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AsMoth

Visions sex de bon matin : l'orgasme sans même y toucher !

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Ameline, petite amie de mon grand frère…

J’avais dix neuf ans. Elle en avait vingt neuf. On était en été. Mon frangin et elle venaient tout juste d’emménager dans un joli petit appart situé au deuxième étage. Mon frère m’avait évidemment demandé un coup de main pour monter les meubles. On avait fini assez tard le soir, du coup il m’avait invité à dormir dans leur nouveau chez eux.

Ce matin là, mon frangin était parti au magasin de bricolage acheter plusieurs outils. Ameline quant à elle était restée à l’appart pour faire le grand nettoyage. Ameline était une jolie blonde aux formes plutôt généreuses, aux cheveux longs et soyeux. Elle était grande aussi, tout comme mon frère, puisqu’elle approchait le mètre quatre vingt. Perso, je n’aimais pas trop les femmes trop grandes, bien que leur féminité paraissait encore plus mise en valeur ; les jambes notamment. Je trouvais Ameline très belle, mais je n’avais pas d’attirance sexuelle pour elle… jusqu’à ce fameux matin !

En effet. Tous deux avaient dû se lever de bonne heure pour s’activer à leurs tâches respectives. Il me semblait avoir été réveillé par un bruit d’aspirateur. Je dis bien semblait, tant je me réveillai en plein brouillard. Je fus définitivement réveillé en tout cas par des bruits de talons qui résonnaient sur le parquet flottant de cet appartement flambant neuf, jonché de grandes baies vitrées, encore dépourvues de rideaux.

Peinant à me lever, je me dirigeai vers la pièce principale, qui faisait office de salon, salle à manger avec une cuisine américaine dans le coin.

Poussant la porte donc, je restai scotché à ce que je vis. Ameline était en train de passer le plumeau et le chiffon. Rien de bien extraordinaire me direz-vous. Sauf qu’elle était encore dans sa nuisette satinée à fleurs… en talons… et surtout les jambes tendues et penchée en avant en train d’essuyer le sol ! Aucun doute, elle ne savait pas que j’étais là à l’épier… l’avantage des appartements neufs om les portent ne grincent pas encore. Bordel ! Talons, nuisette et position combinés, Ameline me présentait son cul ! Ni plus ni moins. Elle me faisait dos, tournée vers la baie vitrée ouvrant sur la rue. A ma grande surprise, elle ne portait pas de string, mais une culotte large en coton blanc. Sa culotte de la nuit ? Celle-ci lui rentrait à moitié dans le cul du côté droit, dévoilant donc l’une de ses fesses. Mais en fait, comme Ameline avait les jambes tendues et assez écartées, ce n’est pas finalement son cul qu’elle présentait le plus, mais son entrecuisses, que je découvris pour la première fois. Bien que sa culotte le recouvrait parfaitement, elle laissait deviner une chatte charnue. Mes yeux focalisant sur son intimité, je me rendis compte que sa culotte moulait à moitié ce qui devait être les petites lèvres. Des petites lèvres qui dépassaient visiblement des grandes et qui devaient quelque peu humides pour transparaître ainsi à travers le tissu.

Voir cette belle paire de jambes lisses et fermes et cet entrecuisses de si bon matin ne fit qu’éveiller ma trique du matin, qui fut immédiate et sévère. Captivé par ce que je voyais, en dépit de toute morale, je baissai mon boxer et commençai à me masturber en prenant soin de rester dans la pénombre du couloir. Quel cul ! Quelle chatte ! me dis-je intérieurement.

