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mysterya

Sulfureux amants

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Elle commençait à s'impatienter, toute seule dans son grand lit froid. Déjà une heure et demie qu'il aurait dû être arrivé. Elle guettait le bruit de sa voiture, mais seul le silence se faisait entendre. Lasse d'espérer après lui, elle alluma la télé, et démarra le film porno qu'ils avaient choisi pour leur soirée. Elle se déshabilla entièrement, éteignit les lumières, ne laissant qu'une petite veilleuse, et se mit à l'aise sous les couvertures. Sur l'écran, deux demoiselles taillaient une pipe plus que baveuse à un loubard bodybuildé, tout en se pelotant l'une l'autre.

Elle monta le son pour entendre les gémissements de la montagne de muscles et les quelques insultes que les deux garces se murmuraient plutôt vulgairement. Elle sentait l'excitation monter dans son bas-ventre, ses seins se durcir perceptiblement. Presque malgré elle, elle glissa une main sous la couette épaisse, caressant ses mamelons gonflés de désir, les pinçant violemment. Elle ne put retenir un long gémissement, plein d'envie et de frustration. Son autre main descendit plus bas, effleurant son ventre, survolant son nombril, et elle sembla se réveiller au moment où elle se pénétra de deux doigts. Elle se força à regarder le film, dans lequel une des actrices se faisait enculer par le mec, tandis que l'autre lui léchait avidement la chatte. Elle gémit, et sortit ses doigts de sa chatte trempée pour les poser sur son clitoris, bandé comme une queue minuscule. Elle se branla doucement, essayant de faire durer le plus longtemps possible les éclairs de plaisir qui lui embuaient l'esprit.

Ouvrant furtivement les yeux, elle aperçut son homme dans l'embrasure de la porte, visiblement excité par le spectacle qu'elle offrait. Sans un mot, il s'approcha d'elle, un grand sourire collé aux lèvres. Il se déshabilla rapidement, puis la rejoignit dans le lit réchauffé par les ébats solitaires de son amie. Toujours silencieux, il l'embrassa passionnément, et elle sentit, dressée contre sa cuisse, sa queue chaude et vibrante de vie. Il lui attacha d'un geste les mains aux menottes, toujours présentes sur les barreaux de la tête de lit, et s'allongea sur elle, l'écrasant de son imposante carrure. Il la posséda en un mouvement de reins, et de leurs bouches s'échappèrent simultanément des gémissements de contentement. Les vas-et-vients s'accélérant doucement à un rythme parfaitement maitrisé, ils soudèrent leurs lèvres dans un langoureux baiser, ne se détachant l'un de l'autre que quelques secondes pour respirer. Ils n'avaient toujours pas prononcé le moindre son, mais sans se parler, ils se comprenaient parfaitement, d'un regard plus ou moins appuyé, d'un geste à peine perceptible. Sans bruit, il libéra ses poignets, ils roulèrent sur son dos, et elle se mit à califourchon sur lui, le dos arqué au maximum, la tête rejetée en arrière, offrant aux mains expertes de son homme ses seins en manque d'attention. Il la pinça, la tritura sans ménagement, lui arrachant des cris de satisfaction intense, et sentit sur sa bite gonflée à mort les contractions de plus en plus rapides des muscles vaginaux. Il amplifia ses coups de rein, sachant qu'elle n'allait pas tarder à jouir, totalement emportée par un tourbillon de plaisir et de sensations mêlées.

Elle s'immobilisa quelques instants, se lâchant complètement, et dans un long cri rauque, partit dans un orgasme intense, ne contrôlant plus ses hanches. Excité par cette vision et par son cri bestial, il l'accompagna soudainement dans sa jouissance, ses mains se crispant sur les seins durs de plaisir, grognant comme un fauve tandis qu'il déversait de longs jets de sperme chaud dans le ventre de sa compagne. Elle s'écroula sur lui, épuisée et à bout de souffle, et l'entoura se ses bras pour sentir sa chaleur. Ils avaient tous deux oublié le film, depuis longtemps fini et remplacé par une autre œuvre porno du même acabit. Ils reprirent péniblement leur souffle, totalement lessivés par leurs ébats. Il la repoussa doucement, puis sortit du lit malmené. Elle le regarda tristement, déçue de devoir le laisser si vite, tout en sachant que cette vie était son choix, celui d'être uniquement la maîtresse de on grand amour, devant se résoudre sans broncher à le laisser rentrer à chaque fois chez sa femme...

