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Guest ElGulo

La soeur de mon coloc

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Guest ElGulo

Cette histoire m'est arrivée il y a quelques années, alors que je m'apprêtais à emménager avec deux amis. L'un d'eux avait une soeur que j'avais vue une seule fois lors du déménagement. Une petite aux cheveux noirs, avec de grands yeux bruns et un corps à damner un saint. On a beaucoup charrié mon ami avec sa soeur, on en rigolait bien.

Arrivés dans notre nouvel appart, nous décidons de refaire la peinture. Excellent moment : les pinceaux dans la main, la musique à fond, on rigole et on parle. Mon coloc reçoit alors un appel : c'est sa soeur qui va venir nous aider à peindre. Voilà la bête qui débarque, très garçon manqué (j'adore...) avec un débardeur jeté sur ses formes et un mini short en jean. Elle parle fort, elle a une énorme personnalité. On s'entend très bien.

Après une après-midi de peinture, nous décidons de sortir un peu pour passer la soirée tous ensemble. Mon ami nous quitte et nous restons au café pour continuer la soirée, tant et si bien que je commence à me dire qu'elle n'est pas venue pour rien. Nous rentrons ensuite chez moi. Il est minuit passé, son frère dort, mais nous allons sur la terrasse pour boire un dernier verre à la fraîche. Tout à coup, sans crier gare, elle se jette sur moi et m'embrasse goulûment. Nous commençons à sérieusement nous échauffer quand nous entendons un bruit dans le couloir. Son frère arrive, et nous avons juste le temps de nous séparer et de le voir surgir avec notre petit air coupable (surtout moi). Il l'entraîne dans la cuisine, ils parlent.

Quand elle revient, tout est clair : son frère lui a interdit de continuer quoi que ce soit avec moi, mais elle va désobéir (et moi aussi). Elle m'avoue qu'elle n'est pas venue pour aider à peindre mais pour moi. Elle me propose de partir chez elle, et après de molles protestations de ma part, nous y allons.

Le trajet en taxi commence déjà bien : les mains se promènent, se faufilent dans les moindres recoins. L'ambiance chauffe et nous sommes dans un état d'excitation fou.

Lorsque nous arrivons chez elle, elle met de la musique et nous nous allongeons sur le divan. Elle se jette sur mon pantalon, qu'elle déboutonne rageusement, prête à mordre. Sa bouche s'attaque à mon membre dressé tout droit. J'ai tout d'abord peur d'éjaculer trop tôt, mais le plaisir est si intense que je le fais durer, inconsciemment. Sa langue experte se glisse avec aisance tout le long de ma verge, ses mains agiles la tendent et fond gonfler le gland, rouge et luisant comme un fruit mûr.

Nous allons ensuite dans la cuisine pour un verre d'eau mais nous n'avons même pas le temps de le boire : je la prends sur le comptoir de la cuisine. Mes coups de hanches secouent les armoires, ses bras agités par l'excitation renversent la vaisselle.

Nous décidons de filer vers la chambre, dont le lit offre des possibilités plus larges. Là, surprise : tout à coup, avant même de commencer, elle saisit un bouquin et l'ouvre. C'est la Bible. Elle en lit un passage, fait une prière pour ses proches. Je ne savais pas qu'elle était croyante, mais la vision de cette femme nue, à la peau laiteuse et velouté, allongée sur le lit en prière, c'est beau, c'en est trop pour moi.

Alors, c'est le chaos. Pendant des heures, entrecoupées de pauses justement méritées, je la prends sauvagement, et je m'aperçois que c'est ce qu'elle veut : elle pousse des cris rauques, elle perd le souffle, elle se cambre sous l'effet de mon dard qui rentre bien à fond en elle.

A ce moment, une image me revient : les rideaux de la chambre doucement poussés par la brise qui passe par la fenêtre ouverte, avec cette lumière tamisée si belle de l'aurore. Ce moment de bonheur fugace, avec cette créature superbe qui vibre avec moi... Un de ces moments où ce que vous vivez est tellement bon que vous le faites durer comme à l'infini.

A la fin, alors que le jour est levé, nous allons prendre une douche. Elle pose ses mains contre le mur, écarte les jambes, tend sa croupe et me demande de la prendre. Sous la caresse de l'eau chaude, je me glisse délicieusement en elle, lentement, de toute ma longueur, jusqu'au plus profond d'elle, et j'accélère... Au moment où je vais éjaculer, sentant venir la décharge, elle se retourne, me prend dans ses mains et recueille le fruit de ma jouissance sur ses seins et dans sa bouche. Je m'écroule, brisé, vaincu.

Ce jour-là, je suis rentré à pied chez moi, en chantonnant. C'était une des plus belles matinées de ma vie.

Mon coloc a appris l'affaire, et il m'a fait la gueule pendant quelques semaines, mais si c'était à recommencer, je me ferais bien tenter une seconde fois par cette diablesse.

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Guest ElGulo

Héhéé... merci ! :P

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Guest Ririnou

Comment peut on écrire des choses pareilles, je n'arrive pas à le croire. J'espère que cette histoire est comme tant d'autres sur ce forum de pervers: totalement fictive.

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sympa l'histoire mais dommage que sa c'est pas inscrit dans la longue durée...

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Guest Anonymous

J'aime... =) Que dire de plus ?

Elle te voulait vraiment la soeur à ton coloc. :content:

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Excellent! Surréaliste la prière. Du Bunuel... Pourquoi pas avoir recommencé les semaines suivantes?

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