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sophxxx

Ingo, épisode 1 ...

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Je travaille dans un milieu presque exclusivement masculin. J'interviens souvent chez des clients pour de la maintenance, du dépannage ou de la formation sur des machines. Des varies machines, hein, pas des petits trucs blancs et propres, des monstres de metal dégoulinant de graisse …

Je n’ai jamais d’aventures dans le travail. Jamais … Sauf une fois …

J’étais en Allemagne, dans l’ex-RDA, près de la frontière polonaise, pas très loin de Dresde. Mon intervention était prevue pour la semaine et je m’étais organisé un week-end sympa à Berlin ensuite.

Quand je suis arrivée le lundi, on m’a présenté le technicien avec qui j’allais travailler toute la semaine. Je dois avouer que j’ai été agréablement surprise : il était grand, environ 1,85 m, brun, les cheveux courts, des yeux verts magnétiques. Il avait 25 ans, très carré d’épaule mais les hanches fines, un petit cul comme je les aime, joueur de hand-ball.

Il m’a fait un grand sourire, découvrant ses dents bien plantées et m’a tendu la main, une main carrée, un peu calleuse, une vraie main de mec quoi … et il m’a dit « Je m’appelle Ingo, et vous ? »

Au fil de notre première journée de travail, j’ai pu réaliser aussi qu’il était sympathique, professionnel, très competent dans son boulot mais aussi intelligent,. C’est assez rare pour être souligné. Je travaille assez souvent avec des lourdingues dont le QI ne dépasse le niveau de la ceinture donc j’apprécie quand je peux discuter d’autres choses que du boulot aussi !

Mon niveau d’allemand n’est pas suffisant pour philosopher mais échanger quelques propos sur des sujets varies est quand même agréable. Il parlait peu mais sa voix était douce et grave.

Nous étions début juin et il faisait chaud. Je travaille généralement en bleu de travail et quand il fait des temps comme ça, je ne porte que mes sous-vêtements en-dessous.

Dans le boulot, nous sommes souvent amenés à nous toucher, à nous pencher ensemble au-dessus ou dans la machine. Tous ces contacts accroissaient un peu mon émoi par rapport à ce beau garçon que je trouvais fort agréable à regarder mais je réprimais cela, sachant bien qu’il n’était pas raisonnable de l’envisager.

Le 2e jour dans la matinée, j’avais légèrement ouvert la fermeture éclair de mon bleu parce que j’avais trop chaud. A un moment, je me suis penchée et quand je me suis relevée, j’ai croisé son regard qui avait plongé dans mon décolleté. Ingo a détourné les yeux, gêné. Il savait aussi bien que moi que je n’étais pas accessible pour lui. Puis il m’a à nouveau regardée, se demandant sans doute quelle serait ma réaction. Je lui ai juste souri, puis j’ai remonté ma fermeture éclair.

Nous avons poursuivi notre travail. Dans l’après-midi, nous avons fait une pause. Nous étions seuls dans la salle. J’avais un verre de café à la main et je regardais par une baie vitrée qui donnait sur la campagne à l’arrière de l’usine. Il s’est approché de moi ; il se tenait juste derrière moi. Je pouvais sentir son odeur, entendre sa respiration et percevais la chaleur animale qui se dégageait de lui ; j’avais l’impression que je pouvais même sentir le contact de son buste contre mes épaules. J’étais troublée, un peu excitée, de sentir ce grand mâle tout près de moi. Il s’est penché vers moi ; sa bouche était si proche de mon oreille que j’ai senti ses lèvres bouger quand il a parlé. Il a juste dit : « j’ai envie de toi » et il s’est relevé.

Ces quelques mots ont provoqué dans mon bas-ventre une drôle de sensation, comme un picotement, excitation mêlée d’envie, le goût de l’interdit et une attirance folle pour ce mec bâti comme un athlète …

Je savais qu’il avait pris un gros risque en me disant ça ; j’aurais pu le faire virer à cause de ça … Ayant pu apprécier sa maturité, j’ai pensé qu’il devait avoir vraiment une attirance forte pour moi pour avoir dit une chose pareille …

Je me suis légèrement reculée, le touchant avec mon dos et je me suis appuyée légèrement contre lui. Je sentais son cœur battre contre mon dos, j’étais follement bien, une douceur irrésistible s’emparait de moi. J’avais juste envie de rester là tout le reste de la journée.

Celui-ci a d’ailleurs été très compliqué … Chaque geste, chaque effleurement provoquait en moi une excitation encore plus grande. Je n’avais qu’une envie, qu’il me touche, qu’il me déshabille, qu’il m’embrasse, … Et je pense que lui aussi ressentait cette attraction animale, irrésistible.

Nous avons fini tôt ce jour-là et en partant je lui ai proposé de boire une bière le soir-même. Il m’a dit qu’il viendrait me chercher à mon hôtel vers 19h30.

Je suis rentrée très troublée, un peu perplexe et ne sachant toujours pas si j’allais donner suite à cette histoire ou pas. Ce n’est pas dans mes habitudes mais là … c’était vraiment particulier.

