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AsMoth

La petite Sophie

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[extrait du Roman : Les Chroniques d'Asmoth, La Loi de Schepper : Livre 2]

Ma première conversion en solo m’avait mis dans un état assez enjoué. Ma cible s’appelait Sophie. Elle avait tout juste 18 ans, ce qui était l’âge minimum pour ce type d’intervention. Elle était orpheline, et c’était son oncle qui en avait jusque là la tutelle qui avait fait appel aux services de l’Organisation pour immuniser sa chère nièce du virus de la SyB. Évidemment, cet homme devait être quelqu’un de très influent pour pouvoir ainsi solliciter nos services en direct.

Je sonnai donc à l’heure et à l’adresse précisément indiquée. Il s’agissait d’une immense demeure de style moderne. L’œuvre certaine d’un brillant architecte. Ce fut une servante qui m’ouvrit, ce qui me surprit. Depuis l’expérience avec Eva, je me méfiais beaucoup du personnel de maison et de leur langue bien pendue. Celle-ci, qui devait avoir pas la soixantaine, faisait une tête d’enterrement, vraisemblablement informée de l’objet de ma visite. Les personnes d’un certain âge étaient toujours choquées par ce type de pratiques m’avait-on dit…

Elle me conduisit au salon où ce tenait la belle Sophie. Elle était fidèle aux photos composant son dossier. Je la reconnus de suite. La servante ferma aussitôt la porte du salon, nous laissant seuls.

- Bonjour Sophie, tu vas bien ?

- Oui monsieur, et vous ?

- Oh, ne m’appelle pas monsieur ! Appelle-moi Asmoth !

- Oui.

La petite était très impressionnée et émue par l’événement. Sans doute n’avait-elle jamais couché avec un homme – fortiori plus âgé qu’elle de plus de dix ans – dans de telles circonstances, dépourvues de sentiments et ayant la seule vocation fonctionnelle de l’acte.

J’enlevai ma veste et me mis à l’aise, découvrant son joli corps fin et fragile. Elle portait une nuisette à fleur quasi transparente. Pour autant, Sophie croisant les bras entre ses cuisses, je ne pouvais apercevoir que les rondeurs intérieures de ses petits seins.

- Ton oncle t’a-t-il informé de comment nous allons procéder ?

- Non.

- Ok, je vois.

Et là, me rapprochant d’elle, je me mis accroupi de façon à être à sa hauteur

- Ecoute Sophie. Tout va bien se passer. Tu n’as pas à avoir honte. Je vais être très doux. Dis-toi que c’est un peu comme si tu allais chez le docteur. Tu as déjà fait l’amour avec un garçon ?

- Oui.

- Combien de fois ?

- Deux ou trois fois.

- Tu étais amoureuse de lui.

- Oui, très.

- Ok Sophie.

Pour une première conversion, autant je n’avais pas à faire appel à mes pouvoirs, autant ce cas n’était pas gagné d’avance. Plus qu’une conversion, il allait s’agir d’une initiation. Quelque part, je m’imposais en maître face à elle. Son prof de sexe ! Une situation qui ne fut pas pour me déplaire…

- Et tu as aimé faire l’amour avec lui ?

- Oui !

- Voir une jolie queue ne te fait pas peur alors ?

- Je ne sais pas !

J’étais maintenant le torse nu. Je voyais les yeux de Sophie le parcourir. J’imaginais mes mains se poser sur ses seins et les caresser. Je sentis mon sexe commencer à gonfler dans mon caleçon. Sophie se sentait bizarre tout à coup. La chaleur du désir montait en elle. J’enlevai enfin mon pantalon, offrant à son regard la belle bosse dessinée par mon sexe contenu dans mon boxer.

- Et il avait quel âge ton petit copain ?

- 19 ans.

- Oh, je vois ! Tu dois être impressionnée d’avoir un homme presque nu devant toi alors ?

- Oui.

Sa timidité m’excitait.

- Tu aimerais me caresser un peu avant qu’on commence… Histoire de rendre ça agréable.