Les choses s’intensifièrent encore un peu plus lorsqu’Ameline se mit à quatre pattes à même le sol pour chasser les poussières situées derrière le canapé. Je devins fou. Ainsi positionnée, sa nuisette s’était encore retroussée un peu plus. Ameline devait sentir qu’elle avait le cul à moitié à l’air tout de même ! me dis-je. Mais assidue à la tâche, cela ne semblait pas la déranger. Moi non plus d’ailleurs ! Elle avait les cuisses écartées, son entrecuisses outrageusement offert. Dans cette position, c’est comme si sa culotte se tendit plus encore, pressant et moulant les lèvres de sa chatte plus encore. J’eus une pensée à mon frère, me disant que lorsqu’il la prenait en levrette, Ameline devait s’offrir à lui comme cela. Moi, je devenais dingue. Mon sexe, plus dur et gonflé que jamais était en train de fondre et mouiller d’excitation. Je me paluchais à pleine main, faisant chuinter la peau épaisse de mon sexe sur mon gland en fusion. Le côté droit de la culotte d’ Ameline lui était définitivement rentré dans le cul et le côté gauche commençait à faire de même. Le fait qu’elle porte des talons ne faisait qu’ajouter de l’érotisme à cette position déjà très suggestive. Je discernais clairement les petites lèvres de sa chatte qui parurent de fait gonfler plus encore de plaisir. Elles étaient entrouvertes ; une chair plissée que j’aurais adoré lécher à pleine langue. Fixant sa chatte du regard, je me discernai alors une autre excroissance dans le tissu de sa culotte. Oui ! Il s’agissait bien de son clitoris. Il formait une pointe de chair, visiblement gonflée d’excitation. Que se passait-il chez Ameline ? Avait-elle ses chaleurs ? Elle s’était en tout cas redressée, et regardait à travers la baie vitrée. Je ne m’en étais pas rendu compte, mais j’avais avancé de quelques pas, et j’étais désormais au pas de la porte. Ameline ne voyait-elle dans le reflet de la vitre ? Je ne savais pas. Je ne savais plus. Deux choses étaient sures : elle avait très chaud et moi j’étais très dur. Je bandais comme un âne.

Et là, Ameline, écartant encore plus les cuisses, m’offrit son intimité de plus belle. Elle était presque allongée sur le parquet, maintenant accoudée à celui-ci, les fesses bien offertes, bien ouvertes. Elle cambrait si généreusement son bassin que je distinguais son nombril ! Sa culotte se tendit encore un peu plus. Ainsi offerte : sa belle chatte transparaissait à travers le tissu. Je distinguais parfaitement son clitoris gonflé d’excitation, et surtout les petites lèvres de sa chatte qui étaient ouvertes, comme prêtes à accueillir une bonne queue. La chatte d’ Ameline avait visiblement bien mouillé pour qu’elle transparaisse si clairement à travers sa culotte. Ameline devait avoir la chatte en feu !

Captivé par ce que je voyais, avec très certainement une envie latente et irrépressible d’enfoncer mon membre profondément en elle, voilà que j’étais maintenant dans la pièce, mon chibre épais à la main. Il clapotait de mouille. Dans le silence ambiant, nul doute qu’ Ameline dut l’entendre et pire : voir cette queue bien raide au gland luisant. Je me masturbais sans retenue aucune, comme si Ameline et moi étions dans deux pièces différentes. Ce n’était pas du tout le cas. Je m’approchai dangereusement de l’orgasme sans même m’en rendre compte, tant la situation était terriblement excitante.

Mes pieds nus résonnant sur le parquet, je vis Ameline tourner la tête d’un quart sur la droite. Merde ! Elle savait que j’étais là. C’était sûr maintenant, bien que je présumais qu’elle me matait peut être depuis le début dans le reflet de la glace.

Je réussis en deux temps trois mouvements à remettre mon sexe en érection totale dans mon boxer qui tendait celui-ci comme une toile de tente.

Ameline, feignant un air paniqué par ma présence soudaine, resserra les genoux puis se redressa en tirant sur sa nuisette. Elle avait les joues toutes rouges… restait à savoir si c’était de honte ou d’excitation, voire les deux…

- Ah ! Asmoth ! Tu es là ! Je ne t’avais pas entendu entrer.

- Bonjour… je scrutais ses faits et gestes en quête de vérité

- Tu as bien dormi ? Phil est parti chez C**** chercher de quoi monter l’étagère. J’étais en train de fiare un peu les poussières…

- Oui oui, j’ai vu ça…

A cette réplique, Ameline ne répondit pas de suite. Je m’étais assis sur une chaise de la cuisine que je tournai vers Ameline qui elle s’était assise sr un pouf en cube. Elle se tenait les jambes croisées devant moi et se mit à jouer avec ses cheveux. Un tic nerveux qu’elle avait lorsqu’elle n’était pas sereine… Rapidement, ses yeux firent plusieurs allers retours sur la bosse de mon boxer, maintenant maculé d’un épaisse tâche de mouille. Ameline me parlait de tout et rien sur ses projets de la journée en matant de plus en plus mon intimité. Elle serrait et desserrait curieusement les cuisses tout en les gardant croisées. Cherchait-elle une position plus confortable ?

Moi, je me tenais le dos bien droit, de façon à ce que mon boxer tendu se voit le moins possible. On aurait dit que j’avais un balai dans le cul.

