Aller au contenu

Faites des rencontres coquines près de chez vous

bénéM

La petite culotte de Laure.

Recommended Posts

Pour ceux qui ne savent pas qui est Laure, je ne peux que vous conseiller de lire ma confession qui s'appelle : "la danse... hmmm "

voila.

Je suis donc mariée, et infidèle à mon mari de temps en temps.. et (presque) essentiellement avec des femmes. J'avais fais un "break" avec ce genre de choses, mais il y a un mois j'ai rencontré Laure.. (tout est raconté en détail dans mon autre confession, donc je n'en rajoute pas. )

Mais hier soir, je l'ai revue.. Mon mari travaille à l'étranger et il est donc souvent partit. Mais je vous jure que c'est elle qui m'a appelé. Sous le prétexte frauduleux que son mec était parti en WE avec des potes, elle avait eut envie de me revoir.. comme ça.. nous n'avions pas eut de contact, même téléphonique depuis notre rencontre. J'avais juste reçut un mail deux jours après où elle me remerciait de lui avoir permis de découvrir l'amour entre femmes, et qu'elle m'embrassait.. Juste ça... ne laissant rien présager de bon pour un avenir commun, mais je préférais en rester là..

Et puis elle m'a appelé, pour qu'on se voit, et je n'avais rien à prétexter pour refuser son offre.. A peine ais-je entendu sa voix au téléphone que mille images de son corps sont revenus hantés mon esprit et que j'ai immédiatement eut à nouveau envie d'elle.. Elle ne dît rien d'explicite au téléphone, elle était plutôt timide, mais fît quand même une allusion un peu déplacée sur ce qui pourrait arriver si nous nous retrouvions dans un endroit clos, et préféra donc me donner rendez-vous dans un resto, en copine, comme elle le nota avec insistance.

Je ne suis pas née de la dernière pluie, je commence à connaître les femmes dans leurs comportements amoureux aussi bien que les hommes, et je peux vous dire sans trop m'avancer que d'après moi, même si les formes sociales que revêtent nos excuses et arguments diffèrent, le fond est assez commun.... Le "coup du resto" avec une relation d'une nuit signifie pour la plupart de nos contemporains, que l'on a envie de remettre le couvert, ce qui tombe bien pour un resto, mais qu'on n'ose pas le dire franchement. Je savais donc, en tenant compte en plus de l'absence de mon mari et de la soirée de "célibataire" que Laure s'offrait avec moi, qu'il y avait de fortes chances pour que cela finisse au lit, ou ailleurs..

Je décidais donc de ne lui laisser aucune chance en me mettant en tenue. Je connais mes atouts et j'avais remarqué qu'elle avait remarqué.. mes seins.. Je les mis donc le plus simplement du monde en valeur par un décolleté sobre mais explicite. Cette fois-ci je pris soin de prendre une douche et d'être impeccable, minou soigné (lol) et jambes épilées.

Mais quand je la vis arriver, et alors que j'avais prévu de la séduire et que la supériorité de mon expérience jouait en ma faveur, je me senti à nouveau défaillir. Cette fille me faisait craquer. Je ne sais pas pourquoi. Nous nous installâmes à une table de deux. Je n'avais d'yeux que pour les siens, je sentais son parfum, la façon dont elle bougeait son corps me rendait folle. Même assise, elle avait une façon bien à elle de se tenir et de jouer avec ses mains avec une telle sensualité, passant régulièrement un doigt sur ses lèvres lorsqu'elle cherchait ses mots, replaçant une mèche de cheveux avec désinvolture, jouant de sa poitrine en la mettant successivement en avant et en arrière au rythme de ses paroles, comme une chorégraphie réglée à la lettre. J'écoutais à peine ce qu'elle me racontait, ses histoires avec son mec, ses doutes après notre rencontre, sa copine qui ne l'avait pas cru, surtout qu'elle ait pu jouir juste en dansant par le frottement de nos jambes. Je lui répondais avec le plus de justesse que je pouvais; la prenant très au sérieux dans ses doutes de jeune fille, mais en vérité, je ne pensais déjà plus qu'à son corps et aux caresses que j'avais envie de lui prodiguer. J'avais adoré la voir et la faire jouir. Elle devenait magnifique sous l'effet de ses orgasmes et je n'avais plus que cette image en tête.