Au même moment, j’imaginai ma main glisser entre ses cuisses et parcourir sa minette. Le résultat fut immédiat : Sophie écarta les cuisse, laissant apparaître une petite culotte rose fluo en dentelle transparente

- Oui ! Je veux bien !

Je m’approchai d’elle lentement. La coquine ne semblait pas avoir de poils à la chatte. Elle entrainait donc son petit jardin d’amour, ce qui était un point très positif.

Je pris alors sa main dans la mienne…

- Tiens, pose ta main sur la bosse de mon sexe. Tu le sens comme il est dur.

- Oui !

Ses yeux le dévoraient. En même temps, j’imaginais caresser sa petite chatte avec les doigts en dessinant de petits cercles pour la dilater et exciter son clito. La respiration de Sophie se fit très profonde.

- Qu’est-ce qu’il y a Sophie ? ça ne va pas ?

- Si, mais je me sens bizarre…

- C’est ta petite minette qui chauffe ?

- Oui !

Ce petit jeu avec elle était vraiment d’une simplicité remarquable !

Je posai alors mes mains sur ses seins en les passant sous sa nuisette. Ils étaient déjà durs et pointus d’excitation. Je fis allonger Sophie sur le canapé et m’accroupis.

- Hummm… Laisse-moi regarder tout ça. Tu es d’accord pour que je regarde ta petite chatte ?

- Oui !

Sophie n’était pas contrariante à se sentir à se point dégouliner. J’adorais ces moments !

Je mis alors sa petite culotte sur le côté de sa jolie chatte pour m’apercevoir que celle-ci n’avait en effet aucun poil, même sur le pubis.

- Oh, mais tu as une très jolie minette Sophie ! Elle a l’air toute humide ! Tu veux bien que je te la goûte ?

- Humm… Oui !

Alors que le bout de ses doigts s’arrêta juste en haut de sa fente, Sophie vit ma langue toute dehors s’approcher de sa petite chatte et enfin se poser dessus. Ses chairs lisses et pures se plissèrent sous la pression exercée par ma langue experte. Sophie se mit aussitôt à lâcher de profonds gémissements de jouissance et de soulagement.

- Hummm… Elle est très bonne ta minette tu sais. Tu aimes sentir ma langue glisser dessus ?

- Oh oui ! Continuez monsieur Asmoth ! J’aime trop ça !

La petite coquine soi-disant sainte nitouche semblait apprécier tout particulièrement les préliminaires. Je me mis à lui lécher la chatte avec plus d’insistance, ne tardant pas à y insérer mon index après l’avoir enduit de salive. La belle Sophie fondit de plaisir. Je lui léchais et aspirais ses chairs intimes, tendres, lisses et humides. Les joues de ma belle se mirent à rougir rapidement. Il fallait que je fasse attention. Un orgasme trop violent pourrait la bloquer pour la suite et donc compromettre la mission. Je décidai donc de m’arrêter à temps, une fois que je jugeai Sophie suffisamment chaude et excitée pour la suite, à savoir accueillir mon membre puissant en elle. Ce qui n’était pas gagné.

Je me relevai et prenant Sophie par la main, elle fit de même.

- Tu as aimé que je te lèche la minette ?

- Oui, c’est trop bon !

- Bien. Maintenant, tu vas pouvoir prendre ma belle queue en main. Tu veux ?

- Oh oui !

Je baissai alors la petite culotte de Sophie jusqu’à la moitié de ses cuisses, la laissant tendue entre elles. Sa petite chatte était toute gonflée et luisante d’excitation. Je baissai alors à mon tour mon boxer que je quittai définitivement, libérant mon membre déjà bien raid et gonflé d’excitation.

Je pris alors la petite main de Sophie et la posai dessus.

- Hummm… Voilà ,sers-là bien entre tes doigts. Tu aimes sentir ma queue entre tes doigts ?

- Oh elle est grosse monsieur Asmoth ! Elle est si grosse !

Instinctivement, par le fait de l’excitation, Sophie porta une main à ses seins qu’elle caressa lascivement tout en fixant mon gros chibre. Sophie avait déjà un certain savoir faire, me masturbant en faisant tounoyer sa main sur mon manche. Elle faisait coulisser merveilleusement la peau épaisse de mon sexe sur mon gland, jusqu’à ce que je lui dise de me décalotter. Voyant apparaître mon gros gland rose et luisant de mouille, l’excitation monta encore d’un cran chez ma petite protégée.

