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Emilie : attouchements sensuels jusqu'à sa premiere pipe

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Oh oui, vous, les femmes… Qu’il est bon, lorsqu’aux prémices de l’amour, vous nous pétrissez le sexe par-dessus le pantalon…

… je me souviens de mes premiers ébats amoureux, avec la petite Emilie. Toute l’après-midi passée à ses côtés, à reluquer ses cuisses et son joli petit cul à peine caché par une mini-jupe en jean… la queue en feu toute cette maudite après-midi… excitée par les caresses timides et les baisers langoureux.

J’avais la queue et le boxer trempés de mouille lorsqu’Emilie se décida enfin à m’amener chez elle. Son père était absent, sa mère préparait le dîner. On est monté dans sa chambre, aussitôt fermée à double tour. ça faisait trois mois que je sortais avec Emilie. Elle qui était vierge à cette époque. Les élans de l’été nous emportaient depuis quelques jours dans des baisers langoureux, toute langue dehors. Je m’imaginais entrer et faire tournoyer ma langue dans son autre paire de lèvres… un fruit que j’imaginais doux et parfumé, tout aussi humide que le mien.

Nous étions tous deux assis au bord de son lit. rapidement, nos cuisses s’écartèrent, pour des raisons similaires : le désir, l’envie de donner et de recevoir… La mini-jupe d’Emilie s’était retroussée jusqu’en haut de ses cuisses. J’apercevais pour la première fois sa petite culotte rose et blanche. Je bandais comme un âne. Mes vingt centimètres de chair s’étaient allongés à la jonction de ma cuisse et de mon buste, moulés par mon pantalon en jean qui m’emprisonnait à la fois de plaisir et de douleur ; le plaisir de me sentir dur et gros, le gland outrageusement trempé de mouille épaisse ; la douleur de me sentir prisonnier, mon sexe ne demandant qu’à se tendre et grossir plus encore pour révéler toute son ardeur.

Emilie et moi nous embrassâmes à pleine langue. Son souffle chaud me fit chavirer. Il en fut pareil pour elle. Le rythme et l’intensité de nos émotions, de notre désir, s’accéléra. La situation devenait incontrôlable. Emilie, en fille vierge et timide, n’osait précipiter les choses dans ce domaine. Ma main brûlante vint néanmoins plonger dans son décolleté pour ainsi pétrir ses petits seins aux pointes toutes dures. Je sentis sa respiration s’approfondir et s’accélérer tout en même temps, ponctuée par un petit gémissement aigu et contenu. Ma jolie pucelle. La chaleur la prit et l’envoûta. Je sentis soudain, pour la première fois, la main d’Emilie glisser et se saisir de mon membre bien dur. Hummmm. Quel plaisir ! Quel souvenir. Je sentis à l’instant où sa main se serra dessus et tendit la peau - malgré ce foutu jean ! – mon gland tremper mon boxer. J’avais la queue en feu et en eau tout à la fois. Le souffle d’Emilie qui me caressait le visage me paraissait brûlant. Son parfum fleuri et sucré m’enivrait. Je voulais me perdre dans son jardin. Je me mis à gémir. Emilie à sourire. Cela vous paraîtra peut être curieux, mais sa virginité : j’y voyais quelque chose de magique. Je ne voulais pas y toucher. C’était comme un cadeau qu’on refuse d’ouvrir tout en sachant la magnificence qui se cacher à l’intérieur. C’est cela qui fait toute la beauté de l’ « objet ». Son sanctuaire était sacré et nourrissait de ce fait tous mes fantasmes : j’imaginais ma belle le caresser seule le soir, n’osant le brusquer, excitée à le sentir réclamer chaque jour un peu plus un sexe d’homme. Emilie devenant femme, sa tête se remplissant également de mille et un fantasmes qui faisaient mouiller sa petite chatte et rendre collante sa petite culotte que j’aurais mille et une fois léchée à pleine langue.

Humm…. Emilie me pétrissait maintenant le sexe, sa main se faisant plus sure, plus serrée. Oui ! Elle sentait combien ses caresses faisaient durcir et gonfler mon sexe ardent, toujours plus fort. Mes vingt centimètres gonflés à bloc devaient l’impressionner. Elle n’osait aller plus loin… Défaire le « paquet cadeau » pour voir s’ériger dans les airs, devant ses yeux, ce sexe, ce dard, ce chibre épais et puissant, pouvant heurter, blesser sa petite chatte d’amour. Mais moi, je n’en pouvais plus. Je voyais bien qu’elle mourrait d’envie de le voir, de le caresser même.