Elle parlait beaucoup, semblait un peu mal à l'aise, paraissait très excitée, les joues rouges et les yeux brillants, mais elle ne proposait rien de direct, ne faisant aucune allusion à ce dont elle avait maintenant envie de faire de moi dans sa vie... Je la laissait divaguer tout en lui répondant par intermittence. Je ne cherchais pas à la pousser par les mots à faire telle ou telle chose. Non, je comptais sur le pouvoir suggestifs de nos corps, sur leurs souvenirs émotionnelles ancrés dans nos chairs, et je voyais d'ailleurs imperceptiblement les signes extérieurs du consentement de son corps au mien, comme je sentais en moi l'envie de mes cuisses, de mon ventre, de mes seins, de mon sexe, d'être touché par elle.

J'avais une longueur d'avance sur elle, enfin, je le croyais, en ce sens que je savais ce que nos corps étaient en train de faire, même si nous ne laissions rien paraître dans nos paroles. Si je veux être totalement franche, je peux dire même que je commençais à sentir son odeur, la vrai, celle sui surpasse tout parfum, même capiteux, l'odeur de sa chair, de sa sueur, de son sexe. Je poussais le vice jusqu'à prendre une grande inspiration pour m'en persuader. Oui, je sentais à présent, parmi les odeurs de frites et de bouffe du restaurant, se dégager clairement la senteur de nos sexes. Je connais bien la mienne, mais je pouvais assurer que je distinguais clairement le fumet merveilleusement acide et sucré du minou de la belle Laure qui émanait de sous sa jupe. Je le voyais sur son front, elle transpirait, elle était toute rouge, sans oser en parler tout son corps transpirait de désir et maintenant c'était son parfum intime qui la trahissait.

Je fit mine de me taire un instant. Elle ne disait plus rien non plus. Et ostensiblement en m'approchant un peu d'elle au dessus de la table déjà débarrassée, je repris une grande inspiration, ouvrant mes narines aussi explicitement que je pouvais le faire et je sentis à nouveau son odeur, l'odeur suintante de son sexe. Elle me regarda, sans rien dire, je la vis inspirer à son tour, puis son oeil s'illuminer. Elle compris, ne quitta plus mes yeux, sentis à nouveau l'air, trillant sans difficulté ce qui y résidait et se concentra sur l'objet qu'elle cherchait. Oui, dans nos yeux c'était clair à présent. Chacune avait reconnecté ses sens au corps de l'autre. Moi même je sentais les afflux humides envahir mon vagin. Un bref mouvement de cuisse me confirma que j'étais trempée. C'était venu comme ça, c'était si prévisible. Nos corps vont toujours plus vite que nos esprits.

Elle sourit, resta là sans rien dire, humant avec moi ce qui ne pouvait provenir que du plus sérieux de nos intimités, sous la table. Nos sexes avaient envahit, par une chimie subtile, l'air normalement pollué par la parole du dessus de la table. Elle aussi eut ce petit mouvement de cuisse sous la table, elle était en train, j'en étais certaine, de vérifier par le geste ce qu'elle avait sentit par l'odorat. (On décroise les jambes, ou on les écartes un peu, décollant légèrement nos lèvres l'une de l'autre, laissant alors sortir s'il y a lieu ce que nous sentons en nous descendre comme un fluide, et on referme ensuite. En conjuguant les sensations obtenus également par le décollement du tissu de nos sous-vêtements sur notre intimité, on sait tout de suite ce qui se passe...)

