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AsMoth

La mère de mon pote dans la salle de bain

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J’avais dormi chez mon meilleur ami, Alex. Comme tous les samedis soirs, on avait pour habitude de faire la chouille ensemble. On rentrait ensuite chez ses parents… chez sa mère devrais-je dire, dans la mesure où ils étaient divorcés.

Ce matin là, alors qu’Alex dormait encore comme un loir, je me levai pour prendre mon petit-déjeuner. Je me servis une tasse de café, puis me décidai à me réveiller en prenant une bonne douche. La porte de la salle de bain était entrouverte et il me semblait entendre des petits bruits s’en échapper. A pas de loups, je me rapprochai.

Je restai bouche bée, bloqué.

Stéphanie, la mère d’Alex, était en train de se passer du rouge à lèvres… elle venait de prendre sa douche. Elle avait une serviette entourée autour de sa tête… et celle qui devait être autour d’elle avant que j’arrive avait du glisser le long de son corps humide car elle ne tenait plus que parce qu’elle était bloquée entre ses cuisses et le rebord du lavabo… juste en dessous de ses fesses ! Oui ! La belle Stéphanie, belle blonde de quarante deux ans, bombe sexuelle renversante, se tenait là, devant moi, penchée en avant sur le miroir, les fesses et la chatte à l’air ! Mes yeux ne furent que pour ses fesses nues et rebondies qui luisaient, encore humides. Elle était légèrement de profil, m’empêchant de voir son entrecuisses. En revanche, ses beaux seins lourds aux tétons pointus s’offraient à moi. mon cœur tressauta. Merde, que devais-je faire ? Steph’ me donna une partie de la réponse lorsque ses yeux croisèrent les miens dans le reflet du miroir. Elle ne réagit pas. Ma présence ne semblait pas la déranger. Et là, comme un fou, au lieu de partir, j’entrai dans la salle de bain. Je m’approchai de Steph’, ma queue se mettant à gonfler et se raidir en pic devant moi. le frottement de mon gland sur mon pyjama en coton très fin me fit vaciller. Qu’est-ce que j’étais en train de faire ?! Guidé par le désir de ce corps de rêve, je marchai dans le dos de Stéphanie, avec l’envie de voir sa jolie chatte de femme accomplie. Steph se tenait légèrement penchée en avant, les fesses cambrées en arrière, j’avais toutes mes chances. Mais les jolies rondeurs de ses fesses ne firent paraître que les ombres de sa chatte, qui ne pouvait être fortement poilue. Mon cœur battait à se rompre.

J’étais maintenant juste à côté de Stéphanie…

- Hummm… Je pense que c’est bon là !

Elle se tourna vers moi en me montrant ses lèvres qui brillaient de gloss et me fit un clin d’œil.

- Euh… oui, c’est très beau.

Bordel, étais-je en train de rêver ? Le fait d’être nue en ma présence ne semblait pas la déranger le moins du monde. Me voyait-elle comme un fils pour réagir de la sorte ? Etais-je en train de me faire des films ?

Je ne sus plus quoi penser lorsque Stéphanie réajusta sa serviette sur son corps, le masquant totalement à mes yeux gourmands et qu’elle se dirigea vers la grande baignoire en rond remplie d’une une eau limpide et fumante. Je compris à ce moment que Steph n’avait pas encore pris son bain, mais seulement peut être une douche pour se laver. Il est vrai que la mère d’Alex prenait toujours un bon bain le dimanche matin pour s’y prélasser une bonne heure durant.

Elle se dirigea donc vers la grande baignoire d’un pas lent, avant de me dire :

- ça te dit de prendre le bain avec moi ?

Gloups.

- Hein ? Quoi ?

- Passe-moi la bouteille d’huiles essentielles située derrière toi s’il te plait ?

- Hein ? Euh… oui. [Gloups].

Stéphanie s’assit aussitôt sur le rebord de la baignoire, tournée vers moi, en laissant tomber son peignoir à ses pieds. Nue. Totalement nue elle était. Son beau corps de femme offert à mes yeux. Mon cœur frappait si fort dans ma poitrine. Sa chatte de femme n’avait que le pubis orné de quelques poils coupés courts. Mon dieu. Quelle déesse…

- Tiens ! Mets moi en dans la main.

Je lui déversai un peu d’huile essentielle. Elle se mit à l’étaler aussi sec sur ses seins qui se mirent à gonfler, à durcir et à darder comme des ‘i’ droits devant moi.

- Tu ne veux pas prendre un bain avec moi alors ? Il y a de la place tu sais !

- Euh… si.

