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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Drixé

SNCF ? c'est possible !... ou presque

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Bonsoir ! J’ai envie vous faire partager une expérience que j’ai eue il y a six mois de ça avec ma copine. A l’époque, nous ne sortions ensemble que depuis un mois, mais nous nous étions trouvés très rapidement sexuellement parlant. Comprenez par là que nous aimons tous les deux faire l’amour, (comme tout le monde non ?), aucun tabou, mais aussi nous amuser de nos excitations mutuelles, exciter l’autre dans des situations embarrassantes et ce quel que soit l’endroit. C’est très vite devenu un petit jeu coquin et très excitant.

Cette petite introduction rédigée, passons maintenant aux faits !

Nous avions prévu pour le WE de Pacques, de partir à Chartres (oui pourquoi pas ?), et ce par le train. Donc direction la gare, puis nous montâmes dans notre wagon, et nous assîmes à nos places, à l’arrière du wagon, l’avant dernier rang pour être exact. Nous avons tout de suite remarqué que l’arrière du wagon n’avait pas de porte, porte normalement présente pour le passage d’une voiture à l’autre, et nous avons prié pour qu’il n’y ait pas trop de voyageurs autour de nous, afin d’être plus tranquilles tous les deux dirons-nous. Manque de chance, un couple s’installa au dernier rang, dans l’autre rangée.

Le train quitta la gare, nous vaquâmes à nos occupations, pour elle, lecture de magazine, et pour moi, lecteur MP3 et magazine. Plus tard, ma puce me fit enlever mes écouteurs pour me faire remarquer que le fameux couple derrière nous s’embrassait langoureusement et que leurs mains étaient pour ainsi dire assez baladeuses. Et c’est en tournant la tête que je me rendis compte que la fille avait une de ses mains à l’intérieur de la cuisse de son chéri, et que monsieur tenait fermement les fesses de sa copine d’une main, pendant que l’autre parcourait son dos. Jusque là rien de bien méchant, mais je sentis dans le regard de ma copine que la vue de cette scène commençait à l’émoustiller. Elle se blottit contre moi en expirant bruyamment, tandis que je passai doucement ma main droite dans son dos, et ma main gauche posée sur sa cuisse droite. Quelques baisers tendres, et nous laissâmes les kilomètres défiler tranquillement.

Ce train n’étant pas direct, nous devions nous arrêter dans plusieurs gares. Et ô surprise, le couple installé derrière nous descendit au premier arrêt, ainsi que d’autre personnes de notre voiture. Nous étions désormais un peu plus tranquilles, en effet, les gens les plus proches étaient à trois rangées devant nous. Nous décidâmes donc de mimer le couple qui était derrière nous, et nous nous prîmes dans nos bras, et commençâmes à nous embrasser langoureusement nous aussi. Mes mains parcouraient son dos, ses cuisses, son cou, ses joues, et peu à peu nos respirations s’accélérèrent. Avec ma main gauche, je décidais d’effleurer ses seins, je sentis alors à travers son haut et son soutien-gorge, que ses tétons pointaient. Je l’entendis gémir lorsque mes doigts titillaient ses tétons, ce qui commençait sérieusement à m’exciter. Elle aussi savait utiliser ses mains à bon escient, et bientôt, elle esquissa un sourire accompagné d’un regard coquin lorsqu’elle toucha mon sexe durci dans mon pantalon. « Toi aussi tu es excité ? » dit-elle, je lui répondis que oui bien sûr, et elle me susurra à l’oreille : « t’as gagné, j’ai mouillé ma culotte ! ». Ma main gauche posée sur sa cuisse était alors attirée par la chaleur qui se dégageait de son entrejambe, je m’y glissais alors très lentement, toujours à l’extérieur de son pantalon, tout en continuant à l’embrasser. Tandis qu’elle écartait délicatement ses cuisses, j’arrivai avec mes doigts au niveau de son sexe, et je pouvais alors sentir la moiteur de l’endroit… Je n’en pouvais plus, elle continuait à me caresser mon sexe qui grossissait au rythme de mon afflux sanguin. J’étais trempé moi aussi, et à en croire ses mouvements de bassin et ses petits gémissement soigneusement retenus, elle désirait encore plus...

Ca vous plaît ? la suite ? :shock:

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Je déboutonnai son pantalon, et m’introduisis dedans avec ma main, pas tout de suite dans sa culotte, mais par-dessus. J’avais décidé de laisser monter son excitation et son désir encore plus longtemps. Je voulais qu’elle n’en puisse plus, je voulais que l’excitation générée par la proximité des gens autour de nous, mêlée à nos caresses, la rende folle. Elle était brûlante, et véritablement trempée. Pour ma part, je bandais tellement fort dans mon pantalon que cela me faisait limite mal. Elle le sentit, et dégrafa mon jean. Il n’y avait pas de raison que moi seul m’amuse ! Elle s’introduisit dans mon caleçon, et empoigna mon sexe rigide dans sa main. Elle entama alors un mouvement lent de va et vient. Je me devais de lui rendre la pareille, et plongeai ma main dans sa culotte, pour enfin pouvoir réaliser à quel point elle mouillait… Mon majeur se perdit entre ses lèvres, et j’entendis le bruit de son excitation, provoqué par les caresses de mon doigt sur son sexe humide. Son clitoris était aisément perceptible au toucher, et le simple fait de l’effleurer la faisait gémir à chaque passage. Un regard rapide devant nous, parfait : personne ne semblait alerté par le plaisir que nous nous procurions. C’était décidé, elle aurait un orgasme dans ce train !