Elle comprit que nous ne rêvions plus que d'une chose et qu'il fallait envisager le reste de la soirée avec plus de pragmatisme si nous voulions offrir à nos corps la satisfaction du désir qu'ils avaient su manifester sans honte. Sans rien en dire, ce qui ne la rendait que plus classe, elle proposa que nous demandions l'adition.

Une fois sortit, elle fit signe à un taxi et me glissa à l'oreille :

- On va chez toi ? je préfère.

Je vous raconterais bien entendu la suite très vite.. sachez juste que tout en écrivant, comme d'autres fument une cigarette, je plonge de temps en temps abondamment mon nez dans la petite culotte que Laure a accepté de me laisser en partant ce matin...

Partager ce message


Lien à poster

J'ai très hâte de lire la suite, tes récits sont toujours biens écrits et nous donne l'impression d'y être!!! :bisous3:

Partager ce message


Lien à poster
Invité

J'ai moi aussi très envie de lire la suite de cette histoire si bien écrite.

On s'y croirai vraiment

Partager ce message


Lien à poster

Le trajet en taxi fut bref et silencieux. Nous savions ce qui allait se passer et nous n'avions, apparemment elle comme moi, nul besoin d'en rajouter. Elle regardait par le fenêtre sans rien dire, les yeux dans le vague. Je l'observait du coin de l'œil. A un seul moment, nos regards se croisèrent et ce fut électrique, comme un éclair s'abattant sur mon entre jambe, je sentit à nouveau le désir envahir tout mon sexe, impatient et impudique, déjà gonflé de chaleur humide, je ne pu m'empêcher de me tortiller discrètement sur la banquette pour le stimuler encore.. Laure elle aussi se "replaça", avec un geste machinal consistant à vérifier que sa jupe droite ne remontait pas trop. C'était trop mignon à voir. Elle tenait à rester sobre dans son attitude alors que nous savions très bien que nous n'en pouvions déjà plus d'attendre..

Ce n'est qu'une fois arrivée dans l'ascenseur, qu'elle se jeta sur moi, et que ses lèvres chaudes vinrent m'embrasser. Elle était experte dans l'art de mêler les langues et nos bouches restèrent collées l'une à l'autre malgré l'immobilité de la cabine nous invitant pourtant à ne faire plus que quelques mètres pour être enfin libre de nous dénuder. Une fois la porte derrière moi refermée, je la vis filer aux toilettes et entendis les bruits caractéristiques du soulagement de la vessie, augmentant mon impatience.

J'allume des bougies, met de la musique et m'installe sur le canapé. Une ambiance invitant clairement aux câlins ne fait jamais de mal. Elle arrive, debout face à moi, me regarde, mordille sa lèvre inférieur, puis ne tenant plus en place, se déshabille entièrement et posant un pied sur le canapé, à coté de ma cuisse, elle approche lentement son sexe nue de mon visage. Elle aussi avait dû ne penser qu'à cela pendant qu'elle me parlait de tout autre chose au restaurant, elle n'avait déjà eut en tête que la sensation de ma bouche sur son sexe, son attitude plus que directe le prouvait, et cela ne fit qu'augmenter mon excitation déjà poussé à son paroxysme.

Nous n'avions plus échangé un mot depuis le taxi. Et pourtant, une séduction toute olfactive avait opéré en nous. J'approchais mon nez de son sexe et pris à nouveau une grande inspiration. Je reniflais littéralement sa chatte. Oui, c'était bien son odeur que j'avais sentis tout à l'heure, légèrement sucrée, pleine de sueur âcre mélangé au parfum trop fort de la rose, Laure avait une odeur terriblement enivrante, très forte sans être écœurante, fraiche et chaude à la fois. Plus mes narines se gorgeait de ses senteurs, et plus mon sexe s'ouvrait. D'un même geste je sortis ma langue et lapas délicatement sa fente, tout en libérant d'une main mon minou trop longtemps enfermé. Je pouvais sentir à présent non seulement son odeur, mais aussi la mienne envahir toute la pièce. Sans quitter son minou que je léchais toujours, m'enivrant à présent de son gout autant que de son parfum, je retirais jean et culotte, et me mis à me caresser. Ma chatte était trempée comme rarement elle l'est sans avoir été préalablement touchée. Même le haut de mes cuisses était humidifié. Laure tendis sa main et je compris tout de suite ce qu'elle désirait : prendre ma culotte...

