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Faites des rencontres coquines près de chez vous

Guest Anselmea00

Un drôle de métro

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Guest Anselmea00

Partant d'un fantasme je ne savais pas si je devait mettre ce court récit dans la section fantasme ou récit. J'espère que vous apprécierez

Encore une journée métro-boulot-dodo. Jeune adulte venant d'entré dans le monde du travail, j'ai du mal à m'habituer à cette rengaine. De plus, je n'aime pas prendre le métro parisien, je le trouve lent, brusque et on se retrouve vite les uns sur les autres. Mais aujourd'hui allait être un peu différent...

J'ai l'habitude de m'asseoir sur les sièges repliable, près des portes, mais ces derniers étaient déjà tous prit et je n'avait pas envie de rester debout. Pour la première fois depuis mon arrivé à Paris, je me met sur siège fixe près de la fenêtre. Cela ne change pas grand chose au sentiment d'être compressé mais c'est toujours mieux que d'être assis. Comme à mon habitude je commence à sortir un livre et à bouquiner...

Puis je perçois un mouvement devant moi, je lève les yeux et voit une femme en train de s'assoir devant moi. Un courant électrique me traverse lorsque je me rend compte de la beauté de la personne. Environ 30 ans, peau blanche, son visage était mit en valeur par des yeux amandes d'un bleu profond et des lèvres fines d'un rouge prononcé. Ses cheveux châtain descendaient en cascade sur ses épaules. Mes yeux descend et découvre une poitrine fourni sans être grosse, un ventre très légèrement rebondi et mit en valeur par des bas. Pour le reste elle était habillé d'une chemise bleu clair et d'une mini jupe blanche.

Alors que mes yeux faisaient l'aller retour entre son corps et son visage, je rencontre son regard. A peine le temps d'être attirer dans cette océan si profond que je détourne machinalement le regard. Je n'ai jamais eu beaucoup de relation avec les femmes. De carrure avec une légère bedaine et des cheveux blond vénitien je ne suis pas laid sans être attirant non plus. Néanmoins je garde le fait que du peu de relation que j'ai eu, j'ai toujours eu à cœur de trouvé le moyen de satisfaire ma partenaire.

D'habitude, j'essaye de ne pas faire attention et de reprendre ma lecture mais là je ne peux m'empêcher d'admirer discrètement ce corps et ce visage....pas assez discrètement à l'évidence vu que nos regards se croise à nouveau ! Je me maudit intérieurement en replongeant ma tête dans mon livre, mais les images que j'ai vu ne partent pas de mon esprit.

C'est alors que je sens un mouvement au niveau de ma jambe, comme un frottement. Je baisse légèrement la tête et constate que le bas de sa jambe droite me caresse intentionnellement. Un peu fétichiste sur les bords, voir et sentir ses bas me caresser à travers mon jean me donne une nouvelle décharge électrique.

Avec appréhension je relevé doucement la tête. Et là je la vois me fixer directement avec des yeux amusés et un magnifique sourire. Je vois sa main se lever et venir vers mois, je n'ose réagir. Sa main se pose sur mes cheveux, derrière ma tête et me pousse vers elle. De son côté, elle se penche vers les moi, les yeux mi-clos. Machinalement, je ferme aussi les yeux et comme porté par des ailes je dépose délicatement mes lèvres sur les siennes.

Après un léger bisou, je sens sa langue sur mes lèvres et entre ouvre ma bouche pour venir à sa rencontre. S'ensuit un baiser langoureux où nos langues se mêlent à la fois avec force et tendresse. Après une minute, nos lèvres se sépare, mon cœur bat à tout rompre et je sens déjà le sang commencer à affluer vers mon bas ventre.

Son visage encore proche elle me dit "Je te croyais assez courageux pour faire le premier pas...mais ce n'est pas grave tu vas avoir des tas d'occasions de te rattraper". Sur ces mots, elle se rassit au fond de son siège en continuant de me fixer du regard et avec un petit sourire en coin. Ses pieds quittent ses chaussures à talons et viennent se poser de chaque côté de mon siège. Je fixe les pieds qui m'encerclent, l'un après l'autre, essayant de sortir une phrase ou un mot mais mon esprit est totalement embrouillé. Ce qui n'allait pas aller en s'arrangeant quand, en levant la tête je la vois défaire un à un les boutons de sa chemise....

