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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Guest Valence

un séjour (tres) nouveau

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Guest Valence

C’était lors de vacances sans efforts dans un club. Avec ma copine (depuis 5 ans, assez sérieux) Le genre pas très cher avec le minimum indispensable : la mer, une bouffe correcte, une belle plage et du vin local qui, servi bien frais, faisait agréablement passer tout le reste.

Le reste c’était le summum de la beaufitude : les bobs, les familles nombreuses et les starlettes qui se font la crepe 24/24. Alors le soir venu, à l’heure où on commençait à déboucher les petits rosés, l’atmosphère devenait plus agréable.

La deuxième semaine on a vu arriver le lot des nouveaux, tout blanc. Parmi eux un couple jeune et beau (comme nous) assez à l’aise et gardant du recul avec l’équipe d’animation parfois très saoulante. A force de se croiser sur des excursions qu’on avait enfin trouvé la force de faire, de se retrouver avec les mêmes rires moqueurs lors des soirées scrabble ou disco, on a fini par se remarquer sans oser s’approcher.

Et puis une aprem, vla ma copine qui revient toute gaie : elle a testé les massages (60 € / heure). Etonné de son entrain elle me dit que le massage était nul mais qu’elle y avait rencontré S…. la fille du couple qu’on avait remarqué. A première vue, ils habitent à une dizaine de stations de chez nous (paris) bossent tous les 2 beaucoup (comme nous) et ne demandent rien d’autre à leurs vacances que de décrocher du quotidien. Le soir on les invite naturellement à notre table. Lui, N….. est plus jeune, que moi, très beau, traits fins et un corps fin. Elle est asiatique métissée, mince avec une petite poitrine toujours présente avec ses tetons perpétuellement dressés.

Ils sont drôles, moins portés que nous sur le vin mais finissent par y gouter assez pour développer une complicité étrange, entre appréhension et franche camaraderie. Nous nous impressionnons mutuellement, tachant d’éviter les sujets qui pourraient s’avérer facheux. On passe une super soirée et on se couche chacun dans son bungalow.

Le lendemain, on a comme toujours un peu la gueule de bois et on s ‘attend à s’éviter. Surprise : ils nous invitent pour le déjeuner et très vite reprend cette complicité naissante qui nous rapproche en quelques repas à un rang de confidents.

Magie des vacances ou volonté inconsciente de précipiter les choses, on ose des choses, des sujets. Un soit qu’on enquiquine les mauvais coucheurs à discuter et rire sur la terrasse en front de mer, je profite de l’ambiance pour parler sexe.

D’abord gênés je crois avoir fait une boulette. Ma copine, K…. devient mal à l’aise et me lance des regards plein de reproches. Et là S… lâche un large sourire aux lèvres :

« On va rien vous cacher, on est bi »

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Guest Valence

On reste un temps assez long avant de digérer ce qui, vient d’être annoncé. On s’attendait à quelques anecdotes déplacées quelques confidences salaces mais ca !!! S…. voit bien qu’elle nous prend de cours et veut nous rassurer :

« vous z ‘inquietez pas on est pas des obsédés. On est comme tout le monde seulement on s’arrête pas au sexe opposé pour prendre du plaisir »

K….. déteste les situations où y’a un malaise et veut rassurer elle aussi :

« mais y’a aucun probleme, on est pas habitué, c’est tout… hein ?

Elle se tourne vers moi. Emoustillé, je reponds de but en blanc :

« a moins que vous ne soyez en train de nous faire une proposition ?

Je n’ose regarder ma copine, fier et angoissé de mon arrogance. C’est lui qui répond, après s’être levé, son short blanc dévoilant une partie de son membre lui aussi apparemment emoustillé.

« on vous laisse le temps d’y penser. Notre bungalow est le 221.

Je n’oublierai jamais ce nombre. Ils se lèvent et nous quittent, main dans la main. Je n’ose regarder K…, apeuré de sa réaction.

« t’as pas un peu trop bu ? »me dit elle. Au son enjoué de sa voix je sens qu’elle n’est pas insensible à l’érotisme de la situation. J’assume et repense aux tetons pointus de S…., à son cul bien rond et ferme, à la bosse du short de N….

Je la regarde droit dans les yeux.

« Non. Et toi ?

« Non. On y va ? pour voir…

« pour voir ».

Et on se dirige vers le bungalow 221, excités. Lorsqu’on croise du personnel, quelques fetards, on ose pas les regarder, tout honteux. Arrivés devant la porte en bois avec le chiffre tant désiré inscrit, on se précipite et c’est deux coups qui résonnent. C’est lui, qui ouvre, torse nu, calme, un sourire aux lèvres. Il nous invite à entrer, et je me surprends à mater ses fesses à présent bien visibles sous son short qu’il a pris soin de débarrasser du slip. K…. me surprend et s’en amuse.

