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Faites des rencontres coquines près de chez vous

bénéM

la danse....... hmmmmm

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Je dois vous raconter ce qui m'est arrivé l'autre soir.. samedi dernier pour être précise...

au moins le début pour aujourd'hui...

J'étais invitée chez des amis pour une fête dans leur pavillon en banlieue... Ce sont des collègues de travail avec qui je m'entends bien. Et j'ai pour eux la réputation d'une fille sympa et sage... et ça me va comme ça .

J'arrive, en tenue de soirée version "moi même".... petit haut sobre et décolleté, pantalon moulant noir, chaussures à talon pas trop hauts, mais il faut quand même que je réhausse mes quelques 1m56... cheveux attachés .. simplement maquillée.. simple tout court.. mais sexy selon moi.. et je ne venais pas tant pour être une belle d'un soir que pour me vider la tête d'une semaine bien remplie.

Il y avait un monde fou, il faut dire que c'est grand. Je ne connaissais que le couple qui m'avait invité plus quelques uns de leurs amis que j'ai déja croisée chez eux.. Je suis presque incognito.

Je me lie rapidement avec un groupe de potes qui semblent tous bien se connaître, et avec eux j'entame mes premiers verres.. soirée champagne.. ça tourne tres vite..

Le DJ entame le son un peu plus fort pour mettre tout le monde sur la piste et je ne peux résister... Je danse pendant plus d'une heure d'affiler sans m'arrêter et sans m'en rendre compte.. ma tête me tourne, je tourne sur moi même, je virevolte et prète peu d'attention à ce qui se passe autour de moi..

Lorsque je m'arrète, en sueur, et libérée de tout mon stress de la semaine, défoulée , je me dirige vers ce qui sert de bar et commence a scruter un peu la foule. A part le groupe de potes avec qui j'ai bu quelques coupes, je ne connais vraiment personne. La moyenne d'âge est assez jeune.. La petite trentaine pour les plus agés d'après moi. et l'ambiance est plutot sage.

Une des filles du groupe de potes vient à ma rencontre et nous commençons à discuter. Elle dit s'appeler Laure et sortir avec le grand brun plutot mignon qui servait le champagne tout à l'heure.. on passe les formalités d'usage sur comment on connait qui, et on continue surtout à se servir du champagne.. Je me sens à nouveau ivre.

Puis le DJ se lance dans un style plutot dansant.. sud-américano... et Laure ne peux résister, et me prenant par la main, m'entraîne à nouveau sur la piste au milieu de la foule. Elle danse plutôt bien, se déhanche et se cambre au rythme des percus.. et je me laisse aller avec elle.. soudain, c'est tout droit du Brésil que la musique nous vient.. et des couples de salsa se forment autour de nous. sans hésiter, Laure m'enlace et nous nous mettons à danser... la salsa..

C'est là que tout bascule... petit à petit nous nous rapprochons. Je ne prête pas attention à ça, je suis ivre et alors que j'ai connu l'amour entre filles plus d'une fois, je n'avais vraiment pas cette idée en tête en venant à cette soirée organisée par des collègues plutôt classiques... Laure est jolie en plus, mais ce n'est pas ça qui me trouble.. Ce qui retient mon attention dans mon esprit embrumé de champagne, c'est que nous dansons de plus en plus serrée l'une à l'autre . Ses seins touchent maintenant les miens et elle se déhanche langoureusement.. Pour mes collègues, et pour la plupart des gens qui me connaissent, je ne suis pas sensé être la petite lesbienne que je suis maintenant devenue.. ou plutot bi devrais-je dire pour rester à la mode (CF mes autres confessions! ) et l'attitude de cette fille me gène presque.. et en même temps, bien entendu, commence à m'exciter aussi...

Et puis nous nous mettons en position de "Lambada".. cuisse contre cuisse, bras dans les bras.. Je suis sûre que de loin notre danse à l'air au mieux un peu sensuelle, mais est loin de dévoiler ce qui est en train de se produire peu à peu.. Je sens la cuisse de Laure venir coller sournoisement mon entrejambe et ma cuisse glisser aussi vers le sien... Nous dansons en nous regardant, droit dans les yeux et dans ces regards là, je m'y connais, il y avait déja la conscience du plaisir qui viendra...