Je me mis alors à lui caresser la minette du bout des doigts. Ses petites lèvres rose pâle sortaient amplement des grandes. Son clitoris était gonflé comme jamais, prêt à exploser.

- Tu aimes caresser ma grosse queue Sophie ?

- Oui, elle m’excites beaucoup ! J’en ai jamais vu une si grosse ! Elle me fait un peu peur…

- Ne t’inquiète pas ma belle, tu vas adorer. Tu aimerais la sentir entre tes fesses ?

- Oh oui !

Je vis alors pivoter Sophie sur elle-même.

- Vas-y ma belle, écarte tes petites fesses !

Posant une main sur chacune de ses fesses, Sophie m’offrit sa raie culière. Elle sentit aussitôt mon sexe dur et épais se caler à l’intérieur, bien à la verticale. Je l’entendis lâcher un gémissement d’excitation et de plaisir :

- Huuum… Oui !

- Tu aimes ?

- Ouii ! Elle est si grosse ! si chaude !

Je m’exerçais plus aucune emprise psychique sur Sophie. La vue et la sensation de ma belle grosse queue avait suffi à embraser sa chatte et son esprit d’excitation. Sophie se mit à se trémousser contre mon dard épais pour bien sentir celui-ci entre ses fesses. Celle-ci, fermes et froides, m’excitaient plus que tout. Le dernier tiers de mon sexe dépassait dans le vide, tant son cul était petit.

Me décalant d’elle un instant, je pris mon dard épais entre mes doigts et commençai à lui titiller la chatte et la rondelle avec mon gros gland luisant de mouille.

- Huuum… Moinsieur Asmoth, qu’est-ce que vous faites ? Ma petite chatte !

- Oui ! Tu ne crois pas qu’il est temps de m’accueillir en toi.

- Oui ! Mais j’ai peur monsieur Asmoth ! Votre sexe est si gros, si long !

- Penche-toi ma belle ! Penche-toi en avant !

Je fis se pencher Sophie en avant. Elle garda les cuisses serrées, comme par refléxes, pour contrôler la poussée de mon sexe qui allait bientôt arriver. Sophie me présentait son joli petit cul et sa chatte gonflée d’excitation. Je me mis à me palucher à pleine main pour bien me raidir. Bordel, ça n’allait pas être simple de m’introduire en elle, surtout une fois que j’allais muter. Je mouillais mon dard au maximum de salive et commençai à farfouiller sa jolie petite fente avec mon gland. Sophie se tenait immobile et silencieuse.

- Hum… Sens mon gland tout lisse, tout chaud, tout doux. Ouvre bien ta petite chatte ma belle !

Je sentis mon gland ouvrir ses chairs. Mais cela n’était pas suffisant.

- Ecarte les jambes ma belle ! Et enfonce-toi sur mon dard !

Sophie s’exécuta, et pliée en avant, le corps crispé comme s’il s’agissait de sa première fois, je la sentis chercher mon gland avec sa chatte, puis, doucement, je la sentis s’empaler sur mon sexe épais. Sophie gémissait à la fois de douleur et de plaisir.

- Oooh ! C’est trop gros monsieur Asmoth ! C’est trop gros !

- Mais non ma belle ! Tu y es presque !

Là, je l’aidai en posant mes mains sur ses jolies fesses et en mettant un long et lent coup de rein vers l’avant. Ma grosse bite entra en elle à plus de la moitié, emportant Sophie dans un râle. Je la maintenus en position alors qu’elle tenta de repartir en avant.

- Reste là ma belle ! Ne bouge plus !

Ses gémissements comblaient le silence de la pièce. J’entendis la porte située derrière moi grincer. Cela devait être la servante qui priait le seigneur pour l’odieux spectacle qui s’offrait devant elle. Quelle mégère !

