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AsMoth

La russe et le parking... le guet-apens ?

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Paraît-il qu’il en existe quelques unes, comme ça… Des furies urbaines, capables de renverser l’ordre du monde par un simple décroisement de jambe, toujours habillées légèrement pour faire partir en poussière la raison de l’Homme…

Je finissais mon footing et avant de rentrer à la maison, je décidai d’aller boire un verre dans un troquet situé à deux pâtés de maison de chez moi. une bonne limonade bien fraîche, rien de tel après une séance de sport me dis-je, d’autant qu’en ce mois d’été, les baies vitrées du café étaient grandes ouvertes, laissant pénétrer la lumière du soleil à l’intérieur.

A trois heures et demie de l’après-midi, le café semblait vide. Vide ? Pas tout à fait. Il y avait une femme en minijupe à l’intérieur. Elle lisait le journal. En tout logique, je vins m’asseoir presque en face d’elle de façon à reluquer ses jambes et espérer surprendre, pourquoi pas, lors d’un décroisement de jambes, son entrecuisses.

Le patron du bar arriva au bout de cinq longues minutes, et me servit aussitôt, avant de disparaître sans son arrière-boutique à moitié en râlant sur le gars chargé de faire ses livraisons. Nous étions seuls, cette belle inconnue et moi. Elle avait des cheveux longs et châtains, la trentaine, et ce que j’avais pris pour une minijupe était en réalité une robe d’été très moulante qui lui arrivait en haut des cuisses. J’étais vêtu de mon micro-short et d’un simple tee-shirt. Une bourrasque de vent tiède caressa mon corps, ma peau. Elle fit aussi lever les yeux de la belle inconnue vers moi, sur moi. nos regards se croisèrent. Elle m’intimida. Elle décroisa et croisa alors les jambes devant moi. de belles longues jambes lisses et galbées. Mon regard plongea immédiatement dessus. Elle le remarqua. Sa robe se retroussa de fait encore un peu plus. Heureusement qu’elle croisait les jambes, sinon, nul doute que j’apercevrais son entrecuisses. Mon sexe se mit aussitôt à gonfler et à durcir dans mon short. retenu par aucun sous-vêtement, il s’exprima en dessinant une bosse dans mon maigre vêtement. Peut être que la belle inconnue le remarqua. Je ne sais.

Alors que celle-ci tourna la page du journal qu’elle était en train de lire, les yeux rivés dessus, mais semblant pourtant absente, voilà que ce décroisement de papier fut accompagné par un décroisement de cuisses… qui restèrent ouvertes. Et là, le choc : la belle, cuisses amplement ouvertes, me présentait sa chatte ! Pas de petite culotte ! Seul un pubis taillé en ticket de métro et des belles lèvres lisses et charnues, gonflées de désir. Je restai figé. La belle releva aussitôt les yeux sur moi pour déchiffrer toute ma stupeur, puis les rabaissa sur son canard. Mon dieu, quelle belle chatte ! L’érection naissante dans mon petit short se confirma en érection du tonnerre ! Je sentis dès lors mon gland s’humidifier au même rythme que mon cœur s’accélérait. Comment cela pouvait-il être possible ?! J’étais si excité que je ne savais plus quoi faire. Etait-ce une omission de sa part ? Voulait-elle que j’aille la voir pour baiser ? … Ma première réaction fut de regarder à droite et à gauche, de constater que nous étions seuls pour sortir discrètement mon membre et mes boules de mon micro-short pour pouvoir enfin de prendre à pleine main et me soulager un peu. La belle ne tarda pas à me remarquer et posa même plusieurs secondes durant ses yeux sur mon membre en érection totale, que je finis par lâcher et cacher avec ma main. Etais-je allé trop loin ? Pour autant, ce petit spectacle ne semblait pas lui déplaire. Elle resta les cuisses ouvertes pour que je me rince l’œil et me soulage un peu. Je faisais coulisser la peau épaisse de ma queue sur mon gros gland rose et tendre, trempé de mouille. Je sentais ma main frotter contre mes boules lourdes et lisses, rasées très récemment. Mes caresses me faisait beaucoup de bien. Les lèvres de sa belle chatte semblaient gonfler encore d’excitation et je vis pointer entre elles son clito et sa vulve rose pâle. Les tétons de ses seins dardaient sous sa robe et là, la belle me fixa plus longuement, les yeux rivés sur ma belle queue que ma main paluchait sur toute sa longueur.

La belle me jeta alors un regard, puis se leva et se mit à crier au patron des mots en russe ou un truc comme ça, et partit en passant à côté de moi, les yeux posés sur mon sexe. Sa hanche touchant mon épaule. Je me retournai pour la regarder partir, interdit. Elle me jeta un autre regard. Merde ! Que devais-je faire ? Elle m’avait mis un vent ? … ou voulait-elle que je la suive. Le fait qu’elle baragouine au patron conforta ma décision : je devais y aller !

