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AsMoth

Masturbation à la plage : comment résister ?!

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C’était mes premières vacances tout seul, c’est-à-dire sans mes parents sur le dos. La grande liberté ! C’était l’été, et déjà depuis plusieurs mois les fantasmes les plus chauds hantaient mon esprit. Tous tournaient autour d’un lieu insolite d’érotisme : la plage. Je n’avais jamais été sur une plage nudiste, aussi y aller me fichait un peu la trouille. Je n’aurais su dire pourquoi. J’avais entendu parler par des amis d’un coin, d’une petite plage située juste à côté d’une plage nudiste. Idéal pour s’initier aux plaisirs de la nudité totale. L’endroit rêvé pour moi. on pouvait même apercevoir certains nudistes qui préféraient s’y détendre, car toute petite, elle était moins envahie ; aussi parce que son accès n’était pas indiqué et qu’il fallait marcher un bon quart d’heure entre les rochers pour y accéder.

J’arrivai donc sur les lieux déjà tout excité. Je sentais le bout de mon sexe se balloter et frotter contre mon short, excitant déjà bien mon gland tout humide. Peut être n’y aurait-il personne ou que des personnes en tenue conventionnelle… Mes premiers pas sur la plage firent le même boom-boom que mon cœur lorsque je vis à quelques mètres du rivage une silhouette féminine accroupie dans l’eau, les seins à l’air… et d’où j’étais, aucune lisière de maillot apparente. Gloups ! ça commençait fort, très fort ! Un seul couple de personnes âgées, heureusement vêtu, se tenait dans le coin de la plage, plongés tous deux dans leurs magazines. Bordel de bordel, ça ne pouvait pas être possible une veine pareille ! Il me fallait profiter de l’occasion tout de suite, avant que cette beauté que j’apercevais s’en aille sur sa serviette. Alors, tentant de me calmer pour ne pas attirer tout de suite l’attention, je quittai mon short et me retrouvant nu, le cœur battant d’angoisse à me promener de la sorte, je me dirigeai vers l’eau.

Le coin était très rocheux. Autre signe de la providence, le seul endroit sablé et sans rochers ni cailloux se trouvait là où était la jolie blonde. J’avais mon argument ! A chaque pas me rapprochant d’elle, je constatai à quel point elle était belle : blonde, dans les vingt huit ans… une paire de seins très lourds dont la fraîcheur de l’eau faisait darder les pointes brunâtres. Elle était là, accroupie, me faisant presque face. Elle s’appuyait contre un rocher, se passant de l’eau sur les épaules. Elle venait elle aussi d’arriver dans l’eau sembla-t-il. Le rocher masquait sa fente. Etait-elle pudique ? Ses jambes étaient pliées sur elles-mêmes et écartées. Je m’approchai. Mon dieu quelle paire de loches ! Un galbe merveilleux.

Me voyant arriver, la belle blonde tourna sur elle-même toujours accroupie, et s’assit sur ce fameux petit rocher de profil. Merde ! Me prenait-elle déjà pour un lourd-dingue ou était-elle vraiment pudique ? Il fallait que je me calme. J’avançai dans l’eau jusqu’à ce que celle-ci m’arrive en bas des genoux. Je me tenais là, dans son angle mort, je sachant quoi faire. Je la vie tourner la tête vers moi, l’espace d’un instant. Ses yeux se poser sur mon torse, et descendre vers mon sexe. Je fus curieusement plus gêné qu’elle encore je pense à me retrouver dans cette situation. Le nudisme ne me mettait pas du tout en confiance.

C’est alors qu’elle se tourna pour me faire complètement dos. Elle faisait face au soleil. Elle était vraiment pudique ! Peut être que non… je la vis ouvrir les cuisses amplement, s’appuyant sur le rocher plat sur lequel elle était assise, offrant au dieu soleil son fruit d’amour. D’où j’étais, je voyais maintenant parfaitement ses fesses, et le fait de voir ses cuisses écartées me laissa imaginer son fruit suintant au soleil. Elle avait le bassin cambré, mon dieu que les choses s’accélérèrent dans ma tête. Elle semblait chevaucher une queue maintenant. Je me mis aussitôt à bander. je faisais également face au large. Personne ne pouvait le voir, excepté la belle blonde au cas où elle se retournerait. Baissant les yeux, je vis mon sexe se raidir et gonfler à chaque à-coup provoqué par mon sang bouillant. Le vent tiède caressait mon corps nu offert à la nature. Je me retournai. Personne de nouveau sur la plage. Alors j’osai. Je pris mon sexe à pleine main et commençai à me masturber en dévorant ce corps de déesse des mers du regard. Ses formes, ses courbes, associées à sa posture et notre totale nudité me fit bander fort et dur. Mes appréhensions s’effaçaient de seconde en seconde. J’imaginais maintenant ma belle queue disparaître entre ses belles fesses rebondies. J’imaginais ma belle blonde s’empaler sur mon manche avec précaution, ainsi les cuisses ouvertes, m’accueillant sans son ventre chaud et humide. Je n’avais toujours pas vu sa jolie chatte ; je l’imaginais avec un pubis touffu de poils longs et clairs. Naturels. Sauvages.