Nous dansons en tournant, peu à peu, tout ce qui nous entoure dans ma vision se trouble et tourne et tourne encore.. Je sens la cuisse de cette fille qui frotte sur mon pubis, et son sexe qui ne décolle pas de ma cuisse... nous sommes en train de nous masturber l'une l'autre comme si de rien n'était, devant tous les invités qui sans aucun doute ne pretent aucune attention à notre chorégraphie érotique et discrète. Les picotements du désir cédent la place aux premiers frissons de plaisir. Je sens mon clitoris se dresser dans mon petit string en soie, la maigre ficelle de ce sous vêtement si mince, me rentre dans les fesses, tirés par la tension qui s'exerce sur le triangle avant... cette sensation achève de m'éxciter, autant que le regard de Laure, qui semble tout comprendre et même tout partager..

La chaleur qui émane de son sexe brûle le haut de ma cuisse. elle mouille la gârce.. autant que moi c'est sure... Elle ondule du bassin pour, à mon égal, faire profiter à sa fente des caresses du frottement.. Nous dansons en rythme, nos seins se frollent à peine de temps en temps à travers nos textiles colorés de nos petits hauts H&M et redouble l'étreinte qui à lieu en secret sous l'étoffe de nos strings. elle en a un aussi, et je le vérifie en passant discrètement ma main baladeuse sur ses fesses en appuyant un peu pour serrer encore plus son sexe contre ma jambe. Elle sait tres bien ce que je fais, elle n'hésite pas à imiter le geste, elle soutien mon regard en souriant encore.

Je sens monter en moi au rythme de la foule, un orgasme ravageur qui risque de venir au risque que je perde haleine et contrôle et que mes jambes me quittent. Je la serre dans mes bras un peu plus fermement. Et elle, sentant sûrement le même appel en elle, me tient aussi plus fort.. Dans son regard je lis qu'elle vient la première, sous les coups des percus sud-americaine, elle jouit sur moi et je sens même sa mouille imbiber le mince tissu de mon pantalon noir, déclanchant en moi le premier spasme de l'orgasme, qui, comme il m'avait prédit, l'impudeur de la situation jouant contre moi, me foudroie sur place au point que je dû un moment rester immobile, presque pendue à ses bras. Mes yeux se sont fermés, et lorsque ayant joui, je les rouvre à nouveau, c'est en espérant que personne n'ait pris gare à ce qui se passait.

Et apparemment pas. Tout le monde semble continuer à danser et à rire. Laure me fixe droit dans les yeux et, m'enlacant plus franchement, me glisse au creux de l'oreille : " j'ai joui béné... merci. " alors je lui réponds " Moi aussi laure.." et elle ose " J'avais vu oui...." finissant dans un rire... Elle passe la main sur sa cuisse à l'endroit où mon sexe s'est répandu de joie, met la main sous son nez et rajoute " hmmm... " Un bref regard sur ma jambe me confirme que je suis moi aussi marquée par son humidité.... Jolie tache invisible sur du noir, qui blanchirait ensuite, et dont l'odeur m'enivrerait sûrement lorsque plus tard au lit, je la respirerai maigre souvenir d'un soir, si du moins elle décide de rentrer malgré tout avec son homme ce soir...

Mais.... la soirée fût plus longue que prévue...

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mmmmhh très excitant et joliment écrit! :twisted:

vivement la suite

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Merci Béné pour cet agréable moment,

instant enivrant telle une coupe de champagne consommée d'une traite ;)

Que vous êtes coquines les filles... mais qu'est ce qu'on peut aimer ça ;) :twisted:

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Guest LucasDimeglio

grrrrrr j'adoreeee !!! :twisted:

comme toujours, vivement la suite Béné

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bravo bene texte magnfique intensite qui va crescendo j'ai hate de lire la suite encore merci

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J'ai vraiment aimé te lire.

Beaucoup aimé ta façon de raconter ce moment :wink: :content:

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Guest bencale

j'imagine bien le spectacle qu'il s'est produit et je vous envie autant que je me réjouis de votre bonheur apporté l'un a l'autre!! :content:

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merci pour vos messages.. voila la suite.. c'est un peu long.. mais pas finit !