Cette fois-là, pourtant, elle sentit peser sur elle son regard. Elle leva alors les yeux sur lui, et vit qu'il avait un papier à la main. Elle se redressa, et comprit à son sourire qu'il lui appartenait enfin entièrement. Elle lui sauta au cou, embrassant chaque centimètre de sa peau chaude.

Il la porta jusqu'au lit et l'y déposa tendrement. Il caressa son visage qu'il connaissait par cœur, effleurant la ligne tendre de sa mâchoire, les oreilles finement ciselées, puis les fragiles ailes du nez. De ses lèvres, il suivit la courbe douce du cou, palpitant au rythme saccadé de la respiration de celle qu'il appellerait enfin sa femme. Ils les fit glisser jusqu'à la poitrine ferme, tendue par l'envie, et sa langue fit le tour des aréoles rosâtres, s'enroula autour des tétons bandés, puis les suçota doucement. Il continua sa descente, s'extasiant de la souplesse de la peau claire de sa compagne, frôlant du bout des doigts le ventre musclé, les hanches étroites. Il survola son sexe, allant jusqu'aux cuisses fuselées, la faisant frissonner en chatouillant le creux de ses genoux, en effleurant les mollets fins. Puis, la paume à plat sur sa peau vibrante, il remonta jusqu'au pubis épilé, la caressant amoureusement, passant sur son clitoris encore sensible de son précédent orgasme, descendant entre les lèvres humides jusqu'au périnée souple. Elle respirait de plus en plus fort, bougeait doucement ses hanches pour accompagner les mouvements de son compagnon. Il faisait de grands gestes, tenant dans sa main toute l'intimité de sa femme, puis, sans prévenir, enfonça deux doigts dans le puits béant d'où s'écoulait un jus chaud et épais. Elle s'arqua, ne pouvant réprimer un cri rauque. Il se mit à la doigter à un rythme soutenu, effleurant à chaque fois le muscle strié formant le fameux «point g», et sentant à chaque passage qu'elle mouillait de plus en plus. Après quelques instants, dans un hurlement sourd, elle jouit, propulsant hors de son ventre une quantité impressionnante de liquide, trempant les draps, et arrosant son ami. Il retira lentement ses doigts, abasourdi par ce qu'il venait de voir, par ce qu'elle venait de lui offrir pour la toute première fois.

Elle se releva, ayant à peine repris ses esprits, puis s'agenouilla devant lui. Elle caressa du bout des doigts la grosse veine qui battait à tout rompre dans la queue de son amour, puis, penchant le buste, goba le gland violacé en entier. Il eût juste le temps de prendre une grande respiration, avant de lâcher un long feulement. Elle le prit au maximum dans sa gorge, luttant contre le réflexe nauséeux, puis fit de langoureux vas-et-vients sur la hampe de chair. Elle savourait le mélange de son jus et du parfum de son homme, encore excitée par ce qu'elle venait de vivre. Elle le suça lentement, ne jouant parfois qu'avec son gland, parfois titillant le frein sensible de la pointe de sa langue, parfois l'avalant le plus loin possible. Il donnait des coups de reins, secs et rapides, tant elle lui faisait perdre la tête. Il gémissait continuellement, murmurait par moments des mots tendres. En appui sur une main, elle utilisait l'autre pour lui caresser les bourses, dures et gonflées par l'excitation, jouant des ongles sur le doux sillon, glissant jusqu'à ses fesses musclées. Elle le cherchait un instant, puis calmait ses gestes pour le faire juste bouillir, ne voulant pas le faire partir trop vite. Elle continua ce petit jeu quelques minutes, puis estima qu'elle l'avait suffisamment torturé. Elle prit son gland entre les lèvres, le suçota un instant, puis se mit à l'aspirer de plus en plus fort. Il mit les mains dans ses cheveux, attirant son visage au plus près de son ventre, le corps tendu à l'extrême, puis, dans une ultime aspiration de la bouche qu'il aimait, il lâcha par grosses giclées son jus chaud dans la gorge de sa femme. Il respirait fort, bougeait ses hanches par saccades, incapable de calmer l'orgasme qui le possédait. Elle finit par dégager sa tête des mains puissantes qui la retenait prisonnière, et avala son sperme en le regardant droit dans les yeux. Il l'attira contre lui, et l'embrassa violemment. Allongés l'un contre l'autre, ils finirent par s'endormir, un sourire de contentement aux lèvres.

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Guest sylphide

Très beau récit plein de passion

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Je viens de me réveiller, je te lis et je ne pense qu'à une chose, retourner me coucher. :wink:

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