Alors, prenant la même direction qu’elle, je la vis prendre l’escalier du parking sous-terrain. Je bandais comme un âne sous mon micro-short, chose de plusieurs passants remarquèrent. Je m’en foutais. Il se passait un gros coup en ce moment même.

Je descendis à mon tour les escaliers. Je réalisai soudain que je ne me sentais plus en situation de sécurité. Un parking sous-terrain… et ce coin que je savais malfamé, avec des trafics de drogue et compagnie… Peut-être m’étais-je branlé devant la femme d’un mafieux ou je n’en sais rien et que celle-ci m’emmenait dans un traquenard ! Il n’y avait pas plus de monde sous terre qu’à la surface. La situation « puait ». Je vis alors plus loin des clignotants orange clignoter, accompagnés d’un « bip-bip ». Je perçus des bruits de talons. Ça devait être elle. Il me fallait savoir, il me fallait savoir… Dieu ce que l’envie de baiser peut rendre con !

Elle était là. Elle avait ouvert la porte passager – la place du mort ! –, se tenant debout, cuisses serrées et le buste penché à l’intérieur. Je m’approchai pas à pas. Personne aux alentours. Personnes ! Oui, personnes ! ça ne peut pas être un pkiège tout de même. La belle, sentant ma présence, se retourna et vint s’asseoir sur le siège passager. Elle me fit signe d’approcher. Je ne sais comment elle fit, mais elle portait une culotte noire désormais. J’approchai et sortis de nouveau mon sexe de mon short, le lui présentant, gonflé de désir.

Elle le prit aussitôt à pleine main et se mit à me masturber en baragouinant en russe. Elle fit descendre ses bretelles de l’autre main et me présenta ses seins que je mis aussitôt à caresser. Peut être était-ce cela le piège ? Elle me tenait en main, non ? La belle salope me masturbait super bien, énergiquement, faisant clapoter ma belle queue de mouille. Elle avait les yeux rivés sur sa main en train de s’activer sur mon manche épais. Ma main droite disparut entre ses cuisses. Je voulais caresser sa belle chatte à tout prix, tant celle-ci était belle et appétissante. Mon doigt se faufila entre son pubis et son string en nylon, venant stopper sa course au niveau de son clitoris que je ne tardai pas à faire gonfler. La belle cambra le bassin un peu plus en avant pour mieux s’offrir, écartant bien les cuisses. Sa respiration se fit plus haletante et profonde. Ces petits signes me disaient que ce n’était pas une pute. Que cette peur du guet-apens n’était que le fruit de mon imagination. Elle voulait une belle queue et puis c’était tout !

La belle se mit a se caresser les seins de l’autre main, puis à me regarder en me parlant et disant je ne sais quoi. Là, je ne sais ce qui se passa en moi, mais le stress de la situation lié à l’excitation procurée, cette adrénaline, me donna une pulsion presque sauvage.

Prenant la belle par le bras, je la vis descendre de sa voiture, la mettant debout d’un seul coup. Elle hoqueta, surprise. Je la vis alors faire demi-tour sur elle-même et je remontai sa jupe. Voyant son maigre string noir entre ses fesses de rêve, je baissai celui-ci d’un seul geste, précis, brutal, la faisant hoqueter encore. la belle s’apprêta à le faire glisser juste ses chevilles pour s’en débarrasser. Je lui fis signe que non. Je lui fis poser son pied gauche sur le bas de caisse et la fis se pencher en avant, de façon à bien s’offrir, en tenant ma belle grosse queue telle un gourdin dans ma main. Elle m’avait chauffé, elle allait maintenant bien me sentir !

Mais avant, voyant cette jolie petite chatte aux lèvres si lisses et à la vulve si rose, je ne pus m’empêcher de disparaître de son champ de vision pour y plonger ma langue. J’entendis aussitôt la belle fondre dans un gémissement de plaisir. Quelle chatte me dis-je ! Douce, lisse, déjà très humide. Alors que le bout de mon grand nez titillait sa rondelle tout aussi entretenue, le bout de ma langue recueillait le suc de son fruit d’amour. Ma langue le fendit en deux pour le goûter. La belle gémit de plus belle. J’entendis soudain des bruits de pas. Merde ! J’ouvris les yeux. Je vis à l’opposé de nous une paire de chaussures d’hommes et une autre de femmes. Un couple. Un couple qui resta nous regarder plusieurs secondes durant, la femme se scandalisant à moitié, l’homme chopant très certainement une sacrée trique, et moi, fier de sentir la belle fondre plus encore d’excitation et de plaisir.