- Je veux bien que tu me donnes le bain sinon. Alex m’a dit que tu es un pro du massage !

- Euh… oui.

Bain = tout nu = j’ai déjà la queue en érection totale = honte de ma vie devant la mère de mon pote.

Que faire ?

Mes yeux étaient hypnotisés par la vue de ses mains expertes qui venaient pétrir sa généreuse poitrine, dont les tétons dardaient tout autant que mon sexe. Les yeux de Steph plongèrent dans les miens, accompagnés d’un sourire amusé, puis descendirent rse posèrent sur la bosse énorme dessinée par mon sexe en érection totale, que rien ne retenait, seulement caché par mon pantalon pyjama en coton ultra fin. Je dévorai les seins de Steph des yeux ; une sacrée paire de nibards ! Elle pouvait lire sur mon visage toute mon émotion, et pire encore en observant sans gêne aucune mon entrejambes bien raid.

- Tu viens ? [sourire].

Silence. [Panique].

Les seins bien gonflés et bien durs, Stéphanie leva alors la jambe droite et pivota vers l’eau de la baignoire. Elle pivota encore… jambe gauche. Et là, je ne sus pas si ce fut pour définitivement mon convaincre ou non, mais Stéphanie s’assit donc sur le rebord de la baignoire… le cul et la chatte à l’extérieur… et se pencha outrageusement en avant, plus que nécessaire, pour feindre tester la température de l’eau. Elle offrit ni plus ni moins à mes yeux que son cul de rêve et sa belle chatte, qui me figèrent sur place. Mon dieu. Mon corps tout entier dû passer à cent cinquante degrés. Je sentis la mouille froide de ma queue exciter mon gland en fusion qui s’écrasait contre le coton doux et tendu de mon bas de pyjama. Bordel ! Ainsi pliée sur elle-même, la mère de mon pote m’offrait son cul, sa raie culière, sa rondelle… et sa chatte dont les petites lèvres ressortaient déjà ! L’envie de la bourrer en levrette et de lui dévorer sabelle chatte lisse me prenait. Tout en même temps. Par quoi commencer ?

- Mets moi de l’huile dans le bas du dos !

Pffff… ça chauffe ! Je m’exécutai. Le liquide visqueux coula en bas de son dos et ruissela le long de sa raie culière. Je devenais fou. Ma queue était si raide qu’elle me faisait presque mal. Stéphanie se mit à se passer les mains sur les fesses pour étaler cette huile qui les mettait terriblement en valeur. Quel cul ! Ferme et rebondi ! Je devenais fou. Elle m’avait invité à lui donner le bain, non ? Alors, déconnectant ma conscience et me laissant aller à mes sens, je posai une main sur le haut de son dos, pudiquement, et la descendis pour étaler l’huile de façon uniforme sur son échine. Stéphanie ne me dit rien. Alors, je descendis encore. Jusqu’à ses fesses. Stéphanie continuait d’étaler l’huile dessus. Son coude vint heurter mon sexe de plein fouet, par inadvertance. J’en lâchai un petit râle. Merde, elle devait deviner que je tentais de profiter de la situation. Je voulais à tout prix toucher sa belle chatte, mais je n’osai pas. J’osai seulement remonter main entre ses fesses d’une légère caresse. Le bout de mon index effleura sa rondelle. Mon dieu, qu’est-ce qui me prenait de caresser la mère de mon pote à des endroits si intimes ?! Mais cette coquine écartait les fesses, qu’elle cambrait à cet effet.

- Etale bien !

Plus qu’il n’en fallait pour m’autoriser à poursuivre ! Je jubilais. Me penchant sur le côté, je posai une main sur chacune de ses fesses pour exécuter les ordres. Purée, je lui massais le cul ! Je vis aussitôt la tête de Stéphanie tourner et ses yeux se poser sur mon sexe qui était tendu vers elle. Je me mis à lui masser les fesses de la façon la plus pro possible. Mais mes yeux en dévoraient sa plus parfaite intimité ! Sa rondelle, et sa chatte qui semblait s’ouvrir à vue d’œil. Stéphanie se mit à gémir

- Hummm… Tu fais ça bien !

Elle me mettait le feu. Alors, cette fois-ci, j’osai : le bout de mon index se posa sur sa chatte, et lentement remonta jusqu’à sa raie culière, caressant une nouvelle fois sa rondelle.