Quand je suis descendue ce soir-là, il m’attendait dans le hall. Il était élégant, tout en simplicité : une chemise blanche un peu ouverte, un jean qui moulait ses longues jambes fines. Il n’a rien dit, m’a souri comme le 1er jour et a déposé ses lèvres sur les miennes, tout en douceur. J’étais bien …

Nous sommes partis main dans la main. Il caressait doucement ma main de son pouce tout en marchant, ne disant rien. Nous marchions en silence … Soudain, il m’a plaquée contre un mur et m’a embrassée presque violemment, sa langue venant à la rencontre de la mienne, ses lèvres chaudes contre les miennes, son torse collé contre mes seins. J’ai adoré ce baiser qui était tellement lui, chaud, doux, fort, sensuel …

Nous sommes restés là un temps interminable à nous embrasser dans ce recoin. C’était bon, vraiment, un moment hors du temps. J’avais envie de lui ; il avait envie de moi ; c’était si simple …

Nous avons continué à marcher et nous nous sommes installés sur la terrasse d’un petit bar. Quelques tables étaient installées sous un gros arbre. Nous avons bu en silence une bière brune locale, une bière qui laisse un arrière-goût de café quand on la boit. Il était à côté de moi, me regardant boire en souriant. Il avait posé une main sur ma cuisse. La chaleur de cette main posée sur moi irradiait toute ma cuisse, jusque dans le bas de mon ventre, provoquant un désir irrépressible.

Nous avons pris notre temps, nous avions tous les 2 ce qui allait arriver ensuite …

Il m’a emmenée chez lui, tout près. Il a ouvert la porte et m’a fait entrer. C’était petit mais agréable, propre et bien meublé. Dès la porte fermée, il m’a à nouveau embrassée langoureusement. J’étais excitée mais comme paralysée par sa présence animale, sa chaleur. Il m’a assise sur le canapé, s’est assis à côté de moi. Tout en continuant à m’embrasser, il a glissé sa main dans mon chemisier et a commencé à caresser mes seins.

La chaleur de son corps contre le mien, la douceur de ses lèvres sur moi, la force de sa main sur ma peau … c’était merveilleux et je sentais toutes mes défenses fondre comme neige au soleil. Je n’avais qu’une envie, qu’il continue, qu’il me touche, qu’il me prenne. Je me sentais comme une gamine de 14 ans au moment de ses premiers émois.

D’une main, il a déboutonné les boutons de mon chemisier. Puis il a embrassé ma poitrine, léchant légèrement mes seins. Il les caressait à travers la dentelle de mon soutien-gorge, pinçant légèrement mes têtons qui se dressaient malgré le tissu.

J’ai touché son entrejambe et j’ai senti que son sexe était déjà dur sous le jean. Je l’ai touché à travers le pantalon, puis j’ai défait les boutons … Il a eu un soupir de soulagement …

J’ai continué à toucher sa verge à travers son slip.

Il a alors glissé sa main sur ma cuisse, puis sous ma jupe, remontant jusqu’à ma culotte. Du bout des doigts, il a joué avec celle-ci, effleurant mes grandes lèvres, puis il a glissé son doigt un peu plus avant. J’ai tressailli … j’étais tellement excitée que j’ai failli jouir du simple contact de son doigt sur mon clitoris.

Il allait et venait sur celui-ci, le caressant, le titillant. Je me laissais faire, remplie d’un plaisir incroyable. Je voulais que ce moment dure des heures, qu’il me caresse ainsi à n’en plus finir. J’étais trempée déjà …

Il s’est alors mis face à moi, à genou par terre. Il m’a enlevé ma culotte, glissant ses 2 mains sous mes fesses. Puis il a approché son visage et a commencé à me lécher. Vraiment me lécher.

Sa langue allait et venait de bas en haut simplement le long de ma fente, ne cherchant pas à faire de fioritures, juste montant en longs mouvements amples et lents. Il repartait du bas à chaque fois. Je gémissais à chaque passage, ayant envie que ça dure et que ça aille plus vite en même temps.

Chaque aller était incroyable de douceur et de plaisir, chaque interruption interminable d’attente et d’excitation.

J’étais en plein plaisir , un vrai plaisir long, sensuel ; je mouillais comme une folle et je mourais d’envie qu’il me prenne, qu’il me pénètre.

Il continuait juste à me lécher … Puis il a commencé à pénétrer mon intimité de sa langue … ahhh … C’est ce que j’attendais … Je me sentais au bord de l’explosion, je sentais une vague de plaisir prête à déferler sur moi, je la retenais, je l’attendais, j’avais perdu la tête.

Sa langue se faisait de plus en plus insistante, chatouillante puis plus forte, tournant, allant et venant dans mon intimité, l’explorant, la faisant sienne …

Puis il a juste attrapé mon bouton de rose … et là le plaisir a surgi, brutal, intense. Une vague, une lame de fond, un tsunami chaud et violent, venant du fond de mes tripes et me submergeant totalement. Je crois que j’ai crié …

C’était tellement intense que je me suis laissée aller quelques minutes, appuyée contre le dossier du canapé, continuant à sentir les pulsations de jouissance en moi …

La suite au prochain épisode ...

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superbe récit, on aimerait être avec vous lors de ces caresses, voir ce corps s'enflammer...hummmm vivement la suite!

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Très belle naration...

Magnifique instant quand le désir et le plaisir nous tient..

J'ai hâte de lire la suite de cette très agréable expérience ;-)

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Bravo pour ce superbe récit joliment écrit !

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