La Dame en rouge - sexe intense au restaurant

[AsMoth 257]

La Dame en rouge

Lorsque je suis entré dans ce fameux restaurant de bordure de mer en Belgique, je l’ai tout de suite remarquée. Curieusement, ses yeux se posèrent sur moi tout en même temps. La Dame en rouge. Signe du destin ou simple fait de la chance, le serveur nous a placé mon amie et moi à la table située en face de la sulfureuse blonde dont je vous parle. En face… pas tout à fait : notre table était en quinconce vis-à-vis de la sienne. Autre signe du destin, à demi provoqué par moi-même : je m’assis de façon à avoir la belle inconnue devant moi… son compagnon me faisait dos, de même que mon amie n’avait aucune idée de la personne qui se tenait derrière elle. Ainsi, la dame en noir et moi commençâmes à nous jeter des regards de moins en moins discrets, soulignés de quelques rictus provocateurs.

Rapidement, le bruit des discussions ambiantes et l’effet de l’alcool me mit dans une drôle de torpeur. Un bien être qui me faisait planer. je discutai avec mon amie de sujets divers et variés, mais mes regards plongeaient parfois en direction de cette belle blonde. Me concentrant sur mon ouïe mon sens de l’observation, je constatai qu’elle et son mari ne parlaient pas français. Cela ajouta un piment supplémentaire. Néanmoins, le langage du regard fut le même. Nous jouions tous les deux au même petit jeu : regards et sourires discrets à l’insu de nos compagnons respectifs. Le dîner continuait. Une forme d’impatience commença à me prendre. Oui, je désirai de plus en plus cette jolie blonde, si joliment mise en valeur dans sa robe rouge intense. Ses yeux coquins et perçants faisaient battre mon cœur et bouleversaient ma raison : je fantasmai la prendre violemment dans les toilettes du restaurant, la faire crier et la faire jouir comme elle le méritait. A un moment du dîner, un couple situé à la table à côté de la leur se leva et quittèrent ensuite le restaurant. Et là, les nappes n’ayant qu’une courte chute sous la table, je vis les jambes de ma belle inconnue. Elle remarqua mon attention soudaine à sa féminité et au galbe ferme de des jambes, si joliment mises en valeur dans des bas ou collants noirs et talons aiguilles. La belle blonde jeta alors un coup d’œil sur son côté gauche, puis, posant ses yeux sur moi, commença à écarter discrètement, lentement les cuisses. Mon pouls s’accéléra aussi sec. Ouvrant les cuisses, sa robe glissa en effet sur elles, les dévoilant dans une sensualité et un érotisme fous. Je sentis aussitôt mon sexe se mettre à bander très fort. Passant ma main droite sous la table, je me soulageai comme je pus en calant ma queue le long de ma cuisse, dure et gonflée d’excitation. Elle sortit dans mal de mon boxer, mais mon pantalon étriqué la serrant assez fort contre ma cuisse, je sentis sous la poussée de mon érection mon gland se décalotter. Je sentis immédiatement contre la peau de ma cuisse de la mouille épaisse sortir de celui-ci. Bordel, la belle inconnue me mettait dans un sacré état.

Je ne sus si elle remarqua mon état d’excitation d’où elle était. Peut être… car profitant que mon mari consultait son blackberry, elle se mit à se mordre les lèvres un long moment tout en me regardant. Je vis alors sa main se poser sur son genou et remonter lentement sa cuisse. Elle garda alors sa main serrée entre ses deux cuisses, à un niveau assez haut pour approcher de très près sa chatte que j’imaginais –fantasmais !- déjà mouiller ses sous-vêtements. Ses caresses, de moins en moins discrètes, levèrent le doute sur le doux tissu qui ornait des jambes : il s’agissait bien de bas. Je vis un instant la blancheur de ses cuisses, tant sa robe fut retroussée. Il faut dire que la salle se vidait ; il y avait de moins en moins de monde, ce qui permettait à la jolie blonde de s’élancer dans un nouveau petit jeu d’exhib très coquin. Moi, je ne tenais plus sur ma chaise. Mon amie comprit un instant que quelque chose n’allait pas. Je lui dis que non… Que non, jusqu’au moment où la belle blonde se leva de table et se dirigea dans un déhanché envoûtant vers les toilettes, au pas de la portes desquelles elle s’arrêta et posa un regard complice sur moi. C’était le signal ; le moment ou jamais. Allais-je oser ? Oser aller vers elle ? Pour quoi exactement ? Oser tromper mon amie, à-même ce restaurant ? Ma tête bouillait entre morale, désir et sensations. Et puis merde, je me levai. Je cachai mon état d’excitation avec ma serviette que je posai au dernier moment sur la table. D’un pas sûr, je me dirigeai à mon tour vers les toilettes, passant à côté du mari de la blonde. Il semblait plus s’amuser de son joujou que de sa femme… quel inconscient ! Chaque foulée me dirigeait vers l’inconnu. Un inconnu à la fois excitant et effrayant quant aux actes et conséquences de ceux-ci, si les intentions réciproques s’avéraient être à la hauteur de nos désirs.