Oui, la nuit fut encore longue....

Après notre "danse" pour le moins sensuelle, et comme après tout orgasme de qualité, nous étions toutes les deux comme étourdies et épuisée. Ma tête tournait, j'avais du mal à rester debout et suivant Laure, nous sommes allées nous asseoir dans le canapé qui, par chance, offrait encore deux places libres dans le coin du salon.

Une fois assises, nous sommes restées un long moment silencieuses, comme si nos cerveaux, encore sous l'effet du désir assouvit, avaient eut besoin de ce temps là pour entrevoir et réaliser ce qui venait de se passer. Bien sur, ce n'étaient que des attouchements, presque anodins, mais tout réside toujours dans le "presque". Nous nous étions faites jouir, et il y aurait maintenant un avant et un après ce moment là. Cependant, "l'avant" avait été si bref, qu'à part son prénom, je ne savais encore que peu de choses d'elle, de celle, qui, entrainée par la danse, m'avait donné tant de plaisir, et à qui je l'avais apparemment bien rendu. Je rêvassais à tout cela, sentant contre ma cuisse, sa jambe encore brulante. Elle, la tête en arrière, semblait somnoler à mes cotés.

Elle était brune, avec de petites lunettes aux montures épaisses et noires mettant en valeur des yeux sombres, un peu plus grande que moi, plutôt bien faite, de jolies seins remontées par un soutien gorge que je devinais coquin à la lisière en dentèle noire qui effleurait le bord de son décolleté composé le plus simplement du monde par un adorable petit débardeur bleu dont les fines bretelles passaient avec désinvolture le long de celle, transparente, de son soutien gorge, en remontant sur ses épaules avec un léger désordre, passant à l'occasion l'une sous l'autre, rajoutant du piment à son sex-appeal.. Ses hanches, fines et rondes, descendaient sur des fesses parfaites, recouverte de ce genre de pantalon noir qu'on porte toute, mais qui semblait fait pour elle... Epilée sous les bras, parfaitement, et sans doute du jour même, elle avait passé un bras derrière le dossier du canapé, sa tête penchée sur son épaule, les yeux fermés, les jambes à peine écartées, et je la regardais. Oui, elle était belle. Mes yeux s'attardèrent sur son entrejambe, essayant de surprendre l'auréole que son plaisir abondant avait dû laisser sur le tissu sombre. Et lorsque je vis la petite zone un peu plus sombre qui s'était formée tout autour de son sexe et dont je pouvais deviner la frontière au niveau du haut de sa cuisse, mon excitation remonta en flèche.

Non, je ne devais plus penser à cela. J'avais décidé dans ma vie, de me calmer un peu, et surtout de renoncer au plaisir saphique, qui m'avait éloigné de mon homme pendant trop de temps. Je devais lui parler, tirer au clair cette histoire à peine naissante, et surtout, y mettre un terme. J'étais en train de partir toute seule dans ma tête... Car rien ne me disait si cette fille n'avait tout simplement pas fait cela avec moi par pur libertinage occasionnel, sans chercher plus que le plaisir de l'instant, et moi j'étais déja en train d'évoquer la rupture d'un relation qui n'existait pas encore. Elle ouvrit les yeux et me regarda, lassive, souriante.

Et elle me dit :

- c'est la première fois.. que .. enfin...

- tu veux dire quoi? que.. avec une fille?

- oui... je me sens un peu gênée... mais en même temps, c'était si bon.. Je n'ais pas pu résister à tes avances, quand tu a commencée à me caresser avec ta cuisse..

- Mais c'est toi qui.... enfin, je veux dire, que j'ai l'impression plutot de t'avoir suivie que l'inverse.

- Arrete.. mais toi, tu es lesbienne, non ? enfin, je croyais...

- Moi ? non.. enfin... c'est un peu plus compliqué que ça.. mais pourquoi en as tu eu envie, ici ce soir, comme ça? et avec moi..

- Je ne sais pas.. quand nous avons commencé à danser ensemble, je me suis toute de suite sentie excitée... ça a toujours été un fantasme pour moi d'essayer avec une fille, et j'ai cru lire dans tes yeux, que tu étais lesbienne... mais excuse moi si je me suis trompée.. Et en même temps, vu ce qui s'est passé, je ne pense pas avoir fait d'erreur, non ?