Elle se plaqua l'étoffe sur le nez, se cambra un peu plus pour mieux ouvrir son sexe à mon cunnilingus, j'assistais en directe à l'extase brutale que provoquait sur elle mon odeur vaginale. Elle se mit à mouiller abondamment d'un coup, une goûte de cyprine perla le long de sa jambe, une copieuse liqueur chaude dégoulina soudain sur ma langue excitée. Bientôt j'eu le visage couvert de sa sublime mouille, mangeant d'autant plus avec ardeur son sexe tout ouvert, que je la voyais jouir de plus en plus sûrement. J'abandonnais un instant mon minou au profit de ses fesses, je sentais que ses jambes ne la tenait plus bien, j'accompagnait le mouvement, elle s'affala bientôt de coté sur le canapé noir, ouvrant au ciel ses jambes, m'offrant son cul radieux pour jouir sans retenu.

Ma petite culotte toujours plaqué sur son nez, elle criait de plaisir à chaque coup de langue. Je buvais sans complexe chaque goutte de sa mouille, me délectant, perverse, du savoureux breuvage, je léchais son clito dressé d'excitation, puis fouillait l'intérieur de son sexe entre-ouvert. Et lorsque j'introduis un doigt dans son minou étroit, elle hurla un peu plus, son orgasme était là. D'un mouvement de bassin elle s'enfonça elle même un peu plus sur mon doigt, je la branlais fièrement, sentant à chaque coup, qu'elle "éjaculait" presque de se mouille abondante, maintenant très liquide et qui éclaboussait, dans un bruit d'eau obscène, mon visage et mes seins qui était juste là, collés entre ses jambes, public ébahit devant tant de plaisir, jouissant de voir jouir l'autre avec autant d'entrain. Laure était toute cambrée, les seins pointés et durs, ma culotte dans sur son nez, les yeux plissés et clos, la bouche toute ouverte, criant qu'elle en voulait encore.

Je mis un second doigt, massant sans ménagement l'intérieur de son antre, juste dessous le ventre, appuyant de l'autre main sur son mont de vénus, pour qu'elle sente mieux encore la pression intérieure, elle resta net figée, dans un spasme silencieux. Moi qui croyais qu'elle avait deja jouit, je la vis repartir dans un second orgasme, apparemment plus fort. Sa mouille fit un petit jet, expulsé par mes doigts, elle cria en même temps d'une voix forte et grâve, à chaque va et vient, de mes deux doigts en elle, pilonnant fortement et en accélérant son minou écarté, je voyais cette mouille, étrangement liquide, transparente et brulante, sortir par petits jets de quelques centimètres, de son intimité. Dans un ultime crie, étouffé par ma culotte qu'elle mis entre ses dents, elle jouit une dernière fois, s'affalant toute tremblante.

Après quelques instants où tout était silence, comparés aux explicites cries qu'elle avait proféré, elle se mit à rire, essoufflée de plaisir, elle n'en revenait pas. Moi non plus.. Elle me demanda si je trouvais normale de prendre ainsi son pied, et de mouiller autant ? Moi qui ais toujours cru être une "mouilleuse" abondante, je n'avais jamais vu de femmes jouir ainsi. Elle semblait s'en amuser et en être très fière, c'était la première fois que ça lui arrivait. Certes elle comme moi avions entendu dire ou vu sur internet, quelques vidéos chaudes de femmes qui "éjaculent", mais ce n'était pas cela, ce qui s'était passé, Laure n'avait pas fait les jets impressionnants (et surement truqués) que l'ont voit sur la toile, non, elle avait seulement jouit avec abondance et elle s'était lâchée..