Descendant les escaliers très étroits qui menaient aux toilettes, j’étais maintenant à l’abri des bruits de la salle. Je me trouvais dans l’antichambre de la débauche. Mon cœur s’accéléra encore, frappant fort dans ma poitrine. J’avais maintenant descendu ces escaliers. La porte toilettes hommes et la porte toilettes femmes se tenaient devant moi, à quatre ou cinq mètres. Pas un bruit. Où était-elle passée ? Je marchai à pas de loup, au bord de l’asphyxie, quand soudain un bruit de talon résonna dans ce silence inquiétant. Toilettes hommes. Ça ne pouvait qu’être elle !

Je me dirigeai donc vers les toilettes messieurs, à demi conforté par le fait que j’y étais dans mon droit le plus parfait. Au mieux, elle me laissait faire pipi. Au pire, nous nous sauterions dessus pris dans un pur moment de débauche. Mais pourquoi au pire me questionnai-je. Je n’étais vraiment pas sûr de moi. Je me sentais en enfer, pris dans les toiles d’une prédatrice sans scrupules.

J’ouvrais donc lentement la porte des toilettes hommes. La jolie blonde était là. Elle se remaquillait devant le miroir du lavabo. Me voyant là, elle me regarda naturellement et me sourit, avant de poursuivre sa petite affaire. Bon dieu qu’est-ce que t’attends pour me sauter dessus ! me dis-je ! être pris au dépourvu, abusé, « violé » aurait été pour moi la plus simple des solutions sur le plan de la moralité. Mais non : la belle bonde était là en terre « ennemie », chez les hommes. Elle avait pris ce risque… à moi maintenant de faire le reste, de prouver ce que j’avais dans le pantalon !

Mon dieu, elle était là, presque sur la pointe des pieds, les fesses bien cambrées en arrière. Mon dieu quelle croupe… et cette robe à peine la peau de ses fesses rebondies ! Hummm… Je devinais leurs formes appétissantes et l’absence de culotte… un string tout au mieux. Le désir me prit l’entrejambes. La dévorant ainsi des yeux, je me remis à bander de plus belle. Je sentais mon gland en fusion, trempé de mouille me crier de me coller contre elle, de pétrir ses beaux seins… il réclamait d’être sucé avec avidité. Minute garçon ! Pas si simple ! Autant le désir avait totalement balayé toute trace de moralité dans mon cerveau, autant je ne savais pas comment sauter le pas et faire comprendre à la belle blonde mes fermes intentions à son égard. D’autant que nous n’aurions pas beaucoup de temps… l’esprit d’organisation se mettait en route dans mon cerveau. Oui, j’allais te baiser ma belle, tu peux en être sûre, si c’est ce que tu souhaites.

Me mettant au lavabo à coté du sien, je me mis à me laver les mains. Nos regards se croisèrent ; nos sourires coquins aussi. La belle blonde rangea son rouge à lèvre. Je me sentais en confiance après ces signes positifs de communication. Je vis alors la belle blonde reluquer la bosse dessinée par mon sexe sous mon pantalon. On se regarda encore, avec une folle insistance cette fois-ci. on s’approcha l’un de l’autre. Elle me balbutia quelque chose en flamand que je ne compris pas, avant que je la prenne dans mes bras et que l’on s’embrasse à pleine langue. Je sentis aussitôt le haut de sa cuisse se caler entre mes jambes, compressant ma queue en érection totale contre tout contre. La belle sentit mon état d’excitation et me décocha un sourire.

Dès lors, les choses s’accélérèrent.

