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Gloria

Mes jeunes amants - Deux histoires de puceaux

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Bonjour à tous,

Je partage à nouveau deux histoires que j'ai vécues il y a maintenant quelques années avec de jeunes hommes. Ce seront mes deux derniers puceaux, après promis je vous raconte d'autres histoires plus intéressantes avec des gens plus expérimentés :wink:

Les deux premiers récits de mes jeunes amants >>ICI<< (le deuxième texte est en page 3)

1 - Le footballeur

Il a 18 ans, j’en ai à l’époque 39. Il est puceau et je l’ai lui aussi rencontré sur un chat. Il veut que sa première fois soit « inoubliable ».

Le rendez-vous est pris un long week-end férié où ses parents, chez qui il habite, sont absents. J’ai à peine le temps de sonner que la porte s’ouvre sur un jeune homme assez grand, mince, les cheveux noirs très courts et les yeux bleus. Assez mignon je trouve. Ce qui me frappe, c’est que contrairement aux quelques puceaux que j’ai déjà connus, lui a l’air tout à fait décontracté.

Nous parlons à peine, nous avons déjà fait connaissance sur le net et nos relations sont cordiales. Nous savons tous les deux que je suis venue pour que nous fassions l’amour et que c’est ce que nous ferons dans un instant, aussi ne nous encombrons nous pas de fioritures. Il me fait faire un rapide tour de la maison, puis me demande de lui faire passer « une première fois inoubliable ». Il m’a dit sur internet qu’il faisait du football américain, et quand il m’a fait visiter la maison j’ai vu un équipement dans la buanderie.

« OK lui dis-je, va dans ta chambre et déshabille-toi, je viens te rejoindre. » Il s’exécute. Moi, je descends à la buanderie chercher l’équipement de football américain, du moins le casque et le maillot avec les protections de corps, et je monte le tout dans la salle de bains, juste à côté de la chambre de mon copain le puceau. Je me déshabille entièrement, puis je passe l’équipement de foot américain, je me regarde une dernière fois dans la glace puis me mets le casque sur la tête. Je précise que je n’ai pas emmené le short, je suis donc nue sous le nombril.

Je frappe à la porte de sa chambre et lui demande s’il est prêt, si je peux entrer. Il me répond que oui. J’ouvre brusquement la porte et m’appuie sur le chambranle, dans la pose la plus sexy possible. Il sourit, l’air étonné. Il s’attendait à tout sauf à me voir débarquer les fesses à l’air en tenue de footballeuse. Je laisse passer le moment de surprise et j’en profite pour le détailler. Il est nu, allongé sur son lit. Il a un joli corps, et un sexe de taille moyenne qui est en train de durcir. J’avance vers lui en tentant de me déhancher de manière sexy comme dans un clip de Beyoncé. Arrivée à quelques pas du lit, je m’ôte le casque qui n’est pas commode, libère ma chevelure d’un mouvement de tête comme dans une pub pour un shampooing et lui jette le casque qu’il attrape à la volée et pose à côté de lui. Il n’a toujours pas l’air tendu.

Je grimpe sur le lit et avance vers lui à quatre pattes, je m’arrête à hauteur de son sexe que je prends en main. Je le masturbe le temps de trois ou quatre mouvements de poignet puis l’engloutit dans ma bouche. Sans relâcher la base de son sexe que je continue à branler, je lui fais la fellation de ma vie. D’habitude, je ne suis pas trop pipes. J’en fais, mais je n’aime pas trop ça. Je fais surtout très attention avec les jeunes hommes qui manquent d’expérience. Quand je leur en fais, je prends leur sexe en bouche juste pour dire car j’ai peur qu’ils éjaculent directement et soient dès lors incapables de passer à la pénétration, mais je ne sais pas pourquoi avec lui c’est tout à fait différent. Je le suce franchement, engloutissant la totalité de son pénis dans ma bouche et fait des va-et vient avec mes lèvres et ma langue avec force bruits de succion tout en continuant à la branler lorsque tout l’engin n’est pas au fond de ma gorge. Cela dure un bon moment. Lorsqu’il commence à vraiment gémir de plaisir, je me dis qu’il est temps de passer à la suite. Je termine en léchant et en prenant ses testicules en bouche, ce qui ne m’arrive jamais non plus d’habitude.