Je savais que d’ici quelques secondes, mon sexe allait grandir et grossir plus encore sou l’effet de la mutation. Il me fallait faire vite en m’insérant le plus profondément possible en Sophie avant que celle-ci ne puisse encore me repousser. Mais je vis qu’elle faisait son possible pour s’empaler plus profond, sans succès.

- J’arrive pas à aller plus loin monsieur Asmoth !

Comme de cette manière nous étions voués à l’échec, je fis s’agenouiller Sophie sur le canapé, la faisant bien se pencher en avant. Je lui écartai les fesses moi-même pour lui faire comprendre ce que j’attendais d’elle : une soumission parfaite. La belle me présenta ainsi presque malgré elle sa jolie rondelle et sa chatte rose pâle. La vue de ses lèvres lisses et des petites lèvres tendres et luisantes de mouille qui en ressortaient gonflées et généreuses m’obligea à m’agenouiller à mon tour, au sol pour enfin poser mes mains sur ses jolies fesses et dévorer son fruit à pleine langue. La belle Sophie avait vraiment une chatte magnifique. J’introduisis ainsi ma langue entière et droite dans sa chatte, mes lèvres venant ensuite embrasser les siennes. Son fruit lisse et doux se mit à fondre. Sophie se mit à lâcher de grands râles de plaisir.

- Humm… Quelle bonne petite chatte ! Je ne pus m’empêcher de dire.

- Oui monsieur Asmoth ! Vous me léchez si bien !

J’avais la truffe luisante de salive et de mouille, mon nez venant percuter tantôt sa chatte, tantôt sa rondelle. La belle Sophie sentait son entrecuisse farfouillée de partout. La vue de sa rondelle lisse et parfaite me fit me lécher l’index avant de l’y insérer tout de go. Je vis alors le dos de Sophie se cambrer et celle-ci se mettre à crier. Je compris qu’elle allait jouir. Lui pistonnant la rondelle tout en lui léchant la chatte la faisant cliqueter toute langue dehors, Sophie cambra ultimement son bassin et se mit à jouir en criant comme une folle. Je la vis soudain passer une main entre ses cuisses et son index dessiner des petits ronds sur son clitoris. Sophie fut emportée par un orgasme dévastateur.

La voyant ainsi jouir, je me dis qu’il était temps pour moi d’en faire de même. Aussitôt son orgasme terminé, les joues toutes rouges et les cheveux ébouriffés, je demandai à Sophie de bien s’offrir. Je lui remis son string, le laissant sur le côté de sa chatte, au cas où je viendrai à jouir afin que mon sperme reste le plus longtemps possible en elle.

Me redressant, je me mis à palucher ma grosse queue et une fois bien raide, je l’introduisis dans sa fente luisante de mouille après lui avoir remis quelques longs coups de langue. De ce long et puissant coup de queue, je réussis à entrer en elle en quasi-totalité. Je me mis à râler de plaisir en sentant ainsi ma grosse bite entrer dans son vagin chaud et serré… si humide. Mon gros dard muta aussitôt, je vis les lèvres de sa belle chatte s’écarteler. Sophie ouvrit alors les yeux et la bouche en grand pour lâcher un grand râle, se demandant ce qui se passait au niveau de sa petite chatte. Elle posa par réflexe sa main sur mon ventre, comme pour le dire de ne plus bouger. Je suivais sa demande tacite.

- Ma chatte ! Ma chatte ! Mais qu’est-ce qui se passe ?! me demanda-t-elle avec des yeux interrogateurs et emplis de terreur.

- Rien ma belle. C’est ma queue qui gonfle. Ça y est. Elle ne grandira plus, je te rassure. Ta petite chatte me fait beaucoup d’effet tu sais !

Je ne sais pas si mes paroles rassurèrent Sophie, mais celle-ci laissa tomber sa tête sur le gros coussin situé en face d’elle. Elle s’offrait à moi le cul bien cambré, la chatte bien ouverte, telle une chienne en chaleur. Ma grosse queue avait pour le moins débridé la petite oie que j’avais aperçu tout à l’heure en arrivant, et qui maintenant criait son pied sans retenue aucune. Mes mains posées sur ses jolies fesses, je me mis à aller et venir en elle de toute la longueur de mon sexe. Sa jolie petite chatte clapotait de mouille à chacun de ses mouvements. Sophie accompagnait mes assauts par de profonds gémissements.