- Humm… C’est bon ce que tu me fais tu sais ?

- Ouiiiii…

- Tu me fais bander si fort…

- Oui, je te sens…

- J’ai envie que tu me libères… C’est trop serré. Tu veux ?

Emilie ne répondit pas. Elle agit. La voyant continuer de pétrir mes parties, je finis par m’allonger, accoudé sur son lit. Je vis l’empressement la prendre à la gorge. Elle déboutonna mon jean, baissa le zip, avec les yeux d’une fillette ouvrant son cadeau de noël. Je l’aidai un peu, baissant mon boxer pour libérer enfin mon sexe et mes boules chargées de sperme. La bouche d’Emilie s’ouvrit d’heureuse surprise au même moment que sa main droite vint se saisir de mon manche et que sa main gauche vint se poser sur mes boules :

- Oh mon dieu !

Cet instant sembla se figer dans ses yeux qui fixait mon chibre. Emilie commençait déjà à me masturber doucement, yeux et bouche grands ouverts. Je me redressai un peu pour lire son émotion se dessiner de la sorte sur son visage. C’était le plus fascinant des spectacles. J’avais l’impression – pour une fois ! – d’offrir quelque chose à quelqu’un.

- Oh mon dieu… redit-elle encore.

C’était sa première queue… la première qu’elle voyait de ses yeux… et la première qu’elle pétrissait entre ses doigts. Pourtant, elle savait déjà comment faire. Ses douces caresses étaient divinement douces. Emilie, tout en me masturbant doucement, inspectait ma queue sous toutes ses coutures.

- Tu la trouves comment ?

- Purée elle est grosse !

- C’est vrai ?

- Oui !

Sa main tendait la peau épaisse de mon sexe sans parvenir à en faire le tour, n’en masquant pas la moitié sur la longueur. Ses petites mains donnaient à mon sexe un côté « bestial ». De la mouille épaisse coulait de mon gland. Je ne rêvais plus que d’une chose : qu’elle me prenne dans sa bouche.

- Hummm… J’aime trop ta queue ! Elle est si belle !

- Tu aimerais la goûter ?

- Oh ouii !

Lentement, lascivement, Emilie se pencha et je la vis enfourner mon gland à pleine bouche, accompagné d’un profond gémissement. La sensation de mon sexe chaud et dur dans sa bouche sembla lui procurer un plaisir intense. Là aussi, elle sut immédiatement y faire, réussissant à faire tournoyer sa langue autour de mon gland dans sa bouche suave. Petit à petit, elle enfonça celle-ci plus profondément en elle, prenant un plaisir certain à me dévorer la queue. Mes gémissements l’encouragèrent à poursuivre. Elle me caressait les couilles sans même s’en rendre compte. Je la laissais faire à son rythme, profitant de ce moment historique. Je la vis poser son pied gauche sur son lit, lui écartant ainsi les cuisses, pour enfin porter ma main à sa jolie petite chatte. Mes doigts vinrent pétrir à leur tour son fruit d’amour qui me parut incroyablement gonflé d’excitation. Je sentis sa petite culotte trempée de mouille. Déjà ses petites lèvres, pour ne pas dire sa vulve étaient en train de s’entrouvrir d’excitation.

Nos douces caresses avaient en ce moment précis un côté divin ; atemporel ; d’une douceur qui ne peut être trouvée que dans les cieux…

