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AsMoth

Ma cousine m'excite au point de ma faire jouir devant elle !

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Je vais vous parler de ma petite cousine Géraldine...

On était en été. Ses parents m’avaient invité à passer une journée ou deux chez eux. Cela faisait longtemps que je ne les avais pas vus, y compris ma petite cousine Géraldine.

Les retrouvailles furent enjouées. Géraldine avait drôlement « poussé » : du haut de ses dix sept ans, elle affichait un vrai corps de petite femme : des seins pointus et des fesses bien rondelettes, appétissantes. J’avoue avoir été légèrement déstabilisé en la voyant belle comme un cœur devant moi après près de deux ans sans la voir, à un âge où le corps change si vite.

Ses parents n’ayant pas eu le temps de faire les courses pour ma venue – ils sont commerçants – ils nous laissèrent tous les deux seuls en ce début d’après-midi. Vivant dans le sud de la France, il faisait particulièrement chaud. Je m’étais vêtis de mon microshort.

Géraldine s’excusa un instant et vint me rejoindre sur la terrasse pour prendre le café. Elle avait prit le temps de se changer. Elle avait quitté son top et sa jupe pour une robe rose très courte et ultra moulante, avec des bas bariolés lui arrivant juste au-dessus des genoux. La vraie petite lolita en somme. Je la vis passer devant moi en roulant admirablement du cul comme le font les grandes pour venir s’asseoir sur le banc balançoire situé juste en face de moi.

A peine assise, voilà que sa robe ultra courte s’était déjà retroussée. On se mit à parler de tout et de rien. Elle croisa les jambes de façon à arborer une tenue « correcte », mais déjà le trouble se répandait en moi. la vue de ses cuisses lisses commençait à m’exciter. J’avais beau me dire qu’elle était ma cousine, et plus jeune que moi de dix ans, rien n’y faisait. Elle avait quelquechose d’odieusement sexy en elle. Elle se mit alors à parler de ses chaussures à semelle compensée et de ses bas colorés me disant qu’elle les avait achetés le matin même. Elle me demanda si j’aimais bien. Je lui répondis que oui. Et là, se mettant à discuter fringues comme si de rien n’était, Géraldine ouvrit les cuisses et posa sa cheville droite sur son genoux gauche… un peu comme nous faisons nous les mec… sauf qu’adoptant cette position pour le moins « cool et décontractée », je vis apparaître en-dessous de son tibia sa petite culotte rose flashy. Un choc me vit vibrer le cœur. Elle leva ensuite sa cuisse pour tirer sur son bas en me disant que finalement elle les trouvait un peu trop courts. Je ne sus quoi répondre je sentis mon sexe commencer à gonfler dans mon short. Je me mis alors à la charrier sur le fait que sa mère ne voudrait pas qu’elle aille à l’école comme ça. « Ma mère, je m’en fiche ! » fut sa seule réponse. Géraldine se redressa alors du dossier du banc et s’asseyant sur le rebord de celui-ci, elle écarta les cuisses, au point que je pus voir les moindres motifs de sa petite culotte. Gloups.

En l’absence de mots, Géraldine de radossa au fond du banc et levant les deux pattes en l’air, lui donna son mouvement d’oscillation. Cuisses bien levées, ce fut son entrecuisses qu’elle m’offrit cette fois-ci. cette petite « boule de chair » que formaient les lèvres de sa petite chatte, visiblement bien gonflées. La coquine scruta ma réaction par-dessus ses genoux. Le mouvement de balancier était exactement celui qu’il aurait fallu pour que ma queue s’enfonce en elle en totalité. Des pensées obscènes me venaient à l’esprit. Je me sentais bander de plus en plus fort. Moi aussi je dessinais une boule d’excitation dans mon vêtement.