Le spectacle de son plaisir avait été si fort, que sans avoir jouit moi même, j'étais comme rassasiée. Dans ses bras je me mis et nous avons passé encore un long moment à parler de tout ça. Les odeurs nous jouent de drôles de tours à notre insu, ou pas..

Et c'est pour ça qu'encore aujourd'hui pour écrire, comme d'autres fument une clope, j'ai à plusieurs reprises plonger abondamment mon nez dans la culotte de Laure...

Partager ce message


Lien à poster

wow! je ne pensais pas pouvoir etre si excité à la lecture d'un texte!

ton style est exceptionnel !

la pression monte, les mots crus apparaissent exactement quand il faut pour souligner l'erotisme de la scene!

magnifique!

vraiment!

je vais avoir du mal à m'en remettre!

Partager ce message


Lien à poster

il y a une suite.....

bien entendu...

elle a sur également me faire jouir.. et d'une si belle manière....

vous la voulez?

Partager ce message


Lien à poster
Guest sylphide

Excellent, très excitant :bisous3:

Si tu as une suite, je suis preneuse :pompom:

Partager ce message


Lien à poster

oui la suite s'il te plait..... :bisous3:

Partager ce message


Lien à poster
Guest plaisir-mutin

HUmmmm vivement la suite un récit qui sait faire monter la température

Partager ce message


Lien à poster

Je crois bien que j'aime de plus en plus ton écriture :wink:

Tu décris si bien tes ressentis...

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite stp :wink:

Partager ce message


Lien à poster

Ton récit est très excitant.

Si tu as une suite, on ne peut que t'encourager à nous la livrer, bien sur !!!! ;o)

Partager ce message


Lien à poster

Excellente maitrise du style. C'est largement au dessus du lot à ce niveau.

De plus c'est irrésistible et 99% de ceux qui ont lu votre histoire ont du soit tendre soit tremper leurs sous-vêtements.

J' aimerai vous offrir en chapelet le cliché du sexe de tous les lecteurs et lectrices que vous avez incendié comme hommage, que vous réalisiez de visu votre effet.

Félicitation!

Partager ce message


Lien à poster

effectivement, je serais preneuse de ce genre de clichés... j'écris aussi dans le fantasme de ce que les lecteurs feront..

lol

béné

Partager ce message


Lien à poster

Oui, Laure su me faire jouir à son tour,et de tres belle manière...

Un peu jalouse quand même de son orgasme puissant, et terriblement excitée par le spectacle de son petit sexe étroit, jouissant par éclaboussures, j'étais blottit dans ses bras, je regardais sa fente, nue et refermée, encore un peu luisante, cette petite chatte qui lui avait offert ce merveilleux orgasme.. Moi aussi j'étais un peu fière de l'avoir provoqué, mais je mourrais de plus en plus d'envie de jouir moi aussi, repensant à ses cries, à sa chaleur, à la douceur de sa peau contre la mienne.. Si son orgasme m'avait "comblé" moi aussi sur le moment, mon excitation n'en était pas pour autant retombée et je sentais entre mes cuisses, mon minou se réveiller, encore humide des caresses que je lui avait prodigué, et impatient d'être à son tour au centre des attentions...