D'avance désolé pour les quelques fautes qui ont pu se glisser dans ce texte. Dite moi si vous aimez et si vous voulez que je continu. Un petit avertissement : j'ai une semaine assez chargé et je ne sais donc pas si je pourrais le continuer immédiatement. Mais si vous aimez, soyez sans crainte que je vous apporterez la suite ;-)

Anselme

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Invité

Ah noooooooooon la suite je la veux tu peux pas nous laisser comme ca c'est interdit.....J'aime beaucoup en tout cas

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Guest Anselmea00

Une fois tout les boutons enlevés, elle écarte délicatement sa chemise toujours en me fixant du regard. Les miens ne peuvent s'empêcher de dévorer ses hanches des yeux mais surtout sa poitrine, caché par un magnifique soutiens gorge en dentelle blanche qui laisse deviné des seins de forme bien ronde.

Je lance des regards anxieux autour de moi, mais découvre que personne ne fait attention à la scène. La population du métro reste figé dans ses regards vagues et semble ignorer tout ce qui se passe pourtant juste à côté d'eux.

Alors que mes yeux revienne sur elle, je la vois jeter sa chemise par terre et me faire signe du doigt de venir. Encore abasourdi par ce qui se passe, mon corps prend le relais et se dirige machinalement vers elle. Alors que je suis proche d'elle, elle m'arrête en posant sa main sur mon torse puis me parcours du regard. C'est alors que ses doigts habille saisissent le bas de mon t-shirt et le tire vers le haut, me laissant torse nu devant elle. Quoique un peu gêner, je sens une grande excitation qui me parcours tout le corps et une nouvelle assurance. J'avais envie de lui faire du bien.

Elle me caresse le torse et le dos tendrement avec ces mains. Je peux sentir sa propre excitation à travers les légers tremblements de ses mains. C'est alors qu'elle me fixe et me dit dans un soupir "Viens".

Comme si elle venait d'appuyer sur un bouton, je l'enlace immédiatement dans mes bras et l'embrasse fougueusement. Nos langues se retrouvent avec joie et commencent une danse remplie de sensualité et de tendresse. Je peux sentir sa peau douce sur la mienne qui commence à devenir brulante. Ses mains me caresse les cheveux tandis que les miens lui caresse le dos.

Alors que nous reprenons notre souffle, je dirige mes lèvres vers son cou. J'y dépose de léger baiser avant d'y inviter ma langue. Ses légers soupirs de satisfaction et la pression de ses seins contre mon torse ont fini par faire venir le sang dans ma verge et je sens mon sexe grossir très rapidement dans un boxer qui va vite être inconfortable.

Soudain elle me repousse violemment sur mon siège et remet ses pieds à terre. Étonné par sa réaction, je me demande ce que j'ai bien pu faire de mal. C'est alors qu'elle se lève de son siège et dans un mouvement sensuel laisse ses mains plongé dans sa jupe pour y tirer un petit bout de tissu blanc. Elle me le jette à la figure et je découvre un string de dentelle blanche dont une partie est trempé.

En levant les yeux, je la vois mettre un pied sur son siège et attraper de sa main droite la barre de trouvant près de la porte. De sa main gauche, elle soulève sa mini jupe et me laisse découvrir son sexe, imberbe sauf près de sa grotte intime qui elle reluise de mouille.

"Il est temps que nous passions aux choses sérieuses" me dit-elle sur un ton mi-impérieux mi-amusé.

Vous voulez la suite ?

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Invité

Bah oui qu'on la suite quelle question non mais :)

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Guest Anselmea00

Allez pour toi Lorane, vu que je ne pourrais plus écrire avant un petit bout de temps voici la suite :)

Je ne sait pas si les gens autour de nous ont fini par nous remarquer et honnêtement je m'en fiche. Mon esprit est focalisé sur cette femme qui a décidé de d'offrir à moi et qui me demande de lui procurer un peu de plaisir. Comment pourrais-je lui dire non.

Sans lâcher du regard son sourire invitant, je me baisse et approche ma tête de son sexe. Après avoir donné à mon tour un petit sourire amusé, je ferme les yeux et commence par déposer de légers baisers sur sa toison. Je sens de légères vibrations sur sa peau qui prouve que mes baisers font déjà leur petite effet. Je descend un peu à chaque baiser jusqu'à en déposer un bisou sur l'entrée de sa grotte. Son humidité humecte les lévres et me donne envie de m'y plonger totalement.