- Non, enfin, je ne sais pas..

- tu n'as pas aimé?

- si, justement, mais, je suis mariée et je pensais avoir mis ça de coté en moi.. et tu l'a fait ressurgir ce soir, en un clin d'oeil..

- Je suis désolée.. me dit-elle finalement, avec un sourire si coquin, que je me senti à nouveau défaillir.

Cette fille me plaisait.. et la facilité avec laquelle elle osait aborder tout cela me plaisait aussi beaucoup. Décidément, je suis une fausse libérée.. et une vrai coincée.. malgré mes expériences..

- Bon, on fait quoi maintenant ? me dit-elle. Pour moi aussi, c'est pas si simple, j'ai mon mec, et pendant qu'on dansait tout à l'heure, je m'étais bien décidée à aller beaucoup plus loin avec toi ce soir, mais après ce que tu viens de me dire..

- je ne sais pas... Mais arrêtes d'en parler, parce que tu me donnes envie... lui dis-je dans un sourire qui cachait mal ma gêne..

- attends moi là, je reviens.

Et elle parti sur la piste de danse rejoindre son mec. Moi, seule sur le canapé, j'étais en nage, terriblement excitée, que m'arrivait-il ?.. Je décidais d'aller aux toilettes soulager mon envie de pisser qui me tenait depuis que nous nous étions assises.. Mais lorsque j'eu terminé, en passant la délicate feuille de papier "hygiénique" sur ma fleur, un frisson redoutable me parcouru le ventre.. Mon sexe était gonflé à nouveau de désir, et le simple faite de l'effleurer me procurait des sensations inouïs.. Que faire.. Tenter de me soulager ici ? Dans cette minuscule pièce ridicule, comme une adolescente... mais peut-être réussir à me calmer enfin et à rentrer seule chez moi... ou bien... la suivre là où elle voulait aller...

Je mis ma main sur mon sexe, un frisson me parcourut toute la colonne vertébrale.. Mon clitoris était dressé, mes lèvres gonflées et mon vagin ouvert, brulant et humide. Mon majeure se glissa dans ma vulve et me pénétra. J'en avait trop et pas assez fait. je ne pouvais me retenir à présent de poursuivre mon plaisir.. et vu mon état, je ne serais pas longue à venir. Ma paume se posa sur mon clitoris pendant que deux de mes doigts rentraient et sortaient doucement en cadence de mon vagin en feu, Je me masturbais sans pouvoir me retenir, n'ayant pas vraiment décider de le faire, mais parce que je ne pouvais plus arrêter mes mouvements. J'étais encore ivre de tout ce champagne et ma tête se remit à tourner, c'était trop bon et tres excitant de me toucher ainsi dans ces toilettes inconnus et incognito. Je fermai les yeux pour mieux en profiter, je sentais couler sur mes doigts la cyprine trop retenue par mon premier orgasme et qui abondait maintenant, j'avais envie de jouir, quoi qu'il arrive. Je fût de plus en plus précise dans mes gestes, appuyant à l'intérieur de mon sexe aux endroits qui me font tant de bien, pressant mon clito avec ma main, faisant venir et venir encore, le plaisir humide menant à l'orgasme, que je sentais arriver.

On frappa à la porte.

- il y a quelqu'un ?

Une voix d'homme ! figée sur place, mes doigts encore en moi, j'ouvre les yeux.. "Coïtus Interuptus"... prise en flagrant délit.. La main dans le sac si j'ose dire.. Je ne sais pas quoi faire.

Machinalement je réponds :

- occupée..

J'entends que ma voix tremble et est anormalement forte... et je sens mon orgasme s'éloigner définitivement, ma tête cogner, et ma main se desserrer en moi, puis sortir... Je me lève, tremblante, tente de me ressaisir, essuie tant bien que mal mon minou et mes doigts.. je me rhabille, tire la chasse et respire à fond. J'ouvre le verrou et tente de sortir d'un pat décidé, mais je sais que je laisse derrière moi une odeur anormale en ces lieux, mélange de sueur et de sexe.. Le mec qui rentre derrière moi sortira en bandant sans même savoir pourquoi, me dis-je amusée.. Je sais que les phéromones sont tres puissants et agissent sans qu'on ne le sache...

