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bénéM

voyeuse, j'ai tout avalé...

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Je ne sais pas si ça se dit comme ça.. ça peut paraître un peu porno comme annonce...

une fois n'est pas coutume, mais cette fois-ci, cette expérience s'est déroulée avec mon mari lorsque nous étions jeunes mariés. Invités chez des amis en we, nous étions 3 couples dans une maison de campagne. Des collègues de mon mari que je connaissais peu.

Après un diner parfait arrosé de vins délicieux et finit au coin du feu par du cognac de plusieurs fois mon age, nous étions allés nous couché à l'étage, rien de particulièrement érotique n'avait surgit dans les conversations, les hommes parlaient de leur boulot et les femmes de leurs hommes. et pourtant...

Pour ma part, Jacqueline, la maîtresse de maison, d'une cinquantaine d'année, avait attiré mon attention . C'est le genre de femme que j'aimerai être à son âge. Belle et féminine, terriblement sexy, drôle et dominatrice. Son mari a l'air de suivre à la lettre ce qu'elle dit. Elle est plus intelligente que lui mais sait rester discrète sur ce point. A première vue on se demande ce qu'elle lui trouve, il n'est ni beau ni sympa, plutôt réactionnaire, homophobe a ses heures, parlant haut et fort, d'un humour souvent douteux..

Une fois au lit, nous discutons avec mon homme, il est fatigué, mes mains se baladent sur son corps à la recherche d'indice d'excitation, les feux de cheminé m'ont toujours fait de l'effet. A lui, pas ! Il finit par s'endormir. Il fait froid, je n'arrive pas à fermer l'oeil, je suis en pygama, la maison est humide, je regarde par la fenêtre la pleine lune qui brille, mes pensées vont et viennent des sujets les plus chauds jusqu'aux plus anodins. Je cherche le sommeil.

Je ne sais pas combien de temps s'écoule lorsque j'entends du bruit. J'ai soif, j'ai du dormir un peu, les bruits viennent d'en dessous. Je me lève, mon mari dort et ronfle, vais à la salle de bain, bois, en profite pour pisser. Dans l'étroite cabine des toilettes, résonnent des gémissements intimes. Les bruits sont explicites, un couple fait l'amour, juste en dessous de moi, et c'est la chambre de nos hôtes si mes souvenirs sont bons. Cet éclair d'orientation me met le feu au ventre. Jacqueline se fait baiser à quelques mètres de moi, je l'entends jouir c'est sur et je suis juste au dessus.. La visite de la maison était claire, en bas il y a leur chambre, jouxtant une salle de bain, au dessus sous la pente du toit à l'étage se trouve les toilettes où je suis, légèrement décalé, je dois avoir le cul à plus ou moins 2 mètres en aplomb de la source des ces bruits incongrus. Je ne tire pas le chasse ni ne remonte le bas de mon pygama bleu.

J'écoute attentivement. Tout est si silencieux qu'il est vraiment facile de distinguer chaque geste par le son qu'il émet. Mon imagination coquine complète sans complexe les éléments manquants. D'après moi elle le suce puisque c'est lui qui souffle avec la régularité de l'homme qui retient sa semence lorsque la bouche hâtive de la femme aspire trop goulûment la queue pleine. Je l'entends elle aussi dire quelques mots cochons que je ne distingue pas, mais que je n'imagine pas autrement. Je les vois sur leur lit, lui à genou tout fier, elle à 4 pattes en train de lui faire la pipe du samedi, prenant son pied à voir grossir le sexe qu'elle suce, avec l'envie certaine d'en jouir en elle plus tard. Moi aussi je donnerai cher pour contenter mon homme et savoir que son pieux sera pour moi ensuite. Mais je ne veux surtout pas quitter cet endroit, en première loge de l'acte qui m'excite par ses bruits.