Je me mis à lui parler de la famille pour tenter de rompre ce silence si pesant qu’il nous menait tout droit à l’irréparable. Je n’aurais pas du. L’effet provoqué fut le contraire de celui escompté. Saoulé par mes propos dépourvus d’intérêt, Géraldine n’eut pas d’autre idée que d’écarter amplement les cuisses cette fois-ci devant moi, le dos affalé sur sur le banc. Son entrecuisses en première vue donc, qui me fit perdre mes mots et le sens de mes idées lorsque je devinai la forme des lèvres de sa petite chatte moulées par ce que j’imaginais être un string en nylon. La coquine s’amusait à se balancer lentement d’avant en arrière, la minette au bord de l’assise du banc, les cuisses outrageusement ouvertes. Il me sembla deviner son clitoris pointer et tendre le nylon rose fluo. Ça ne pouvait être qu’un string à la manière dont il disparaissait entre ses fesses, à la façon dont il était très échancré à l’entrejambes, laissant deviner autre chose : Géraldine se rasait la minette ! Oui, le temps avait coulé et maintenant c’était au tour de ma grosse queue qui se bandait dans mon short étriqué. Géraldine ne tarda pas à le remarquer, reluquant sans gêne cette bosse de chair dure et virile prendre forme au fil des secondes.

Ma présomption se confirma définitivement lorsque Géraldine s’avachit plus encore sur son banc et que je vis la moitié de ses jolies fesses rebondies en dépasser… les cuisses ouvertes ! Et voilà ensuite que son petit manège recommença : Géraldine leva à nouveau ses deux jambes en l’air, jointes, et se mit à se balancer. Cette fois-ci, assise au bord du banc, c’était son joli petit cul que je devenais sans mal. Cette position avait dû par ailleurs tendre son string, si bien que les cuisses ainsi serrées l’une contre l’autre eut pour effet de mouler les lèvres charnues de sa belle chatte. Le silence se fit. Moi, je bandais comme un âne dans mon short. Géraldine riait malicieusement en matant la bosse dessinée par mon sexe qui n’avait pas explosé depuis plus d’une semaine. Mon gland ultra sensible me torturait. Mais que pouvais-je faire ?! Moralement ? Physiquement ? La petite garce de Géraldine me prenait au piège de ses charmes de jeune femme qu’elle avait visiblement bien apprivoisés ! Elle n’hésita pas à mater un instant entre ses cuisses que maintenant elle écartait légèrement pour me voir porter ma main à mon sexe sans même m’en rendre compte. Œil pour œil, dent pour dent, elle en fit de même lorsque je vis sa main glisser de son ventre vers son entrejambes, avant de poser les pieds à terre.

J’avais la bite en feu, presque douloureuse. Géraldine se redressa sur le banc et se pencha en avant mon mater le mieux possible mon état d’excitation avancé. Là, elle se leva du banc, et me dit : « Attends, je vais mettre un peu de musique ». Ok, me dis-je. Je vis alors Géraldine pivoter sur elle-même et s’agenouiller sur le banc… le poste radio étant posé sur l’étagère située derrière ce maudit banc ! Gégé n’hésita pas à retrousser devant moi sa robe qui faisait maintenant office de tee-shirt, Gégé se retrouvant les fesses à l’air devant moi. Je la vis donc tout d’abord se pencher en avant pour saisir le dossier du banc à bascule pour le stabiliser. Puis Gégé s’agenouiller dessus, lentement, cambrant merveilleusement son joli cul pour que je ne manque rien au spectacle. Mon dieu quel cul ! C’est à ce moment là que j’ai cédé.

Sentant ma queue si douloureusement tenue dans mon maudit short, je ne pus m’empêcher de glisser ma main posée sur ma cuisse à l’intérieur de la petite jambe droite du vêtement pour m’emparer de mon gros chibre

Et enfin le libérer. Je profitai du fait que Géraldine me tournait le dos pour me soulager. Mais le fait d’avoir sorti mon sexe aussi raid me condamna à ne pouvoir l’y remettre. Je me caressai alors le sexe à pleine main, avant que je ne voie la tête de Géraldine tourner vers moi. Elle avait fait balancer le banc pour tenter d’accéder au poste qui était trop loin. « Tu veux venir me tenir le banc pour que j’allume la radio ? Elle est trop loin ! ». Mon ticket pour l’enfer !

