie de la détendre, et quand je la sens "fit", approche mon caporal et l'envoie au front. L'entrée n'est pas aisée, et je n'ai pour m'aider que la crème solaire... ni une ni deux j'en applique le long du ptit soldat, espérant que cela suffira, puis retourne au combat. Et là, sans forcer, tout en douceur, je la pénètre. Elle ressent une légère douleur qui laisse rapidement place à un plaisir intense. Je suis en elle, je ne bouge pas, et pourtant elle mouille abondamment. Je commence mes va-et-vient, très lentement au début, puis de plus en plus rapide, mais toujours en douceur, pas de gestes brusques, mais je sens que je ne tiendrai pas longtemps. La chaleur (elle a bon dos), ce moment paradisiaque, et surtout ce petit cul si magnifique et surtout si chaud et si serré, me mettent en transe. Je me retire peu avant le point de non-retour, mais je sens qu'elle en veut plus. Je laisse retomber un peu la pression, joue avec ses seins si gros, si beaux, si doux, si lourds, si excitants, lui enfonce un doigt dans le cul, elle aime, se contorsionne, mais son corps est en attente d'autre chose, et comme la pression est retombée, il est temps de lui offrir ce son corps réclame.

Couchée sur le dos et les jambes écartés, elle ferme les yeux en me voyant approcher mon sexe de son vagin encore vierge de tout corps étranger. Je joue avec, titillant ses lèvres, faisant mine de vouloir entrer pour repartir aussitôt, puis d'un coup de "baguette magique", je m'enfonce en elle dans un long râle. C'est chaud, c'est doux, c'est mouillé, c'est merveilleux. Une petite goutte de sang, une petite douleur, je ressors, lui demande si tout va bien, et elle m'enjoint à continuer en amenant elle-même mon sexe aux portes du siens. J'y retourne d'un coup de rein long et lent, profitant entièrement de son sexe si serré, les sensations sur mon ptit soldat sont indescriptibles. Par contre la pression remonte très très vite, surtout en voyant ses 2 globes bouger au rythme de mes pénétrations. Je sens la moutarde me monter au nez, lui demande si je peux éjaculer sur sa poitrine, elle me dit "fais ce que tu veux de moi". Si une fille me dit ça elle assume les conséquences car je ne réponds plus de rien. Je continue de la pénétrer et sans crier gare, je sens que c'est parti. Je crie "Merde!", je me retire mais trop tard, j'ai jouis en elle et continue de l'asperger de la tête aux pieds. Je n'ai jamais eu une éjaculation aussi conséquentes, après avoir jouis en elle (quel pied), il y'en a avait abondamment sur son ventre, ses seins (et dieu sais s'il en faut beaucoup), son visage, ses cheveux. La plus belle éjaculation de ma vie, et ce pour longtemps.

Je m'excuse, elle ne m'en tient aucune rigueur me disant que de toute façon elle prend la pilule depuis 3 ans, "au cas où", et qu'elle ne risque donc pas de tomber enceinte. Je suis vidé, la remercie et m'allonge sur le transat, complètement vidé. Un regard, un sourire, et elle vint se blottir contre moi, encore pleine de ma semence, mais j'aime ça, je trouve ça excitant. Je suis bien, elle est bien, on est bien. Nous sommes nus, entièrement nus, seuls au monde. Je ne pense même pas au fait que n'importe qui pourrait nous voir, la "bonne", ses parents rentrant à l'improviste, un voisin un peu trop curieux. Non, tout ça est secondaire. Tout ce qui compte, c'est qu'elle soit là, à mes côtés, le reste n'a aucune importance.

Nous sommes restés un long moment comme ça, blotti l'un contre l'autre, avant de faire un saut dans la piscine pour nous "rincer", et de nous rhabiller. Nous avons mangé un morceau, puis je suis rentré chez moi, des souvenirs plein la tête, sur un petit nuage.

Nous sommes resté 7 mois ensemble. avant un déménagement brutal, soudain et inattendu, ses parents ayant trouvé du travail en Italie (ils sont restaurateurs).

Nous ne nous sommes jamais revu, mais chaque jour, j'ai une pensée pour elle, pour ma petite Fanny, pour cette fille qui m'a donné tellement de bonheur, de tendresse, de passion.

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Guest maxence76

wouahou très excitant

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Invité

J'ai beacoup aimé cette histoire. Très agréable à lire

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Superbe récit ! Ah les Fanny, un vrai sujet d'actualité et un vrai bonheur... :clap:

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Whaaa super récit, moi aussi je connais une super FANNY aimant autant le sexe, hummm un prénom que j'aime

Et tu n'as jamais essayé de la retrouver !!! pas loin l'Italie

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quelle histoire splendide !!!!

Je n'ai jamais ressenti la sensation d'être dépucelée vu que je l'ai perdu au cheval mais je me suis toujours demandé ce qu'était cette sensation!

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