Ensuite, toujours affublée de sa tenue de footballeur, je lui enfile un préservatif puis je l’enjambe, me redresse sur lui, prends son sexe en mains sans délicatesse et l’enfonce dans mon vagin sans autre forme de procès. C’est comme si il ne s’agissait pas d’un sexe masculin, un peu comme si c’était un gode. Etrange. Je le chevauche en Andromaque. Je le vois ouvrir la bouche et soupirer, prendre du plaisir à notre union. Moi, je n’en prends pas plus que ça. Je ressens bien la présence de son sexe en moi, c’est moi qui suis aux commandes, mais je ne sens pas le feu envahir mon ventre, la présence de son sexe me fait du bien, mais sans plus, curieusement. Pourtant, je me déchaîne sur lui. Il se laisse totalement faire, ne me caresse pas, n’est pas curieux de mon corps comme le sont d’ordinaire mes jeunes amants.

Je me penche légèrement en avant prends appui sur mes bras et sur mes genoux pour faire des mouvements du bassin plus larges. Cela porte ses fruits, mon clitoris est de cette manière plus en contact avec son pénis, et je commence à vraiment ressentir le plaisir sexuel. Hélas, il jouira peu de temps après. Je lui ôte de son préservatif, lui montre comment s’en débarrasser puis je passe à la salle de bains où j’enlève son maillot de foot et où je me rhabille. A ce moment, je me dis qu’il est le tout premier garçon avec qui je couche qui n’aura pas vu, senti ni touché mes seins. En fait, maintenant que j’y pense, nous ne nous sommes même pas embrassés sur la bouche. Très bizarre comme relation.

Une fois rhabillée, nous nous faisons la bise et je m’en vais. C’est vraiment étrange, j’ai aimé cette relation, elle m’a beaucoup amusée, mais je n’ai pas l’impression d’avoir fait l’amour. C’est un peu comme si j’avais passé l’après-midi à jouer à un jeu vidéo intense avec un ami proche. Enfin, comme je l’ai dit, je me suis fort amusée !

2 – La table d’à-côté

Celui-ci a 19 ans, cette histoire m’arrive 2 semaines après celle qui précède et commence, une fois n’est pas coutume, non pas sur internet mais d’une façon beaucoup plus fortuite.

Je suis au restaurant chinois avec ma meilleure amie. A la table derrière nous, une famille très BCBG. Les parents et les deux enfants, un jeune homme (notre puceau) et une jeune fille, j’apprendrai plus tard que c’est sa sœur ainée.

Je raconte à mon amie ce qui m’est arrivé un peu plus tôt avec le jeune homme et son équipement de foot américain.

Le lendemain soir, mon téléphone sonne. C’est le jeune homme du restaurant. Il me dit que lui et sa famille ont entendu ma conversation avec mon amie, que ses parents en ont profité pour se payer une bonne tranche de rire sur mon dos, mais que lui, cette histoire l’a émoustillé. Il me demande d’être sa « prof de drague et de rapports intimes ».

Je lui demande comment diable il a fait pour avoir mon numéro, il me répond qu’il a entendu mon nom complet au cours d’une de mes conversations avec mon amie la veille au restaurant, et qu’il a tout simplement cherché dans l’annuaire…

D’habitude, je parle assez longtemps sur internet avant d’accepter de rencontrer quelqu’un, mais là je décide d’accepter tout du moins d’aller prendre un verre avec lui, et ce pour deux raisons : la première est que je trouve sa démarche osée. Appeler une inconnue pour lui demander un dépucelage, il fallait le faire. La deuxième, beaucoup plus égoïste, c’est qu’il m’a dit que ses parents se sont moqués de moi. Je déteste qu’on se moque de moi et que je jubile à l’idée que leur fiston pourrait coucher avec celle dont ils se moquaient justement parce qu’elle couche avec de jeunes hommes.

Nous allons donc prendre un verre quelques jours plus tard. Il est grand, mince, très blond et a les yeux bleus. Pas mon genre physiquement, mais assez mignon. Vu que lui aussi est un peu BCBG, je le surnomme Gonzague. Nous parlons un peu, il me dit ne pas savoir du tout comment s’y prendre pour draguer et me demande de lui enseigner comment faire. Le problème, c’est que je ne sais pas trop moi-même quoi lui dire, mais pour préserver les apparences, je joue à la vieille habituée. Je lui propose d’aller chez moi et de me draguer.