Mais Laure semblait presque assoupie. Elle avait les yeux fermés et elle respirait en douceur, faisant monter et descendre ses seins merveilleusement ronds. Peu à peu je rapprochai mon sexe en feu de sa cuisse et je commençais à le frotter contre sa peau, l'incitant ainsi, je l'espéraisencore, à entrer dans la danse et à me rendre le plaisir que je lui avais donné. Mais elle ne réagit pas. Elle dormait. Je me frottais avec un peu plus d'insistance pour voir si par mes gestes, elle comprendrais dans son demi sommeil que j'étais en reste, mais elle ne bougeait plus et il me sembla même à un moment l'entendre discrètement ronfler. Elle dormait de ce sommeil lourd qui peut parfois nous emporter lorsque notre corps, trop émue par le plaisir, sous l'effet de l'orgasme qui a tant tendu les muscles, se laisse retomber, se relâche soudainement et s'enfonce profondément dans la torpeur lourde d'un sommeil sans rêve.

Mais moi je restais là à me frotter contre elle, mouillant à n'en plus pouvoir, excitée par cette fille, sa candeur et son naturel à jouir, me rendait folle. Et son sexe, si petit, si étroit, que j'imaginais à grand peine pouvoir être pénétré par un sexe d'homme tant deux doigts semblaient déja le combler tout entier... Son mec devait avoir un petit sexe ou bien alors elle devait hurler de plaisir ou de douleur à chaque pénétration.. L'imaginer ainsi se faire prendre par une grosse queue alors que la belle avait un si petit trou, m'excita encore d'avantage. Et je me mis en tête de lui poser la question dès qu'elle serait réveillée.. Et même, si j'osais, je lui demanderais si je pourrais un jour assister à ses ébats avec son mec... non pas pour le voir lui, mais elle, empalée sur un sexe d'homme, toute comblée, ce spectacle devait être surement terriblement excitant.. Jamais je n'oserais le faire, mais l'imaginer suffisait maintenant à me mettre dans un état second, excitée jusqu'à la pointe de mes pieds, je me masturbais le long de sa cuisse, ne pouvant m'empêcher de lui caresser les seins, et de toucher à nouveau son petit sexe.. Elle resserra ses cuisses au contact de ma main et se tourna sur le coté, me tournant le dos, privant mon sexe du contact de sa peau, décidée à dormir pour de bon, manifestement inconsciente de l'état dans lequel j'étais, à quelques centimètres d'elle...

Que faire ? la réveiller ? non, elle dormait trop gentiment pour que je puisse oser la sortir de l'état de grâce dans lequel elle devait être. Me caresser seule devant elle ? La question ne se posait déjà plus, ma main était en train, sans que je ne puisse me contrôler, de me pénétrer d'un doigt, passant sur mon clitoris aux à aguets de tout geste.. Je me mis à genou derrière elle et je pu frotter mon minou contre ses fesses rebondis.. Le contact de sa peau de velours me fit frémir.. Ma petite chatte bavait sur ses fesses, écrasant mon clitoris sur sa chair, frottant mon sexe de bas en haut sur la courbe sublime de son cul. Et l'obligeant à s'allonger sur le ventre, je me mis peu à peu à cheval sur elle, légèrement décalée d'un coté de façon à ce que mon minou soit sur un de ses lobes fessiers, je me frottais à elle, comme un petit chat qui ronronne, mes seins touchant par moment son dos, je m'électrisais seule, en rut sur son échine.. J'étais en position de la baiser.. et si j'avais eut une bite, j'en aurai profité... ses fesses étaient si bombées et fermes, elles offraient à mon minou un cousin si soyeux, et je trempais sans honte sa peau blonde de ma mouille brulante. Je me mis à genou, comme si j'allais la prendre, et je me caressai vigoureusement la fente, me pénétrant d'un puis deux doigts, mon sexe au bord de sa raie, ondulant d'avant en arrière, le dos de ma main caller entre ses fesses, je la regardais dormir, abusant d'elle à son insu, sûre qu'elle en serait d'accord, si seulement elle se réveillait..

Je sortis mes doigts de mon antre, et les passa contre sa raie, je mouillais abondamment, et je l'enduis ainsi, lubrifiant tout son cul, je me mis à croupie, offrant au vent ma fente, je caressais son cul avec mes lèvres en feu, gonflées d'excitation. Puis, plongeant en moi deux doigts pour y cueillir mon jus, je les portais à son visage tourné sur le coté, parfaitement endormit.