Je me mis tout d’abord à palper ses beaux seins qui étaient nus sous sa robe, et dont les pointes dardantes transparaissaient. La belle flamande se réjouit de me voir les palper ainsi, avant de les dénuder pour en sucer et lécher les tétons à pleine langue. Des seins doux et fermes, et plus que tout réactifs. Ma flamande passa ses mains autour de ma nuque pour m’inviter à lui dévorer les seins, alors que ma main curieuse remonta le long de ses cuisses. Ce fut ensuite à son tour de s’occuper de moi. Le sourire aux lèvres, elle s’accroupit, descendant au niveau de mes cuisses. Elle déboutonna mon pantalon et ma braguette qu’elle baissa d’un trait, boxer compris, à mes genoux. Mon sexe en érection jaillit déjà bien raide à sa bouche. Elle ne tarda pas à l’empoigner et tirant sur la peau épaisse, à ouvrir la bouche tout en me regardant dans les yeux pour engouffrer mon gros gland luisant de mouille. Elle me lécha un instant les couilles, toute langue dehors, avant de la remonter le long de ma verge, puis mordilla mon gland, toujours avec ce même sourire amusé aux lèvres, avant d’engouffrer de nouveau mon sexe dans sa bouche, cette fois-ci avec plus de vigueur. Sa main encore libre vint retrousser sa robe et je la vis disparaître sous son string. Sa langue me procurait des sensations incroyables au frein. Je ne compris pas de suite pourquoi. C’est lorsqu’elle lécha mon gland toute langue dehors que je compris : elle avait un piercing. Se reculant un peu, la belle blonde se mit à me masturber. Je grimaçais et haletais de plaisir. Je la vie mettre son string noir en nylon sur le côté de sa chatte pour se masturber à son tour à mes yeux gourmands. Bordel qu’est-ce qu’elle était chaude la coquine ! Cuisses écartées, la dentelle noire de ses bas à mi-cuisses, la belle inconnue prenait un plaisir certain à faire aller et venir sa main sur mon manche épais, tandis que son autre main excitait sa fente. Elle me la présenta outrageusement, l’ouvrant de ses doigts, pour me montrer sa vulve humide et dilatée. Nul doute que cette coquine avait la chatte en feu depuis un petit moment ! Elle se mit à me sucer de nouveau tout en me masturbant. Ses seins étaient pointus d’excitation, sortis sauvagement de sa robe. Une lueur étrange et envoûtante remplissait les yeux de mon assaillante : ainsi accroupie, cuisses écartées, elle me masturbait divinement bien tout en s’appliquant les mêmes plaisirs. Ses yeux ne décrochaient pas des miens ; sûrement y lisait-elle les moindres sensations que sa main procurait à mon chibre si généreusement tendu vers elle. Mes boules lourdes tanguaient au rythme des allers et venues de sa main experte. Elle me suça encore le gland salivant merveilleusement. Elle se passa même mon gland sur ses joues et le long de son cou, finissant de me faire fondre, avant de me renfourner à nouveau dans sa bouche experte.

Je lui caressais les seins qui avaient grossi à vue d’œil. Clamant ses ardeurs, la blonde envoûtante fixa ses yeux dans les miens et se releva.

« Come with me » furent ses mots.

Là, elle se se posta en face de la glace, appuyée sur le lavabo où elle s’était maquillée quelques instants plus tôt, dans la même position. était-elle devin ? Cette position, oui, cette position qui m’avait mit le feu et dans laquelle je désirais tant la prendre. Elle me l’offrait ! Je mis alors son string sur le côté de sa chatte pour pouvoir accéder au saint graal. Elle cambra ses fesses au maximum pour m’offrir sa douce et belle chatte. J’avais le feu. Je pris mon sexe entre les doigts et le dirigeai illico dans sa fente. Les pointes de ses seins dardèrent d’un seul coup lorsque la blonde me sentit entrer en elle. Hummm… une bonne chatte chaude et humide comme je les aime ! Ses gémissements emplirent la petite pièce. Je tenais encore la base de mon sexe pour m’assurer d’entrer correctement en elle lorsque, me regardant dans le miroir, la sulfureuse blonde ne cessa de reculer vers moi, les fesses écartées, afin de s’empaler le plus profondément possible sur mon gros chibre, et ce en fermant les yeux et faisant chavirer sa tête de plaisir. Bordel ! Quelle chaudasse ! Elle réussit à me faire reculer d’un pas tant son envie de sentir sa chatte bien remplie par une queue bien dure et chaude était grande. Et là, toujours pour me surprendre, alors que je venais tout juste de poser mes mains sur ses hanches, la belle blonde, par un déhanché dont elle a le secret, se mit à me mettre de violents coups de cul qui firent claquer aussi sec ses fesses contre moi, et surtout faire fusionner nos sexes en feu. Bordel ce qu’elle devait aimer la queue celle-là pour s’y prendre aussi bien. Ses seins se mirent à tanguer. Grâce au miroir, j’avais vue sur tout. Etais-je en enfer ? Au paradis ? Le rouge intense de sa robe ainsi que sa rage de baiser m’orientait pour le premier choix ; le plaisir exquis de sont cul et de sa chatte venant heurter mon sexe et mon bassin privilégiait quant à lui le second. Entre deux mondes, je me mis à la culbuter, pour peu qu’il y avait à faire tant cette coquine mettait de l’énergie à nous procurer du plaisir. Ses fesses rondes et fermes s’écrasaient et claquaient contre moi. Sa chatte était un peu serrée. Bordel quel pied. Les gémissements non contenus de ma flamande finirent de m’emporter vers les cimes d’un monde en totale ébullition.