« Sophie est dans la salle de bains, elle aime bien se préparer…

Il s’assoit sur le canapé de tissu gris et ecarte les jambes, son sexe lourd laisse apparaitre son gland rose et beau, le long d’une cuisse. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens attiré, moi qui n’ai jamais eu de pulsions gaies. J’ai chaud et il me dit d’enlever ma chemise. Je m’execute et découvre mon torse, encore bien fait malgrés les 10 jours d’exces passés.

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Guest Valence

Je ne pense plus à Karine qui voit se peindre sur son visage une expression que j’avais jusque là entre aperçu, dans nos ébats osés… Sophie vient d’arriver. Elle a troqué son top seyant pour un soutien gorge seins nus, où ses tetons apparaissent, enormes, tendus, irresistibles. En manque d’imagination ou par fantaisie, elle a assorti cet accessoire o comment erotique à un large slip blanc où sa taille apparait encore plus menue, adolescente. Le contraste est saisissant.

Elle remarque avec amusement mes yeux affolés filant de ses seins à la pose suggestive de Nino. Elle s’avance de sa main gauche et saisit mon sexe dur, en regardant Karine :

« je suis heureuse que ca plaise à ton mec, et toi, tu aimes ?

Karine se penche vers Sophie et l’embrasse sur la bouche, ma bite toujours emprisonnée de la main de Sophie. La voir embrasser avec envie cette bouche fine et humide m’excite tellement que je faillis éjaculer. Sophie n’a pas perdu de temps et a glissé dans le chemisier de karine une main baladeuse qui frole la poitrine généreuse et brune de ma copine et future épouse !!!

L’excitation est à son comble. Je n’ai qu’une envie : les voir couchées toutes les deux. tout en découvrant le corps brulant de Karine, Sophie me lance un regard de défi.

« ca te plait, de voir ta copine avec moi, tu sais ce dont j’ai envie, moi ?

Je marmonne un non essoufflé.

« je veux que tu t’assois à coté de Nino et que vous vous branliez tous les deux. »

Elle ôte sa main de mon pantalon et m’invite d’un grand geste à rejoindre Nino, la bite sortie d’un pan de son short, en train de se branler. je m’assois près de lui et je ne peux m’empecher de regarder ce membre tendu près de moi, le va et vient lent, lascif de la main de Nino, son ventre musclé luisant… la transpiration suitante de son corps quasi nu.

Pendant ce temps Karine et Sophie sont debout collées l’une contre l’autre, le chemisier de karine ouvert, sa poitrine carressée, pétrie, malaxée des mains expertes de Sophie, qui fait briller de rapides coups de langues le 95 C dévoué de karine. Elle laisse ses mains diriger ses désirs : la main gauche a saisi le petit sein droit de Sophie et le presse, l’autre main frotte vigoureusement l’entre cuisse de Sophie, a present tres humide. Je me branle energiquement, mes coudes frottant le corps luisant de Nino. Sophie sans cesser de ploter Sophie nous regarde, autoritaire ;

« branle le !

Ce message d’adresse à moi mais nous nous exécutons ensemble, changeant de sexe, chacun occupé à amener l’autre à jouir tandis que nos ma femme s’est penchée sur les seins de Sophie et gobe ses tetons voracement.

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Guest Valence

Moi, j’ai du mal à laisser mes yeux hors du sexe dressé que je branle, sa peau douce et nervée m’invitant à de nouvelles tentations. De son coté Nino a ralenti le rythme et malaxe plutôt que branle ma bite. Sa main délicate, moins pressée que la mienne, me touche tant et si bien que je finis par jouir, un jet libérateur allant s’écraser sur la cuisse droite de Karine. Mais elle ne s’en soucie guere, trop occupée à suivre les désirs de Sophie, notre guide de cette nuit pornographique. Celle-ci se détache de Karine et vient s’agenouiller devant mon sexe relâché, trempé de sueur, mes cuisses largement mouillées de mon sperme chaud et froid. Nino a toujours sa bite bien tendue entre mes mains et je n’ai qu’une envie : la mettre en bouche.

Sophie devine mon désir et demande à Karine d’enjamber Nino. Karine obeit et quitte à regret le corps brulant de Sophie, notre maitresse. Elle soulève sa jupe et sa chatte, trempée des milles caresses et baisers sur ses seins moites, n’a aucun mal à se laisser pénétrer par le sexe droit de Nino qui n’a pas enlevé sa main de mon sexe ratatiné. Incapable de résister aux vigoureux coups de reins de Nino j’assiste impuissant et jaloux à l’orgasme de Karine. J’envie son bassin pénétré du membre si plein de promesses de Nino, j’envie ses fesses fermement tenues par une main de Nino, j’envie les insultes qu’elle lui lance tandis qu’elle nous quitte un instant, dominée par le sexe, le Sexe, le SEXE.

