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michel757

Les collants du plaisir

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Jamais je n’aurais pensé que 3 heures et demi de train sur une ligne de province seraient l’occasion d’une nouvelle expérience.

Clermont Ferrand – Paris une avant veille de Noël quand on embarque à 18 heures, je peux vous dire que le train est plutôt vide. Profitant des réductions, aujourd’hui je me suis offert une première classe !

Je m’installe donc tranquille dans un compartiment, dans une voiture aux trois quarts vides. Je m’étale, je ne suis pas dérangé. Les gares défilent les unes et après les autres, Riom, Vichy, Moulins : je suis toujours seul et commence à somnoler. J’ai fait une oreiller de mon imperméable et j’en écrase. J’entends vaguement les haut-parleurs annoncer Nevers, ce qui ne me réveille pas. Le train qui redémarre me berce.

Mais voilà qu’un autre voyageur entre dans le compartiment. Je me réveille, m’assied, remet mes chaussures. « Ne vous dérangez pas pour moi » me lance une voix haut perchée et un rien aristocratique. Et je détaille sa propriétaire, déjà installée en face de moi. 60 ? 65 ? 70 ans ? Difficile à dire, la dame s’entretient bien. Blonde avec des yeux d’un bleu azur. Jupe plissée grise tombant sous les genoux. Chemisier blanc. Colliers de perle. Du strict, de la classe avec des tonnes de charme.

Bien sûr elle n’est pas toute jeune mais je me surprends à aimer les petites rides qui dessinent chacun de ses sourires. Car la dame a visiblement peur du silence qu’elle meuble d’une conversation faite de tout et de rien.

Sourires charmeurs, minauderies, je succombe petit à petit aux efforts qu’elle déploie pour plaire. Elle se met à l’aise et défait ses escarpins, étend ses pieds sur ma banquette, juste à côté de moi tout en continuant son charmant babillage.

Mes yeux ne peuvent s’empêcher d’être attirés par ses petits pieds potelés, qui s’ouvrent et se referment comme des éventails au rythme de la conversation. Bas ou collants, qu’importe… le spectacle de ses jambes gainées de noir m’aimante.

Le passage du contrôleur fait heureusement baisser la tension érotique qui s’installe dans l’espace clos où nous nous retrouvons la belle et moi.

« Nous ne serons plus dérangés maintenant. Une heure et demi jusqu’à Paris. Je vais me reposer un peu si ça ne vous dérange pas » me dit ma compagne de voyage qui, sans attendre ma réponse, tire tous les rideaux du compartiment, éteint le plafonnier et s’allonge sur sa banquette, couchée sur le côté, dos tourné.

Mes yeux s’habituent à la lueur de la veilleuse et le spectacle de sa croupe un peu large serrée dans sa jupe provoque une érection de plus en plus envahissante.

La belle dort, j’entends sa respiration régulière. Je prends alors mon imperméable que je pose sur moi comme pour me réchauffer et j’ouvre ma braguette pour me caresser discrètement en profitant du spectacle.

Je mate la dame, rêvant que c’est elle qui me prodigue ses faveurs. J’imagine sa jupe relevée, ses fesses dessinées dans des collants, quand la belle se retourne, les yeux toujours clos.

J’ose à peine bouger, je m’assure à l’oreille qu’elle dort toujours car maintenant c’est le spectacle de ses deux jambes gainées serrées l’une contre l’autre, de ses pieds qui se chevauchent et se frottent l’un contre l’autre, qui excite mon imagination.

Mais je n’ose faire de mouvement ample de peur qu’elle remarque mon manège. J’en suis réduit à faire aller et venir mon pouce sur mon membre tendu. Je me dis que même ces caresses discrètes finiront bien par me délivrer de mon excitation.

Mon manège continue quelques minutes et effectivement je sens tout doucement monter les signes avant coureurs du plaisir.

Est-ce ma respiration qui s’est accélérée ? Voilà que la belle se réveille et s’assoit face à moi, s’étire comme un chat. « On a froid à ce que je vois » sont ses premières paroles après avoir rallumé le plafonnier.

Je suis rouge grenat, n’osant ni bouger ni parler.

La dame continue alors : « êtes vous vraiment si frileux ? » et se penche vers moi pour soulever mon imperméable et révéler mon sexe raide comme un I. « Ah, les hommes, tous les mêmes !!! » dit elle avec un petit rire flûté .« Je me sens responsable » continue-t-elle « Permettez vous que j’éteigne le feu que j’ai allumé ».

J’ai à peine le temps de balbutier un oui que ma charmante mamie amène son pied gauche sur mon membre qu’elle caresse délicatement. Je n’aurais pas rêvé mieux. Son gros orteil qui frôle ma hampe de bas en haut m’électrise.

« Ils vous plaisent, mes pieds, hein, petit cochon ? J’ai bien vu vos regards tout à l’heure. » dit la belle qui a maintenant fait une écrin de ses plantes de pieds pour me branler plus vigoureusement.

Les collants doivent être en soie car la caresse de ses pieds est douce - douce et intense - si bien que très vite mon plaisir est là. Mon sperme se vide en saccades sur ses pieds. Je vois le tissu qui se mouille et se tapisse de traînées poisseuses.

Très consciencieusement la dame tire entre ses pieds jusqu’à la dernière goutte de ma jouissance. Quand tout est fini et que ma queue est à nouveau pendante, elle sort un mouchoir brodé de son sac pour s’essuyer grossièrement. Elle enfile ses escarpins et je l’entends dire entre ses dents : « pour du collant, c’est du collant ». Au moins je suis fixé.

Une voix annonce dans le haut parleur l’arrivée imminente sur Paris. Nous nous rajustons. J’essaie d’embrasser la dame avant de nous quitter. Elle se contente d’un grand sourire en me tendant la main : « Vous ne pouvez pas savoir à quel point il est bon de se sentir désirée, même à mon âge. J’espère que je ne vous laisserai pas un trop mauvais souvenir ».

J’ai à peine le temps de répondre que oui, qu’elle est déjà partie sur le quai, encadrée de deux petits enfants qui lui tiennent la main. Moi je ne me lasse pas de la voir s’éloigner, sa démarche chaloupée balançant sa croupe. Je suis encore sous le charme de cette sulfureuse grand mère…

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Invité

C'est bien ecrit mais ca me bloque pour un truc tout bete les doigts de pied ;-) j'aime pas,c'est con mais ca me bloque un peu du coup,mais l'idée est bien trouvée

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Invité

J'ai beaucoup aimé ce récit. Il date un peu mais il est bien écrit et mérite de remonter à la surface.

Une caresse douce et agréable à prodiguer quand le partenaire aime le nylon. Perso j'aime bien.

bravo et belle plume 

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