Cédant à ce profond désir, je couvre sa grotte de ma bouche et commence à jouer de ma langue sur son entrée. J'entends de très léger soupirs de la part de cette femme, ce qui m'encourage à aller plus loin. Mes mains lui caressent délicatement les jambes pendant que ma langue s'amuse à faire de petite entré rapide dans son intimité. Puis je décide de titiller un peu plus son désir et remonte légèrement la bouche afin d'aller à la rencontre de son petit bouton rose.

Ce dernier est tellement gonflé de plaisir que je n'ai aucun mal à le trouver. Ma langue vient d'abord le bousculer un peu puis je l'embrasse allégrement. J'entends les premiers râles de mon amante, les premiers spasmes de désir. Tout ceci décidément me met dans un état fou et mon boxer est devenu une véritable chaudière pour mon sexe qui ne demande qu'a sortir. Mais ma maitresse n'en a pas encore fini avec mes baisers.

Ses mains viennent me caresser les cheveux, me poussant à aller plus loin. Je lui obéit et quitte son clitoris pour aller à la découverte de son intimité. Ma langue fait de rapide aller et retour dans cette caverne chaude où elle se sent chez soi. Mes mains lui parcours les hanches et viennent caresser ses fesses si douces.

J'entends quelque chose tomber mais je n'y fait pas attention. Puis vient un râle assez profonds de la part de la femme qui met ses mains sur mes épaules pour me faire signe d'arrêter. A peine ai-je eu le temps d'enlever ma tête, qu'elle m'attire dans ses bras et vient n'embrasser fougueusement. Tout excité par son aptitude, je lui répond en l'accompagnant dans ce baiser de fou. Mais pendant ce baiser je me rend compte de deux choses : je sentais la pointe dur de ses seins sur mon torse, signe que ce que j'avais entendu tomber était son soutien gorge et l'une de ses mains venait de descendre sur mon ventre et allait se poser à l'endroit de mon jean où la forme de mon sexe se dessinait nettement. Je crois qu'elle avait décidé de me donner à son tour un peu de bien...

La suite bientôt

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Invité

Comment ca tu ne pourras pas ecrire avant longtemps? ah non c'est pas possible je veux la suite.......tu peux pas me laisser comme ca :)

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Guest Anselmea00

Me voilà enfin de retour ! Pour me faire pardonner de cette absence, une petite image qui colle au thème et que j'ai trouvé sur l'excellent site de bonjour madame

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Et maintenant la suite :welcome:

Le simple fait qu'elle est posé ma main à l'endroit de mon sexe me donne de petits frissons. Je décide de lâcher ses lèvres et de défaire rapidement les boutons de mon jean. Mon regard fait l'aller retour entre sa poitrine et son visage. Je voyais son regard faire aussi l'aller retour entre mes mains qui enlever le jean et la forme de sexe moulé par le boxer. Elle a d'ailleurs peu de temps pour l'admirer vu que je descend mon boxer d'un coup sec et l'envoie balader d'un coup de pied. Je me retrouve nu devant cette femme, mon sexe dressé dans sa direction et j'ai complétement oublié que du monde nous entouré. Je n'avais plus en tête que mon amante et le plaisir que l'on se procurait.

Je l'admire encore une fois et mon regard s'arrête sur ses seins. Ils sont de bonnes tailles, rond et leurs pointes son dressés et tendus. Je n'attend plus aucun signal d'elle, ma bouche descend directement sur son sein gauche et j'embrasse son téton, jouant avec ma langue dessus, le mordillant légèrement. Ma main droite vient se poser sur son sein droit et le malaxe tendrement. Sentir sa pointe rebondir sur ma langue, le poids de son sein et la douceur de sa peau...ces sensations étaient un délice pour moi qui fut rapidement accompagné par un autre plaisir....

La main de ma bien-aimée, vint se poser sur mon sexe et le caresse de manière légère avant de venir titiller mes bourses. Puis sa main se saisit de mon sexe et elle commença un lent va et vient. Des frissons partaient de mon bas ventre et me parcouraient tout le corps, je tente de contenir de petits gémissements de plaisir en resserrant ma prise sur sa magnifique poitrine. Bientôt, sa main parcourait tout mon sexe, je pouvait sentir sa peau si douce et ses mouvements à la fois tendre et rapide.