Mon pied droit posé sur le canapé, les cuisses bien ouvertes, voilà que je pilonnais la chatte de la belle Sophie à pleine queue. Celle accusait mes puissants coups de queue en elle, partagée entre plaisir intense et envie que ça s’arrête. Jamais elle ne s’était faite remplir la chatte de la sorte par un membre aussi viril. Et s’offrir à lui de la sorte l’excitait plus que tout. Cette position et les capacités de Sophie ne me permettaient malheureusement pas de réussir à la pénétrer jusqu’à faire claquer son cul contre mon bas ventre, mais la sensation exquise de sa chatte humide et serrée me faisait littéralement fondre le gland lorsque je sentais celui-ci percuter et s’écraser contre le fond de son antre. J’allais bientôt jouir. J’étais plus dur et gonflé que jamais. Le sentant et entendant mes râles de plaisir, la belle Sophie s’en douta. Elle tourna la tête vers moi, attendant le moment ultime où elle serait immunisée pour de bon contre le virus de la SyB en recevant mon nectar brûlant en elle.

Lui mettant mes derniers profonds coups de queue, je me mis à râler et à éjaculer de puissants jets de sperme au fond du vagin de Sophie, qui, sentant ainsi mon sexe se durcir et être pris de violents spasmes, cria à son tour et partit instinctivement en avant pour protéger sa petite chatte. Heureusement, je m’étais bien cramponné à elle, la tenant par les fesses. Je pus me vider généreusement les couilles au fond de son antre jusqu’au bout.

Sophie râlait et gémissait encore alors que j’avais fini de jouir. Je restais profondément blotti en elle, mes mains posées sur ses belles fesses de petite salope. Sophie me regardait sans mot dire. Elle porta sa main à mes boules. Seul le plaisir remplissait désormais sa chatte, son corps. Le plaisir et l’excitation de s’être offerte, telle une vraie femme, à une queue bien vaillante.

Me retirant d’elle, je vis s’allonger rapidement Sophie à m-même le parquet du salon en lui serrant les cuisses l’une contre l’autre.

- Il faut que restes comme ça quelques minutes ma belle. Pour que mon sperme reste bien en toi.

Sophie, toujours dans un état second, ne me répondit pas.

- On a déjà éjaculé en toi ma jolie ?

- Non, jamais.

- Tu as aimé ?

- Oui, c’est si bon. C’est si chaud. Je sens ma petite chatte bien remplie.

- C’est bien ma douce.

Je finis de me rhabiller alors que Sophie était encore dans cette position. Mon sperme coulait de sa chatte et ruisselait sur sa rondelle et dans sa raie culière.

J’avais fièrement rempli ma première mission. Quel pied de baiser des jeunes femmes de la sorte !

Je tendis enfin un mouchoir en papier à Sophie :

- Tiens ! C’est ok maintenant, tu peux te lever et t’essuyer la minette. Remet ton string et garde-le jusqu’à midi.

Sophie ne me répondit toujours pas. Elle était au septième ciel.

Je m’apprêtai à quitter le salon quand la servante y fit irruption :

- Madre de dios ! c’est pas possible !

Ce fut là son unique commentaire en voyant la petite protégée de la famille allongée la chatte à l’air avec du sperme y sortant.

- Bon, j’y vais ma belle Sophie. Ravi de t’avoir rencontrée !

- Merci monsieur Asmoth !

- Appelle-moi Asmoth tout court !

Je quittai la pièce en lui faisant un clin d’œil.

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Guest decibel

:P :P Toujours autant de talent de narrateur, mon cher Asmoth :P ... et aussi d'initiateur aux plaisirs sensuels ! :P:D:wink::-D

:content:

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C'est un très beau récit, très bien écrit... C'est toujours un plaisir de lire tes textes... :oops:

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toujours bien écrit et surtout très stimulant :o

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si ce texte vous a plu, n'hésitez pas à lire mon roman qui est en ligne sur mon blog !

:o :)

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