‘Nous’ ( !) culbutant à un rythme régulier, mes pénétrations furent un instant plus profondes. Il me fallait montrer à quel étalon cette demoiselle avait à faire ! Elle ne put que se pencher, presque s’affaler sur le lavabo, levant un instant une jambe, pour encaisser mes longs coups de queue. Mais la coquine n’en fut pas à son dernier mot. Elle se cambra vers moi, alors que ses seins tanguaient en tous sens, pour venir m’embrasser. Tout chez elle me rendait fou : tant sa fougue pour la baise sauvage et interdite que la sensation de son cul ferme claquant contre mon bas ventre, ou encore le fait de voir ses seins durs tanguer au rythme de mes assauts. Baiser de la sorte une parfaite inconnue m’excitait plus que tout. Jamais je n’aurais cru qu’il existait sur Terre des diablesses prêtes à cela avec autant de hargne et de plaisir mêlés. Nos souffles et nos gémissements se confondaient désormais. La belle blonde me sentit gonfler et durcir vers une issue irrévocable. Elle le comprit et s’approcha plus de moi encore, comme si elle voulait que nos corps tout entier ne fassent qu’un. Je sentais mon gland en fusion s’écraser contre le fond de sa chatte chaude et humide. La belle blonde plongea une main entre ses cuisses et se mit à se caresser le clito. Ses fesses claquaient de plus en plus fort dans les toilettes. La coquine nous regardait dans la glace. Mes derniers puissants coups que queue la firent se pencher en avant, avant que soudain je me mette à jouir en elle, dans sa chatte si chaude et accueillante. Sentant mon sperme brûlant gicler et se déverser en elle, la belle blonde lâcha un profond gémissement de plaisir, complété de mots en flamands que je pourrais interpréter comme des aveux de plaisir. Alors que j’éjaculais en elle, ma belle inconnue s’arrêta de bouger avant de s’empaler lourdement sur mon dard les fesses bien penchées en arrière afin que je lui remplisse l’entrejambes au plus profond de son antre.

Aussitôt mon éjaculation terminée, la blonde s’extirpa et prenant un morceau de serviette en papier, elle se la colla à la minette avant de remettre son string. Elle me fit un dernier baiser tout en réajustant sa robe, suivie d’une caresse à ma joue, avant de quitter les toilettes hommes. Je restai la queue à l’air, entre les cuisses et toujours gonflées d’excitation, planté là un peu comme un imbécile. Curieusement, je n’étais pris absolument d’aucun remords. Bordel ce que ça avait été bon !

[pauline59 0]

:twisted: va falloir que tu me dises de quel resto il s'agit...que je puis y aller... ;)

[AsMoth 257]

il s'agit d'un resto en belgique...

[michel757 2]

waouh

[Virge33 3]

Magnifique, mais un peu inconscient de ne pas avoir mis de préservatif !

[prolifik69 7]

récit très excitant...je retournerais bien en Belgique dis donc :shock:

[lou4243 0]

quelle chance tu as eu!!

[Fabien 0]

Pas mal du tout comme récit

[espagnolito91 2]

AsMoth je tenais à te féliciter car j'ai lus la plus part de tes histoires et elles sont vraiment toutes superbes, tu as une plume magnifique et tu arrives à nous faire ressentir beaucoup d'émotions et d'excitation. Encore un grand bravo à toi :wink:

[stefanouche44 14]

superbe récit comme d'habitude :wink:

[serka 0]

Pas mal :wink:

[cplemateurs 0]

Trés beau récit, très très excitant merci

[raziel42 17]

un récit toujours très bien écrit

merci à toi!!!!

[mathou_poete 0]

excitant ce recit c'est bon

[rtx42 923]

Je découvre ce récit, très bien écrit et très excitant