Et tandis qu’elle se laisse rapidement gagner par l’orgasme, Sophie a remplacé la maind e Nino par sa petite bouche qui ranime ma verge. Si bien que lorsque Karine pousse un cri long, intense, je ne vois qu’une partie du visage de Sophie, masquée par mes 19 cm de désir renouvelé. Elle s’assure que Karine s’apaise, le visage enfoui dans ses longs cheveux noirs, la tete baissée vers le crane de Nino, affairé à lui lecher les seins. A sa respiration courte, douloureuse, je devine que Nino n’a pas ejaculé, que son membre enorme la penetre et qu’elle lutte, sa gorge vaginale serrant jusqu’à la douleur ce membre étranger qui la viole.

Je ne peux m’empecher d’interrompre cette souffrance, plus envie de toucher Nino que de libérer ma femme de son etreinte. Il abandonne ainsi sa poitrine mais la tiens toujours bien ancré sur son sexe. On se rapproche et il saisit à nouveau mon sexe et tandis qu’il me branle, nous nous embrassons amoureusement. Ce dénouement inattendu ranime la fievre de karine qui s’agite doucement, d’avant en arrière, susurrant des mots d’encouragement :

« oui, c’est beau, mords lui la langue, branle le, fais le jouir.

C’est très excitant de voir ma compagne m’intimer de toucher ce corps étranger et magnifique. Mes mains devenues inutiles je lui presse la cuisse et de l’autre guide se main sur ma bite. Sophie s’est éclipsée et revient, une curieuse ceinture de cuir à la taille, elle me montre un gode noire, épais, sublime.

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Guest Valence

Et c’est avec une servitude délicieuse que je lui demande de poser son gland infatigable sur ma bouche affamée. Elle le pose délicatement sur les lèvres, il est très gros. Je le leche, en pensant à la bite de Nino. Je suce tant que je peux ce double en latex du membre que je désire le plus au monde, celui-la meme qui recommence à faire jouir Karine, très excitée à l’idée que de me voir sucer et désirer une bite, comme une femme.

Sophie a vissé le gode sur sa ceinture et à l’attention qu’elle y porte je devine que sa ceinture est équipée d’un double gode qui lui procure déjà beaucoup de plaisir. Elle me retire le membre de la bouche et se poste derrière Karine. Elle plaque le gode contre ses fesses et la force à se cambrer. Karine s’exécute et la voici presque couchée sur Nino qui continue de la marteler de son sexe dur pendant que Sophie étale généreusement de la vaseline sur la rondelle de ma femme. Quand elle commence à approcher l’énorme gode des fesses haletantes, je pousse un grand cri.

« non ! Prends moi !

Incapable de resister aux prises de Sophie, Karine fait un brusque mouvement arrière et d’une main précise fait entrer le gode dans sa rondelle. Dans la précipitation, le sexe de Nino s’échappe et repose, luisant, sur son torse.

Sophie commence à défoncer Karine qui jouit de plus en plus fort et Nino en profite pour se dégager de leurs étreintes pesantes pour se poster devant moi, la bite tendue plus que jamais.

Il commence à lecher ses doigts et enduit ma rondelle, offerte à lui, de sa salive. Après l’avoir répété plusieurs fois, il commence la sodomie…

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Guest Valence

Et alors ? Que croyez-vous ?

Je me retrouve pour la première fois de ma vie objet sexuel de deux êtres que je croyais connaitre, ma copine est transformée en servitrice d'une femelle dominatrice et moi j'ai les genoux relevés jusqu'aux épaules par les mains fermes d'un superbe latino.

je n'avais qu'une envie : qu'il me pénètre. je n'avais jamais stimulé cette zone et ce penis gonflé à bloc que la chatte trempée de karine n'avait pas réussi à épuiser se trouve dressé, à quelques centimètres sous mes testicules. J'ai naturellement guidé le gland vers l'endroit qui le désirait le plus et il a commencé à me pénétrer...

C'est vraiment difficile à expliquer. Ceux qui connaissent la pénétration anale me comprendront. La première fois on est partagé entre le désir de savoir et la peur d'avoir mal.

Quand il a commencé à l'entrer dans mon trou, je croyais m'enfiler un train : c'était dur, enorme et irresistible. Après un pallier de douleur, le plaisir a commencé. C'est la plus grosse sensation sexuelle que j'ai jamais eue : le sexe de Nino écartait des paroies inconnues de moi, dans une stimulation intense sans pause.