Stéphanie finit de se caresse les fesses et se leva, allant à l’autre bout de la baignoire pour ouvrir le robinet et se rincer les mains. Bordel, elle était totalement nue en face de moi, la chatte sûrement toute excitée par mes caresses… Ses seins dardaient comme jamais, gonflés de désir. Je me tenais devant elle, debout, et mon sexe trempé de mouille avait dessiné une tâche épaisse sur le coton bleu ciel de mon pyjama. Elle ne pouvait pas passer inaperçu. Je n’avais qu’une envie : me masturber. Prendre mon sexe épais à pleine main pour enfin me soulager un peu. Stéphanie était là devant moi, accroupie dans la baignoire. Sa chatte dans l’eau tiède. Je vis alors ses joues se mettre à rougir. Elle avait les yeux baissés. Quelque chose se passait. Stéphanie s’assit alors sur le rebord de la baignoire, en face de moi cette fois-ci. Elle gardait les cuisses serrées, par pudeur. Je ne comprenais plus rien. Etait-ce simplement de l’érotisme qu’elle cherchait çà susciter. Elle causait bien plus en moi. Un désir profond. Violent. Un désir qui me retournait la tête.

Stéphanie avait ouvert le robinet en grand et faisant couler de l’eau tiède, se mit à passer ses pieds en-dessous. Ben alors ? Je ne comprenais plus rien. La pression était en train de redescendre en flèche. Avais-je manqué de répondre à ses avances au moment où il aurait fallu lui enfoncer ma langue dans sa fente ? Je me sentais subitement con, là, prostré devant elle, la queue en feu.

Stéphanie se leva alors et me demanda de lui passer la crème lavante. Je lui en fis couler dans le creux de la main. Elle l’appliqua aussitôt sous son nombril et se mit à dessiner des ronds avec ses mains, qui descendirent bien bas. Stéphanie ouvrit les cuisses, légèrement tendant son bassin vers l’avant. La mousse blanche ornait maintenant son frêle pubis. Stéphanie m’offrait sa chatte aux lèvres gonflées d’excitation. Perdu pou perdu, mes yeux se rivèrent dessus et m’en démordirent pas, jusqu’au moment où Stéphanie se mit à se caresser les seins à nouveau, lâchant soudain un gémissement. Sa chatte semblait s’ouvrir d’excitation.

Stéphanie fit alors demi-tour sur elle-même et se pencha de nouveau en avant… les jambes bien tendues cette fois-ci. Je me retrouvai avec son cul de rêve et sa belle chatte luisante, dilatée, à quelques dizaines de centimètres de mon nez. Le feu monta à ma tête. Je m’assis sur le rebord de ma baignoire, les tempes bourdonnantes. Quarante centimètres. Une seule envie : y plonger la tête et dévorer son intimité à pleine langue. La main vint discrètement s’emparer de ma queue qui était gonflée à éclater. Une lueur de mouille épaisse coulait entre ses petites lèvres, terminant sa course sur son clitoris. Je n’en pouvais plus. Stéphanie se redressa légèrement et me demanda de couler de la crème lavante sur ses fesses. Je le fis en serrant les mâchoires. Elle me rendait fou. Elle se mit à étaler la crème sur ses fesses lisses et fermes, se mettant à les faire dandiner devant mes yeux. Stéphanie se mit à lâcher des petits gémissements amusés de plaisir. Ses cuisses à moitié serrées mettaient en valeur les lèvres charnues et gonflées de sa belle chatte. Vint alors le clou du spectacle.

Stéphanie se mit à quatre pattes au milieu de la baignoire.

Elle me présentait son cul bien ouvert et sa belle chatte, bien offerte. Je n’en pouvais plus. J’étais dans son angle mort, elle ne pouvait me voir. Alors, je passai enfin ma main dans mon pyjama et me mis à me palucher généreusement. Je sentis un flot de mouille épaisse sur mon gland que je décalottai aussitôt. Bordel j’avais chaud aux joues, mon cœur battait comme lors d’un marathon, et ma queue était un vrai tronc d’arbre. Comment allais-je me sortir de cette impasse qui me condamnait irrévocablement à jouir, à exploser, à me libérer, à mourir de honte ?!

J’avais l’impression que la rondelle et la chatte de cette femme, plus âgée que moi de dix sept ans, réclamaient ma belle queue bien dure pour les lui remplir. Stéphanie fit disparaître ses parties intimes dans l’eau tiède un instant pour les rincer avant de me les offrir à nouveau, belles et luisantes. Je bandais à jouir. J’étais au bout du rouleau. Dans cette ambiance moite, je transpirais à grosses gouttes. Stéphanie fit alors un tour sur elle-même pour s’asseoir en face de moi dans la baignoire. Elle vit ma main s’échapper de mon pyjama, et cette belle barre de chair dure se dessiner en-dessous. Sa main vint caresser ses seins. Stéphanie me souriait.