Je file à la salle de bain et me refait une beauté. En serrant les jambes je sens encore tres bien le désir entre mes cuisses, qui appel au soulagement. Je me lave mes mains, remet en place mes cheveux et mon petit haut. Mes seins pointent et on le devine même au travers de mon soutien gorge.. Je ne sais pas si je suis belle, mais je me trouve désirable d'un seul coup. Effet du désir pour mon propre sexe, mon propre corps, pour mon propre plaisir.. Laure revient alors dans mon esprit.. Je retourne m'asseoir sur le canapé, en passant j'attrape une coupe de champagne.. Je ne sais plus la combientième est-ce.. Peu importe maintenant. arrivera ce qui arrivera... Je m'assoies sur mes principes comme sur le canapé, d'un coup, en m'affalant..

Laure revient s'asseoir à mes cotés, l'air embêtée.. Son mec à envie de rentrer et ils ne vont pas tarder à partir, ensemble... Elle me dit qu'elle n'en a pas envie, qu'elle voudrait bien rester encore un peu, et poursuivre... Mais elle n'arrive pas à trouver d'excuse valable pour le faire.

Je suis à la fois soulagée et déçue. Nous échangeons nos numéros de portable, officiellement pour pouvoir en reparler à froid, cette expérience l'ayant troublée.. comme moi, mais surement pas au même endroit.. Chacune j'en suis sure, sans oser le dire, espère bien plus de ce rendez-vous.. Avant de partir elle me prend par la main et m'entraine à l'étage dans la chambre des enfants, laissée vide pour la soirée, et elle ferme la porte derrière elle.

Elle passe ses mains derrière mon cou, avance sa bouche de la mienne, lentement, et m'embrasse.. Nos bouches s'ouvrent lentement et nos langues se mêlent. C'est délicieux.. Cette fille me rend folle, elle doit partir. et elle m'embrasse avec une telle douceur.. Elle décolle sa bouche de la mienne, gémit, se colle à moi, et reprend son baiser.. Je sens à nouveau que mon sexe réclame tout... Je dégouline et je sens sa main, parcourir mon dos et passer sur mon ventre.. elle descend et se colle à travers mon pantalon sur mon sexe en feu.. C'est trop, trop délicieux et terriblement frustrant à la fois. Je sais qu'elle va partir et me laisser seule avec mon désir. Mon mari à moi ne sera pas là quand je rentrerais seule.. je retire sa main et stop net notre baiser.

- Ne joue pas avec moi non plus.. si tu dois partir, évite de me chauffer à blanc avant.. même si tu fais ça avec une dextérité qui laisse croire que tu n'en es pas à ta première fois..

-tu sais, j'ai aussi un minou moi ! .. bon, désolée.. je voulais juste sentir ton baiser... excuse moi. Je suis un peu bourrée , avec tout ce champagne.. et je suis terriblement excitée.. par toi..

- A qui le dis-tu.. bon... on s'appelle ! dis-je en rouvrant la porte. Et je sors la première, redescend en évitant de la regarder.. Je la vois dire au revoir à ses amis et partir main dans la main avec son mec.. à sa place, je pense que je me serais défoulée sur lui en arrivant, l'histoire de soulager mon envie de jouir en éloignant le fantasme d'être dans les bras d'une femme...

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C'est vrai Bene que tu es redoutable et efficace!! :content:

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alala.... rien ne vaut la musique qui viens tout droit du bresil :content:

ça rechauffe toujours les ardeurs :wink:

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Bien agréable suite :content:

Mais ce n'est pas terminé!!

Au plaisir de te lire à nouveau!

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Je me joint aux autres pour te dire :wink: ton texte est magnifique et ne m'a pas laissait de marbre :P

ooohh oui je réclame la suiteee :content: s'il te plaît.

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magnifique écriture (ou peut être bien diabolique)

en tout cas je suis dans le même état de frustration que toi maintenant!