Je voyais son sexe entrait doucement et mon plaisir augmenter. A ma grande suprise il a été jusqu'au bout, dès la première pénétration. Nulle douleur, juste une gigantesque sensation d'abandon. Il appuyait de sa verge sur la touche magique de mon corps.

je ne bandais pas et pourtant je jouissais ! Incroyable. ma bite était là, pendante sur mon nombril. je me sentais dépossédé de toute virilité. j'étais une femme et c'était merveilleux

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Guest Valence

Ensuite je me suis complètement abandonné : j'ai hurlé de plaisir, il a accéléré le mouvement. la tête en arrière, incapable de penser, je me faisais marteler à grand coup de bite. Karine près de moi hurlait, Sophie ne lui laissait aucun répit.

je ne la voyais pas, les yeux grands ouverts incapable de rapporter à mon cerveau le plafond gris, j'étais mitraillé, je jouissais à chaque pénétration, plus vite, plus forte, plus intense. Il a fini par jouir, dans un dernier coup qui m'a soulevé de quelques centimètres les fesses. Il est resté là un moment appuyé contre moi, sa verge déversant des litres de foutre. Mais c'était une horreur pour moi : j'avais joui au moins 3 fois, mon ventre était couvert de sperme, de mon sperme, et voila que le sublime baton qui fouettait pele mele mon cul et ma fierté, s'arretait de vouloir donner. Il l'a retiré. Je hurlais de désir. Je bandais dur, il était épuisé.

Alors il s'est retiré et est resté planté de vant moi, debout, son gros sexe pendant, luisant de sperme, de son sperme. Et je me suis jeté dessus, j'ai gobé le gland mouillé, j'ai appuyé mes joues sur la chair chaude et humide et j'ai aspiré ce liquide nouveau, parfumé, délicieux. ce devait être douleureux pour lui car il poussait quelques gémissements. j'ai sucé, leché, embrassé ce membre nouveau, qui me faisait sentir femme.

Karine avait la tete enfoncée dans le canapé, ses fesses défoncées connaissant à présent le repit.

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merci pour ton texte superbe et stimulant :shock:

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Guest Valence

Mais Sophie n'en avait pas terminé...

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Guest Valence

Elle avait toujours sa ceinture diabolique et son soutien gorge sans pudeur. Elle était belle, presque nue, sa petite poitrine présentait ses deux énormes, durs et ronds têtons. Elle ne voulait pas que je suce Nino, elle voulait jouir. Et comme un trou ne lui suffisait pas elle voulait que je prenne celui de Nino pendant qu'elle me prendrait, mon cul incapable de refuser toute intrusion.

Alors elle a retiré doucement, d'un geste lent, la verge de Nino à présent revigoré. Elle lui a demandé de s'agenouiller face à Karine qui s'était retournée et observait les yeux mi clos, la scène qui se profilait. J'étais fier d'elle, de cet habit de décence qu'elle avait jeté. Elle était là, avachie sur le canapé, les jambes grandes ouvertes, une bouche entrouverte qui attendait la langue de Nino.

Mais fâché de me voir retirer ce pénis qui m'avait offert tant de plaisir, j'ai décidé de "prendre" les devants et de me révéler plus actif. Nino a commencé à lécher la chatte béante de Karine, j'ai intimé Sophie de le prendre. heureuse d'être son tour sujet et objet, elle a repris la vaseline et enduit son gode tout en se postant derrière les fesses bien rondes de son compagnon.

Celui-ci attendait avec impatience la venue en son sein de la bite en latex et s'appliquait à grands coups de langue à redonner à Karine une tonicité de ses entrailles en perspective de défonces futures.

L'effet ne se fit pas attendre : avec la même brutalité qu'elle avait usé sur le corps de Karine, Sophie enfila son mec et lui enfonça la moitié du gode d'un coup(soit quelques 10 cm de pur bonheur). j'observais un moment Nino pris entre ses deux femmes, l'une offrante, l'autre donnant et je l'enviais.

De mon coté je bandais dur. Je me suis calé derrière Sophie, me branlant un instant de son joli cul bien haut, bien rond et ferme, sanglé du strapp-on. J'ai salivé et mouillé le bout de ma verge, j'ai cherché sa chatte et l'ai forcé à se cambrer, ce qui a retiré un peu de son intensité le gode sur Nino. Et j'ai pénétré doucement, surement sa chatte.

Ses paroies étaient bien tendues, elle était toute excitée. Sure d'elle elle ne pensait pas que son heure viendrait si vite. Je l'ai pénétrée fort, baisé dur. Et je bandais encore plus en voyant le cul de Nino s'offrir à sa femme tandis que j'amenais à l'orgasme celle ci.

Ca wagonnait sec et Karine avait pris possession de la langue de Nino en serrant de ses mains sa tête comme pour la faire entrer dans sa chatte

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toujours un très beau texte qui me donne l'impression de participer ...

encore???

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