Nous nous installons sur le divan, devant ma télévision et je lui dis que j’attends qu’il fasse le premier pas pour voir comment il s’en sort. Nous restons silencieux un moment puis il se décide. Il commence par me flatter en me complimentant sur mon physique. Pas mal pour un début. Je lui souris. Il s’avance vers moi et m’embrasse tendrement sur la joue. Il avance doucement une main qu’il pose sur mon sein. « Trop vite ! Lui dis-je. Si tu n’as pas vraiment un ticket avec la fille à qui tu fais ça, tu te prends une baffe »

Il retire sa main et s’éloigne un peu. Il reviendra à la charge quelques minutes plus tard : il s’avance à nouveau vers moi, passe son bras autour de mes épaules et me caresse doucement le bras. Au bout d’un moment, il se met à me donner de petits baisers sur la joue et dans le cou. Je souris en imaginant sa mère qui doit être à mille lieues de se douter que son fils est avec « la conne de la table à côté ». Cela m’encourage à aller plus loin. « Pas mal ! Lui dis-je. Comme c’est parti, la fille devrait se laisser embrasser, maintenant. » Je le regarde en souriant. Il hésite puis avance lentement ses lèvres qu’il pose sur les miennes. Nous nous échangeons plusieurs baisers. Ensuite, je me vautre dans un coin du canapé. Il se penche sur moi, me caresse le ventre et continue à m’embrasser. Ses mains se posent alors sur mes seins. Je le laisse faire. Je le vois sourire. Ce coup-ci, il a réussi.

Il me tripote un peu tout en continuant à m’embrasser. « Là, lui dis-je, la fille devrait se laisser déshabiller ». Il commence doucement : il s’agenouille et me retire mes chaussures. Il faut un début à tout…

Gonzague se rassied à côté de moi. C’est moi qui avance maintenant les mains vers lui. Je lui enlève sa chemise. Ensuite, je gonfle la poitrine et l’invite du regard à faire pareil. Il s’empare de mon top qu’il fait passer par-dessus mes épaules et l’envoie rejoindre sa chemise sur le sol. Il m’embrasse à nouveau mais ne continue pas à me déshabiller. Je me penche alors vers lui et déboutonne son jeans que je lui enlève, révélant un slip qui n’arrive plus à maintenir son sexe. Son gland dépasse du vêtement. Toujours pas de réaction. Il a l’air un peu gêné. Je m’affale dans le divan et défait la ceinture de mon jeans en lui jetant un regard sensuel. Comme il ne bouge toujours pas, je me débarrasse moi-même de mon pantalon.

« Maintenant, on passe aux préliminaires sérieux » lui dis-je toujours affalée dans le divan. « Retire-moi ma petite culotte ». Il s’exécute, s’agenouille devant moi et saisit délicatement ma culotte qu’il fait glisser le long de mes hanches. Une fois libérée du tissu, j’écarte les cuisses, lui dévoilant mon vagin.

« Tu avais déjà vu une chatte ? »

« Pas en vrai » Me répond-il.

« lèche-la ! »

Il hésite, puis avance doucement la tête entre mes cuisses et je sens bientôt sa langue passer délicatement sur mon clitoris. Je profite un instant. « Pas que là ! Lèche tout… » Il s’exécute et je le sens maintenant lécher mon vagin dans son entièreté. Je sens l’excitation et le plaisir me gagner doucement. « Mets toute ta bouche ! » Lui dis-je en prenant sa tête à deux mains et en la plaquant sur mon entrejambe. Il continue à me lécher, avec maintenant sa bouche entière autour de ma chatte. C’est divin ! Le plaisir du cunnilingus est renforcé par le plaisir que j’éprouve en pensant à la mère de Gonzague. Elle doit être très loin de s’imaginer qu’en ce moment même, la tête de son fils est entre les cuisses de la conne de la table d’à côté.