Mes caresses très douces et respectueuses du bout des doigts, pressant son fruit, donnèrent plus d’excitation encore à Emilie. Je l’entendis gémir plus fort et pourtant enfourner mon sexe plus profondément encore dans sa bouche. Je n’osai / ne voulus aller plus loin de peur de blesser son sanctuaire d’amour. Ça serait pour une autre fois. je ne voulais plus qu’une chose : profiter des douces caresses de sa bouche qui mettaient mon gland en fusion et lui offrir sa première éjaculation, peu importe où. Qu’elle prenne connaissance de ce qu’est le sexe d’un homme. Emilie comprit mes intentions sans même en parler. Elle me dégusta durant de longues minutes, sentant à chacune d’elle ma grosse queue se raidir et mouiller toujours un peu plus, accompagnée de mes râles de plaisir. Je lui caressais les fesses, je lui caressais doucement la minette, et Emilie me suçait comme une reine. Après m’avoir fait souffrir dans la geôle de mon pantalon pendant toute une après-midi, interminable, elle m’emprisonnait maintenant sans sa bouche et devenait femme, petit à petit. Ses joues étaient rosies par l’exictation et le désir de prendre ma belle queue en bouche. Elle me sentit alors durcir et gémir ; mon bassin de mit à bouger à la rencontre de sa bouche. Elle comprit l’issue. Emilie, plus excitée que jamais par ma grosse queue, continua de me sucer. Jusqu’au dernier moment. Là, je posai ma main sur son épaule, gémissant, agonisant, pour lui laisser le choix. Elle ne changea pas d’option. Je me mis à éjaculer de puissants jets de sperme brûlant dans sa bouche, qu’elle garda serrée autour de mon chibre, me masturbant doucement tout en même temps. Je partais au ciel, ma vue s’entourant d’un halo blanc. Je jouissais dans la bouche de ma petite chérie. Je l’entendis déglutir une première gorgée. Puis une seconde, terminant d’avaler mon sperme d’amour. Car oui, cet acte était un pur acte d’amour. L’amour doux, l’amour pur, l’amour partagé. Ses joues étaient maintenant toutes rouges. J’avais joui en elle. Elle avait senti mon sperme gicler dans sa bouche à l’en étouffer et l’avait avalé par amour, par désir.

Lorsque Emilie se redressa, elle me regarda. Ses yeux étaient plissés de désir. Elle m’avouera parl a suite que le fait que je la caresse doucement et que j’éjacule en elle « ta grosse queue dans ma bouche » pour reprendre ses mots, lui avait procuré un orgasme. Je le sentis à sa petite culotte qui était trempée avec un clitoris gonflé de plaisir, et ce bien qu’il était caché.

Quelques minutes plus tard, sa mère nous appelait pour le dîner. Son regard balaya immédiatement Emilie et moi. Elle comprit de suite qu’on n’avait pas fait que jouer au scrabble. Sa fille avait les yeux à demi fermés et brillants, les joues toutes rouges, et moi de même. Sans compter que lorsqu’Emilie parlait de trop près, son haleine sentait l’homme. Les seins d’Emilie étaient toujours gonflés durant le repas. Ses tétons pointaient même à travers son top en nylon. Oui, ma belle Emilie devenait une femme. Avec des désirs de femme.

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Guest sliver

Je te félicites pour la façon dont tu racontes tes récits c'est très bien fait et excitant à souhait en revanche je mettrais un léger bémol sur le fait que tu parles un peu trop souvent de trop "gros" sexe, pas que je sois jaloux non pas du tout mais cela fait un peu trop vantard et je n'aime pas ce genre de détail car que ton sexe soit gros ou pas le principal n'est pas là, mais bravo quand même pour ton récit. :P

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rassure toi, je n'écris pas pour me vanter. Et en effet la n'est pas le plus important. Merci tout de même. :P

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Guest decibel

;-) :D Je fais troujours partie de ton fan-club, AsMoth :D:D:D8) ... même si j'ai un peu de retard à rattraper dans mes lectures 8)

:P Un grand bravo, comme toujours, pour ce récit palpitant de sensualité :P:D :D

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Alala asmoth ^^ j éprouve toujours autant de plaisir a te lire 8)8)

A chaque fois que je vois un nouveau texte de toi je me précipite pour le lire sachant très bien bien quelles émotions je vais avoir

:D

Merci pour ce magnifique récit ;-)

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Invité

J'ai très chaud là ;-)

Superbement écrit

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vous m'envoyez aux anges !! 8)8):D

merci à vous ! :D

j'ai tellement de plaisir à écrire pour vous, ça en devient presque une drogue ! ;-)

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Guest Anonymous

Comment tu fais pour aussi bien écrire ?

J'ai bien aimer. Très bien aimer. Continue donc à susciter mon imagination lors de la lecture de ton récit. =)

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Bien que ce post soit assez ancien je me permets de te félliciter pour ce très joli récit, ça me rappel une petite copine...je pense que je vais décrire cette histoire moi aussi...

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