Je me masturbais dans son dos depuis quelques minutes. Je vis soudain ma muse changer de position sur son caillou et tourner la tête légèrement en ma direction. Elle devait se demander ce que je faisais là, dans son dos, immobile… bien qu’elle devait déjà le deviner un peu, vu mon âge. Son sein droit m’apparut. Galbé et laiteux, avec sa pointe dure. Je vis son œil droit tourner discrètement vers moi. Instant de panique ; déconnexion morale : j’enlevai ma main de mon sexe pour l’arborer fièrement vers moi, tendu comme jamais, avant de feindre de marcher dans l’eau en regardant au large.

La belle inconnue se leva de son rocher. Merde. Etais-je allé trop loin ? Elle se mit debout et resta quelques instants – éternels pour moi – les mains posées derrière sa tête, ses beaux seins offerts au soleil, comme pour s’étirer le dos. Elle se tenait ainsi de trois quart. Ce « profil » était un sommet de l’érotisme. Si seulement je savais peindre…

Ses bras retombèrent enfin. La belle restait là, debout, une jambe légèrement fléchie, face à la mer. Je ne pus résister. Mon désir me fit m’approcher d’elle pour la dévorer plus encore. Son joli cul était maintenant à quelques mètres de moi, à hauteur de queue. Offert. Je m’imaginais arriver derrière ma belle pour coller mon chibre en feu dans sa raie culière. J’imaginais son cul ferme et froid. Electrisant… pour ensuite s’introduire en elle, la mettant sur la pointe des pieds, hoquetante de plaisir. Tous mes fantasmes de folie me déconnectèrent du moment présent. Je me masturbais lascivement à pleine main derrière elle, sans me rendre compte qu’elle avait déjà tourné la tête. Le désir avait soufflé la raison. Je ne pouvais plus m’arrêter désormais. Je m’imaginais en elle, mon sexe puissant et dur ouvrant et remplissant ses chairs. Adam et Eve. Lorsqu’elle tourna de nouveau la tête vers moi, toujours aussi discrète, je vis que ses joues avaient pris une rougeur certaine. Colère ? Honte ? Désir ? Peu importe. J’avais le sexe en feu. Elle me faisait bander comme un âne par sa simple nudité, aidée par les éléments de la nature. Mon dieu que ça doit être bonde te prendre en levrette, avec ton joli cul rebondi ! me dis-je.

C’est à ce moment là que la jolie blondinette tourna sur sa gauche et me se baissant pour prendre de l’eau dans ses mains, se tint de profil devant moi pour l’appliquer sur ses nibards. Je dis ce mot volontairement, bien qu’un peu vulgaire, car une paire de seins pareille vous foutait un trique aussi bestiale qu’incontrôlable. Vulgaire. Elle avait un visage d’ange et un corps de démon. Comment désister. Voilà maintenant qu’elle soupesait ses seins devant moi, en étalant cette eau froide dessus. J’avais presque tout : ses seins, ses hanches sensuelles et ses fesses. Elle me regardait, avec un léger sourire. Je ne savais plus quoi penser, sinon quoi faire : relâcher ma queue.

Ses beaux yeux devinrent quelque peu coquins et se posèrent de longues secondes sur mon chibre en fusion.

Ses beaux yeux devinrent démoniaques lorsque ma belle s’accroupit de nouveau dans l’eau, me faisant presque face, gardant les cuisses serrées l’une contre l’autre. Elle continuait de fixer mon sexe… sa jolie bouche à hauteur de queue. Elle se passa la main dans ses cheveux… je ne savais plus quoi faire. Ses seins étaient vraiment énormes. Ainsi face à elle, à sa vue, comment me soulager ? Prenant de l’eau dans mes mains, en fit couler sur mon torse, puis réitérait l’opération pour directement m’en mettre sur la queue et me la pétrir pour feindre d’étaler cette eau presque tiède. J’avais trop envie de jouir.