Ma main caresse mon sexe, il est humide déja. J'éteins la lumière et vérifie que le verrou est clos. Je ferme la lunette des toilettes et m'installe plus confortablement pour mieux me masturber. J'ai l'impression dans le noir d'encore mieux les entendre, Il vient de lâcher un râle un peu plus fort.. il a jouit? ou c'est pour qu'elle comprenne que si elle veut profiter de sa pine, elle doit lui laissé faire la pause du guerrier. J'arrete mes caresses et attends sans un bruit. Les yeux écarquillés dans ces toilettes aveugles, sans fenêtres, je cherche quelques repères. Je suis assise de profile sur les chiottes, jambes relevés, les pieds contre le mur, le pantalon descendu sur mes chevilles, une main habile sur mon sexe excité. Mes yeux scrutent la pièces du sol au plafond sans distinguer les murs. Mais à l'angle du sol au coin, devant la porte, entre deux lattes de parquet, passe un fil de lumière. Est-ce que ça vient d'en bas ou du couloir qui luis sous la lune toute pleine ? Assise sur la cuvette, je me penche en avant et colle mon oeil à la source. Et ce que je découvre m'enivre de plus bel, car si par cette brèche , je ne vois presque rien, le cadre est juste fait sur un bout du lit d'en dessous où je distingue à grand peine une main qui agrippe les draps.

C'est la main de Jacqueline, féminine et superbe. Je plisse mes yeux et me met à 4 pattes par terre, juste devant la porte, je cherche un angle propice à une meilleure vue. Je le trouve. Un bon tiers du lit est dans mon champ de vision. Ma tête prend appuie sur mon avant-bras, mon oeil est presque au sol, mes fesses sont en l'air, nues et offertes à la cuvette idiote. Pourtant ce que je vois m'excite et je frotte mon cul sur la céramique froide, la sensation est douce, je dois avoir l'air conne, mais c'est trop bon à voir, à vivre et à jouir... Je vois Jacqueline qui suce son homme. Je ne m'étais pas tant fait de films que ça. La queue de son mari est de taille incroyable, vu d'ici c'est un pieux large et long comme j'en ai rarement vu. Elle est belle en le sucant je ne vois pas son cul, juste lui, un peu gros, assis sur le bord du lit et elle par terre, soumise qui le flatte de sa bouche.. Je ne vois le gros sexe que lorsqu'elle soulève sa tête.. heureusement que celle de son mari reste d'ici invisible, ça n'en est que plus beau..

Ma main frotte mon sexe, mon cul réchauffe le socle blanc, chaque lobe s'écartant sur l'arrête douce et saillante de cette vulgaire cuvette, dont je n'avais jamais jusque là pu comprendre l'intérêt érotique. Je le sens d'un seul coup lorsqu'écartant mes fesses, le dessous de ma fleur et ma rondelle chaude se plaquent sur l'émail froid.. un doigt rentre en moi, je mouille et en dessous, la belle s'est levée et rassise à l'envers sur le sexe veineux de son immonde mari. Elle est allongée de dos sur lui. Je vois leurs jambes et le bas de leur ventre, la bite entre et sort en elle à un rythme régulier je ne distingue pas tout, mais j'entends qu'elle aime ça.

Elle gémit d'une voix grave, c'est tout à fait troublant. Son corps a beau être marqué par l'effet de son age, la peau du ventre plissée, et la chair de ses cuisses légèrement flasque et molle, il se dégage du peu que j'aperçoit de ce corps vieillissant, un érotisme rare. Son sexe ouvert et poilue semble manger sans crainte l'énorme bite bandée. Jeune voyeuse perverse, je ne pensais jamais être excité par la vue d'un corps plus agé. A 4 pattes sur le sol, mes seins tassés à terre, mon cul nue tout ouvert bavant sur la cuvette, je me baise d'un doigt, et ai du mal aussi à contenir mon souffle qui laisse échapper quelques gémissements de joie.

Soudain ils se retournent et je ne vois plus rien, à part un bout de jambe, et j'imagine la suite, elle doit être elle aussi en position de chienne, lui derrière pilonnant en levrette son épouse. Je dois me résigner à piloter mes sens plus par le son que la vue, et elle m'aide en cela qu'à présent elle crie sans honte sa jouissance, j'entends clairement sa voix qui dit "oui" en cadence. Il râle lui aussi, ces deux là savent y faire, et doivent se fouttre un peu des invités qui dorment juste au dessus, chez eux. Et ils ne dorment pas tous, si j'ai fermés les yeux c'est pour mieux les entendre. J'ai décollé mon cul de la cuvette ardente, par derrière j'ai enfoncé deux doigts dans mon sexe, ils me comblent, imaginant cette queue de l'horrible mari me baisant comme il fait en ce moment même à Jacqueline en dessous. C'est lui, maintenant qui crie, il doit être ne train de jouir et déverser en elle sa semence abondante. Elle semble silencieuse pendant qu'il se déverse, mais il doit continuer surement à la sauter bien fort puisque d'un coup elle hurle, elle dit simplement "oui" banalement au plaisir, puis se tait soudainement et je les entends rire...