Mon doigt se mit alors au travail plus intensément, j’alternai les passages dans le ruisseau de cyprine qui coulait dans la vallée formée par ses lèvres, puis tournai autour de la petite colline que dessine son clitoris. Elle prenait un plaisir fou, cela se voyait à ses joues rougeoyantes, à sa respiration de plus en plus prononcée, à ses mouvements de bassins. Je la voyais tenter de dissimuler ses expressions de plaisir sur son visage, de peur que quelqu’un ne la voit. J’accélérai encore plus les mouvements de mon doigt, elle approchait de l’extase, et la vue de ce superbe spectacle me faisait mouiller encore plus dans sa main qui continuait à tenir mon pénis en érection. D’ailleurs, elle ne semblait plus assez lucide pour continuer à branler mon sexe, elle était trop occupée à se préparer à jouir en silence, et je commençais à appréhender ce moment, arriverait-elle à rester discrète malgré son plaisir qui semblait si intense ? Elle ouvrit la bouche, les yeux fermés, et se crispa, ça y est, l’orgasme était proche. Elle baissa sa tête derrière le siège devant elle, et mordit dans sa main. Ses spasmes étaient puissants, je continuai à effleurer son clitoris avec mon doigt pendant l’orgasme, et elle resserra ses cuisses comme pour me dire « arrête, c’en est trop ! ». Elle me broyait la main dans son entrejambe, puis écarta ses cuisses pour me laisser m’en échapper. Elle dut attendre une bonne minute avant de relever sa tête et reprendre ses esprits. Quant à moi, je jetai un regard encore devant nous : c’est bon, personne n’avait remarqué qu’elle avait eu un orgasme très intense.

Elle me regarda dans les yeux, et me lança un « putain » qui veut tout dire, suivi d’un « à toi maintenant ! ». Elle sortit mon sexe de mon pantalon, et se baissa pour l’engloutir sans se faire attendre. C’était exquis… Tant d’excitation due à la situation, tant d’excitation de la voir jouir aussi, je n’attendais que sa bouche… Sa langue s’affaira tout autour de ma verge, de haut en bas, titilla ensuite agilement mon frein, puis ses lèvres effleurèrent mon gland. Elle s’appliquait, et faisait ça divinement bien. Je pouvais sentir le liquide translucide, dû à l’excitation, remonter le long de mon sexe. Je ne pus m’empêcher de fermer les yeux et me laisser aller, mais je devais rester attentif en même temps. En effet le train approchait d’une gare où des gens s’apprêtaient à descendre, de plus deux enfants chahutaient dans le couloir à l’avant du train. Mon esprit était tiraillé entre le plaisir que ma puce me donnait avec sa bouche, et la vigilance que j’avais envers l’agitation qui nous entourait. Une dame âgée postée devant la porte à l’avant du wagon attendait impatiemment que le train ne s’arrête pour descendre, et commença à jeter quelques regards en notre direction. Avait-elle vu les mouvements de haut en bas de ma copine qui voulait se délecter de ma semence. Pour ma part, je sentis cette douce chaleur s’emparer de moi, c’était bon ce qu’elle me faisait, très bon. J’avais les joues brûlantes, et n’y allons pas par quatre chemins : la tête de quelqu’un qui se fait sucer ! Les regards de la vieille dame se faisaient désormais plus insistants, elle parlait avec une autre dame qui l’accompagnait, puis tournait de nouveau la tête vers nous. Cette fois c’était sûr, elle avait compris notre petit manège. Je dus couper court à tout ça et dis à ma copine d’arrêter là… Je reboutonnai mon jean et nous reprîmes des positions normales dans nos sièges… La vieille dame esquissa un sourire révélateur de son voyeurisme partiel, avant de disparaître près de la porte.

Quelle frustration ! C’était tellement bon… Je m’en voulais d’avoir arrêté de la sorte ma chère et tendre dans son élan, c’est que je le voulais mon orgasme en public moi ! Le train s’arrêta les gens descendirent, puis le train repartit pour un quart d’heure de trajet qu’il restait à faire. D’ailleurs, cinq minutes plus tard, un des enfants qui chahutaient non loin de nous, s’approcha de nos sièges, nous nous dévisagea. Je n’imaginais même pas la scène s’il nous avait vus quelques minutes plus tôt, et je voyais déjà le père de famille venir nous passer un savon pour avoir fait des cochonneries devant son rejeton bien curieux. Un mal pour un bien dirons-nous… Comme si le dieu du sexe nous avait évité un scandale.

Ceci étant fait, nous arrivâmes à Chartres, et prenions place dans notre chambre d’hôtel. Et là je vous le donne en mille : nous continuâmes ce que nous avions dû stopper dans le train, et plus encore ! Ce fût une très agréable et très excitante expérience pour nous deux, et par-dessus tout, un très bon WE en amoureux.

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Le train je n'ai jamais osé, pourtant j'adore les lieux publics. Aurais-tu des conseils? :wink:

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Le train je n'ai jamais osé, pourtant j'adore les lieux publics. Aurais-tu des conseils? :wink:

Ben pas vraiment en fait ! Là pour le coup, la chance était avec nous, dans le sens où il y avait peu de monde dans le wagon, et qu'on n'avait personne derrière nous :wink:

Et puis c'était pas du tout prémédité, je pense que ce genre de choses, ça se décide sur le moment, totale impro !

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j'ai hate de reprendre le train avec ma copine...c'est quand la fin des greves !!!!

J'allais dire excatement le même genre de chose. Mais forcémment lorque nous prenons le train tous les 2 il y a toujours trop de monde dans le wagon...

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