Sans même avoir pris la délicatesse de lui doigter la minette avant, je me relevai et prenant mon sexe en feu entre les doigts, je dirigeai mon gros gland en fusion, trempé de mouille épaisse vers sa petite fente. Oui, elle semblait fragile, très serrée. Mon gland vint glisser de bas en haut contre sa vulve. La chaleur de ce premier contact fit fermer les yeux de la belle de plaisir. Puis, me mettant bien droit, j’entrai mon gland en elle. La belle hoqueta. Et appuyant de mes reins, je fis glisser mon sexe épais et dur dans sa belle petite chatte, écartelant et remplissant celle-ci de mon chibre. Je finis de faire fondre ma belle ‘ruskof’ qui vint s’appuyer lourdement contre moi, comme pour s’empaler le plus loin possible sur mon dard. Ses joues devinrent toute rouge à compter de ce moment. Posant mes mains tantôt sur ses hanches, tantôt sur son joli cul bien rond et ferme que je n’hésitai pas à fesser, je me mis à aller et venir en elle de toute la longueur et la grosseur de mon membre bien dur. La sensation de ses fesses venant heurter mon bas ventre me rendit fou. Baiser cette petite allumeuse à la sauvage dans un parking décupla mes pulsions. Ses fesses se mirent à claquer et à résonner dans le vide de ce lieu qui soudain prenait de fulgurantes dimensions érotiques. Je me mis à la pénétrer avec de plus en plus d’entrain. La trique que celle jolie fille me donnait associée au lieu et à la situation me faisait bander si dur que, contre toute attente, je ne me sentais pas prêt de jouir. J’allais donc nous en faire en profiter. La belle continuait de gémir et baragouiner dans une langue que je ne comprenais pas. Ce qui était sûr c’est qu’elle en prenait bien la chatte. Mon membre tout entier venait glisser et se loger en elle. La puissance de mes coups de queue venait écarter ses fesses. Sa jolie petite chatte rose faisait luire mon membre de mouille. Ses petits seins tanguaient au rythme de mes assauts. Un tremblement régulier qui emportait la belle et moi vers les cimes du plaisir. La sentant si serrée, la voyant gémir de la sorte, je me demandai si elle n’étais pas un peu plus jeune que je ne le pensais. Peut être avait-elle vingt quatre ans tout au plus. En tout cas, elle aimait ça ! Excité comme un beau diable et par ses paroles en russe qu’elle s’adressait à elle-même, je me mis à être un peu vulgaire : « Humm ! Tu aimes ça hein, petite salope ! Prendre de grands coups de queue dans ta petite chatte ! Tu aimes ça ! … Tu aimes faire claquer ton joli cul sur ma grosse queue ! … ». La belle ne comprenait rien à ce que je disais, et vu ses intonations de voix, bien que je ne comprenais pas un mot de ses paroles, quelque chose me disait qu’elle proférait tout autant d’insanités à mon égard. Un pur moment de baise !

Ce furent ensuite deux hommes qui passèrent devant nous, amusés et surpris par ce fabuleux spectacle que nous leur offrions. Ma belle russe gémissait de plus en plus fort, à perdre haleine. Nos sexes devenaient de plus en plus sensibles. Du coup, j’allais moins profondément en elle. La belle se mit alors à sautiller sur ma queue. Petite garce ! Une femme passa enfin, surprise de ce qu’elle vit. Oh oui que c’était bon madame ! Bon de culbuter cette ravissante beauté venue d’ailleurs ! Elle prenait son pied, fesses et chatte bien offertes, à s’empaler sur mon gros dard, à me faire vibrer de plaisir. Je sentais mon gland en fusion s’écraser et glisser dans sa chatte. Une pure merveille. Je malaxais et fessais le cul de ma belle russe, tant celui-ci était lisse, rond, parfait. Jusqu’au moment où je ne pus me retenir. Plus dur que jamais, je me mis à éjaculer copieusement en elle. Sentant ce sperme brûlant jaillir en elle, la belle russe se mit aussitôt à jouir, lâchant même un cri très aigu. Elle resta immobile un instant, seule son majeur venant faire fondre son clitoris par des mouvements circulaires. Je sentais les spasmes de ma grosse queue dilater sa fente. J’étais profondément inséré en elle. Elle se sentait remplie, inondée. Je sentais son cul un peu froid contre mon bas ventre. Quelle situation ! La russe prit le temps de reprendre ses esprits. Je me retirai. Un flot de sperme coula de sa chatte défoncée. La belle se saisit aussitôt de son string et le ré-enfila correctement pour limiter les fuites. Il y avait de mon sperme par terre et le long de ses cuisses. Oh oui ma belle, pas besoin de se parler pour comprendre ce que nous voulions chacun !

Mon plaisir fut intense. Le sien aussi. Je quittai les lieux après lui avoir fait un baiser de la main. Elle resta me regarder, immobile. Défaite.

Oui, l’instinct de baise est universel !

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Invité

:welcome:

dorénavant, je passerais au bistro en bas de chez moi après chaque footing.

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