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C'est tellement excitant et sensuel, parfois j'aimerais être une femme pour tester ce genre d'aventure ;-)

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Une fois ma belle partie, je ne savais plus trop sis je devais en rire ou en être génée... excitée comme une puce, je me remis à danser, à boire et à rêver... Elle hantait mon esprit que j'avais à grand mal "purifié" de toutes ces pensées obscènes te lesbienne qui avait tant perturbé mon couple il y a quelques mois. Il semble que la belle à lunette avait fait sauter tous les verrous que j'avais pris grand soin de refermer.. Mais elle était partie, je rentrerais seule ce soir et ce serait mieux ainsi.

Le temps passe toujours extrêmement vite en soirée et il fut vite 4 h, et c'est au petit jour que je fût enfin dans mon lit. Seule, épuisée et ivre, nue sous ma couette, je ne pu m'empêcher de penser une dernière fois à son baiser ardent, à sa main sur mon sexe, et à son dernier sourire lorsque tenant la main de son mec, elle me fixa une dernière fois de yeux et à ce moment là, oui, elle avait envie de moi.

Que faisait-elle en ce moment. Elle était partie tôt, elle devait sans doute être en train de dormir.. mais avant. Avait-elle, par culpabilité et pour assouvir enfin sa soif de plaisir, profiter des atouts de son homme ? Je l'aurai fait à sa place, et je me pris à les imaginer au lit, elle suçant son pénis en se caressant... et je me caressais...

je les vis faisant tout, tout ce que j'aurai fait dans l'état où j'étais si mon homme avait été là. Et avec plus d'ardeur encore puisqu'il fallait baiser pour elle en même temps que pour lui... J'étais sure qu'elle l'avait fait... Je l'entendais presque, dans mon esprit brumeux fatiguée à cette heure, je l'entendais presque... jouir et hurler son plaisir. Son homme tout au fond d'elle, la prenant fortement comme le font tous les hommes lorsque leur femme excitée, se jettent comme ça sur eux et que, perdu sous le désir de l'autre féminin, ils veulent reprendre le dessus à grand coups de bassin...

Oui il avait du la faire jouir, partout, à l'endroit même où d'habitude elle n'osait pas.. J'en était sure... et je ne cessais plus de me caresser... mon plaisir augmentait au fur et à mesure que je l'imaginais.. A quatre pattes sur son lit, s'écartant elle même des deux mains les lobes ronds de ses fesses, pour l'y laisser rentrer... Oui, ça me plaisait beaucoup de l'imaginer offerte... que j'aurai aimer être nue dans ses bras.. ma main s'agitait en moi.. experte et sure d'elle.

J'étendis mon autre bras et attrapai mon pantalon noir qui gisait sur le bord de mon lit. L'approchant de mon nez je cherchai son odeur. Etais-ce possible encore que j'y trouve quelques traces... Je me souvenais d'avoir penser à cela juste après que, sur ma jambe elle ait osé lâcher son liquide de jouissance.. Quelle garce je suis.. oui j'avais déjà envisager de respirer plus tard l'odeur sèche de sa mouille pour m'exciter encore.. Car ce que nous avions vécu, elle le savait comme moi, n'était qu'un avant gout de ce que nous aurions aimer.. un orgasme préliminaire, plus excitant qu'apaisant. Arrivé sur la tache, en haut de la cuisse de mon pantalon noir, je plongeai mon nez au milieu de l'auréole blanchâtre. Et je ne sais pas si ce fut mon imagination ou l'effet conjugué des effluves de son sexe emprisonné ici et de ma main savante qui opérait en moi, mais je me senti partir, loin, dans un plaisir si doux, que j'eu l'impression de jouir pendant plusieurs minutes.

Je dû m'endormir sur le coup puisque lorsque je fus réveillée par le téléphone, j'avais encore en main l'étoffe odorante de mon pantalon noir...

dois-je vraiment indiquer qui pouvait bien appeler au point de m'éveiller ?

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la suite ?

je suis peut-être un peu longue dans mes récits..

dites le moi !

mais j'aime quand l'écriture, la lecture et le plaisir durent...

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Non non c edt tres bien ecrit, c est vivant. J attends la suite avec impatience

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D'abord félicitation pour la qualité d'écriture. Même au delà de l'histoire (qui est très bien aussi ;-)) tu as vraiment un style remarquable.

Alors, oui, évidemment, la suite ;-)

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