Des râles s'échappaient malgré nous de nos bouches. La femme décida d'enlever sa main et de m'attirer complétement contre moi, remontant ma tête pour n'embrasser. Ses caresses et ce contact brusque avec son corps termina de rendre mon sexe aussi dur que du bois. Sa poitrine s'écrasant contre mon torse, nos deux sexes qui se frottent...un feu commun brulait dans nos deux corps et je sentais que le moment était venu de nous apporter une satisfaction mutuelle.

Mais avant cela, elle termina son baiser et me glissa à l'oreille : "tu sens ces regards discrets sur nous, cette tension qui règne dans l'air..." et à ce moment je sortis de ma torpeur. Je ressentais les balancements du métros qui avaient rythmé nos caresses mais surtout je sentais un certain malaise ambiant. Les gens nous jeter des coups d'œil discret certes mais se jeter aussi des coup d'œil entre eux. Comme si notre désir brulant avait réveiller le leur. Néanmoins ils restaient tétanisés de peur.

"...il est temps pour nous de leur apporter un peu d'inspiration."

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Invité

Il est temps pour nous de savoir la suite :welcome:

Marrante ton idée que les gens ont peur dans le metro,ca change des vieux sadiques qui materaient avec leurs sales airs

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Guest Anselmea00

Certaines personnes auront remarqué que je vacillais entre le présent et l'imparfait. Je voulais donné à mon récit un côté plus présent mais finalement les vielles habitudes reviennent au galop. Je continuerais donc ce récit avec l'imparfait

Malgré le fait que je sentais cette tension soudaine dans la rame, mon excitation n'était pas tombé et j'avais bien compris ce qu'elle voulait dire par "inspiration"....

Elle agrippa son sac resté près du siège et en retira un préservatif. N'y tenant plus, je prit l'initiative de le lui prendre des mains, de déchirer l'emballage et de vite l'enfiler autour de mon pénis. Je n'étais plus le même homme, je me sentais si bien avec cette femme que je n'éprouvais aucune peur à agir. De son côté, elle avait écarté les jambes mettant son intimité à découvert et ses mains resté contre le mur, comme pour me dire que c'était à moi de venir.

Je passe mes mains sur ses fesses et la soulève afin qu'elle puisse s'accrocher à moi par les épaules et enrouler ses jambes autour de ma taille. Elle plaquait le haut de son corps sur la fenêtre afin de ne pas perdre équilibre. C'est alors que l'une de ses mains me lâche, agrippe tendrement le sexe et le présente à sa grotte des plaisirs.

A peine nos deux sexes se sont-ils rencontré que je sentais une vague de chaleur en moi. La main de mon amante était revenue sur mon épaule et sa respiration commençait déjà à j'accélérais comme pour se préparer à ce qui allait arriver. Je sentais la chaleur et l'humidité de son antre tandis que je la pénétré. Un léger râle s'échappa de sa bouche, promesse des plaisirs à venir. Moi-même je ne peut éviter un soupir face au bonheur de me sentir pénétrer dans l'intimité de cette femme.

C'est alors que je commence de légers vas et viens. Je sens mon sexe, glisser doucement dans sa cavité tout en délivrant des vagues de plaisirs dans nos deux corps. Elle m'aide un peu en faisant de léger mouvement de bassin, mais nous nous accordons très rapidement à la cadence du métro. Nous nous étions adapté aux remous de la rame et nous nous en servions pour nous donner du plaisir.

Le métro se mit soudains à accélérer, augmentant les remous et nous faisions de même accélérant nos mouvements et serrant notre étreinte l'un sur l'autre. Je pouvais sentir tout son corps frémir de plaisir, moi même les vagues incessante de plaisir m'obligeait à laisser échapper des râles de plus en plus fort. Nos joues étaient rouge, nos yeux mi clos, il n'y avait plus de "l'un donne du plaisir à l'autre" ou d'air assuré ou inquiet, rien que du plaisir.

C'est alors que tout un coup, elle resserra ses jambes sur mes fesses et pencha sa tête près de mon oreille pour me dire : "Tu ferais mieux de regarder autour de toi...". Je m'exécute et découvre un spectacle que je n'aurais soupçonné quelques minutes avant...