La blonde, assistant à mon petit jeu de rafraichissement, écarta soudain les cuisses et pivota encore un peu pour bien me faire face. Mon dieu. Mes yeux plongèrent immédiatement sur son entrejambes. Et non, ça n’était pas une vraie blonde ! Une petite touffe foncée coupée raz en ‘i’ ornait son pubis, lui conférant une douceur angélique. La belle se passait de l’eau sur les chevilles, ainsi accroupie, cuisses écartées. Légèrement penchée en avant, ses seins étaient encore plus mis en valeur. Leurs pointes dardaient plus que jamais. Je n’en pouvais plus. Voir ainsi sa jolie chatte accéléra plus encore le rythme de mon cœur, à le faire exploser. J’en avais les tempes qui bourdonnaient. La belle scrutait mon sexe sans gêne aucune, alors que je m’intimidais de poser mes yeux sur les siens. Je bandais for, trop fort. Le pouvoir du mental. Ses yeux agissaient sur mon sexe comme mille et une caresses sensuelles, naturelles, originelles. J’imaginais ma belle queue d’amour un peu partout : dans sa bouche délicate, entre ses seins lourds, ou encore ma belle nymphette s’empalant dessus à s’en fendre la minette. L’imaginaire de son sexe chaud contrastant avec la fraîcheur de l’eau devenait réelle, palpable dans mon esprit. Mon gland laissa échapper une épaisse goutte de mouille. Voilà que je me masturbais sans m’en rendre compte devant elle.

Alors que j’étais raide comme jamais et grimaçant, nos regards se croisèrent enfin. La belle arborait un sourire presque gêné pour moi face à ma « souffrance » et à ma « gêne ». Un sourire amusé également. J’avais le sexe en feu, incontrôlable. J’étais tout gland dehors, et le regard inquisiteur de la belle inconnue posé sur mon bonbon d’amour ne fit qu’amplifier les choses. Me voir avec mon sexe en érection totale dans la main ne la gênait aucunement. Elle n’attendait plus qu’une chose : l’issue inévitable de cette situation dans laquelle j’étais emprisonné malgré moi. Regardant tantôt son corps nu, tantôt mon sexe, ma main câline s’activa sur mon manche épais qui se raidit à en exploser. Je me mis à râler. J’avais l’impression d’être à bord d’un train dans sa lancée folle, tout frein ayant lâché. Ma grosse queue fut prise de spasme. La belle me regardait, immobile, toujours avec ce même sourire, les sourcils visiblement ennuyés pour moi. le fait de la regarder cette ultime fois eut raison de moi. De moi tout entier. La queue dressée en avant, je me mis à jouir un, puis deux, puis trois puissants jets de sperme. Longs et épais, ile me firent presque mal tant mon sexe s’était raidi. Un frisson électrisant me parcourut l’échine. Ces longues giclées de sperme jaillirent à plus d’un mètre devant moi. Devant elle, venant claquer dans l’eau et y mourir. La belle inconnue me regardait ainsi éjaculer devant elle, à cause d’elle. Je tentais de contenir mes râles. Je tenais la peau de ma queue bien tendue, continuant d’éjaculer d’autres jets de sperme, moins puissants cette fois-ci, mais tout aussi visqueux. L’eau cliquetait de mon sperme venant la rejoindre. Les seins de la belle dardaient de plaisir. Elle ne manqua rien à mon orgasme, les yeux rivés sur mon sexe jusqu’au bout.

Une fois l’éjaculation terminée, je regardai la belle avec des yeux effarés.

- Je… je suis désolé. Je crois que je bandais si fort…

Elle explosa de rire.

- ça n’est pas grave. C’est amusant de voir jouir un homme comme ça dans l’eau. Ça ne m’a pas dérangé.

- Ah… ok.

Mon sexe encore gonflé d’excitation, j’entrepris de rejoindre ma serviette. Vues les émotions ressenties, je plongeai aussitôt dans un sommeil profond, fait d’images de ce qui venait de se passer. A mon réveil, la belle était sur sa serviette, profitant des caresses du soleil. A revoir ainsi sa belle poitrine, dieu sait que j’aurais aimé la recouvrir de sperme chaud, telle une douce caresse du soleil…

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Guest decibel

;-) :D Toujours autant de talent dans tes magnifique narrations très très suggestives, Asmoth :P:D8):D8)

Bravo, "belle plume" ! :P

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Guest sliver

En effet c'est une belle histoire très bien narré, bravo à toi asmoth

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ahlala Asmoth, te lire est toujours un régal ;)

Encore !!

oui, comme toujours !

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c 'est un vrai régal de lire des texte comme celui ci on s'y croirai !

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Invité

Ca donne envie de retourner a plage :P vivement l'été prochain :welcome:

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A nous bientôt les joies de la plage !

Il y a 15 j' je bandais si fort. Dans ce foutu boxer de bain que je n'ai pas pu resister a la tentation de liberer ma queue bien trop raide pour y demeurer. La fille qui etait situee en face de moi a du la voir entre mes cuisses, tendue vers elle... L'erection est un phenomene naturel et incontrolable ! Lol - je ne pense pas qu'elle m'en ait voulu.

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