Et là, sans crier gare, Ameline décroisa les jambes et écarta les cuisses. Bien qu’elle tira de suite sur sa nuisette de façon à cacher son entrejambes, j’eus le temps de voire de nouveau sa petite culotte. Le fait de voir Ameline ainsi assise sur le pouf, le bassin cambré, je ne pus qu’imaginer sa belle chatte s’écraser et frotter contre le cuir du pouf. Ainsi assise, je ne pus qu’imaginer Ameline s’empaler sur une belle grosse queue, son sexe parfaitement offert à celui-ci. A ces songes, je sentis immédiatement mon sexe se raidir à nouveau. Celui-ci était à l’horizontal dans mon boxer. Je sentis de suite de la mouille épaisse entre la peau qui recouvrait mon gland et celui-ci. Mon sexe grandissant, durcissant, je sentis mon gland presser contre mon frein. Le moindre de mes mouvements se traduisait aussitôt par une glissade exquise de mon gland en fusion, plus sensible que jamais.

Guidé par le plaisir, je ne pus que m’affaler un peu plus sur ma chaise. J’offris malgré moi mon sexe tendu sou mon boxer aux yeux d’ Ameline, qui se posèrent dessus. La belle avait fait mouche. Je ne pouvais demeurer insensible. Voyant ce beau membre épais darder sous mon boxer et le maculer encore un peu plus de mouille, Ameline fut prise à son propre piège. Une réaction en chaîne en quelque sorte. Bien que bavarde, elle peina à trouver ses mots et à suivre le fil de ses idées. Quelque chose semblait visiblement la gêner. Je la vis soudain lever sa cuisse droite, la gardant serrée contre l’autre. J’imaginai alors sa cuisse tenter de presser sur son clito. Nul doute qu’elle sentait elle aussi son sexe fondre à la vue du mien. Bien qu’elle serrait les cuisses, le fait de lever sa cuisse m’offrit sa petite culotte et son entrejambes qu’elle tentait de cacher et d’exciter tout à la fois. a cet instant précis, une lueur étrange, associée à un silence de plomb, parcouru nos regards et la pièce. L’éphémère moment du doute ultime du : « J’ose ou j’ose pas ? On franchit la ligne jaune ou pas ? ». Je le vis dans ses yeux. Je le sentis dans mon sexe. Le fait de la voir se frotter les cuisses ainsi l’une contre l’autre en reluquant mon sexe me fit comprendre qu’elle ressentait la même chose que moi : elle son clito, moi mon gland et mon frein serrés et frottant dans notre mouille. Bandant comme un âne, mon gland serrait et tirait sur mon frein. Je m’imaginais au fond du vagin d’ Ameline. Je m’imaginai serrer les cuisses pour garder mon membre en elle. Instinctivement, je me mis à bouger discrètement sur ma chaise. Les quelques centimètres de recul nécessaires à ces coups de rein presque imperceptibles firent glisser mon gland en fusion contre mon frein et tendre celui-ci. mon gland baignait dans de la mouille épaisse. celle que j’aimais tant prendre en bouche. Mon boxer agissait comme le fond de la chatte d’ Ameline. Qui fixait cette bosse tendue entre mes cuisses, maculée d’une tâche de mouille à son extrémité.

Soudain, Ameline ne tenant plus sa jambe en l’air, la fit redescendre de rage de jouir, posant le pied à terre à en faire claquer sa chaussure. Elle resta cuisses écartées, sans mot dire. J’eus alors le loisir de mirer sa culotte blanche et échancrée qui disparaissait entre ses cuisses de rêve, visiblement tendue et humide. Je me rendis compte également pour la première fois qu’ Ameline avait les seins gonflés de désir. Cela en fut trop pour moi. imaginant ma belle chatte empalée sur mon sexe, je me mis à bouger moins discrètement. Je voulais de libérer de cette insupportable tension qui régnait dans mon sexe. Mon gland glissa contre mon frein. Je sentis soudain mon sexe se tendre. Mon bassin fut prit de spasmes incontrôlables. Ameline avait toujours les cuisses écartées, la minette offerte sous sa culotte tendue. Oui ! Ouiii… Ouiiiii ! Retenant mon souffle, je me mis à éjaculer dans mon boxer… des spasmes infernaux, diaboliques, rapides et puissants, dévastant tout sur leur passage. Ameline me fixait, les yeux rivés sur cette bosse. Elle vit de ses yeux les spasmes parcourir mon sexe et l’instant d’après mon boxer se tâcher de sperme. Mon éjaculation fut si puissante que le sperme traversa le tissu pour couler et le tremper jusqu’à mes couilles qui se déchargeaient devant ma spectatrice.