Ses yeux captèrent et se rivèrent sur la barre de chair dire et virile que je tentai désespérément de cacher. Arrivant à la reloger qu’en partie dans mon microshort tout en me levant, je vis un pas et voilà que ma queue sortit tout en entier. La honte ! Heureusement, je m’étais mis dans l’angle mort de Géraldine qui ne put, je l’imagine, le voir. Mais j’avais la queue littéralement à l’air et je m’approchai d’elle. Je n’aurais pu tenir le banc sur le côté au risque qu’elle n’aperçoive le « poteau rose » –lol- ! Devant rester derrière elle, il n’y avait plus qu’une solution : rester dans son dos. Sa chatte ne pouvait qu’être elle aussi gonflée d’excitation tant les lèvres dessinaient une boule de chair. Son string était odieusement tendu dans sa raie culière qu’elle gardait outrageusement ouverte. J’en devinai sa petite rondelle. Les rires de Géraldine finirent par me faire céder. Je posai ma main droite sur son cul pour la pousser vers l’avant. Ma main glissa, je ne sais si c’est par manque de force tant j’étais aux abois ou si c’est parce que je trouvais mal placé de poser ma main sur ses fesses. Elle glissa donc… Je tins Gégé à sa hanche, mais elle était trop loin pour arriver jusqu’au poste. « Tiens- moi ! » me dit-elle. Elle me souriait. Je craquai. Ma main vint de nouveau se poser sur sa fesse, lisse et ferme. Gégé m’offrait son cul et sa chatte avec tant de générosité… J’apercevais maintenant les plissures de sa rondelle ! Mon autre main se posa sur son autre fesse. Ma queue toucha sa chatte. Je poussai devant moi en fermant les yeux face à ce tableau chaotique et infernal. Ma queue se redressa à l’horizontal. Je suppose… Le son de la radio se fit entendre. Je relâchai la pression de mes bras vers l’avant. Les yeux ainsi fermés, je n’avais que pour seule information de l’extérieur la sensation de son joli cul. Gégé revint vers moi, je ne sais comment, sans doute se baisse-t-elle exprès, mais voilà que Géraldine accueillit ma grosse bite qui vint se caler à la verticale entre ses fesses.

- Aahh… Je me mis à gémir.

Gégé me regarda à peine, le sourire aux yeux. Et là, gardant le mouvement de balancier, léger, Gégé se mit à se frotter le cul et la chatte contre ma queue, en dessinant des mouvements de bas en haut le long de mon sexe. Je sentis la peau de mon sexe se tendre, mon gland trempé de mouille se décalotter.

- Ooh ! Géraldine…

Elle ne me répondit que par un regard malicieux. Elle posa alors les pieds à terre pour prendre meilleur appui et elle continua de faire glisser ma grosse bite dans sa raie culière, en gardant les jambes bien tendues. Je fondais, tant physiquement que moralement. Je n’étais qu’une queue bien raide prise au piège d’un cul de rêve. C’est à ce moment là que je l’entendis gémir à son tour.

- Tu as un si beau cul !

Je ne me contrôlais plus. elle ne me répondait que par des gémissements d’excitation à sentir cette belle queue d’homme en rut écraser son fruit et exciter sa rondelle.

Géraldine finit par se tourner vers moi et ne tarda pas à prendre mon gros manche à pleine main. Debout, immobile, sa sensation de sa main douce et frêle sur mon chibre m’emporta. Je me laissai faire.

Les choses continuèrent s’empirer : Géraldine abaissa sa robe et se retrouva avec ses petits seins à l’air devant moi. Elle se mit à les caresser d’une main, pendant qu’elle me masturbait avec délicatesse de l’autre. bordel où étais-je ? En enfer ? au paradis ? Dans l’enfer de la morale et dans le paradis des sens et du plaisir. Ça devait être ça !