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Guest Anselmea00

On aurait pu penser que la foule aller s'en aller en masse, crier au scandale ou que quelques pervers allait se mettre à se masturber mais se fut tout autre chose...Dans toute la rame, chaque personne c'était trouvé un voir plusieurs partenaires et faisait du bien ensemble à leur façon.

Là ba, un très jeune couple faisait l'amour tendrement sur une banquette, c'était surement leur première fois au vus des spasmes qui secouaient leur deux corps mais chacun d'eux avait le regard épanouis de ceux qui viennent de découvrir le plaisir. Près de l'une des portes, un couple gay s'embrassaient tout en se masturbant mutuellement. Un couple lesbienne se servait d'une des barres pour se faire du bien tout en s'échangeant caresses et baisers.

Des trios, des échangistes, des brutaux, des doux, chacun avait révélé ses vrais fantasmes et trouvé son ou ses partenaires adéquats. Je remarque même des visages que je n'avaient pas encore vus, surement des gens qui étaient montés dans la rame durant nos ébats.

L'ambiance sonore était saturée de gémissements et de soupirs que même le bruit du métro ne pouvait pas couvrir. La chaleur des corps avait transformé la rame en véritable sauna et on pouvait sentir une telle tension sexuelle qu'il était difficile d'y résister.

"Tu vois, nous leur avons donné l'exemple" me dit-elle avec un sourire " bon, il serait temps que tu penses à t'occuper de..." je ne lui laisse pas le temps de finir. La fait de savoir que nous étions à l'origine d'une telle transe m'avait mit ivre de plaisir. Je la soulever de plus belle et l'embrassait avec toute ma fougue, ne lui laissant pas le temps de finir sa phrase. Apparemment elle fut satisfaite de ma réaction puisqu'elle me rejoignit dans ce baiser.

Mon sexe entrait en elle et j'utilisais toutes mes forces pour la soulever et la laisser retombé sur mon pénis. Ce procédé lui arracha de grands râles et elle ne tarda pas à y ajouter des coups de hanches. Ma bouche vient embrasser son cou dont la peau brûlait de passion. Nous n'étions plus qu'un, chaque vague de plaisir de l'un se répercutait dans l'autre. Nous soupirons tout les deux, en accord avec le reste de la rame, puis vint une vague gigantesque qui nous arracha un cri à tout deux.

Et soudain la petite mort, la plénitude....D'autres avaient fini avec nous mais on entendais toujours des cris de plaisirs. Perdant un peu de mes forces je me laisse tomber doucement sur mon siège avec ma bien aimée sur mes genoux. Cette dernière me caresse le visage puis me dit à voix basse sur un ton sensuel "On est arrivé monsieur"

"Monsieur, on est arrivé", je me réveil en sursaut pour découvrir la rame quasi déserte, une vielle dame me secouant gentillement pour me réveiller. Soudain la réalité me frappe au visage : tout ceci n'était qu'un rêve, je m'étais endormi jusqu'au terminus de la ligne et pour finir mon pénis était dans une telle érection qu'il menaçait d'éjaculer au moindre faux mouvement. La vielle femme parut sentir mon malaise et me gratifia d'un "vous devriez sortir avant que le métro repart" avant de sortir avec un grand sourire.

Je reprend mon calme et baisse mes ardeurs avant obéir au conseil de la vielle dame. Une fois sur le quai un sentiment de déception m'envahit : cette femme n'était qu'un fruit de mon imagination. Enfin c'était ce que je pensais jusqu'à ce qu'en relevant la tête je l'aperçois juste en face de moi.

"Excusez moi monsieur mais vous avez laisser tomber votre livre en vous endormant et je voulais pas vous "déranger" dans votre rêve". Le plaisir se mêle à la gêne. Je reprend mon livre en bégaillant un merci. Alors qu'elle se retournée pour partir, je me suis rappelé de ce que la femme de mon rêve m'avait dit au début "...faire le premier pas...".

"Es ce que je peux vous offrir un verre en remerciement" la phrase était sortie toute seule comme une balle. Mon cœur battait à tout rompre attendant la réponse. Elle me regarda et me répondit avec un sourire qui était la promesse d'une futur nuit d'amour.

FIN

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Guest Anselmea00

Merci à tous pour vos messages, je suis content que ça vous ai plus.

Par contre on dirait que la fin n'a pas été à ton gout lorane...

Pour sésé : j'espère que tu as prit beaucoup de plaisir à la lire :oops:.

Anselme

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