A la vue de mon orgasme, Ameline ne put s’empêcher de serrer et desserrer les cuisses devant moi. Elle émit même un petit gémissement. Je vis sa main droite s’approcher de son entrecuisses, mais elle se résolu à la laisser au dernier moment sur sa cuisse. Les joues d’Ameline se mirent à rougir. La même lueur que tout à l’heure transparut dans ses yeux, la stupéfaction et le désir de jouir en plus.

Aussitôt mon orgasme achevé, je resserrai les cuisses. Je devais être rouge de honte. Du coup, je fis volte face pour cacher mon boxer trempé de sperme. Oui, j’avais honte. Mais cette chaleur était aussi emplie d’une indicible excitation. Un plaisir qui restera secret à jamais.

J’entendis Ameline se lever dans mon dos. Ses talons claquer. Elle alla jusqu’à l’évier, situé devant moi. Je mirai son joli cul. Elle resta un instant immobile, figeant le temps et notre destinée avec elle…

- Bon, bon, bon… Moi, je vais aller prendre une douche. Phil ne devrait plus trop tarder…

Elle se retourna vers moi et arbora un sourire « classique ». Je compris le message : rien ne s’était passé ; cela resterait entre nous. Je n’étais exempt de tout reproche, ni elle d’ailleurs… zéro zéro, match nul et balle au centre…

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Guest Calynette

TEllement bien décrit, que hoooooooo ça eut un effet phénoménal sur mon entre cuisse...et ce, sans me toucher...

:D:D:D Asmoth, tu es un excellent narrateur. Merci a toi

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Asmoth! :roll::(:(:(

C'est toujours autant excitant de te lire!!!

J'ai toujours hâte de lire tes nouveaux récits :pompom:

Tu es sans nul doute mon auteur préféré

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Zaboo,

tes mots me vont droits au coeur. Te dire que les larmes me viennent aux yeux serait exagérer, mais l'écriture érotique est peut être la seule chose dans laquelle je pense avoir quelque chose à apporter à l'humanité !

J'aime écrire, j'aime le monde de l'érotisme et du fantasme. Savoir que des lecteurs et surtout des lectrices :( prennent plaisir à lire mes lignes me donne beaucoup de satisfaction.

Cela en devient presque une drogue : j'ai besoin d'écrire : besoin d'écrire pour le plaisir physique et mental qui est procuré dans cet exercice ; mais aussi besoin de vous, mes lecteurs, car je pourrais très bien écrire sans publier... mais alors le plaisir ne serait que partiel et surtout, quelque part, égoïste.

Alors, merci, merci à toi Zaboo et vous, autres lecteurs et lectrices qui appréciez mes textes. Car, je vous le confesse : j'écris autant pour vous que pour moi. Il est difficile pour moi d'imaginer ce que vous faites et ce que vous ressentez en lisant mes lignes... pourtant j'aimerais le savoir (*) ; mais sans vous, je n'écrirais peut être plus. Vous êtes les gardiens de ma flamme d'écriture.

* : n'hésitez pas à décrire dans vos posts ce qui vous a plus particulièrement excité et les plaisirs que vous vous êtes accordés ! :roll: ... ainsi, je m'attacherai à toujours mieux vous contenter. Merci en tout cas les amis. Lire de tels compliments me fait me sentir bien sur ce site. Et j'en ai besoin :pompom:

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Guest Calynette

Je crois, ce qui te rend aussi bon a lire, c'est que tu ne lésine pas sur les détails. Ce qui est autour, ce qui entoure tes personnages.

TU décris tellement bien, qu'on est forcément dans ta peau et celles des femmes que tu inclus. Évidemment, ça ne peut etre toutes tes "femmes" car on se reconnaitra dans certaines et pas dans d'autres, mais, oui... tu fais monter le désir...

En tant que femmes, je sens toujours cette montée qui vient... peu a peu elle m'envahit et souvent, comme je ne peux me permettre de me satisfaire au physique, mon ordi trop a l'affut des regards qui s,y posent, je sens un orgasme me prendre, me faire frissonner, me secouer... Parfois j'en ferme les yeux et savoure cet instant...

Tu as un véritable don d'écriture érotique.. a ce demander pourquoi tu ne publis pas tes histoires, tes expériences.... Tu en ferais bandés plus d'un et en plus celles qui choquent plus que d'autres....

Tu as un véritable talent.... Si je le possédais, autant que toi, j'oserais... PArce que moi aussi j'adore écrire....

Merci encore Asmoth

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