Géraldine s’assit alors de nouveau sur son banc et plongea une main dans son string, elle continua de me masturber à pleine main. Elle dévorait mon gland luisant de mouille du regard. Je rêvai un instant qu’elle l’enfourne dans sa bouche coquine. Mais ses doigts ne parvenant à faire le tour de mon chibre épais le saisissaient pour tendre merveilleusement la peau, exciter mon frein et provoquer en moi un plaisir immense. Ses doigts semblèrent se montrer efficaces, car Géraldine ferma les yeux et se mit à gémir de plus en plus profondément, sentant très certainement sa petite chatte fondre. Ne pas la baiser ! Ne pas la baiser ! Me disais-je en boucle. Le pourrais-je vraiment ? me disait une autre voix, alors que je ne sentais approcher à grands pas de l’éjaculation tant cette situation m’avait d’entrée de jeu poussé aux limites.

Géraldine relâcha alors ma queue au bord de l’explosion et me fixant droit dans les yeux tout en se vautrant dans le banc balançoire me dit :

- Caresse-toi devant moi !

En obéissant à sa volonté, je n’étais plus une victime. Géraldine tendit les jambes en l’air et les ouvrit ensuite

En grand. Face à mon immobilisme, elle renchérit :

- Je ne t’excite pas ? Branle-toi ! Je veux te voir te branler devant moi !

Une fois de plus, je ne résistai pas.

Prenant mon chibre à pleine main, je me mis à me masturber en dévorant des yeux le spectacle que Géraldine m’offrait. Ses seins semblaient avoir grossi d’excitation. Ils dardaient forts en tout cas.

- J’aime ta grosse queue ! me dit-elle e but en blanc.

Elle ne devait pas mentir. Sa les lèvres de sa petite chatte et son clitoris étaient généreusement moulés par son string en nylon qui dévoilait tout de son état d’excitation.

C’est à ce moment là que je vis la main gauche de Géraldine glisser le long de son ventre et venir exciter ses chairs intimes. Lorsque le masque dressé par sa main portée sur son fruit se leva, ce fut ni plus ni moins que son fruit éclaté qui apparut en transparence sous le string : les petites lèvres étaient toutes ouvertes, gonflées de désir.

- Branle-toi ! Branle-toi ! la petite midinette osait-elle exiger !

Je respirais bouche grande ouverte tant l’air me manquait ; tant la tête me tournait. Gégé se redressa sur le bord du banc et plongea sa main cette fois-ci à l’intérieur de son string pour se caresser la chatte à nouveau. Elle fondit à son tour de plaisir. Je voyais son majeur bouger sous le nylon rose fluo. Il exerçait une pression intime et excitante sur son clitoris. Gégé fondait de gémissements. Son corps se cambrait aussi soudainement que ses gémissements se transformaient en petits cris de plaisir. Les yeux fermés, elle semblait s’envoler. Ses joues se mirent à rougir à vue d’œil, en l’espace de quelques secondes. Elle fit onduler son corps et frotter son entrecuisses contre ses doigts. Géraldine avait la minette en feu. elle se mit à onjduler de plus en plus fort ; à gémir aussi de plus en plus fort. Les pointes de ses petits seins se raidirent. Un long gémissement ; Géraldine eut son orgasme. Je réussis à deviner par l’ondulation de son corps et la pression exercée sur son fruit la vague de plaisir remonter et inonder ton corps tout entier. Passées plusieurs secondes, elle rouvrit les yeux et fixa ma barre de chair dure prête à exploser, encore gémissante de plaisir.

Géraldine se leva et commença à baisser son string. Elle me demanda alors de m’asseoir dans mon fauteuil. Debout en face de moi, je la vis alors baisser plus encore son string, laissant apparaître son pubis. Des poils coupés ras en forme de « ticket de métro ». Une chatte de [vraie] femme. J’allais exploser d’une seconde à l’autre. Il le fallait. Face à un tel spectacle aussi intense en beauté, en plaisir intense qu’en émotions diverses, j’avais plus que jamais besoin d’éjaculer. Mon sexe me le suppliait.