Ils ont jouis avant moi, leur rire me coupe un peu dans mon élan pervers, voulant jouir avec eux sans y être invitée. Que faire... Je m'interromps, me lève, me rhabille, prends même soin d'essuyer d'éventuelles traces de mouilles laissée sur la cuvette, et bêtement je tire la chasse en sortant des toilettes. Le bruit envahit le silence, prévenant les baiseurs que quelqu'un était là, juste au dessus d'eux quand ils jouissaient sans crainte. Et cette idée m'excite. Après tout ils ne peuvent pas savoir lequel des quatre du haut s'est levé en pleine nuit et a surpris leur cris.

Je retrouve le lit conjugale, mon mari dort à point fermé, je soulève les draps, il est nu et je vois par la lumière nocturne de la lune, son sexe endormit. Je le prend dans ma main, le branle doucement, penche ma tête au dessus. Tant pis si je le suce sans prendre son avis. L'afflux de sang venant sans qu'il soit réveillé, je continue mon geste tout en me masturbant. Mes chairs ne demandent pas plus pour jouir. Je suce avec avidité le sexe brulant de mon homme qui ne régit pas si ce n'est en bandant à présent parfaitement. le gout de son pénis mélangé au souvenir de ce que j'ai surpris, suffisent à augmenter mon plaisir et je sens gonfler mes lèvres de jus, couler le long de mes doigts, je vais jouir. Je branle de plus en plus vite la bite raide que je suce, j'ai envie de son sperme pendant que mon orgasme frappera ma chatte, mon cul, ma tête. J'entends que son souffle accélère, il éjacule d'un coup, inondant toute ma bouche et je jouis sur l'instant, avalant la semence, nettoyant tout le sexe avec ma langue brulante, mes doigts en moi étreignent une dernière fois mon antre dans un spasme finale qui resserre mes chairs. Je m'allonge et m'endors.

Le lendemain matin, rien ne fera allusion à la nuit si torride. Ni mon homme, ni nos hôtes indiscrets. Mais moi, je m'en souviens...

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superbe histoire et tellement bien raconté que je m'y serait cru :shock:

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Guest sylphide

Quelle nuit!! ton récit m'a rendue toute chose :shock:

J'aurai aimé être à ta place

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magnifique histoire qui ma fait bander,mais je me suis retenus ppour me branlez,trop attentif a lire la suite a chaque mot;

tout cela me rapel quand j ecoute mes voisins du dessus en train de baiser et que moi je les ecoutte,pour entendre le moindre rale et gemissements,en plus du lit qui grince .et je gicle mes jets de sperme sur le sol du couloir,en entendant ma voisine crier !

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hummm génial, superbe, j'ai adoré et moi c'est a la place de ton homme que j'auais aimé etre

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Guest Fragorne

Super récit plus qu'exitant!!

J'aime te lire.

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Terriblement efficace comme toujours! excitant dans les détails!! ;) :shock:

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Merci pour ce récit magnifiquement écrit c'est un de mes phantasmes de voir des couples faire l'amour

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bien écrit. J'aime surtout la description poétique de ton rencontre avec la cuvette :shock:

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Guest ElGulo

Bravo pour ce récit très excitant ! L'allusion à la cuvette des chiottes "idiote" m'a aussi bien fait rire !

J'aimerais tellement assister à ça... Mais au lieu de ça j'ai souvent entendu les ébats rapides et apparemment assez chiants de ma voisine !

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Comme toujours, très beau récit. Excitant et bien raconté! :shock:

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superbe récit, tellement bien raconté qu'on a l'impression de presque y être

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Toujours très excitant de lire la monté de jouissance des autres. Parfois on pense à la chance que des personnes comme vous on de vivre une expérience comme celle-là.

Merci en touts cas pour votre partage....

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Guest sliver

Très excitant ce récit !!

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Guest ericetsab

tres belle histoire, rien a dire

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Superbe récit.

Très excitant, un brin de perversité, et beaucoup de plaisir.

Miam !

;o)

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Wouah j'ai vraiment pris plaisir à te lire !

Fiou j'ai chaud...

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