- Tu es sûr que tu ne veux pas me rejoindre. L’eau est chaude. C’est très plaisant tu sais.

- Je sais pas.

Son regard suffit à me faire lever. A rompre une à une toutes les cordes de ma conscience.

Honteux de mon état d’excitation avancé, je me levai. Les yeux de ma muse se rivèrent sur la bosse de vingt centimètres dressée devant moi, vers elle.

Stéphanie écarta alors les cuisses dans l’eau, et prenant appui derrière elle, leva son bassin hors de l’eau. Elle me présenta sa belle chatte. Sa main libre vint glisser le long de son ventre et glisser sur son fruit défendu. Stéphanie se touchait devant moi. Un message : tu peux faire de même, y’a pas de honte ni de gêne à avoir. Je le perçus comme tel.

Stéphanie à son tour se leva et se dirigea vers moi. Elle fixa longuement la bosse dessinéepar mon sexe, avant de me dire :

- Assis-toi ! passant sa main délicatement dans mes cheveux. Je m’exécutai.

Stéphanie posa alors un pied sur le rebord de la baignoire, juste à côté de moi, et écartant ainsi les cuisses, elle m’offrit sa belle chatte.

Trente centimètres.

Sa main continua de parcourir mes cheveux, et se plaqua sur l’arrière de mon crane. Elle m’invitait à la goûter. L’odeur suave de sa belle chatte aux petites lèvres rose pâle me parvint. Je succombai à ses désirs. Posant une main à l’intérieur de sa cuisse, je me penchai.

Dix centimètres.

Et toute langue dehors, je m’invitai en elle, en son fruit d’amour, sensuel et humide.

Impact.

Ses tétons pointèrent aussitôt. Je me mis à lui dévorer la chatte à pleine bouche. Stéphanie se mit à gémir, ondulant son corps et son bassin de façon à amplifier mes caresses. Quel excitation extrême pour moi que de lécher la chatte d’une femme « mûre », d’une vraie femme ! Son clito se mit aussitôt à cliqueter sous mes coups de langue agile et coquine. Stéphanie adorait ça ! Mais qui jadis était posée dans l’intérieur de sa cuisse en fit le tour. je la posai sur sa fesse rebondie. Hummmm. Je me mis à presser mes caresses, lui léchant la chatte à pleine langue. Levant les yeux, je voyais que Stéphanie me regardait, les yeux plissés et souriante de satisfaction. « Il en a mis du temps ! » dut-elle se dire. La tête à l’abris entre ses cuisses de femme experte, j’étais aux anges.

Stéphanie m’invita alors à me relever. Une de ses mains passa derrière mon cou, dans une caresse de frissons, et tandis qu’elle m’embrassa, douce et délicate, son autre main vint plonger dans mon pyjama. Je sentis aussitôt sa main experte se saisir de mon manche épais avec fermeté.

- Déshabille toi ! Je veux voir ta belle queue !

Je m’exécutai. Mon pyjama tomba à mes pieds. Je m’en défis. Aussitôt la queue à l’air, Stéphanie s’en saisit à pleine main et se mit à activer celle-ci sur mon manche épais. Hummmmm. Quel pied de sentir sa main de femme experte exciter mon dard bien raid ! Stéphanie me masturbait avec délicatesse et efficacité tout à la fois. je lui offrais mes meilleures dimensions, pour son plus grand plaisir. Depuis le temps que je bandais… !

- Viens dans l’eau ! me dit-elle sans lâcher ma queue de son emprise.

Je vins la rejoindre.

Collé l’un contre l’autre, on se mit à s’emballer à pleines langues. Stéphanie continuait de me masturber, serrant mon sexe dans sa main. Nos baisers eurent pour effet d’activer sa passion. Elle se mit à me masturber avec plus d’énergie, plus de détermination. Je sentais mon gland en fusion glisser contre sa peau humide et lisse. Si douce. Hummmm. Mes mains pétrissaient ses fesses de déesse. Ses tétons pointus et durs électrisaient ma poitrine et mon corps tout entier en frottant contre moi.

Puis Stéphanie s’accroupit dans l’eau, saisissant mon beau chibre à deux mains. Elle se mit à me caresser les boules, lourdes et chargées de sperme tout en me masturbant de l’autre main. Elle me sourit en levant les yeux vers moi, avant d’attribuer un long coup de langue de long de ma hampe. Je m’assis alors sur le rebord de la baignoire, le sexe bien dressé et bien offert pour qu’elle me suce. Elle me prit alors en bouche, sa main continuant de s’activer sur mon manche épais. Je fondis d’extase. Stéphanie se mit à me sucer avec avidité, avant de me lâcher :

- Quelle belle queue !