Mes doigts devant son nez, frottant toujours mon sexe sur son cul magnifique, j'attendais que s'opère l'effet de mon odeur.. Elle ouvra la bouche, j'approchais mes doigts, elle tira la langue, lécha un petit peu, puis approchant ses lèvres, se mit à les sucer... et je sentis enfin son cul répondre à mes caresses obscènes.. Elle m'aidait à présent à me frotter sur elle. J'étais toute en sueur, elle gémit doucement, passa une main dans son dos, elle m'offrait ses doigts pour que je me pénètre, tout en mangeant les miens, pleins de mouille coquine.. Mon sexe était ouvert et accueilli les quatre doigts dressés de la belle allongée.. Elle se laissait faire et j'ondulais sur sa main, folle deja de plaisir...

Sentant que je venais, elle se retourna, m'allongea sur le dos et se mit bestialement à me lécher la chatte. Elle qui dormait encore quelques instants avant, semblait très éveillée , dévorant mon clito, branlant comme une furie mon vagin grand ouvert par ses doigts, je commençais à jouir et criait comme une folle.

Ma tête hors du lit, je me sentais partir, non seulement de plaisir, mais je glissais aussi, et petit à petit, sous les coups de boutoirs de la Laure réveillée, ma tête toucha le sol, penchée toute en arrière, mes jambes quittèrent le matelas et vinrent se replier toutes deux sur mon ventre, mon cul en appui sur le bord du lit, tout ouvert à ma belle, qui le bouffait sans honte. Allongée sur le ventre, toujours quatre doigts en moi, elle m'ouvrait de plus bel et je sentais sa langue tourner autour de mon tout petit trou.. Dans cette position, soumise et incongrue, je ne pouvais rien faire que de maintenir mes fesses à porter de sa bouche. En chandelle repliée, je savourais honteuse la fougue déployée de celle qui me baisait. Elle se releva, s'asseyant sur le lit, une jambe de part et d'autre de moi, elle me pénétrait, me fixant dans les yeux et caressant sans pudeur de sa main libre son sexe, presque collé au mien.

La voir par en dessous, si belle et si fière, ses seins parurent énormes et bougeaient au rythme de ses gestes .. Je sentais vibrer tout mon bassin, ses quatre doigts formant comme un seul et gros sexe en moi, son pouce massant lentement mon anus délicat, elle me faisait jouir et jouissait de me voir. Elle se mit à gémir, m'ordonnant de venir, de lâcher sur ses doigts tout mon plaisir humide et de me laisser aller à un orgasme brutale.. Je me mis à crier, elle m'encourageait, me traitant de salope qui aime se faire doigter. Et son pouce en poussant l'entrée de mon cul, déclencha mon orgasme. ma mouille coulait gluante de mes lèvres gonflées, jusque sur mon clito, et, sous l'effet de la gravité, l'indécente liqueur tombait par goûtes blanches sur mes seins écrasées.

Elle aussi jouît. Je la vis fermés les yeux un court instant en se mordant les lèvres, petit orgasme discret accompagnant le mien.. Elle ne s'arrêtait plus de pénétrer mon sexe, m'envoyant à chaque coup loin sur une nouvelle vague de plaisir majestueux.. Et je savais en moi que le plaisir venait autant du bien qu'elle me faisait que de la situation... Moi par terre, à l'envers, toute offerte à sa gloire, me faisant jouir d'une main tout en se caressant, jeune dominatrice aux pouvoirs sensuelles, apprenant tellement vite l'art saphique de faire jouir..

Je pense que je n'en ai pas finit avec Laure.... Son odeur est si belle, qu'elle envahit encore en ce moment même, mes souvenirs obscènes.. avec ou sans culotte..

Partager ce message


Lien à poster

×

Important Information

By using this site, you agree to our Terms of Use.