Son cunni commence à m’exciter, et j’ai maintenant envie d’user et d’abuser d’autorité sur mon petit Gonzague. Je lui ordonne d’arrêter, puis je m’agenouille au sol et plie les avant-bras pour lui présenter mes fesses. « Les femmes aiment beaucoup qu’on leur lèche l’anus avant la pénétration. » Lui dis-je. En fait, je n’en sais rien, on ne me l’a jamais fait. Ca ne m’attire même pas en vérité. Mais quitte à essayer une fois, autant que ce soit mon petit BCBG soumis qui en fasse les frais. Je crois qu’il est dégoûté parce qu’il hésite longuement, mais finalement il obtempère. Je pense qu’il doit se dire que seule l’obéissance aveugle lui donnera droit à la pénétration. Je sens sa langue passer sur mon anus. C’est agréable mais bien moins que le cunni, moins érotique. Cependant, je jubile ! Ah, la tête de p’pa s’il voyait son fiston en train de lécher l’anus de la conne de la table d’à côté !

Ayant assez profité de mon Gonzague, je me relève et lui ôte son slip. Son sexe en érection se retrouve près de ma bouche. Il est de belle taille. J’hésite, et puis non ! Il n’aura pas droit à une fellation ! Je sors un préservatif de mon sac, lui donne et lui dit de s’en équiper, ce qu’il fait sans problème. Je lui dis alors de s’allonger dans le canapé.

Je dégrafe mon soutien-gorge, lui révélant ma poitrine. Je l’enjambe, entièrement nue, et m’assieds sur lui. Je me penche dans le but de l’embrasser, mais me rappelle qu’il vient de me lécher l’anus alors pour sauver les apparences je me redresse doucement en cambrant le buste, la poitrine en avant et en me caressant les seins devant ses yeux. Je prends appui sur le dossier du canapé d’une main, prends son sexe dans l’autre et je le place délicatement dans mon vagin. C’est comme ça que je dévierge Gonzague, dans mon canapé, en faisant de lents mouvements de bassin et en continuant à me caresser les seins devant lui.

Rapidement, je réalise que cette position où il est allongé de tout son long dans le canapé n’est pas aisée, je ne peux pas assez me mouvoir pour qu’il me pénètre correctement. Je me relève donc rapidement et lui demande de s’asseoir les fesses fort en avant. Mi-assis, mi-allongé, quoi. Ce sera plus facile. Je l’enjambe à nouveau et maintenant, je peux prendre appui à deux mains sur le dossier du canapé. Je saisis à nouveau son gros engin et me l’enfonce dans le vagin. Maintenant, en m’aidant de mes bras, de mes cuisses et de mon bassin, je peux bouger sur lui comme je veux. Cette pénétration est extra ! Son jeune sexe est dur comme de l’acier. Il ne tarde pas à poser ses mains sur mes fesses et à donner lui-aussi des petits coups de bassin. Je m’en donne à cœur joie sur lui. Je sens le plaisir envahir lentement mon corps et me mets à soupirer. Bientôt, l’on entend le claquement caractéristique de la chair à chaque fois que mes fesses heurtent son bassin. Je le regarde. Lui qui était fort pâle a maintenant le visage rouge vif et sa lèvre inférieure est agitée d’un tremblement incontrôlable. Cela m’amuse et je souris de toutes mes dents. Son regard va de mon visage fendu d’un large sourire à mes seins qui bondissent en tous sens juste devant son nez. Pour moi, le moment de plaisir est total. Je m’amuse et me fais un bien fou.

J’ai soudain envie de changement, qu’il prenne un peu le contrôle. Je me relève en lui disant « Viens… viens ! » et je m’allonge entre le canapé et ma table basse, sur le sol recouvert d’un tapis assez moche d’ailleurs. Il bondit comme si j’allais lui échapper, prend place en hâte sur moi et cherche fébrilement de son gland l’entrée de mon vagin. Il la trouve assez rapidement, m’agrippe par les omoplates et se met à me pénétrer rapidement avec toute la fougue de son jeune âge. A nouveau, je ressens très fort la présence de son sexe dans le mien. Le plaisir est immédiat et j’écarte les cuisses le plus possible afin de ne rien perdre de ses assauts. Chaque fois que son pénis vient empaler le fond de mon corps, je me perds un peu plus dans le bonheur. Bientôt, chaque va-et-vient m’arrache un petit cri. Je m’abandonne totalement.