Seuls les bruits de succion et les gémissements de la mère de mon pote emplirent la salle de bain, silencieuse sur tout autre aspect. Un coin de paradis dans lequel la bouche de Stéphanie m’emportait. Elle me suçait merveilleusement bien, prenant mon gland gros et tendre en bouche. Je sentais ses lèvres, la langue glisser dessus, autour… Sa bouche m’avalait jusque la moitié de mon sexe. Sa main s’attachait à me garder bien dur et bien gros, comme si cela aurait été nécessaire… Oui, Stéphanie semblait aimer les jeunes queues bien vaillantes ! Le simple fait de voir la bouche de cette femme sublime avaler le bout si sensible de mon sexe me rendait dingue. J’avais l’impression de rêver. De temps à autre, Stéphanie relevait la tête pour reprendre son souffle, et surtout me masturber à pleine main sur toute la longueur de mon sexe. Ça semblait la rendre folle… moi aussi ! Je sentais mes boules tanguer au rythme des mouvements amples de sa main. Stéphanie sentait mon gland fondre entre ses lèvres, chaud, humide, tendre.

La vue des fesses écartées de Stéphanie m’amena à tendre mon bras par-dessus son dos pour venir déposer ma main sur sa belle chatte. J’y enfonçai mon majeur, ce qui fit gémir Stéphanie profondément de plaisir. Je me mis à la doigter énergiquement pour la rendre folle. Pour conséquence, elle ne fit que m’avaler plus profondément encore. Bordel ! Quel pied !

Stéphanie me suçait avec de plus en plus d’avidité, ne lâchant plus mon gland de sa bouche et continuant de me masturber en faisant tournoyer sa main autour de mon chibre. Le sexe ainsi pris de tous bords, sa technique me rapprocha très rapidement de l’orgasme. Ça se voyait : Stéphanie voulait me faire exploser. Elle n’attendait plus que ça. Ses tétons brunâtres dardaient comme jamais, prêts à se faire arroser de sperme brûlant. Stéphanie sortit mon sexe épais de sa bouche et se mit à me le lécher, gémissant comme une chienne en rut. Elle me paraissait plus excitée que jamais au fait de me sucer comme elle le faisait. Sentant que j’allais venir, Stéphanie recula son visage et se mit à me masturber énergiquement en me présentant ses seins lourds. Quelques secondes plus tard, voilà que je me mis à jouir de puissants jets de sperme chaud dessus, gémissant mon plaisir. Bordel !

On finit dans la baignoire, chacun d’un côté, nous lavant de nos ébats. Je quittai la salle de bain avec un drôle d’état d’âme sur ce que je venais de faire. Comme quoi ce n’est pas bien d’être curieux !

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C'est chaud chaud!!! Je prendrai bien un bain moi!!! :):) :)

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Guest sliver

Comme à ton habitude Asmoth tu sais bien raconter cette magnifique histoire

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Magnifique récit. Pleins de suspense, de détails...

Dommage que le fin soit rapide.

Pff que d'émotion sur ta lecture.

A bientôt pour la prochaine histoire.

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Tres belle histoire, tres bien raconté, et bien ecrit!! tu as du t'amuser!!

Mais tu n'as pas trop étais gene avec ton pote apres cet episode?

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quel chance, nombreux sont ceux qui auraient aimé avoir une tel occasion je pense :wink:

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Vraiment superbe :wink:

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Guest David rugit

pas mal du tout!

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Guest LucasDimeglio

:???: :P:(:P

uhhh uhhh uhhh c'est muy calor!!!

texte qui me mets dans tous mes etats, faut l'avouer =)

très bien décrit, très bien écrit

:wink::wink: asmoth :???: :D

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merci à tous, c'est vraiment super sympa ! :wink::???::wink:

Pour ceux qui aiment mes textes, je vous invite à m'envoyer votre adresse mail par MP. J'ai quelque chose à vous faire découvrir ! :???:

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Guest decibel

:???: :???: Je plussoie ton fan-club, AsMoth :wink:

Tu as vraiment une très belle ..... "plume" ! :D:P:wink: :P

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Félicitation ,quel beau récit ,qu’elle érotisme.les femme Save vraiment y faire ,en éducations .

La tu revue ?il y a eu des suites ?

Je te le souhaite ,car ses vraiment excitant et de délicatesse . bravo

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