Géraldine abaissa son string jusqu’à ses genoux et se rassit sur le rebord du banc à bascule. Je la vis passer sa main entre ses cuisses en reluquant mon sexe raide sans interruption et son majeur glisser et disparaître entre les lèvres lisses et gonflées d’excitation de sa jolie chatte. Géraldine se remit à se doigter avec lascivité devant moi. Son, puis ses doigts travaillaient sa chatte avec intensité. Géraldine ne gémissait plus, elle râlait de plaisir. Ses doigts fouillant et travaillant son intimité, sa chatte clapotant de mouille, ses yeux posés sur mon sexe en fusion… j’explosai. Grimaçant de douleur, je sentis mon sexe se raidir. Ce courant électrique dévastateur – celui qui déconnecte tout, ce détonateur – saisir mon sexe puis mon corps tout entier, avant que les charges explosives ne viennent se manifester en spasmes violents, malaxant ma queue, mes couilles mon gland. Je me mis à exploser littéralement de sperme devant ma petite cousine, qui, voyant ce sperme épais gicler puissamment de mon sexe, se mit à jouir une dernière fois. Des gémissements très aigus cette fois-ci. Je râlais sans retenue aucune mon orgasme. J’éjaculais de longues traînées de sperme épais devant moi, maculant le sol de la terrasse de ma semence brûlante dans ce claquement si typique des éjaculations bien fournies. Géraldine lâcha de puissants et courts gémissements, les pointes de ses seins prêtes elles aussi à exploser.

Une fois nos orgasmes terminés, tous deux nous affalèrent chacun dans nos supports respectifs. Moi dans mon fauteuil. Géraldine sur son banc. Elle gardait son string à ses genoux, mais serrait les cuisses, allongée sur le banc, en extase totale, perdu dans les cimes du plaisir.

Revenant à moi, je réalisai que j’avais massivement éjaculé sur le béton gris. J’essuyai comme je pus mes traces de sperme, renversant la carafe d’eau dessus à la fin pour dessiner une tâche unie et plus large.

Je partis de suite à la douche. J’empestais la transpiration et l’odeur de sperme, puisque quelques jets avaient giclé sur mes cuisses. J’espérai que Géraldine reprenne rapidement ses émotions. Il ne fallait pas que ses parents sachent la moindre chose de ce qui venait de se passer. Ni pour elle ; ni pour moi.

Au moment où je finis ma douche, j’entendis Géraldine claquer la porte de sa chambre. Ouf, elle était remontée.

Depuis cet instant, nos yeux ne se regardent plus de la même façon. Je crains Géraldine et ses pouvoirs de femme dont elle sait si bien user. Une vraie petite bombe !

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Guest Mysterious1976

Sympa la cousine :o

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Très beau récit, bien écrit, et très excitant! :o

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Je ne réagis pas facilement à la lecture d'un récit. Mais ton récit m'a donné envie de me masturber. C'est pas fini alors je vais le relire ! :):o

En fait j'ai vécu il y a fort longtemps une envie similaire non assouvie. Ma cousine m'avait fortement échauffé en s'assayant sur mes genoux. Mais comme nous étions cousins elle n'a pas voulu donner suite. Je le regrette encore.

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Guest virtualsx

super excitant .... hummmm qui va se masturber maintenant ..... :o

et bien oui hummmmmmmmmm !

Julie 88, tu vas craquer ?

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super récit, excitant au possible :o et toujours très bien écrit

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... et puis il y a eu d'autres contactes???? Raconte

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Guest plaisir-mutin

sympathique comme récit

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Je vais vous parler de ma petite cousine Géraldine...

Super récit et super cousine :)

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humm humm ke d'excitation que tu a du avoir ! !

ca doit être a la fois surprenant au départ et envoutant par la suite ! on ne doit pas trop s'y attendre venant de notre petite cousine !

j'aime beaucoup votre petite famille ! ! lol

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:aime2: Quel charmante petite cousine tu as là !!!!! :(

Y a t'il eu autre chose entre vous deux après cela ???

En tout cas, bien narré et récit des plus excitant ma fois !!!!

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