Comme je l’ai déjà dit dans un autre post, je suis très difficile à faire jouir, mais je commence à être persuadée que ce jeune Gonzague, pour sa toute première fois, va réaliser l’exploit de m’arracher la jouissance.

Soudain, c’est lui qui pousse de petits cris. Sa mâchoire semble se décrocher, ses yeux se perdent dans le vague… il s’abat sur moi et ne bouge plus pendant quelques secondes. Il vient de jouir. Moi, il aura manqué un petit rien.

Le temps de reprendre ses esprits, toujours vautré sur moi, il tente de reprendre la pénétration mais son sexe est déjà beaucoup moins dur et il se rend compte que c’est fini. Il prend à nouveau quelques secondes pour récupérer puis m’embrasse d’abord sur la joue puis à pleine bouche. Il glisse sa langue entre mes lèvres et je lui offre la mienne. Nous nous embrassons ainsi quelques instants puis je fais un mouvement pour lui faire comprendre de se relever. Son sexe est maintenant mou et la capote devenue trop grande pend dessus, emprisonnant à sa base une bonne décharge de sperme. « Comment j’ai été ? » Me demande-t-il. « Extra » Lui réponds-je en m’asseyant et en lui ôtant la capote. Toujours nue, je vais la jeter à la cuisine. Il me suit, se colle à mon dos, passe ses mains sur mon ventre, remonte pour me peloter les seins et me tend ses lèvres par-dessus mon épaule. Je l’embrasse, me retourne vers lui. Nous nous enlaçons, nus, et je l’embrasse à nouveau. Je ne veux pas qu’il parte. Il a le potentiel pour me faire jouir, j’en suis sûre. « Reste ! Reste et passe la nuit avec moi. On va refaire l’amour ! » Lui dis-je. Mais non, il ne veut pas rentrer demain, ça l’effraie. Ses parents l’attendent et trouveraient bizarre qu’il découche… je souris à nouveau en imaginant la tête que feraient m’man et p’pa si ils savaient que nous nous sommes superbement envoyés en l’air, Gonzague et moi.

L’heure de son train approche. Nous nous rhabillons, buvons un verre en parlant un peu et il se prépare à partir. Je l’embrasse une dernière fois dans le couloir puis il quitte la maison en me disant qu’on se reverra. Je n’en ai pas envie. Je lui ai offert de rester, il a refusé, il a raté le coche. J’en trouverai un autre…

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Pour toutes les avoir lues, j'avoue ne m'être pas une fois lassé de tes histoires ! Celles-ci sont très excitantes et bien racontées. A quand les suivantes ? :wink:.

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J'avais déjà lu les précédentes, celles ci sont tout aussi bien! Vraiment très excitant, j'attends les autres impatiemment :wink:

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Invité

J'ai lu les anciennes, j'ai lu celle ci je dois dire que j'aime beaucoup ta façon d'ecrire et tes recits.Je dirais meme que j'en veux d'autres. :wink:

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Guest Anonymous

tes récits sont supers Gloria je m'imagine à ta place quel bonheur tu dois ressentir ! :wink: continues!

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Superbe, c'est vraiment bien écrit et on ressent bien le plaisir du moment.

En tout cas, c'est sympa de faire découvrir le plaisir à des puceaux :wink:

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Belles rencontres et bien racontées, mais apparemment tu as pris un peu de plaisir, sans plus.

Aurais-tu été déçue par ces expériences ?

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Belles histoires bien racontées, avec tes sentiments... Hâte d'en lire d'autres !! :welcome:

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Je pense que vous resterez à tout jamais gravée dans la mémoire de "vos jeunes amants".

Quelle chance, ils ont eu.....pour une première expérience!

De plus, c'est divinement raconté. Merci...

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Tres belles histoires, notament pour moi qui est puceau, rencontrer une femme comme toi serait vraiment super :x

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Très beau récit, et superbement bien raconté! Je me posais une question : tu n'as jamais été décu lors de relation avec de jeunes puceaux?

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Superbes, ces 4 récits, pour leur sincérité, leur authenticité.

J'aimerais encore plus de détails sur toi.

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Un beau récit très bien écrit, tu me donnerais presque l'envie d'essayer 8)

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